@Ornifan : je n’ai ni l’un ni l’autre parce que j’ai déjà beaucoup d’autres jeux et peu de place (sans parler du peu de temps pour jouer). D’autre part, je n’ai pas encore été vraiment attiré par les jeux coop. mais ne suis pas hermétique pour autant.
Je ne demande qu’à essayer (j’ai été plusieurs fois à deux doigts d’acheter GS, en fait). Pour Pandémie, j’ai lu les règles et le thème ne me dit pas plus que ça, alors que FI, je trouve que ça passe mieux, y compris avec des plus jeunes. Donc je le guette et l’essaierais bien avant qu’il ne sorte d’ailleurs.
chucklinus dit:C'est donc sûr que le hasard a une bonne place.
Je n'ai pas osé le dire, mais cela se voit à la lecture des règles. C'est une des raisons qui font que le jeu me tente moyennement.
Tout pareil, – seb, sauf que je n’ai jamais été à deux doigts d’acheter GS (d’y jouer, si, mais finalement on a fait un Pandémie
).
Pour ceux qui ont dix minutes, voici une vidéo explicative en anglais (par Tom Vasel).
Selon ses dires, le jeu aurait plutôt un rôle d’initiateur aux jeux coopératifs et son public cible serait plutôt “jeune”. Le travail graphique est de très bonne facture et la boîte métallique facilite le transport sans risque. Mais surtout, le jeu est loin d’être “facile” : les règles ne sont pas compliquées (principalement si l’on a déjà joué à Pandémie…), mais il peut être assez difficile de gagner.
Perso, je l’attends de pied ferme.
Ahaha, j’ai hésité à faire un montage, merci bien d’en avoir pris la responsabilité.
On a tous pensé à la même chose en voyant ces deux beaux athlètes, faut dire.
Sismik dit:C'est une très mauvaise nouvelle pour les habitants du nord de la France...tel que moi. Si le salon de Paris régresse il restera Cannes et Toulouse, c'est pas la porte à coté
Bah, il reste Essen quand même

Vraiment excellent
J’ai pu en faire 2 parties ce dimanche (merci à Matthieu.CIP) et je le trouve excellent.
C’est du Pandémie light, donc plus court, moins de règles mais toujours autant de stress. Pandémie n’a pas perdu de son intérêt car chaque jeu à ses qualités.
On remplace les virus à éradiquer par des trésors à collecter et les villes par des régions d’une ile. Les explosions de virus deviennent des montées des eaux.
Les inondations de région annoncent que la région risque de bientôt couler et certaines régions sont essentielles à garder.
On retrouve les personnages avec leur rôle et une capacité spéciale unique à chaque personnage.
La première partie fut gagnée de justesse. Soit le tirage d’un hélicoptère nous permettait de nous enfuir et gagner, soit une montée des eaux nous engloutissait.
La deuxième partie fut une ballade. Le tirage des cartes est resté à notre avantage tout au long. Peut être aussi que les personnages que nous avons reçu nous ont aidé.
C’était mon coup de coeur.
Oui, il a bien tourné et a bien plu au brunch de dimanche, même s’il s’est un peu fait piquer la vedette par Photo Party
Une petite bd en anglais amusante :
Même si généralement, les détracteurs des jeux coopératifs me font penser à celui qui veut gagner.
Marrant.
Excellent. Et je trouve que cela résume assez bien le comportement de l’un des joueurs lors de la Trictrac TV.
Ce qui explique peut être le fait que nous ayons perdu contre le jeu.
Lilian dit:Une petite bd en anglais amusante :
Même si généralement, les détracteurs des jeux coopératifs me font penser à celui qui veut gagner.
C'est, malheureusement, également applicable à nombre de personnes pour le jeu de role...
Trop souvent l'on oublie que c'est fondamentalement un jeu d'équipe, comme les jeux de coopération.
Ou c'est le principe même d'être ensemble qui est trop compliqué à mettre en œuvre?


prince-baron dit:C'est, malheureusement, également applicable à nombre de personnes pour le jeu de role...
Trop souvent l'on oublie que c'est fondamentalement un jeu d'équipe, comme les jeux de coopération.
Ou c'est le principe même d'être ensemble qui est trop compliqué à mettre en œuvre?![]()
dans le jeu de rôle, je suis plus partagé dans le sens où la subtilité entre le fait de tirer la couverture vers soit et l'esprit de groupe n'est pas si simple à définir.
Néanmoins, les plus gros bouseux, gros bill que j'ai découvert c'est dans le milieu associatif. C'est généralement ce genre d'endroit où tu découvres les mecs qui se retrouve là car leur groupe ne veut plus d'eux.
Lilian dit:prince-baron dit:C'est, malheureusement, également applicable à nombre de personnes pour le jeu de role...
Trop souvent l'on oublie que c'est fondamentalement un jeu d'équipe, comme les jeux de coopération.
Ou c'est le principe même d'être ensemble qui est trop compliqué à mettre en œuvre?![]()
dans le jeu de rôle, je suis plus partagé dans le sens où la subtilité entre le fait de tirer la couverture vers soit et l'esprit de groupe n'est pas si simple à définir.
Pourtant des le départ, avec D&D, il était dit qu'un groupe devait être complémentaire et les personnages devaient s'entraider.
Bon dès que les clercs ont commencé à vouloir faire payer leurs soins cela a dérapé

Blague à part, le jdr a clairement été défini comme un jeu à somme positive ( le contraire de :un perd, l'autre gagne. mais nous gagnons ou perdons tous ensemble).
Mais c'est visiblement dans la nature humaine de trahir et de pervertir un principe de coopération.
Cela fait tellement longtemps que les mauvais joueurs de jdr (ceux qui ne joue pas équipe) ont perverti le système, qu'aujourd'hui cela choque lorsque l'on dit que le jdr ce EST FONDAMENTALEMENT un jeu où les joueurs jouent ensemble et non l'un contre l'autre.
Lilian dit:Néanmoins, les plus gros bouseux, gros bill que j'ai découvert c'est dans le milieu associatif. C'est généralement ce genre d'endroit où tu découvres les mecs qui se retrouve là car leur groupe ne veut plus d'eux.
Dans un club aussi il y a des règles de vie à respecter et un risque d'exclusion si l'on est trop "limite". Donc on peut trouver ce genre de personnage dans les associations, mais pas longtemps...
Mais je suis d'accord avec toi, depuis quelques années je note la aussi une dérive.
prince-baron dit:Blague à part, le jdr a clairement été défini comme un jeu à somme positive ( le contraire de :un perd, l'autre gagne. mais nous gagnons ou perdons tous ensemble).
J'irai plus loin : les jeux de rôle ne sont pas des jeux où l'on gagne (ou perd). Un groupe peut avoir rempli sa mission ou atteint son objectif (ou non), mais cela n'a rien à voir avec le fait de gagner (ou perdre). A la limite, on peut parler de succès (ou d'échecs), mais pas de victoire (ou de défaite) dans le sens où on l'entend à propos des jeux de plateau. Dans un jeu de rôle, on se contente de jouer ; il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de jouer.
MOz dit:prince-baron dit:Blague à part, le jdr a clairement été défini comme un jeu à somme positive ( le contraire de :un perd, l'autre gagne. mais nous gagnons ou perdons tous ensemble).
J'irai plus loin : les jeux de rôle ne sont pas des jeux où l'on gagne (ou perd). Un groupe peut avoir rempli sa mission ou atteint son objectif (ou non), mais cela n'a rien à voir avec le fait de gagner (ou perdre). A la limite, on peut parler de succès (ou d'échecs), mais pas de victoire (ou de défaite) dans le sens où on l'entend à propos des jeux de plateau. Dans un jeu de rôle, on se contente de jouer ; il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de jouer.
Sur le principe nous sommes d'accord sauf ta dernière phrase:
MOz dit:Dans un jeu de rôle, on se contente de jouer ; il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de jouer.
Il y a des gens qui joue très mal au jdr, mais c'est un autre débat.
Mon propos, suite à la BD, était que certains sont tout bonnement incapable de comprendre le principe de coopération entre joueurs.