de vos lectures...

DuncanIdaho dit:Je suis en train de lire Ilium de Dan Simmons et j'ai un peu de mal à rentrer dedans. J'espère que ça va s'améliorer car les 1200 pages au bas mot qu'il me reste (avec Olympos) vont paraître longues sinon. Hypérion m'avait captivé d'entrée de jeu, ce n'est pas le cas ici.

Pas à la hauteur d'Hypérion, mais je l'ai lu avec plaisir.
Fulgan dit:
DuncanIdaho dit:Je suis en train de lire Ilium de Dan Simmons et j'ai un peu de mal à rentrer dedans. J'espère que ça va s'améliorer car les 1200 pages au bas mot qu'il me reste (avec Olympos) vont paraître longues sinon. Hypérion m'avait captivé d'entrée de jeu, ce n'est pas le cas ici.

Pas à la hauteur d'Hypérion, mais je l'ai lu avec plaisir.


Illium, c'ai trouvé ça chiantissime et hypra cappilotracté. Rien à f... des personnages (à part les robots juputériens). Une bouse, quoi (du coup je n'ai pas lu olympos). Bon courage.
fabericus dit:Bon courage.

Merci :).
DuncanIdaho dit:
fabericus dit:Bon courage.

Merci :).


Pour être honnête je tiens à préciser que la qualité & les mérites intrinsèques de ce "roman" (*tousse* *tousse*) sont un sujet de débats réguliers entre la Fulganette et moi-même. Il n'est donc pas impossible que j'ai (un tout petit) peu forcé le trait dans mon commentaire précédent.

Reste que j'ai trouvé ça tout moisi.

en ce moment, sur ma table de chevet



tres bon guide :-) on ne sait jamais ce qui peut arriver :-)

topkewl prévoyant

Ce qui est marrant, c’est que sur la foultitude de film de zombie que j’ai vu, je crois bien qu’aucun n’avait de tronçonneuse dedans…

Mes bons les références se perdent et sont mélangées à tout va…

topkewl dit:en ce moment, sur ma table de chevet

tres bon guide :-) on ne sait jamais ce qui peut arriver :-)
topkewl prévoyant


Pas mal du tout avec un humour pince sans rire.

Ceci dit je conseillerais plutôt son grand frère



Beaucoup plus sérieux et noir. L'auteur est un responsable de l'ONU qui recuillent les témoignages de survivants de la guerre mondiale contre les zombies.

Un livre très prenant et très sombre.

Mon livre de l'année ( oui je sais écrit en 2006 mais traduit en français en 2009)
spleen dit:Ce qui est marrant, c'est que sur la foultitude de film de zombie que j'ai vu, je crois bien qu'aucun n'avait de tronçonneuse dedans...


Justement le guide explique pourquoi il vaut mieux éviter ce genre d'arme... :pouicintello:

merci bertrand

une fois le guide fini, je m attellerais a ce livre !!

topkewl fan de zombie

J’ai lu le guide en anglais.

Honnêtement, l’idée est rigolote, mais le gag traîne en longueur au bout de 50 pages.

greuh.

Pour les passionnés de SF je conseille vivement la saga des Inhibiteurs d’Alastair Reynolds composée de 4 tomes :
- L’espace de la révélation
- La cité du gouffre
- L’arche de la rédemption
- Le gouffre de l’absolution

Je suis en train de terminer le dernier tome en jouant tous les soirs à Race For The Galaxy avec mon colloc, ambiance SF garantie :P

Paulpatine dit:Pour les passionnés de SF je conseille vivement la saga des Inhibiteurs d'Alastair Reynolds composée de 4 tomes :
- L'espace de la révélation
- La cité du gouffre
- L'arche de la rédemption
- Le gouffre de l'absolution
Je suis en train de terminer le dernier tome en jouant tous les soirs à Race For The Galaxy avec mon colloc, ambiance SF garantie :P


C'est vrai que la saga des inhibiteurs est excellente même si je pense qu'elle n'est pas accessible à tous. A. Reynolds est un ancien scientifique de l'ESA (European Space Ageny) et on sent bien à travers la lecture des ces ouvrages qu'il tente le plus possible de rester au plus proche des phénomènes physiques dans son écriture (par exemple, l'impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière...).

Un recueil de nouvelles se situant dans cet univers devrait sortir.

De mon côte, je me suis attelé à lecture de cette superbe œuvre qu’est le quinconce



Apeuré par la taille de l’ouvrage (près de 1000 pages écrites en petits caractères), j’ai pendant longtemps repoussé la lecture et c’était véritablement une erreur. Même si le livre nous est contemporain, il décrit avec une admirable précision les rapports sociaux et la vie dans l’Angleterre au début du XIXème siècle. On reste abasourdi par la dureté, la misère et la noirceur de la vie londonienne qu’on a beaucoup de mal à imaginer. Mais outre cet aspect qui par certains côtés peut se rapprocher d’un Dickens, l’auteur tricote une intrigue palpitante sur l’étrange héritage de John Huffam, le héros du livre. Je recommande d’ailleurs aux futurs lecteurs de ne pas lire l’arbre généalogique disponible au début de chaque livre qui dévoile un peu l’intrigue.
On peut également souligner le travail de l’auteur et du traducteur qui usent (voire abusent) de termes quelque peu désuets à l’heure actuelle. Qui sait que “hoir” signifie héritier ou que le verbe “exhéréder” correspond tout simplement à déshériter ? On peut aussi reprocher une légère tendance au manichéisme des différents protagonistes du livre mais il n’en reste pas moins que c’est une œuvre magistrale superbement écrite.

Je l’ai lu…et ai été assez déçu…
Certes la description de l’univers est très bien rendue et réaliste, les personnages sont haut en couleur et peuvent “resservir” en Jdr, mais j’ai trouvé l’intrigue longue et peu vraisemblable…On a l’impression que l’auteur s’amuse à nous manipuler…et cette manipulation ne marche qu’au début…dans la mesure où ensuite il suffit d’imaginer le pire à chaque situation pour le voir arriver…
Je l’ai terminé par principe…mais je ne le recommenderai pas…sauf à un notaire passionné par le droit anglais…

Artibus dit:Je l'ai lu...et ai été assez déçu...
Certes la description de l'univers est très bien rendue et réaliste, les personnages sont haut en couleur et peuvent "resservir" en Jdr, mais j'ai trouvé l'intrigue longue et peu vraisemblable...On a l'impression que l'auteur s'amuse à nous manipuler...et cette manipulation ne marche qu'au début...dans la mesure où ensuite il suffit d'imaginer le pire à chaque situation pour le voir arriver...
Je l'ai terminé par principe...mais je ne le recommenderai pas...sauf à un notaire passionné par le droit anglais...


Bien évidemment, comme tout le livre ne peut pas plaire à tout le monde :) moi, j'avais particulièrement apprécié la description de la misère en Angleterre du début du XiXème siècle. Que des gens habitaient dans des crassiers de charbon, je ne le savais pas !
surame dit:De mon côte, je me suis attelé à lecture de cette superbe œuvre qu'est le quinconce

Apeuré par la taille de l'ouvrage (près de 1000 pages écrites en petits caractères), j'ai pendant longtemps repoussé la lecture et c'était véritablement une erreur. Même si le livre nous est contemporain, il décrit avec une admirable précision les rapports sociaux et la vie dans l'Angleterre au début du XIXème siècle. On reste abasourdi par la dureté, la misère et la noirceur de la vie londonienne qu'on a beaucoup de mal à imaginer. Mais outre cet aspect qui par certains côtés peut se rapprocher d'un Dickens, l'auteur tricote une intrigue palpitante sur l'étrange héritage de John Huffam, le héros du livre. Je recommande d'ailleurs aux futurs lecteurs de ne pas lire l'arbre généalogique disponible au début de chaque livre qui dévoile un peu l'intrigue.
On peut également souligner le travail de l'auteur et du traducteur qui usent (voire abusent) de termes quelque peu désuets à l'heure actuelle. Qui sait que "hoir" signifie héritier ou que le verbe "exhéréder" correspond tout simplement à déshériter ? On peut aussi reprocher une légère tendance au manichéisme des différents protagonistes du livre mais il n'en reste pas moins que c'est une œuvre magistrale superbement écrite.


ah ce genre de bouquin pourrait me donner envie car je suis fan de dickens
en ce moment moi je feuillete plutôt un livre sur la pluie de Martin Page...
j'adore, quelques pages de lecture par ci par là
un vrai délice

je m'apprête aussi à lire un roman d'ados "shalom salam maintenant" aux éditions du rouergue et en préselection du prix ados d'ille et vilaine.

ENORME coup de coeur pour ce livre pour enfants, disons, de 4-6 ans.
Le Voyage de Solo
De Miriam Koch. Editions Sarbacane. 16,90 euros.


j’en ai eu la chair de poule : c’est un livre magnifiquement illustré sur la différence : poétique, terrible et tellement tendre.
à offrir d’urgence à vos petiots. ça vous fera un moment suspendu d’émotion pure à partager.
C’est l’histoire d’un mouton. Un mouton comme les autres. Enfin non, justement ! Celui-ci a des rayures rouges et blanches. De loin, on pourrait le confondre avec une barrière de sécurité ou une bouée de sauvetage. Alors, bien sûr, dans son pré, il fait un peu… comment dire?.. à part. D’ailleurs, il est toujours à l’écart des autres moutons qui, eux, sont blancs. Las de la situation, il décide un beau jour de partir ailleurs. Il se laisse guider par divers objets qui comme lui ont des rayures rouges et blanches jusqu’à se retrouver au bord de la mer du Nord près d’un phare, rayé de rouge et de blanc bien sûr…
C’est grand, c’est beau, c’est fort ! Pour ce premier album qui a déjà rencontré un vif succès en Allemagne, pays d’où elle est originaire, Miriam Kock nous offre un magnifique récit sur la différence et l’acceptation de soi. Le format géant (45,5 X 17), le graphisme délicat, les couleurs remarquables, les textes raffinés… Tout ici se conjugue pour offrir au lecteur un moment de bonheur intense, un voyage exceptionnel vers des horizons élargis ! Pour tous les enfants dès 4 ans.

merci,

c’est commandé pour mes petits monstres :-)



Une claque. Plus touffu, complexe et subtil que le film du même nom qui pourtant était déjà très beau et très sombre.

Ce roman prend corps en Italie dans la période trouble des années 70-80. Une galerie de personnages flics, fascistes, gangsters, gauchistes, membres d’officines de l’état, prostituées se croisent dans un bal sanglant et entretiennent des rapport troubles.

Il y a une qualité et une exigence d’écriture et de structuration du récit qui le rend très agréable à lire. Il ne me quitte pas.

C’est marrant, je l’ai entamé après avoir lu le premier tome de Millenium, Le contraste est frappant entre un polar juste bien pour lequel tout le monde s’est emballé et une oeuvre vraiment incarnée.

NB. J’ai appris que l’auteur, présent à Lyon pour quais du polar, a depuis produit un deuxième tome consacré aux années 90. Il me tarde de le lire.

J’étais tenté par sa lecture après avoir vu le film, mais je préfère généralement voir les films après.
Du coup j’ai cherché d’autres auteurs de polars italiens. J’ai trouvé et lu ça :



et j’ai adoré.

un condamné à perpétuité pour meurtre se tourne vers le père et mari des victimes pour essayer de sortir de prison, 20 ans après les faits.
C’est vraiment très bien écrit.