shix dit:Avouons que Sauron lorsqu'il est sous les ordres de Morgoth passe pour un p'tit sous-fifre de pacotille
Dans les contes perdus, c'est encore pire : Sauron n'est qu'un vulgaire matou
.Costaud le matou quand même...
Dans les contes perdus, c'est encore pire : Sauron n'est qu'un vulgaire matou
.Costaud le matou quand même...
Un petit tour de mes denières lectures
Une histoire de meurtre qui commence comme une plaisanterie mais se termine dans le sang. Comment Sandy, homme fortuné, même si c’est surtout grâce à se femme avec qui il ne s’entend plus beaucoup, va se retrouver allié à un dangereux psychopathe prêt à tout pour faire disparaitre sa femme dans un échange de mauvais procédés.
Le suspens monte tranquillement et on se demande comment Sandy va bien pouvoir sortir de cette galère.
J’ai trouvé l’histoire bien pensée et bien écrite pour ce Grand prix de la littérature policière en 1997.
Ce roman nous raconte comment un juif Russe va se retrouver dans la peau d’un tortionnaire sous Staline, après avoir été sauvé de l’amputation pendant la guerre par un certain docteur Rubinov. Et ce n’est que lorsqu’il apprend que l’homme qui a sauvé son bras se retrouve dans son centre de détention qu’il commence à se poser des questions sur ce qu’on lui demande de faire.
Court mais intéressant pour apprendre un peu ce qui se passait en Russie sous Staline sourtout quand on y connait rien comme moi.
Ce cinquième épisode des aventures de l’inspecteur Chen Cao est tout aussi intéressant que les précédents. Et au milieu de l’enquête sur le premier meurtier en série qu’ait connu la ville, Qiu Xiaolong continue de nous faire voyager entre histoire, poésie et gastronomie dans un Shangaï ou chacun, et en premier lieu notre inspecteur principal, cherche sa place dans la société moderne.
Cette dernière partie des aventures du prince Morosini à le recherche des pierres perdues du pectoral du Grand Prêtre, dont la reconstitution devrait permettre la création d’un état juif, prend un tour dramatique, avec en plus d’une touche d’ésotérisme qui était absente des épisodes précédents. Tout ceci donne une histoire très rythmée, avec beaucoup de suspens et de rebondissements, bref une excellente conclusion pour une très intéressante quadrilogie.
Une construction originale pour ce roman assez sombre qui nous relate la vie à l’époque des généraux en Argentine. L’histoire tourne autour des enlèvements de bébés et des difficultés à retrouver leurs traces à travers l’histoire d’une jeune femme qui essaye de connaitre la vérité sur sa naissance. Affligeant et passionnant.
DuncanIdaho dit:shix dit:Avouons que Sauron lorsqu'il est sous les ordres de Morgoth passe pour un p'tit sous-fifre de pacotille
Dans les contes perdus, c'est encore pire : Sauron n'est qu'un vulgaire matou
Costaud le matou quand même...
Lorsqu'il est gentiment enchaîné à la botte des numénoréens qui en font un bel animal de compagnie
D'ailleurs à ce moment il me fait plus penser à Grima langue de serpent qu'à Sauron l'invincible (maïar ?)
shix dit:DuncanIdaho dit:shix dit:Avouons que Sauron lorsqu'il est sous les ordres de Morgoth passe pour un p'tit sous-fifre de pacotille
Dans les contes perdus, c'est encore pire : Sauron n'est qu'un vulgaire matou
Costaud le matou quand même...
Lorsqu'il est gentiment enchaîné à la botte des numénoréens qui en font un bel animal de compagnie
D'ailleurs à ce moment il me fait plus penser à Grima langue de serpent qu'à Sauron l'invincible (maïar ?)
oui mais le Numénoréen du Second Âge, c'est pas de la gnognotte non plus, et ça sait dompter le maïa.
Numénor, comme Orthanc, restent de belles allégories sur la vanité du pouvoir, et aussi celle de l'industrialisation.
shix dit:Le Silmarillion, le premier livre que j'ai lu deux fois : j'ai adoré. C'est peut être ma curiosité naturelle sur les explications, les causes, les histoires de l'Histoire qui m'ont toujours passionné.
Si la passion y est le Silmarillion se lit très bien. Mais lorsqu'on a déjà un peu de mal avec ce genre d'oeuvre, ça peut vite devenir rebutant surtout si l'annexe avec les lignées elfiques et humaines, ainsi que "l'annexe index" sont mal fichus. Car le lecteurdevra constamment si référer surtout s'il a une connaissance vierge de l'univers de Tolkien.
La grande force du Silmarillion à mon sens est de donner une profondeur extrême au Seigneur des anneaux en relativisant totalement cette aventure épique par les récites semi-légendaires du Silmarillion. Avouons que Sauron lorsqu'il est sous les ordres de Morgoth passe pour un p'tit sous-fifre de pacotille
Tout à fait d'accord avec tout ce que tu écris.
Concernant les annexes, je ne comprends pas bien la carte. Elle se situe comment, par rapport aux Terres du Milieu ? Existe-il des cartes montrant Arda dans son ensemble, englobant Les Terres du Milieu, Valinor, Beleriand, etc ?
Mathias dit:
Concernant les annexes, je ne comprends pas bien la carte. Elle se situe comment, par rapport aux Terres du Milieu ? Existe-il des cartes montrant Arda dans son ensemble, englobant Les Terres du Milieu, Valinor, Beleriand, etc ?
La Terre du Milieu du Premier Âge n'existe plus. Quand les Valar débarquent à la fin pour tirer les oreilles à Morgoth, la baston met un peu le bronx dans la géographie, rabaissant quelques montagnes, en élevant d'autres, effondrant les plaques continentales, etc.
Bref, le mode sandbox.
Reste que l'on trouve des cartes de cette époque, des royaumes cachés, et des Terres éternelles, dans le bouquin de Karen Wynn Fonstadd.
http://www.tolkienforums.com/firstagemaps.htm
http://home.comcast.net/~mithrandircq/FirstAgemaps2.htm
OK, les cartes changent selon les âges. J’aurais dû y penser, on peut en faire des choses quand on est Valar.
djoul dit:je suis là dedans :
Après "Les scarifiés", retour dans l'univers de Perdido Street Nation. Décidément, j'adore tout ce que fait China Miéville, et la traduction est vraiment très bonne.
Celui-là me tente beaucoup. Les critiques semblent assez élogieuses.
djoul dit:je suis là dedans :
Après "Les scarifiés", retour dans l'univers de Perdido Street Nation. Décidément, j'adore tout ce que fait China Miéville, et la traduction est vraiment très bonne.
Ah ben tiens je suis dans les scarifiés moi. Un peu de mal à démarrer je dois dire, mais je vais poursuivre.
Je viens de finir Troie (Tome 1) de David Gemmel.
Ca se lit bien, c'est très direct, sans fioriture, des descriptions très rares, c'est limite un peu basique. Mouais mouais, je pense pas que je continuerais dans le tome 2, d'autant que comme le monsieur Gemmel est mort il y a peu je pense que ça doit pas se finir
On va oublier vite fait : “ce livre va vous sauver la vie”, c’est le titre, de AM Homes. Y’a que le titre qui interpelle d’ailleurs. Je me suis emmerdé au point de ne pas le terminer. Un américain riche vivant dans sa grande villa s’emmerde (comme nous) et décide de s’ouvrir aux autres après s’être aperçu, suite à un accident cardiaque que les gens, c’est bien. Bref, j’aurai du me méfier en lisant le pitch…
Le bonhomme de neige de Jo Nesbo.
Du grand grand polar. Nordique mais pas que. Une réelle intensité dans l’écriture, des non dits pour titiller la fibre déductive du lecteur, un suspens bien vu, des personnages très bien senti. Ayez, je l’ai mon podium polar étranger : Connelly, Lehane, Nesbo
La femme en vert d’Indridason. Autant la cité des Jarres m’avait un poil déçu, autant là j’ai pris un bon bain de sobriété mais d’efficacité. Une enquête sur un squelette retrouvé remue le passé du quartier ainsi que celui de l’enquêteur lui même. Sur fond de flash back terrible sur l’histoire d’une femme battue. Prenant et sombre, indispensable en lecture noire.
L’ombre du vent de Zafon.
Enorme, beau, intense. Rien à ajouter. Lecture obligatoire
L’homme qui marchait sur la lune de McCord.
La lune c’est une zone austère d’un canyon américain. Un homme solitaire et inquiétant y a élu résidence. Parano, il traque la présence humaine qui viendrait le déranger.
Déçu par rapport au bien que j’en avais lu. Pas désagréable, vite lu, et c’est tant mieux.
ElGrillo dit:
L'ombre du vent de Zafon.
Enorme, beau, intense. Rien à ajouter. Lecture obligatoire
Je l'avais dit à l'époque mais j'en profite pour remettre une couche. Il a raison le Grillo.
j’ai lu en travers le dernier amélie nothomb, le fait du prince, c’est vraiment mauvais, j’ai bien aimé quand elle avait démarré mais là le style est redondant et l’histoire super chiente…
j’ai fini “la mal aimé” un manga de kim dong hwa que j’ai découvert grace à la série “la bicyclette rouge”, je conseille fortement, beau, poètique, et reposant …
et là je m’apprête à attaquer brest l’ancre noire, recueil de nouvelles
C’est noir noir ce recueil si je m’abuse. Mais ça parle de Brest, alors j’aime forcément. T’as lu Querelle de Brest de Genet ?
tupak amaru dit:derff dit:Je ne connais pas l'épée de Vérité.
Par contre, les deux autres c'est kif kif pour moi.
J'ai peut-être été plus scotché par le trone de fer mais l'Assassin Royal a le mérite d'être une oeuvre complète.
Tu peux même t'arrêter aux 6 premiers.
La grosse différence entre les deux :
- le Trone de Fer : tu suis l'histoire du point de vue d'une dizaine de personnages. Moi j'aime bien ce principe, on cerne bien la profondeur de tous les protagonistes, par contre, des fois l'histoire avance un peu moins vite.
- L'assassin Royal : tu suis toute l'histoire du point de vue du héros. Par moments tu aimerais un peu plus connaitre le ressenti de certains persos (le fou par exemple). Mais ça donne aussi plus de mystères.
Franchement, je ne saurais dire lequel est le meilleur.
Perso sans hésiter l'assassin royal : c'est une œuvre finit, avec des rebondissements un peu moins incroyable que le trône de fer, mais cependant correctement écrite... Mais comme cela fait du bien de pouvoir terminer une histoire et de ne pas rester sur sa fin.
Quand au trône de fer moi aussi l'ai lu les 9 tomes et j'ai adoré les premiers, les retournements de situation incroyable, mais sur la fin cela devient trop fouillis, confus, cela part dans tous les sens, des personnages ne sont plus traités d'autres que l'on croyait secondaire reviennent au premier plan, ainsi de suite, et ce qui m'énerve le plus c'est de devoir attendre la fin qui viendra peut-être un jour, des années...
JE me suis lancé sur L assassin royal, et bien j en suis bien dessus, il ne se passe pratiquement rien d interessant jusqu a la page 300, puis le reste est plat.Plusieurs passage sont sans interet.Le livre n est pas nul mais pas exceptionnel.Je ne sais pas si je continuerai le cycle.
Nicarao dit:
JE me suis lancé sur L assassin royal, et bien j en suis bien dessus, il ne se passe pratiquement rien d interessant jusqu a la page 300, puis le reste est plat.Plusieurs passage sont sans interet.Le livre n est pas nul mais pas exceptionnel.Je ne sais pas si je continuerai le cycle.
Tous les gouts et les couleurs sont présents dans la nature. J'ai été littéralement scotché par le cycle de l'assassin royal, au moins les cinq premiers tomes que je mets au Panthéon de mes oeuvres préférées, mais bon tout le monde n'a pas les mêmes gouts et je comprends que cela puisse ne pas plaire.
surame dit:Nicarao dit:
JE me suis lancé sur L assassin royal, et bien j en suis bien dessus, il ne se passe pratiquement rien d interessant jusqu a la page 300, puis le reste est plat.Plusieurs passage sont sans interet.Le livre n est pas nul mais pas exceptionnel.Je ne sais pas si je continuerai le cycle.
Tous les gouts et les couleurs sont présents dans la nature. J'ai été littéralement scotché par le cycle de l'assassin royal, au moins les cinq premiers tomes que je mets au Panthéon de mes oeuvres préférées, mais bon tout le monde n'a pas les mêmes gouts et je comprends que cela puisse ne pas plaire.
C'est sur, mais il y avait tellement de bon commentaire, je ne pense pas etre quelqu un d exigent.
Nicarao dit:surame dit:
Tous les gouts et les couleurs sont présents dans la nature. J'ai été littéralement scotché par le cycle de l'assassin royal, au moins les cinq premiers tomes que je mets au Panthéon de mes oeuvres préférées, mais bon tout le monde n'a pas les mêmes gouts et je comprends que cela puisse ne pas plaire.
C'est sur, mais il y avait tellement de bon commentaire, je ne pense pas etre quelqu un d exigent.
Je ne peux que t'encourager à persévérer, je ne me rappelle plus exactement l'histoire du premier volume mais je me souviens que plus je progressais dans la lecture, plus ça devenait palpitant.
excellent, mais
j'en parlais deux pages plus avant; fini, et je confirme l'intérêt. Ca se lit vite, bien, et ça fait un point très clair sur ce qu'est devenu l'industrie de s'alimenter et les délires qui y sont liés, ainsi que la transformation malsaine de l'agriculture (consommation de l'eau, baisse de la biodiversité, perte du goût, etc.). A inscrire sur la liste des bouquins d'utilité publique.
Je n'ai pas encore vu le film, par contre.
Encore un livre qui va nourrir les arguments des démonteurs de McDo !
Si y a un film dans l’immédiat, j’ai bien envie de jeter un oeil si je le trouve (j’suis beaucoup moins films que livres, donc ma liste d’attente est moins longue) et je te dirais ce que j’en pense.
A côté de ça j’attaque (en livre) le 6e tome de l’Hérésie d’Horus, consacré aux Dark Angels (enfinnnnn), je viens de finir celui relatif aux Emperor’s Children, avec apparition d’eldars (les premiers xenos vraiment connus de l’univers qui se dévoilent enfin). Bref, c’est parfois un peu longuet et répétitif jusqu’ici (puisque ça a surtout décrit comment les grosses légions spaces marines corrompues sont tombées dans le côté obscures de la force), mais ça se lit bien et la dimension épique permet tout de même une approche assez précise des évènements et des personnages. Et pendant un temps le “schisme” ne semble pas aussi manichéen (que ce que tout bon joueur Space Marine s’est vu inculqué de force par le fanascisme impérial). Mais peut être est-ce le chaos qui m’a sournoisement envahi pendant ma lecture ^^
A noter que chaque tome a été écrit par un auteur différent mais que malgré tout ça reste globalement cohérent et pas trop mal renseigné (après faut éviter de tout mettre en pendant avec le reste de l’univers de WH40K car là y a des questions qui émergeront et qui feront très bizarres je pense …)
Pour les fans de l’univers de Warhammer 40K c’est à lire (pour le côté “mythe fondateur”, approche des personnages légendaires, des primarques etc …), pour les autres y a très certenainement mieux …
Malgré des intrigues et des histoires un peu simples (peu développées d’où le format ‘nouvelle’), j’ai bien aimé lire ces nouvelles (més)aventures d’Adamsberg. Sa manière d’être, ses rapports avec Danglard, son second, le comportement de ce dernier, …
Il y avait une liste intitulée “25 petits noirs bien serrés”. J’en avais lu certains, pas d’autres. Celui-ci était dispo à la bibliothèque. Une Amérique profonde, rurale, avec des paumés, personnages bruts de décoffrage. Des histoires sans vraiment de début ni de fin, plutôt des tranches de vie. Ou des destins.