[Cinema] Quantum Of Solace

Bruno des Montagnes dit:exactement ce que je pensais mais en beaucoup moins de mots :lol:

Merci d'avoir résumé mon avis, faut tjrs que je sorte un pâvé moi ... :lol:
MOz dit:
Bruno des Montagnes dit:Aucun des moments d'humour propres à notre agent secret préféré

On ne peut pas avoir Daniel Craig et de l'humour. Il faut choisir. Personnellement, je choisis tout de suite Daniel Craig. Je trouvais insupportable l'humour des films avec Roger Moore et Pierce Brosnan.


Sur ce point aussi je suis d'accord avec Bruno (ça me fait bizarre d'écrire ça, moi aussi je m'appelle Bruno :P )
Dans Casino Royale, la scène de la rencontre avec Vesper était qd même tordante, le dialogue frise le Audiard, vraiment excellent. Sans aller jusqu'à l'humour potache un peu ridicule des vieux Bond avec Roger Moore ça apportait une touche d'auto-dérision que j'avais bcp aimé. Et c'est malheureusement absent de Quantum of Solace.

Ben je ne l’ai pas trouvé si mal, ce Bond.

C’est sûr, c’est plus le même Bond qu’avant. On peut plus maintenant.
(Si c’était le cas, il y aurait du monde pour critiquer la ringardise, etc…)

La réalisation est assez particulière, certes. Ok, il y a des influences Bourne et Bauer.
Mais ça ne m’a pas dérangé plus que ça.

Le scénar est assez limite aussi. Je pense que c’est une ouverture vers un suivant, avec l’organisation secrète qui n’est pas détruite. Dominic Green n’était sans doute pas la tête… je le verrai plutôt en N°2 ou 3.
En tout cas, “c’est la ressource la plus précieuse, il nous faut en contrôler le maximum”, c’est plutôt bien vu. Et très en phase.
La réunion de travail à l’opéra est aussi une idée intéressante.

Je laisse El Comandante faire des commentaires sur la république bananière qu’est la Bolivie, selon le film :mrgreen:

En ce qui concerne les girls, Camille, on peut comprendre pourquoi elle ne passe pas dans son lit (pour le moment, mais à mon avis, ça ne tardera pas… le film n’était juste pas assez long :lol: …).
Quant à Miss Fields (Strawberry Fields, très bondien), je ne vois rien de choquant dans le fait qu’il y ait une “histoire” alors qu’il cherche à se venger. Elle doit le contrôler, il la séduit avec le palace, la robe, etc… un moyen plutôt agréable d’arriver à ses fins. Oui, il est cynique, Bond.

Pour le côté invraisemblable de certaines scènes (poursuite en voiture au début, par exemple), il faut se rappeler que c’est James Bond. Dans le Jeu de Rôle, par exemple, Les persos disposent de points d’héroïsme qu’ils peuvent utiliser pour accomplir des actions quasi-impossibles, rattrapper des jets de dés catastrophiques… Ca fait partie du mythe… libre à vous de ne pas y adhérer.

LA seule grosse faute, c’est la séquence du gun barrel en fin de film. Ca, oui, c’est une faute de goût.

Deckard, connoisseur. :wink:

quelqu’un peut m’expliquer pourquoi le film s’appelle “quantum of solace” ?
je trouve aussi le design de l’affiche et le nom très réussis mais je n’ai pas compris. :pouicboulet:
pas convaincue par le film non plus.
comme ça déjà été dit : manque de cohérence globale, des scènes d’actions hachées menues. une intrigue pourtant d’actualité avec la problématique du contrôle de l’eau (probablement un des plus gros enjeux géopolitiques à venir)
seul moment un peu attachant du film, les scènes avec Mathis qui donnent un peu d’épaisseur aux personnages.
et puis un clin d’oeil plutôt agréable à goldfinger.
effectivement, ni humour, ni gadget, ni cul.
bon, ça peut être un parti pris intéressant pour renouveler le genre, mais rien ne vient vraiment prendre la relève.
au final, je vois mal quel est ici la spécificité du héro “Bond” qui devient un aventurier et un killer comme il y en a déjà pas mal dans le cinéma d’action avec des scénarios mieux ficelés. notament la trilogie Bourne.
dommage, en tout cas, je trouvais Casino Royale assez innovant dans le 007 avec un D.Craig assez neuf et plutôt convaincant.

et puis vraiment, si quelqu’un peut m’expliquer ? hein ?

edit : un début d’explication :arrow::
Quantum of Solace, le titre secret de James Bond
ésotérisme | Le dernier 007, blockbuster de la rentrée, sort sous le titre le plus abscons vu en salle depuis longtemps. Tentative de traduction.
Nicolas Berlie | 30.10.2008 | 16:00

Le dernier James Bond, Quantum of Solace, sort le 5 novembre sur les écrans romands. Le film, vingt-deuxième opus de la série, est la suite directe de Casino Royale, s’ouvrant une heure après la fin de ce dernier: après avoit été trahi par Vesper Lynd, la femme qu’il aimait, James apprend qu’on la faisait chanter. Il s’embarque alors dans une vendetta, quitte à faire de sa mission une affaire personnelle.
Succès annoncé, Quantum of Solace a quand même un problème: son titre. Bon sang, mais qu’est-ce que ça veut dire? Pour commencer, on est un peu perdu dans la traduction: en physique, le “quantum” est la plus petite mesure indivisible de l’énergie ou de la masse (merci Wikipedia). Aussi bien en anglais qu’en français d’ailleurs.
Quant à “solace”, il s’agit du “réconfort”, de la “consolation” en anglais.
Littéralement, on peut donc traduire le titre par un “minimum de réconfort”, un “soupçon de consolation”. Wikipedia cite d’ailleurs l’acteur Daniel Craig: “Au premier abord, j’étais dubitatif. James Bond cherche un minimum de consolation (“quantum of solace”). Ce qu’il veut, c’est en finir. Pour Ian Fleming (l’auteur des James Bond, ndlr), si vous n’avez pas un minimum de consolation dans votre relation, alors elle n’a pas d’avenir. Sans cette étincelle dans une relation, vous pouvez aussi bien laisser tomber.” Il rajoute: “Bond n’a même pas ça, parce que son amour a été tué, du coup il veut se venger pour être en accord avec le monde à nouveau.”
Doit-on penser que 007 va chercher son “soupçon de réconfort” dans les bras d’Olga Kurylenko, la nouvelle James Bond girl? Un peu premier degré, et ça ne collerait pas très bien avec l’image d’un James Bond déglamourisé que campe Craig dans Casino Royale.
Quantum of Solace est un film de vengeance, on peut plutôt penser que ce “minimum de consolation” est le sentiment amer, ambigu, qui provient de l’accomplissement d’une vengeance, comme le suggèrent bon nombre d’internautes. D’autant que “Quantum” est aussi le nom de l’organisation terroriste que combat 007.
Une chose est sûre, un titre de James Bond n’a sans doute jamais fait autant phosphorer. Et pas que les internautes: dans la plupart des pays, comme en France et en Suisse, le film sortira sous son titre original. Pas de tentative de traduction, nada (à noter que la nouvelle qui inspire le film était titrée Chaleur humaine dans le recueil Rien que pour vos yeux). Au Québec, résistant traditionnel aux anglicismes, il sortira sous le titre un peu emprunté de Quantum 007. Et même le Royaume-Uni a choisi l’abréviation promotionnelle de B22 (pour “Bond 22”).

Kouynemum dit:quelqu'un peut m'expliquer pourquoi le film s'appelle "quantum of solace" ?
je trouve aussi le design de l'affiche et le nom très réussis mais je n'ai pas compris. :pouicboulet:

C'est au départ le titre d'une nouvelle de Ian Fleming.
Quantum : petite quantité
Solace : apaisement, réconfort.
Ironique, donc

pas convaincue par le film non plus.
comme ça déjà été dit : manque de cohérence globale, des scènes d'actions hachées menues. une intrigue pourtant d'actualité avec la problématique du contrôle de l'eau (probablement un des plus gros enjeux géopolitiques à venir)

Tout à fait... d'actualité...

seul moment un peu attachant du film, les scènes avec Mathis qui donnent un peu d'épaisseur aux personnages.
et puis un clin d'oeil plutôt agréable à goldfinger.

Aussi d'accord, et même quand il met le corps de Mathis dans la poubelle, c'est rude, mais en accord avec le personnage
effectivement, ni humour, ni gadget, ni cul.
bon, ça peut être un parti pris intéressant pour renouveler le genre, mais rien ne vient vraiment prendre la relève.
au final, je vois mal quel est ici la spécificité du héro "Bond" qui devient un aventurier et un killer comme il y en a déjà pas mal dans le cinéma d'action avec des scénarios mieux ficelés. notament la trilogie Bourne.

Je trouve quand même des différences avec Jason Bourne... mais ça prend un peu de temps pour s'installer. Un peu trop peut-être.

dommage, en tout cas, je trouvais Casino Royale assez innovant dans le 007 avec un D.Craig assez neuf et plutôt convaincant.
et puis vraiment, si quelqu'un peut m'expliquer ? hein ?


Voilà... :wink:
Deckard dit: Voilà... :wink:


ben en fait j'ai fini par trouver un article assez détaillé : voir au-dessus. :)

Bon, ben tu as trouvé ton explication comme une grande pendant que je te répondais…

Et B22, c’est effectivement le 22ème film…

On dirait qu’on a décidé d’écrit des posts en synchro, ce soir… 8)

J’avais adoré Casino Royal, je suis déçu avec le dernier…
Là, ça explose de partout et comme on ne se sent pas proche des personnages, ça tourne dans le vide…J’ai rien ressenti…
Y a plus qu’à se repasser en boucle Casino Royal :cry:

Il ne faudrait pas oublier non plus qu’il n’y aurait pas de Jason Bourne (les films) tels quels s’il n’y avait pas eu de James Bond avant cela.

Sinon, à vous lire (parce que je n’ai pas encore vu le film, ça ne saurait tarder), j’ai l’impression de pouvoir établir un parallèle avec Batman : on a repris une série par un flash-back éblouissant et un nouvel acteur (Craig et Casino Royale / Bale et Batman Begins) mais on a ensuite du mal à relancer la machine si on s’appuie sur le héros lui-même auquel on (les producteurs, les scénaristes et le réalisateur) a du mal à donner une certaine épaisseur une fois expliqué ce qui a fait qu’il est devenu comme il est. Sauf que The Dark Knight repose sur les épaules du Joker (aussi important que le capitaine Haddock dans les aventures de Tintin)…

Peut-être aurait-il fallu sortir un Ernst Stavros Blofeld jeune de derrière les fagots pour muscler un peu plus Quantum of Solace.

Enfin, pour ce qui est de l’encre que peut faire couler le titre, n’oublions pas que Octopussy ne fut pas mal non plus, dans un genre différent il est vrai… :mrgreen:

Blofeld … c’était un autre James Bond “différent” à l’époque.

Là en fait le pb vient pas du manque de charisme du méchant, mais plutôt de mon point de vue du fait qu’il n’est pas vraiment LE grand méchant.
Déjà comme ça a été dit, Green n’est qu’un membre “lambda” de son organisation comme le prouve sa mort dans le désert, y’a qq’un au-dessus qui l’a fait supprimer.
En plus le but de Bond dans ce film n’est pas d’arrêter Green, c’est la vengeance ! Et dans ce cadre, que Green cherche à contrôler les ressources de Bolivie on s’en fout un peu non ? Ce grand projet ça fait un peu remplissage je trouve, un peu copier-coller des vieux Bond.
D’ailleurs j’avoue ne même pas avoir trop compris le rapport entre Green et la vengeance de Bond … son but était qd même d’atteindre l’ex de Vesper non ?

Plus j’y repense, plus j’ai rien compris en fait et ça m’embête bcp :cry:

Je remets pas en cause ton article Kouynemum, mais pour ma part j’ai une autre explication du titre : les membres de l’organisation ont tous sur eux un pins doré représentant un Q

J’en déduis donc tout naturellement que le nom de leur organisation s’appelle “Quantum of solace”, d’où le nom du film.

edit : je me demande même si dans une des dernières scènes (attention spoiler) :

spoiler dit:quand james bond largue le chef dans le désert, ce dernier lui dit qu’il a tout raconter sur quantum, et que maintenant il doit craindre pour sa vie


mais je rêve peut être totalement, et le mot quantum n’a peut être jamais été prononcé :D

c’est un film d’art et d’essai, si je comprend bien : faut un dico pour comprendre le titre et la narration est si déstructurée qu’elle en devient dur à suivre… :clownpouic:

cho7 dit:mais je rêve peut être totalement, et le mot quantum n'a peut être jamais été prononcé :D


oui j'ai entendu ça aussi : une fois.(pour la vf)
et l'article le rappelle également : D'autant que "Quantum" est aussi le nom de l'organisation terroriste que combat 007.

moi j’ai bien aimé, notamment le côté froid et lethal de Craig.

Bien sûr quelques scènes d’action sont un peu brouillon, l’histoire n’a pas la même force que Casino Royal mais j’aime bien le thème sur la raréfaction des ressources.

L’avantage du film c’est d’avoir un enchevêtrement de plusieurs histoires et donc de plusieurs méchants, pour moi ça pose les bases des prochains James Bond en introduisant le groupe ennemi. La réunion durant l’opéra est excellente à ce titre je trouve.

Par contre Greene est un peu “léger”, il a un style mais n’est pas suffisamment “méchant” à mon goût, à aucun moment on ne sent Bond mis en danger par les actes de son adversaire mais juste par la violence de ses hommes de main. C’est décevant.

Pour ceux qui cherchent un film cohérent, vous vous êtes trompés de genre, pourtant ils ont déjà enlevé les gadgets mais ça reste du superman en smoking. C’est du spectacle et un style, ce que j’ai retrouvé en partie (Craig n’a pas la classe britannique qu’avaient les précédents acteurs).

Kouynemum dit:
comme ça déjà été dit : manque de cohérence globale,


** conseil : ceux qui n'ont pas vu le film et souhaitent le voir, devraient peut-être éviter de lire la suite**

pour préciser un peu :
j'ai l'impresion que c'est moins le scénario que sa réalisation éliptique qui pose problème.
-premier axe :
on a bien un méchant mais comme on n'est plus au temps de la guerre froide ni des trentes glorieuses, le méchant n'est pas exactement celui qu'on croit. on nous le dit bien en clair : si on ne peut plus traiter avec les pourris, avec qui le fera-t-on ?
à l'heure de la réalpolitik, et face aux impératifs planétaires (énergétiques, économiques, politiques)les Etats restent pragmatiques et la CIA aussi.
la piste aurait pu être intéressante si elle avait été explorée : on n'est plus dans la lutte du bien contre le mal, mais dans l'interventionisme yankee sous-terrain sur le continent sud-américain.
on le dit aussi en clair mais sans suite effective dans le film lui-même.
de ce point de vue, la problématique de l'eau en Bolivie a donné lieu à des graves crises et à des émeutes il y a une dizaine d'année (la guerre de l'eau provoquée par le renchérissement insupportable ar les populations suite à la concession donnée par le gouvernement bolivien à une société privée pour l'exploitation et la distribution de l'eau. ).
on voit bien quelques personnes devant leur point d'eau qui se tarit. on a bien quelques éléments d'intrigues mais c'est tout.
-deuxième axe : le héro.
Bond le dit en clair, il choisit le devoir à la vengeance. on nous guide plus ou moins sur cette cette seconde piste mais avec des éléments posés au fil du film avec un peu trop d'évidence sans tisser la toile qui permettrait de nous y perdre.
en parallèle de Bond, on va suivre la trajectoire d'une autre vengeance, celle qu'interprète Olga Kurylenko, qui sera elle, assouvie.
mais on nous laisse trop à distance sans vraiment rentrer dans ce qui aurait pu faire le sel de ce Bond nouveau : la part obscure d'un agent du MI6.
que faire de sa "licence to kill" ? poursuivre un but profondément personnel ou rester "au service de sa Majesté" ?
bref, là aussi, cette idée aurait pu solidement servir d'ossature au film, d'autant que cette ambivalence répond parfaitement aux ambivalences des "bons" (la CIA) des "méchants"(la société Greene).

je dois reconnaître que la mise en image et la réalisation, à la fois trop didactique et trop superficielle, me laisse largement sur ma faim de ce point de vue.

mais on est bien d'accord, on est dans un sujet d'afficionados de 007. 8)
Kouynemum dit:
cho7 dit:mais je rêve peut être totalement, et le mot quantum n'a peut être jamais été prononcé :D

oui j'ai entendu ça aussi : une fois.(pour la vf)
et l'article le rappelle également : D'autant que "Quantum" est aussi le nom de l'organisation terroriste que combat 007.


Lu sur un site anglophone : (mi6.co.uk)
Ever since the title of the new James Bond flick, Quantum of Solace, was unveiled in January, some people have been scratching their heads trying to determine just what the heck the puzzling moniker means - reports ReelzChannel.
As it turns out, "Quantum" is name of the shadowy terrorist organization alluded to -- but never identified -- in 2006's Casino Royale. Quantum features much more prominently in the storyline of the latest film, which picks up just one hour after its predecessor.
Whether Quantum will be the new SPECTRE is unclear at this point, as work on the next 007 script has yet to begin. But can fans expect Quantum to appear in some capacity in future chapters of the franchise? "That's the plan," Quantum of Solace producer Barbara Broccoli told the site yesterday.


Donc, Barbara nous confirme qu'on entendra encore parler de Quantum... :)
le poney dit:Pour ceux qui cherchent un film cohérent, vous vous êtes trompés de genre, pourtant ils ont déjà enlevé les gadgets mais ça reste du superman en smoking. C'est du spectacle et un style, ce que j'ai retrouvé en partie (Craig n'a pas la classe britannique qu'avaient les précédents acteurs).


Après Casino Royale, on était en droit d'espérer que cette nouvelle série de Bond relève un peu le niveau des anciens. Visiblement, ce n'est pas le cas, ou pas totalement. A peine relancée, la franchise retombe dans certaines de ses mauvaises habitudes. Ca ne vaut pas un Bourne (et pourtant les films de cette série sont loin d'être parfaits). Ce qui est sûr, c'est que j'hésiterai énormément à aller le voir le prochain.
Deckard dit:La réalisation est assez particulière, certes. Ok, il y a des influences Bourne et Bauer.
Mais ça ne m'a pas dérangé plus que ça.

Moi, j'appelle ça du plagiat. :mrgreen:
Deckard dit:La réunion de travail à l'opéra est aussi une idée intéressante.

Oui. Un bon point.
Deckard dit:Pour le côté invraisemblable de certaines scènes (poursuite en voiture au début, par exemple), il faut se rappeler que c'est James Bond.


Ca n'excuse rien. Il faut que ça reste crédible. Même si Bond est un homme exceptionnel, les lois de la physique restent les mêmes pour lui. La course-poursuite en voiture passe encore, mais les poursuites en bateau et en avion, c'est n'importe quoi.
MOz dit:
Deckard dit:Pour le côté invraisemblable de certaines scènes (poursuite en voiture au début, par exemple), il faut se rappeler que c'est James Bond.

Ca n'excuse rien. Il faut que ça reste crédible. Même si Bond est un homme exceptionnel, les lois de la physique restent les mêmes pour lui. La course-poursuite en voiture passe encore, mais les poursuites en bateau et en avion, c'est n'importe quoi.


J'ai pas encore vu Quantum of Solace mais bon dans Casino Royale, y avait déjà de l'exagération et des trucs pas crédibles quand même hein !! :mrgreen:
MOz dit:
Deckard dit:Pour le côté invraisemblable de certaines scènes (poursuite en voiture au début, par exemple), il faut se rappeler que c'est James Bond.

Ca n'excuse rien. Il faut que ça reste crédible. Même si Bond est un homme exceptionnel, les lois de la physique restent les mêmes pour lui. La course-poursuite en voiture passe encore, mais les poursuites en bateau et en avion, c'est n'importe quoi.

j'insiste, c'est toujours du n'importe quoi (je dois te rappeler les scènes de cascade en char avec P. Brosnan ?) c'est juste qu'on se laisse prendre au jeu plutôt que de chercher la cohérence.

Je serais aussi critique que toi s'il s'agissait d'un film noir, sérieux... mais ce n'est pas le cas. Sinon on va discuter des recherches du MI6 dans les bases de données de la DGSE, tu parles qu'il faut un triple exemplaire envoyé à la direction pour obtenir 3 semaines plus tard le nom d'un gars... pourtant j'ai accepté la scène comme un raccourci nécessaire pour garder le rythme de la recherche qu'ils effectuaient.