C’est pas clair (j’avoue ne rien avoir compris) pour moi, ta définition.
Pour moi il y a deux façons de voir :
Les flops globaux : des jeux qui n’ont pas trouvé leur public.
Les flops perso : ceux qui ont fait pschitt dans notre cercle.
Pour le coup je pense que ça devrait faire consensus 
.
Il n’y a pas de problème de définition avec @ddbas, il dit juste que pour parler de flop il faut une mesure objective. Sinon c’est une appréciation au doigt mouillé et du coup dont on peut remettre en question la pertinence.
De manière générale, un titre sorti y a quelques mois et déjà soldé dans plusieurs boutiques est plutôt un bon indicateur de ventes décevantes. A plus forte raison dans une grosse boutique où l’affluence permet donc de représenter une base clientèle moyenne de consommateurs.
A titre d’exemple je fréquente pas mal le Passe Temps à Toulouse et effectivement j’étais surpris de voir certains titres récents déjà en solde comme “le diable dans la bouteille”, la déclinaison coop de “Unmatched” ou “King Of Tokyo Origins” au milieu de trucs plus vieux qui dépérissent au fond des rayons (comme l’injustement mal aimé “Time of Empires”).
Donc je suis plutôt d’accord avec @limp .
Sinon on va repartir dans du relativisme infini qui va encore faire prendre l’eau à tout le monde.
Oui c’est un bon indicateur quoique pas absolu (un jeu peut être poussé dans une boutique et pas dans une autre.)
Par contre quand ce sont des opérations éditeur/distributeur ça laisse assez peu de doute (hors réimpression excessive mal calculée)
Ce que je trouve assez sain au final, puisque si le Passe-Temps garde une place de choix dans la recommandation, au final ça montre qu’ils ne font pas le pluie ou le beau temps non plus. Et que leurs recommandations sont sincères.
Je trouve que ça renforce encore le statut de Cocktail Games qui arrive chaque année à tirer son épingle du jeu malgré la concurrence, aussi bien sur les prix que dans les ventes. Enfin sauf si Matthieu d’Epenoux me contredit.
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J’ai trouvé le sujet intéressant, mais pas trop la façon dont il est traité : “Ce jeu est bof, je comprend pas pourquoi il s’est pas vendu”. Je suis ludicaire moi aussi, et quand je lis ses commentaires sur les jeux, je sais pas pourquoi il les a commandés dans sa boutique. 
Un jeu qui fait un flop, en tant que boutique, c’est un jeu qu’on a commandé et qu’on a pas vendu. C’est aussi simple que ça. Alors c’est sur que si j’en commande 12 et que j’en vends 11, je parlerai pas de flop. Mais quand on commande un jeu, il faut qu’on en vende les 2/3 avant de se rembourser de leur prix d’achat et commencer à “gagner de l’argent”. Donc globalement, si on vend moins de 2/3, c’est un très gros flop. Si on vend plus de 2/3 mais pas tout, c’est un petit flop seulement : on paie le loyer mais pas nos salaires. Si on vend tout, c’est pas un flop, et on en recommande (ou pas).
Un jeu qui fait un flop est un jeu qui se retrouve en vente privée chez philibert moins de 6 mois après sa sortie 
Les jeux qui font flop et on comprend pas pourquoi… je pense que c’est tout les jeux édités qui n’ont pas marché.
Pour chaque jeu edité, il y a des gens qui y croient : auteur / éditeurs à minima.
Je ne pense pas qu’il sorte beaucoup de mauvais jeux, des jeux totalement dénué d’intérêt, mal équilibrés, ne pouvant intéresser absolument personne.
Il y a des jeux qui ne sont pas consensuels, mais cela ne signifie pas qu’ils sont mauvais.
Et s’il n’y a pratiquement pas, voire pas du tout, de mauvais jeux, il y a du coup plein de jeu corrects qui ne pourrons pas se vendre.
Et des gens qui ne comprennent pas pourquoi leur jeu correct ne se vend pas.
Soit par ce qu’ils ne sont pas assez bons, souvent parceque sortis trop tard. Ouai, c’est aussi bien qu’un jeu mythique de 2004, mais on n’est plus en 2004.
Soit parce que on n’a pas envie d’y revenir… au débat sur les ok games non plus… il y a plein de choses plus tentantes à faire.
Et il y a l’affreux moment du contexte… Skijo… vous n’aimez pas ? C’est pas grave. C’est un succès populaire. Et des tas de gens qui auraient pu acheter un autre petit jeu de carte l’ont acheté. Si Skijo n’avait pas été un tel succès, il y a peut être 10 autres petits jeux de cartes qui ne seraient pas dans la catégorie « les jeux qui n’ont pas marché et je me demande bien pourquoi ».
Et enfin, il y a surtout la dynamique du succès qui est assez incompréhensible. Je conseille de voir la vidéo qui suit. Le succès est imprévisible.
Je te trouve quand même très gentil sur la qualité globale des jeux. Bien entendu, il y a beaucoup moins de poubelles qu’à une époque (proportionnellement), mais il y en a quand même. Surtout si on inclus KS ou certains éditeurs qu’il ne faut pas nommer parce qu’ils nous accusent de les bâcher.
Sur les entre 1000 à 2000 jeux qui sortent chaque années, combien de merdes ?
Bien moins que de ok game à mon avis.
C’est sûr qu’il y a pas de recettes magiques pour faire un jeu à succès, sinon tout le monde en ferait et du coup ça serait pas un succès (comparé aux autres jeux) 
Et je suis d’accord. Comment peut-on dire qu’un jeu soldé partout (et qui est assez souvent même un prix cassé de l’éditeur lui-même) n’est pas un flop “global” ? Ca n’a rien du doigt mouillé, pour le coup.
C’est bien pour çà que je précisais “soldé partout”. Et comme il semblait ne pas être d’accord avec çà, je me demande alors ce que peut être un flop pour lui si ce n’est un jeu qui ne s’est vendu nul part suffisamment …
J’ai de suite en tête Star Clicker
Très régulièrement soldes sur Phiphi en vente privées alors que moi perso j’adore ce jeu :
Fluide
Coloré
Plusieurs niveaux de difficultés
Un temps dans les normes actuelles
Je pense que la partie Memory a pas du plaire sur ce jeu coop
Pas de contre exemple mais un problème statistique.
Pour le résoudre il faudrait arriver à mesurer : la qualité d’un jeu, son taux de réussite commercial (la proportion de vente par rapport aux attentes) et la couleur (nuances de violet ?)…
Il ne reste plus qu’à faire une analyse de variance multivariée (MANOVA) et le tour est joué !
Mais sinon faire un comparatif entre taux d’achat des jeux violets chez les joueurs daltoniens et les joueurs non daltoniens serait peut être plus simple.
Et du coup voici la question qui me taraude :
les joueurs daltoniens achètent-ils plus souvent les jeux violets que les autres joueurs ?
Les jeux violets sont-ils destinés à la micro niche des joueurs daltoniens ?
Je pense que la qualité d’un jeu c est non mesurable.
La non qualité (bug, déséquilibre, etc.) oui, mais une fois levés ces écueils, tout le reste est subjectif.
cela ne répond toujours pas aux questions :
Pourquoi les fabricants de jeu de société fabriquent des jeux violets pour les daltoniens ?
Pourquoi un tel favoritisme ?
Quel complot machiavélique se cache derrière de tels agissements ???
Tout s’est joué avec le Time’s Up Violet. Sans doute le meilleur des trois, mais le moins vendu. La racine du Mal.
Kraftwagen c’est une reédition. C’est seul de la liste qui me fait bien envie. Il a tout pour me plaire.
Je serais curieux d’avoir d’autres retours de ce type.
Quel est le lien entre violet daltonien ?
