Désolé les noobs j’aurais dû être plus explicite.
Il y a en effet très peu d’exploration, d’où la décimale. C’est du jargon classique d’amateur du genre.
Il y a quelques années tout le monde comprenait ça sur tt.
Y’a plus que des noobs maintenant.
Le combat est très variable de fonction des Maps.
Moi, je trouve qu’en moyenne il est moins violent que scythe.
De plus, à scythe, le combat rapporte directement des points, pas à Brazil.
à scythe, c’est la guerre froide jusqu’au dernier tour ou ça se tire à boulet rouge
A Brazil, s’il y a de la guerre, ça arrive pendant le développement. Mais c’est vrai qu’il y a des maps où la guerre est impossible.
après, ça fait un moment que je n’ai pas sorti Brazil et encore plus longtemps pour scythe qui m’a ennuyé (alors que Brazil, je l’ai trouvé plus dynamique)
Niveau mécanique je le trouve très bien et le préfère à Scythe, un 4x “initié” et rapide, très plaisant à jouer par contre au niveau du positionnement thématique/historique je ne suis pas du tout fan, je vais m’autociter pour ceux qui sont sensibles à ces aspects :
Tu vas rire, mais je trouve que ces jeux posent presque plus de problèmes de positionnement qu’un Brazil parce qu’ils cachent complètement les enjeux tout en reprenant toute la logique et l’imaginaire coloniaux.
Brazil, dans une certaine mesure, les explicite.
Mais, c’est probablement une question plus globale que posent les jeux historiques, d’autant plus quand ils ont une approche synthétique de leur sujet.
Je suis pas du tout familier des wargames/jeux historiques de simulation, mais j’ai l’impression qu’ils n’hésitent pas à montrer.
Ce ne sont pas les thèmes de jeux qui posent problème, c’est notre histoire.
Je comprends que l’hypocrisie d’un san Juan ou d’un Mombasa interroge.
Ce qui pose le plus de problème moraux véritables, ce ne sont pas les thèmes, c’est qu’on utilise pour les fabriquer et les transporter des ressources non renouvelables, de la destruction du vivant, et les conditions que personne ne maîtrise dans lesquelles ils sont fabriqués.
Discuter sur le thème permet de se donner bonne conscience et d’oublier la vrai question, notre consumérisme effréné, qui nous remet plus en cause.