Étant fan de Terry Pratchett, j’ai tout récemment fini 2 oeuvres du Disque-Monde qui manquaient à mes connaissances (désolé pour les Pratchettophiles à qui je n’apprendrai rien) :
- Monnayé (Making Money en V.O.) : l’histoire de Moite von Lipwig, escroc (presque) rangé et Ministre des Postes qui, à la demande du seigneur Vétérini, se retrouve directeur de la Banque Royale d’Ankh-Morpork, déficitaire et géré à l’envers. Lipwig va devoir louvoyer entre coups tordus des propriétaires, gestion d’un personnel bigarré et événements magico-scientifiques improbables, tout en gardant en tête son objectif premier : faire de l’argent.
- La Vérité (The Truth en V.O.) : Guillaume des Mots, nobliau désoeuvré amoureux du langage, décide d’occuper son temps libre en créant, avec des imprimeurs nains, le premier journal d’Ankh-Morpork, Le Disque-Monde. Mais la philosophie de Guillaume, privilégier le fond à la forme et la vérité au sensationnel, va vite se heurter aux aspirations de son personnel, à l’attitude des habitants d’Ankh-Morpork, à la colère des concurrents potentiels ainsi qu’au jeu politique se tramant dans l’ombre de la ville.
Deux excellentes lectures ! On retrouve tous les éléments qui font la force du Disque-Monde : un cadre foisonnant d’absurdités et de clins d’oeil, des personnages hauts en couleurs et des histoires mettant en scène un monde de fantasy écartelé entre un environnement en apparence classique confronté à l’irruption, en son sein, d’innovations directement tirées des livres d’Histoire (imprimerie, presse, transformations bancaires).
Un chaos magistral, entre fantasy classique et mutations “historiques”, absurdité comique et sous-texte mordant, intrigue thriller et digressions folles, magnifiquement traduit par Patrick Couton. Pratchett, c’est le bien.
Je viens de finir Canicule de Jane Harper, un polar australien qui va bien pour l’été (sans que ce soit niais ou mal écrit pour autant).
C’est écrit à la manière de la série FBI portés disparus, avec des flashs qui entrecoupent le récit pour nous éclairer sur des évènements passés. On suit Aaron Falk, policier fédéral de Melbourne, qui revient à Kiewarra, où il a passé son enfance et son adolescence, à l’occasion des funérailles de son meilleur ami d’alors, Luke. Celui-ci semble avoir froidement abattu sa femme et son fils de 6 ans avant de mettre fin à ses jours, mais Falk et Raco, le sergent du coin, n’en sont pas sûrs et mettent tout en oeuvre pour démontrer le contraire.
J’ai donc bien aimé, envie de savoir la suite à chaque fin de chapitre. J’aurais juste aimé que la solution ne soit pas donnée si tôt avant la fin du livre.
Avant cela, j’avais lu 3 jours et une vie de Pierre Lemaitre, l’histoire d’un jeune garçon qui tue par accident le fils de ses voisins. On assiste d’abord aux 3 jours qui ont suivi avec l’enquête policière, puis on retrouve le jeune homme 20 ans plus tard, toujours pas libéré de ce lourd passé. Je m’étais engagée dans le livre avec enthousiasme tant j’avais aimé Au revoir là haut, et j’étais heureuse de retrouver cet auteur, mais quelle déception! J’ai passé tout le bouquin à me demander s’il allait enfin se passer quelque chose. Ben en fait, non… Alors certes c’est bien écrit, mais au bout d’un moment ça ne m’a clairement pas suffi!
Mauvais Karma dit :
La horde du contrevent: Un peu tout ça pour ça, j'adore l'idée et le style du roman mais c'est long... alors si c'est pour nous faire ressentir la fatigue du contre c'est réussi pour moi.
Je vais enchainer avec Chasse royale, Deuxième Branche II de sieur Jaworski.
Je comprends pour La Horde du Contrevent, effectivement quelques longueurs mais pour ma part j'ai vraiment été pris par l'univers et l'histoire. Une belle claque. Je me demande encore pourquoi j'ai tournée autant autour avant de le commencer.
stueur dit :Je reprends le fil là où je l'avais laissé !
Du coup, après Psycho killer (qui est une tuerie), j'ai lu La transmigration de Timothy Archer, dernier tome de La trilogie divine de Philip K Dick. Bon, comment dire, si vous en êtes arrivé à lire ce livre alors vous savez à quoi vous attendre (3ème tome). Sinon, il ne faut pas se lancer dans La trilogie divine avant d'avoir fait le tour des écrits de Philip K Dick, sans quoi vous allez vous écoeurez. Bref, me concernant, il FALLAIT que je lise ce livre car je souhaite lire l'intégralité des écrits de K Dick (sauf l'exégèse mais là faut pas déconner, hein).
Voilà voilà, et maintenant, je me suis remis dans le cycle du Livre sans nom / Bourbon kid avec Le Cimetère diable. Pas de prise de tête, c'est toujours hilarant, il se passe quinze milles trucs à la minutes, les personnages sont truculents, bref, que du bon! Série que je vous conseille vivement si vous aimez Tarantino (c'est comme s'il s'agissait de transcription de ses films en livre).
Sur ce, bonne lecture (et bon jeu!)
Idem ici.
Grand amateur de cette série du Bourbon Kid. J'attend que le dernier sorte en poche pour le pogner.
Plusieurs lectures par chez moi :
- La Théorie de l’information d’Aurélien Bellanger : une sorte de bio houellebecquienne (période Particules…) retraçant l’essor du minitel, du net et de ce qui viendra après à travers le personnage d’un entrepreneur du digital français (calqué très très fort sur Xavier Niel). C’est aussi, et surtout, un mélange hybride de philosophie, de vulgarisation scientifique et d’analyse sociale, sur fond de développement des réseaux. Ça fait vraiment penser à du Houellebecq, mais Bellanger ne copie pas bêtement. Il développe ses propres obsessions et, s’il conserve un peu des tics d’écriture de notre Michou national (froideur, italiques, lyrisme glacial et maîtrisé, namedropping occasionnel, méditation sur l’esprit des époques - les années 80, 90, 2000, etc), c’est vraiment vachement bien. Parfois un peu dur à suivre, notamment dans les chapitres scientifiques purs et durs. Comme on dit à la PJ : un auteur à suivre.
- En BD : Trillium de Jeff Lemire. BD de SF oscillant entre space-op, voyage dans le temps, expérimentation narrative et mysticisme kubrickien, sur fond de love story cosmique. J’en sors tout à la fois époustouflé et mitigé. C’est brillant du point de vue de la construction (certaines pages demandent au lecteur de se rendre à la page XX, comme dans un bon vieux LDVEH des familles, d’autres demandent de changer le livre d’orientation, ou de décrypter une langue extra-terrestre), l’intrigue est passionnante et le mystère passionnant. Juste un petit bémol pour la fin et le dessins en lui-même, un peu brouillon, mais néanmoins très évocateur.
- Providence d’Alan Moore et Jacen Burrows : relecture brillante, érudite et magistrale de l’œuvre de Lovecraft. Bon, dans la mesure où je ne suis absolument pas objectif dès qu’il s’agit de Moore, je ne vais pas crier au chef-d’œu… Oh, et puis merde, si : CHEEEEEEFFFF-D’ŒŒŒUUUUUUUUUUUUUUUUUUUVREEEEEEE !!! Tous les plus grands textes (et même les petits) de HPL sont passés à la moulinette de Moore le temps d’une épopée américaine malsaine, mystique et prophétique. Un journaliste, pour les besoins d’un roman en préparation, quitte son travail en quête de l’Amérique occulte. Il va sans dire qu’il va découvrir bien plus qu’il n’aurait voulu. Moore en profite surtout pour filer les métaphores lovecraftiennes et dénoncer nos propres turpitudes (intolérance, racisme, homophobie, notre rapport à la guerre, à l’apocalypse, au mal). Bref, énormément de niveaux de lecture et une œuvre splendide. Par contre, c’est de l’horreur verbeuse et cérébrale (comme Lovecraft, quoi). Mais qu’est-ce que c’est bon !
De retour, Le cimetière du diable étant terminé. Pas de grosses surprises mais par contre détente absolue en lisant ce livre! Faut quand même apprécier les blagues pipi/caca/prout, mais ça va, je suis bon public .
Du coup, retour à du Philip K. Dick avec La fille aux cheveux noirs qui n’est pas un roman mais une liste de lettres qu’il a, réellement, envoyé à plusieurs femmes (dont sa mère et des amantes). Juste en passant, “la fille aux cheveux noirs”, c’est l’archétype de la femme recherchée par K. Dick et qu’on retrouve dans TOUS ses livres. Fille aux cheveux noirs = celle que le personnage principal rêve de conquérir.
Voilà, voilà.
Sur ce, bonne journée
Je viens de découvrir ce post après avoir écumé le forum plusieurs années.
Du coup comme j’aime bien lire voici la liste de mes classiques:
- en SF je recommande aussi vivement de lire K Dick. La plupart de ses idées sont devenues des classiques de la SF. J’ai adoré substance mort, ubik et le maitre du haut chateau.
Je conseilles aussi la lecture de Dan Simmons et du cycle Hyperion et de Asimov (cycles fondations et robots).
Plus récemment j’ai découvert John Scalzi (redshirts et les enfermés). J’ai beaucoup aimé. Un auteur que je vais suivre un peu plus.
- en Fantasy j’adore David Gemmel. Je n’ai pas lu toute son oeuvre mais presque. Je recommande vivement la lecture de trilogie de Troie. Grosse grosse claque. J’ai adoré cette trilogie.
Le cycle du lion de Macédoine et de Waylander sont aussi très bons. Je suis en train de relire Waylander d’ailleurs.
Le 1er cycle des 9 princes d’Ambre de Zelazny est aussi un must read. Je l’ai lu 2 fois (J’ai tendance à lire plusieurs fois les oeuvres qui m’ont marqué ).
J’avais bien aimé l’assassin royal aussi mais surtout les 1ers tomes.
- en fantastique je recomande l’échiquier du mal de Dan Simmons (encore). Attention gros pavé mais très bon je trouve.
J’avais aussi beaucoup aimé l’heure du loup de Robert Mc Cammon. Le livre qui m’a donné envie de lire quand j’étais au collège. Je me suis toujours promis de le relire.
Albumine Tagada dit :
- Providence d'Alan Moore et Jacen Burrows : relecture brillante, érudite et magistrale de l'œuvre de Lovecraft. Bon, dans la mesure où je ne suis absolument pas objectif dès qu'il s'agit de Moore, je ne vais pas crier au chef-d'œu... Oh, et puis merde, si : CHEEEEEEFFFF-D'ŒŒŒUUUUUUUUUUUUUUUUUUUVREEEEEEE !!!!!!!! Tous les plus grands textes (et même les petits) de HPL sont passés à la moulinette de Moore le temps d'une épopée américaine malsaine, mystique et prophétique. Un journaliste, pour les besoins d'un roman en préparation, quitte son travail en quête de l'Amérique occulte. Il va sans dire qu'il va découvrir bien plus qu'il n'aurait voulu. Moore en profite surtout pour filer les métaphores lovecraftiennes et dénoncer nos propres turpitudes (intolérance, racisme, homophobie, notre rapport à la guerre, à l'apocalypse, au mal). Bref, énormément de niveaux de lecture et une œuvre splendide. Par contre, c'est de l'horreur verbeuse et cérébrale (comme Lovecraft, quoi). Mais qu'est-ce que c'est bon !
Merci beaucoup pour le conseil de lecture, l'ami.
Je ne savais pas qu'il existait un mariage Lovecraft + Moore, mais il faut à tout prix que je lise ça.
J'ai commencé et c'est excellent. Je ne suis pas assez érudit en Lovecraft pour piger toutes les allusions, mais justement ça donne envie de le relire. Pour l'instant je ne hurle pas au chef-d'oeuvre parce que la plus-value de Moore m'échappe encore un peu (on reconnaît son ton, sans problème, mais narrativement ça reste du Lovecraft assez littéral) mais clairement je vais continuer, ça reste brillant.
Salut salut,
Donc pour La fille aux cheveux noirs, je le déconseille complètement. Ce livre n’a d’intérêt que pour les inconditionnels de Philip K Dick, et pas pour tous… Il s’agit de lettres qu’il a envoyé à ses muses (maman, copines, femmes, …), qui sont toutes brunes, comme les femmes fatales de ses livres.
Du coup, j’ai quand même enchainé avec Ô nation sans pudeur, aussi de Philip K Dick. Un peu comme pour le livre précédent, ce livre ne s’adresse pas à un lecteur de SF contrairement à la très grande majorité de ses écrits. Ce livre est le premier qu’il ait écrit vers 1960 alors qu’il n’a été édité qu’en 1994 aux USA et en 2012 en France. En 1949, la chine s’émancipe et reprend de force les usines implantés. Nous allons suivre un trio qui va garder l’usine entre le moment où tous les autres employés ont quitté l’usine et le moment où les chinois vont venir la reprendre. Pendant ces quelques jours, ces 2 hommes et cette femme vont vivre ensemble. Pas vraiment folichon, ça traine en longueur. Bon, ça se lit mais c’est pas bien passionnant…
Pour ne pas rester sur une mauvaise perception de Philip K Dick (et parce que j’ai décidé de lire l’intégralité de ses écrits), je viens de commencer Humpty Dumpty à Oakland, une histoire “réaliste” (c’est pas de la SF non plus), qui retranscrit les années 60 aux USA. On ressent bien la ségrégation et la façon de percevoir le travail à cette époque, entres autres. Comme je viens de commencer, je n’en dis pas plus pour le moment : affaire à suivre.
Ceci dit, tous les livres de Philip K Dick sont faciles à lire car ils sont écrits de façon relativement simple (en dehors de la trilogie divine). De ce fait, ils sont toujours agréables à lire.
De retour, même si je constate que ce forum ne déchaine pas les passions…
Du coup, j’en ai terminé avec Humpty Dumpty à Oakland. On va dire que que ce livre est intéressant pour les inconditionnels de Philip K. Dick.
J’ai enchainé avec Le livre de la mort de “on sait pas qui” qui est vraiment génial! Tout comme les précédents (hormis le premier qui est un peu moins bien écrit), on se surprend à se marrer franchement! De plus, comme ça peut partir dans tous les sens, il y a un vrai suspense et il est impossible de prédire comment une situation va évoluer. Bref, un petit bijou!
Et maintenant, je m’attaque à un pavé de 850 pages, avec énormément de termes hindi (je suppose), je parle de Le fleuve des dieux de Ian McDonald. Livre de SF dans une Inde de 2047. On est amené à suivre 9 personnes d’horizons complètement différents et qui vont se croiser (enfin, ça c’est le pitch, je n’en suis qu’à environ 200 pages). Ca n’a pas l’air mal mais c’est quand même plutôt compliqué à lire du fait des termes en hindi, et des noms propres qu’il est difficile de différencier des bâtiments, institution, dieu, et autres. Il y a même un glossaire en fin de livre pour traduire les termes hindi mais il ne contient pas tous les termes, loin s’en faut. Ceci dit, s’y référé est pénible et ça casse le rythme de lecture. Comme dit le diction, wait and see, ou plutôt read and see…
L’été est fini, les bouquins rangés avec quelques pages sallées et ensablées, mais certains continuent de lire…
Pour ma part découverte de Roland C Wagner avec l’excellent Chant du Cosmos et les divertissants Futurs mystères de Paris.
Commencé Les jours de notre mort de David Rousset, un de ces livres qui donne à penser…
Mes deux dernières lectures :
- La Première loi de Joe Abercrombie : de la dark fantasy qui tache, qui charcle et qui… prend son temps. 700 pages d’intro, ça fait quand même beaucoup, mais comme l’auteur écrit bien (et sa traductrice itou), que ses personnages sont fouillés et qu’il dissémine ici et là pas mal de mystères, ça se lit tout seul. Il y a quelque chose du Trône de Fer, là-dedans, mais avec beaucoup plus d’humour et de légèreté.
- Sous le soleil de Satan de George Bernanos : de la catholic fantasy qui tache, qui charcle et qui… m’a laissé sur le cul. Le style de Bernanos est incroyable - splendide, fluide et baroque, sans jamais accuser la boursouflure du “bien écrit” français de la fin XIXe-début XXe. On pourrait craindre que les considérations métaphysiques incessantes du héros rendent le texte imbitables, mais non : les tourments de l’abbé, sa lutte aveugle contre le diable (mention spéciale à leur confrontation nocturne hallucinante) et la fureur glacée de Mouchette sont beaux à pleurer. C’est bizarre, glauque, violent et noir comme du sang caillé.
tiens je me la suis prise la trilogie en 4 volumes de la Première Loi !
J’ai également pris le sang des 7 rois quelqu’un les a lu ?
Perfidia de James Ellroy
En 1942, l’histoire commence apres l’attaque de Pearl Harbourg. Une famille japonaise est retrouvé morte chez elle à Los Angeles, toute la famille s’est suicidé en se faisant Sepukku. La police doit enqueter. Les flics sont incroyables. Un inspecteur de police, alcoolique, croyant et ambitieux, plus interessé par les reseaux communistes enverra en infiltration la femme d’un ancien boxeur devenu detective. Un officier de police violent, corrompu, shooté a l’opium doit enqueter avec l’aide d’un officier de la police scientifique d’origine japonaise.
L’éditeur (de livres) Bragelonne se lance dans l’édition de jeux de société : Comics, labels, jeux de société : 2018 sonne la révolution chez Bragelonne
Retour à Kingsbridge
Ca y est, je viens de terminer Le fleuve des dieux. Bon, je ne peux pas dire que je le conseille. C’est tellement long et inutilement complexe. Suivre 9 personnages en parallèle sans parler de la myriade de de personnages secondaires sans parler des termes hindi, et des néologismes.
Bref, les termes abordés sont intéressant, mais je dois dire que je n’ai même pas compris là où voulait en venir l’auteur une fois que j’ai eu fini de lire le livre…
Je ne voulais pas te casser dans ton élan alors je n’ai rien dit.
Luna, son dernier opus paru en français, est beaucoup plus abordable, en revanche.
Bonjour à tous je viens vers vous pour un conseil.
Pour faire bref je ne suis pas un lecteur,je me suis forcé à lire pendant mes études parfois avec plaisir mais jamais au point de lire seul.
J étais un fan de fluide glacial car j aimais les histoires courtes et variées mais j ai jamais acheté des bds.
J ai lu une petite période de ma vie car j avais des trajets en train et en temps que monomaniac uniquement quelques livres de Grangé.
Aujourd’hui je lis quotidiennement les journaux et quelques livres sur l anatomie.
Voilà 10 ans après ma dernière lecture je tombe l autre jour sur la vidéo du projet seeders exodus. Le jeu qu il présente ne me convient pas en tant que joueur mais son monde m attire au point que j ai envie de lire de la sf.
Je cherche donc sur internet on me propose 1984 puis un copain me propose les 3 tomes de 1Q84.
Ce sont des bons livres j ai lu 1984 et je suis à la fin du tome 2 de 1Q84 mais je recherche un monde plus type seeders ou dans le genre babylon 5 avez vous svp des suggestions.
Merci d avance
En sommes, tu voudrais lire du space opera ?
Nous en avons maintes fois parlé dans ce sujet. Il faudrait que tu remontes de quelques dizaines de pages.
Note qu’il existe aussi des romans Babylon 5 jamais traduits qui racontent des histoires qui n’ont pas pu être traitées dans la série. On doit pouvoir les trouver, mais je n’ai jamais cherché à le faire.