Je viens de bouffer le premier tome du discobol et je crois que j’ai choppé le virus.
Sinon mes deux fétiches Ursula le Guine et Walter John Williams sont absolument à tester avec “le nom du monde est forêt” pour la première et “Aristoï” pour le second.
Cubeimage dit :Pour ma part, je ne suis toujours pas venu à bout de la série du Discworld du regretté Terry Pratchett et j'y prend toujours autant de plaisir donc, je ne suis pas pressé de les terminer.
Les éditions Terry Pratchett... euh pardon : L'Atalante ! sort bientôt une collection de livres de poche. Je ne sais pas si ça veut dire encore plus de livres de Terry Pratchett disponibles, mais ça devrait vouloir dire que plein de bons livres jamais sortis en poche vont ENFIN le devenir.
emayotte dit :
Sinon mes deux fétiches Ursula le Guine et Walter John Williams sont absolument à tester avec "le nom du monde est forêt" pour la première et "Aristoï" pour le second.
Si ça peut te faire plaisir, j'ai le projet de relire Câblé dont j'ai tout oublié depuis ma première lecture il y a 20 ans, sauf que ça m'avait plu.
Si cablé est très plaisant, sa suite “cyclone” est aussi très bien.
Walter Jon Williams, c’est plutôt cyberpunk ou space op ? J’en ai dans ma bibliothèque depuis une paye et je n’ai jamais sauté le pas. C’est si bon que ça ?
Câblé est carrément cyberpunk. Malgré mon engouement pour Netrunner, je n’ai jamais été branché cyberpunk. Mes tentatives malheureuses avec Neuromancien et le Samouraï virtuel m’ont fait passer l’envie. Câblé est le seul livre cyberpunk que j’aie fini. À moins de considérer Carbon modifié comme du cyberpunk, pourquoi pas.
Pyjam dit :Câblé est carrément cyberpunk. Malgré mon engouement pour Netrunner, je n'ai jamais été branché cyberpunk. Mes tentatives malheureuses avec Neuromancien et le Samouraï virtuel m'ont fait passer l'envie. Câblé est le seul livre cyberpunk que j'aie fini. À moins de considérer Carbon modifié comme du cyberpunk, pourquoi pas.
Gibson, au delà de la nouveauté du Cyberpunk, je n'ai jamais trop réussi à accrocher.
Je préférais Bruce Sterling dans le genre, mais j'ai oublié les titres...
Cablé, j'en ai un bon souvenir si je ne me trompe pas de livre. Je crois que je vais le ressortir pour les prochaines vacances.
Je commence ça ce soir.
Aucune idée de ce que ça vaut. Quelqu’un connaît ? En creusant sur le site j’ai retrouvé une vieille news.
Idem ici, du mal avec le cyberpunk, j’ai essayé Neuromancien mais j’ai abandonné avant la fin.
Du coup, je me suis rabattu sur Frontière Barbare de Serge Brussolo: très bon.
Puis Les Temps Parallèles de Robert Silverberg
Puis la Mare au Diam’s de Charles Williams: très bon.
Les Temps parallèles, j’ai adoré.
Hé hé, comme quoi… J’avais adoré Neuromancien à l’époque (même si je pense n’avoir rien entravé à la moitié des explications techniques ou à la prospective tout gibsonienne qu’on y trouve) ainsi que l’antho Mozart en verre miroir. De mon côté, c’est plus Stephenson que j’ai envie d’aimer sans y parvenir. J’ai tenté la suite du Cryptonomicon et… pfiou, j’y arrive pas. Trop sec, trop cérébral… Il me fait un peu le même effet que Priest : une SF réservée à des gens plus malins que moi^^
Du coup, je vais tâter du Jon WIlliams (je crois que c’est Plasma qui m’attend à la maison). Merci pour les réponses !
@ Eipi : j’attends ton retour pour le bouquin Catane. Parce qu’un roman dérivé d’un jeu de société, je demande à voir ! (Tu me diras, j’ai bien dû bouquiner quelques romans Magic à la grande époque !)
eipi dit :Aucune idée de ce que ça vaut. Quelqu'un connaît ? En creusant sur le site j'ai retrouvé une vieille news.
Rebecca Gablé (nom d'artiste de cette femme écrivain) qui a rédigé entre autres le livre Die Siedler von Catane est allemande. J'ai eu il y a quelques mois une courte correspondance personnelle avec elle. Elle est surtout connue pour quelques romans historiques ancrés dans le moyen age et bien ficelés, donc certains sont inscrit dans la Saga Waringham. Elle a rédigé Die Siedler von Catane en 2003, suite au succès du jeu du même nom. C'est un roman historique que je qualifierais de parfaitement adapté pour les grands adolescents ou plus agés. Le thème est inspiré des colons qui débarquent dans une contrée et construisent d'abord un village puis une ville. C'est moins plan plan qu'on pourrait le craindre. Pour les autres ouvrages, on est quand même plus dans des ouvrages pour adultes, un peu dans le style des Piliers de la Terre, mais sans faire doublon. Il y a quelques mois, donc, Rebecca Gablé avait un projet d'un de ses livres en français, mais je n'en sais pas plus depuis.
Ouaouh super, merci pour toutes ces infos Docky.
Tu sais si ses autres livres existent en anglais ? Parceque mine de rien tu cites ma référence ultime dans le genre roman historique en guise de comparaison, ça aiguise ma curiosité 
Albumine Tagada dit :Hé hé, comme quoi... J'avais adoré Neuromancien à l'époque (même si je pense n'avoir rien entravé à la moitié des explications techniques ou à la prospective tout gibsonienne qu'on y trouve) ainsi que l'antho Mozart en verre miroir.
C'était l'avantage de Gibson et des premiers bouquins cyberpunk, nous balancer sans explication dans un monde futuriste et proche, à la limite de l'acceptable. Maintenant, les codes cyberpunk sont assimilés donc ça ne fait le même effet, et Gibson, c'était quand même pas super bien écrit (même si la première phrase du Neuromancien est culte).
J'avais retrouvé le même sentiment d'être balancé dans un monde technologique sans en avoir les clés avec Le voleur quantique il y a quelques années.
eipi dit :Tu sais si ses autres livres existent en anglais ? Parceque mine de rien tu cites ma référence ultime dans le genre roman historique en guise de comparaison, ça aiguise ma curiosité
Après petite recherche, j'ai l'impression que seul Stellers of Catane a été proposé / traduit en anglais pour l'instant. Ma femme a lu tous ses romans historiques (en allemand) et en garde un excellent souvenir. Rebecca Gablé a fait des études spécialisées Allemagne / Angleterre en littérature et sur le thème du moyen age. Elle maîtrise donc son domaine, entre autres les frictions entre France et Angleterre durant la période, même si on reste dans le domaine du roman.
Karen Maitland écrit des romans se déroulant au Moyen-Âge, à commencer par La Compagnie des menteurs. Elle connait très bien cette période.
Pyjam dit :Karen Maitland écrit des romans se déroulant au Moyen-Âge, à commencer par La Compagnie des menteurs. Elle connait très bien cette période.
Je n'avais pas retenu le nom mais après vérification j'ai lu The Falcons of Fire and Ice d'elle, j'en garde un bon souvenir. Par contre on est dans le Moyen-Age tardif si je me souviens bien, d'ailleurs je l'avais pris avant tout pour le thème Islande
Mon petit retour sur Catane.
Eh bien j’ai beaucoup aimé, ambiance plus réaliste et plus sombre que ce que l’illustration de la couverture laisse penser (heureusement !). Bon ce n’est pas du tout “le roman du jeu”, à part le nom et quelques références sympa de ci de là la comparaison s’arrête là. On est dans une ambiance Viking/traditions et mythologies nordiques très bien documentée.
En tout cas ça me donnerait bien envie de découvrir ses autres livres, s’ils étaient écrits dans une langue que je peux lire et comprendre 
relecture
ANansI BOYs de Neil Gaiman une sorte de suite à American God , mais je préfère
Je viens de finir Point Dume de Dan Fante (très recommandable fils de John). Pas mal du tout, dans le genre série noire violente, burnée et drôle. Entre Jerry Stahl pour l’humour déglingo et Tim Willocks pour l’ultraviolence. J’aurais bien dit “auteur à suivre”, mais il est mort il y a 3 ans…
J’ai commencé Redshirts de John Scalzi. Malin, fun et bien troussé pour le moment. Bref, du (bon) Scalzi, même si certains dialogues me font parfois tiquer. On sent que l’auteur aime les réparties savoureuses, mais à trop en faire, on a parfois l’impression de se retrouver dans un sous-Tarantino. Mais c’est vraiment pas grand-chose tant le bouquin est une déclaration d’amour à Star Trek et autres séries SF.
Albumine Tagada dit :J'ai commencé Redshirts de John Scalzi. Malin, fun et bien troussé pour le moment. Bref, du (bon) Scalzi, même si certains dialogues me font parfois tiquer. On sent que l'auteur aime les réparties savoureuses, mais à trop en faire, on a parfois l'impression de se retrouver dans un sous-Tarantino. Mais c'est vraiment pas grand-chose tant le bouquin est une déclaration d'amour à Star Trek et autres séries SF.
rahh faut que je me le fasse celui là !!