Depuis plus de 500 cycles, les reîtres ont la charge de protéger les tunnels contre les incursions étrangères. S’ils ont eu peu d’occasion d’exercer leur activité contre autre chose que les taupes-ourses, les derniers cycles ont réveillé leurs qualités martiales. A la traditionnelle nuquière, une protection corporelle a due être ajoutée et il arrive désormais qu’un reître soit obliger de délaisser une de ses lances et doive dégainer son Aarth, l’épée-hache, pour combattre au corps à corps…
Concept de Tania Sanchez-Fortun Naa Sabreur de Zay~Hin De Hi~Heth, de Bè~Eth ou, surtout, de Dal~Eth, les Naashtis ont appris à se méfier de leurs rencontres avec les autres peuples. Malgré le calme apparent qui règne à la surface de Mornea, nombre de ces rencontres ont commencé par des accrochages ou se sont soldées par des combats. Au fil des cycles, les Naashtis se sont persuadés qu’une force est à l’œuvre pour détruire la vie et que bien peu sont capables de lui résister. Constitués majoritairement de Rey~Mez, les Naa Sabreurs ont délaissé le Aarth de leurs lointains ancêtres pour apprendre le maniement de lames effilées. Lorsqu’Oba~Marh’s assiste aux entraînements, les voir jaillir de l’ombre et faire voltiger leurs sabres de mains en mains avec virtuosité, changeant d’attaque à chaque instant, il sait qu’il a fait le bon choix.
Il faut également regarder ce qui sort tout au long de l’année, bientôt la version des règles en GB est sortie sur le site: http://alkemy-the-game.com. Un crowdfunding qui s’adressera à tous, faites le savoir…
Idem, je fais partie des fan d’Alkemy des premiers jours. Ceci dit, cela était, entre autre, lié à la qualité fantastique des sculptures de l’époque. De mémoire, Alan Carrassco était à l’œuvre. Les nouvelles sculptures (c’est à dire celle produites après la chute de Kraken) sont sympathiques, mais néanmoins un cran en dessous. Le cran n’est pas si énorme que cela, mais à mon niveau cela fait la différence entre le “neeeeeeed” et le “no-way !”
Depuis 1 an que l’équipe de Nico a repris le jeu, les figurines montent en qualité, il suffit de voir les premiers concepts du CF, l’approche est plus pro. Les sculpteurs ne sont pas encore très connus, mais les dernières sculptures des crapauds par Didier Fancagne sont de très bonne qualité (enfin c’est question de gout aussi)
Voici le gardien de chora pour l’Utopie. Concept de Thomas Verguet. Gardien de Chora Aux ordres des Bokor, ils commencèrent par creuser de longs canaux pour isoler tant bien que mal les wuasi. C’est en capturant les grosses tortues marines pour peupler les canaux qu’ils inventèrent le lacet de hampe. Une vingtaine de cycles plus tard, l’unité des Gardiens de Chora naissait officiellement avec l’inauguration de la Maison des Gardiens à Port Salvador. Les anciens réprouvés étaient devenus des protecteurs et le seul corps de combattants réellement constitué d’Utopie. Fidèles à leurs origines, les gardiens de Chora refusent toujours d’utiliser des artefacts, mais leur équipement a tout de même évolué. Au lacet de hampe se sont ajoutées d’épaisses cuissières en peau de phoque et surtout les rostres dorsaux qui les protège des étranglements des puljanar.
J’en serai! Même si j’ai un peu lâché le jeu faute de temps ces derniers mois, je continue de vous suivre avec plaisir! J’ai des caisses de pièces à peindre mais le jeu est tellement bon (et la team derrière tellement cool!) que je serai là pour vous soutenir! Vos barbecues me manquent au passage! part checker la date du prochain tournoi
Voici le sourcelier. Concept de Thomas Verguet Résider sur l’îlot de Chora, c’est avant tout apprendre à vivre avec les pujlanar. Et lorsqu’on est Bokor, on doit vivre avec eux, mais également leur apporter des soins. Après avoir longtemps cherché le moyen d’utiliser l’alchimie pour les aider à supporter leurs diverses douleurs ou réduire leurs mutations sans obtenir de réel succès, les Bokor se sont avisés que leurs capacités seraient peut-être plus utiles pour se protéger eux-mêmes, ou les gardiens, des agressions sournoises de certains pujlanar. De cette réflexion sont nés les sourceliers. Désignés parmi les plus craintifs des aspirants alchimistes, ou les plus prudents comme ils préfèrent se désigner, les sourceliers passent de longues semaines d’un total ascétisme sur les plages rocheuses du Vide à parler avec l’Océan et rechercher les pierres ou les fluides qui conviendront à leur exercice. Une fois atteint l’état de focalisation nécessaire, ils deviennent capables de se concentrer très rapidement afin de maîtriser les pulsions malveillantes ou agressives des pujlanar comme de n’importe quel assaillant. C’est cette capacité, malgré leur répugnance à approcher de ceux qui restent leurs patients, qui fait des sourceliers des membres incontournables des expéditions maritimes pour le négoce sur les côtes du grand continent.
Dar~Meh’ki, vigile de Chim~Eth De son vivant, Dar~Meh’ki était un vigoureux patrouilleur de Chim~Eth, qui connaissait mieux que quiconque les souterrains et les voies menant à la surface. Il fut abattu par une patrouille d’arbalétriers avaloniens qui ignoraient sur quoi ils tiraient. Ramené dans la citadelle par son Aar~Zey qui avait massacré la patrouille, il a été incarné dans un Ouroboros. Dar~Meh’ki en veut beaucoup aux Avaloniens d’avoir ainsi mis un terme à son cycle d’évolution et condamné son Aar~Zey à rester à l’abri en Al~Eph. Sa rancœur se traduit par un zèle dans la surveillance de la cité, en particulier dans la croissance des racines du Beathacrann. Cette surveillance a une autre raison, il cherche obstinément une graine de l’arbre, persuadé qu’en fusionnant celle-ci avec l’ouroboros qui lui sert de corps, il pourrait reprendre son cycle. Concept par Tania Sanchez-Fortun
Homoncule De tous les pujlanar qui hantent l’îlot de Chora, les homocules sont certainement les plus gros, mais aussi les plus doux. Dès les premiers temps de leur exil, ils ont été les fidèles compagnons des bokor, les protégeant de leurs frères agressifs. Ils n’avaient besoin, en compensation, que de chaleur et d’amitié dont ils se nourrissaient. Cette capacité fut entretenue et développée jusqu’à obtenir les homoncules qui accompagnent aujourd’hui les traversées des navires utopians. De leur aspect amical, bien peu en dehors du boko qui les accompagne sont témoins. Ils paraissent bien trop effrayants pour que quiconque tente de les approcher alors ils s’approchent d’eux-mêmes pour se nourrir…
Klaph~Our’os de Chim~Eth La citadelle de Chim~Eth fut la première recolonisée par les Naashtis de Al~Eph. Encombrée par les racines du Beathacrann, il fallut de nombreux efforts pour la remettre en condition et les Naashtis commirent des erreurs. Faire disparaître les témoins, surtout lorsqu’il s’agit d’un chevalier errant, n’est pas de toute simplicité et a entraîné de nombreux décès parmi les Naashtis. Rapidement, la citadelle s’est peuplée d’ouroboros. Equipés de plaques dorsales et armés pour le corps à corps, les Klaph~Our’os vengent leur dépit sur ceux qui empêchent leurs anciens frères d’atteindre la sublimation.
Capitaña Evhan De ses premières années à Port Salvador ni de sa première traversée au cours de l’expédition du Retour, nul ne parle. L’histoire de la Capitaña commence avec les hommes qu’elle réunit autour d’elle et le navire qu’elle leur fit construire. La Fronde des Mers a attiré les quolibets des autres capitaines jusqu’à ce qu’ils la voient naviguer et alors, la légende de la Capitaña n’a fait qu’enfler. On raconte, dans les bouges de Port Libre qu’elle a été foreuse à Forteza, gardienne sur Chora, harponnière auprès des chasseurs de légendes. Mais ce qui pousse les hommes à embarquer à ses côtés, c’est qu’elle est l’une des seules à s’opposer ouvertement à Sarre Cossa. A moins que la richesse des cales de son navire n’y soit pour quelque chose…