Global Overshoot Day

ivy dit:
fabericus dit:
ivy dit:dis aux gens que quand ils se lavent ou quand ils lavent leurs enfants, ils se mettent des tonnes de produits cancérigènes sur la peau (exemple connu : les parabens).

Exemple connu, mais qui n'est soutenu par aucune donnée scientifique solide.

rha, je savais bien qu'il fallait pas que je cite cet exemple, que j'allais me faire reprendre par un scientifique qui trainait dans le coin ! :lol: (on m'a forcée ! parce que c'est un exemple qui a été médiatisé donc).

Yop, je suis d'un prévisible !
ivy dit:boah, cette semaine, je lis :arrow: ça


Je n'ai rien à redire sur ce papier. Tu noteras d'ailleurs que les parabènes ne sont pas qualifiés de cancérigènes mais de perturbateurs endocriniens (ce qui n'est pas encore clairement démontré non plus et que je n'ai pas détaillé plus haut, mais j'aurais dû... et accessoirement perturber la signalisation hormonale peut avoir des effet cancérigènes, bref, c'est compliqué tout ça). Concernant l'oeuf, moi je l'aurais cuit en oeuf (pas en omelette ni à la coque) et mangé, mais bon. Mais blague à part, pour tout ce qui n'est pas essentiel , je suis d'accord, autant se passer des produits sur lesquels on a un doute... mais il n'est as facile d'être cohérent : par exemple je fume, ce qui est autrement toxique que tout ces produits là :?
fabericus dit:mais il n'est as facile d'être cohérent : par exemple je fume, ce qui est autrement toxique que tout ces produits là :?

c'est effectivement dur d'être cohérent, je ne suis pas un modèle du genre non plus. mais on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a (en information).
il y a un mois encore, j'achetais plein de produits contenant des :arrow: "graisses hydrogénées ou partiellement hydrogénées". c'était le seul mot que j'avais du mal à comprendre, dans les compositions, mais je me disais que ça devait pas être trop toxique, vu qu'il y en a partout... :roll:

maintenant, je suis en train de regarder mon paquet de tabac et j'imagine voir le même avertissement, écrit en gros, sur toute la bouffe préparée industriellement : "arrêter de consommer ce produit réduit les risques de maladies cardiaques mortelles"... :lol:

il a bon dos le tabac ! je ne dis pas que c'est bien du fumer, mais il n'y a pas que ce produit qui semble toxique... c'est comme l'histoire du polonium dans le tabac et pas dans le reste de l'agriculture intensive, c'est ridicule !

enfin bon... bon courage à tous :)

passez donc à la maison un de ces jours, vous aurez un bon repas entièrement bio, préparé par mes petites mains et je vous garantis qu'il ne me sera pas revenu à bien cher, si c'est ça qui vous inquiète.

:pouicok:
jmguiche dit:
Kouynemum dit:
et en 20 ans, qu'est-ce qu'on a fait pour changer nos habitudes ?

Réponse mi figue mi raisin : des gosses.
Parce que bien sûr, ce n'est qu'un probleme de mode de consommation, en aucun cas de surpopulation !


Tout à fait d'accord, dans un autre sujet sur TT on en avait parlé : je pense aussi que le problème numéro 1 c'est la surpopulation. Ne nous voilons pas la face : contrôler la natalité c'est la solution, la question c'est comment? Et avec tous les dangers de dérives que cela comporte je pense que c'est quasi impossible...

@ Keyan : ouaip le solaire ce n'est pas la solution idéal comme l'éolien peut être, d'ailleurs en existe-t-il une? Je ne crois pas. Mais n'est ce pas une solution "moins néfaste" à moyen terme que le tout gaz, fioul ou électrique? Le différentiel entre énergie nécessaire à sa construction et énergie économisée n'est-t-il pas positif voir supérieur à un chauffe-eau classique par exemple? Infos bienvenus...

@ commandante : je persiste manger écolo, être écolo en France est un luxe (le connais le pbm car un membre de ma famille très proche vis écolo mais elle a les moyens),
je pense que certain d'entre nous aimerait le faire plus souvent, mais faute de moyens... Prétendre le contraire me parait être déconnecté de la réalité du plus grand nombre (salaire médian en france 2500 euros mois pour une famille de deux enfants auquel tu déduis le crédit pour la barraque, la mutuelle, etc...)

Manger écolo : exemple acheter de l'huile d'olive vierge première pression à froid plutôt que l'huile de tournesol bon marché : hors de prix.
réduire sa consommation de viande ok mais même pour en acheter de temps en temps la viande de qualité : hors de prix.
acheter du chocolat bio en france el ceibo pour ne pas le nommer, plus cher que le normal.
Les légumes idem
Les jus de fruits certifiés bio etc... idem
Alors bon on peut réduire et mais il y a un moment ou tu n'as pas envie de te priver de tout : notamment lorsque tu as des gamins. Et même sachant que les couts cachés sont là : ben tu achètes quand même. Car le cout caché est supporté par la collectivité (hospitalisation).

Etre écolo au quotidien : ne pas prendre de voiture il faut habiter en centre ville (hors de prix) ou habiter près d'un moyen de transport en commun efficace (efficace c'est le problème), ben sinon c'est voiture.
Acheter une voiture moderne qui consomme peu : c'est plus cher qu'une voiture normal...
isoler son logement de manière efficace : ben cela coute très cher : il y a des aides mais bizarrement la France est un des pays plus chers pour ces nouvelles technologies (cf 60 millions de conso). Acheter des matériaux de constructions écolos c'est plus cher etc...

Pour résumer je dirais que beaucoup de gens on conscience des efforts à faire et de la bonne volonté mais n'ont pas vraiment le choix au quotidien et c'est là que le politique peut agir, doit agir.

Certes le « bio » est globalement plus cher.
Déjà, pour mieux consommer le label AB n’est pas indispensable, il y a de bons producteurs locaux.
De plus lorsque tu manges une tomate toute moche à la chaire ferme poussée dans le jardin de papy (déjà elle est 10 fois meilleure), elle te fera plus de profit que 3 achetées au supermarché poussées dans du sable et gonflées d’eau.

La différence est que lorsque tu vas au magasin « bio » tu achètes ce dont tu as besoin. Au supermarché entre les chewing-gum, bonbon, friandises, soda etc. tu auras certes plus de choses pour le même prix mais quid du superflu ?
Mais libre à toi d’estimer que tu prives tes gamins si tu en achètes pas.

tupak amaru dit:je pense aussi que le problème numéro 1 c'est la surpopulation. Ne nous voilons pas la face : contrôler la natalité c'est la solution, la question c'est comment?


Une bonne grosse guerre. On a pas encore trouvé mieux...

--fab', c'est dans les vieilles marmites...
fabericus dit:Une bonne grosse guerre. On a pas encore trouvé mieux...

Mouais, enfin, pour que ce soit vraiment efficace, il faut que les gens soient prêt à y aller à la guerre. Il faudrait une bonne grosse crise économique avec sa vague de faillites, suicides et paupérisation quelques années avant pour préparer le tout.

Une bonne grosse épidémie sinon. Et ca a l’avantage d’épargner l’environnement et les batiments.

Mitsoukos dit:...

+1. La différence ne se fait pas produit par produit, mais sur le mode général de consommation.
Le plus difficile, après, c'est de se dire que c'est à portée de main. Combien de fois ne me suis-je pas dit : "ah ouais, pas con, je n'avais pas pensé que l'on pouvait acheter / consommer d'une autre manière".
Dori dit:Une bonne grosse épidémie sinon. Et ca a l'avantage d'épargner l'environnement et les batiments.


A ton avis, pourquoi qu'on travaille sur la guerre biologique depuis des années, hummm ? Après tout ça a très bien marché en amérique... :roll:
Fadest dit:
fabericus dit:Une bonne grosse guerre. On a pas encore trouvé mieux...

Mouais, enfin, pour que ce soit vraiment efficace, il faut que les gens soient prêt à y aller à la guerre. Il faudrait une bonne grosse crise économique avec sa vague de faillites, suicides et paupérisation quelques années avant pour préparer le tout.


Ca, c'est bon, c'est en route :skullpouic:

Accessoirement il n'y a pas besoin d'avoir beaucoup de combattants pour faire beaucoup de victimes, un missile ça vole tout seul. Fini les gue-guerres planplan d'avant, faut évoluer un peu quoi, on est plus sous napoléon !

--fab', les femmes et les enfants d'abord

J’aimerais bien réduire mon « empreinte écologique », et, si possible, faire quelques économies. Par exemple, je prends les transports en commun et j’essaie autant que possible de cuisiner par moi-même et de réduire ma consommation d’objets électroniques. Si un jour j’ai une maison et un terrain, je veillerai à ce qu’elle soit à portée des bus, mettre en place quelques trucs (des ampoules basse consommation au puits canadien en passant par l’isolation).

Ce qui me soule beaucoup en matière d’écologie, c’est d’entendre tout et son contraire d’un jour sur l’autre. Par exemple, les produits bio sont « respectueux de l’environnement » (pas d’engrais et produits chimiques) mais quand même produits industriellement et transportés d’un bout à l’autre de l’Europe. De plus, ils sont relativement chers, et pas nécessairement de meilleure qualité (par exemple, l’absence de fongicides peut favoriser le développement de mycotoxines). Donc où est le juste milieu ? Pour ma part, l’idéal serait peut être d’acheter des fruits et légumes de saison au producteur (sur les petits marchés par exemple), pour limiter l’impact écologique des transports. Mais ça court-circuite les intermédiaires (grossistes, épiciers…) qui méritent aussi de gagner leur vie, augmente la marge des producteurs alors que certains touchent des subventions pour pallier à ces marges faibles…

Autre exemple : la production d’électricité. On entend ici ou là que les éoliennes ou les panneaux solaires polluent. Je suppose que c’est lié à la quantité d’énergie, aux produits chimiques et matières premières utilisées lors de leur fabrication, compte tenu de l’énergie produite et de la durée de vie de ces appareils. Je ne me souviens pas avoir vu d’articles objectifs sur tout ça, d’autant que ça me parait extrêmement complexe à évaluer… Tiens par exemple, concernant la pêche, pourquoi des chalutiers ou barges sans pétrole, hybrides à voile et panneaux solaires ne sont pas développées pour pallier à la fin programmée du pétrole ?

fabericus dit:
Fadest dit:
fabericus dit:Une bonne grosse guerre. On a pas encore trouvé mieux...

Mouais, enfin, pour que ce soit vraiment efficace, il faut que les gens soient prêt à y aller à la guerre. Il faudrait une bonne grosse crise économique avec sa vague de faillites, suicides et paupérisation quelques années avant pour préparer le tout.

Ca, c'est bon, c'est en route :skullpouic:
Accessoirement il n'y a pas besoin d'avoir beaucoup de combattants pour faire beaucoup de victimes, un missile ça vole tout seul. Fini les gue-guerres planplan d'avant, faut évoluer un peu quoi, on est plus sous napoléon !
--fab', les femmes et les enfants d'abord


Oui mais non, ça ne suffira pas. la population mondiale s'accroît grosso modo de 80 à 100 millions de personnes par an. La 2ème guerre mondiale a fait entre 40 et 60 millions de morts en six ans, et avec tout le monde occupé à plein temps dessus.
Donc même une bonne guerre, c'est plus ce que c'était. :pouicboulet:
El comandante dit:Oui mais non, ça ne suffira pas. la population mondiale s'accroît grosso modo de 80 à 100 millions de personnes par an. La 2ème guerre mondiale a fait entre 40 et 60 millions de morts en six ans, et avec tout le monde occupé à plein temps dessus.
Donc même une bonne guerre, c'est plus ce que c'était. :pouicboulet:


Oh, depuis, je crois que les progrès technologiques (en faveur de l'écologie ?) rendraient tout ça bien plus efficace…

bons exemples de “l’interactivité” du thème…

scand1sk dit:J’aimerais bien réduire mon « empreinte écologique », et, si possible, faire quelques économies. Par exemple, je prends les transports en commun et j’essaie autant que possible de cuisiner par

décisions et attitudes personnelles.
scand1sk dit:…légumes de saison au producteur (sur les petits marchés par exemple), pour limiter l’impact écologique des transports. Mais ça court-circuite les intermédiaires (grossistes, épiciers…) qui méritent aussi de gagner leur vie, augmente la marge des producteurs alors que certains touchent des subventions pour pallier à ces marges faibles…

organisation du système économique par les pouvoirs publics.
scand1sk dit:…Tiens par exemple, concernant la pêche, pourquoi des chalutiers ou barges sans pétrole, hybrides à voile et panneaux solaires ne sont pas développées pour pallier à la fin programmée du pétrole ?

effort à fournir par les secteurs industriels…

mais pour l’instant il n’y a d’incitation pour personne : pas de pression législative ou fiscale sur le consocitoyen; pas de pression politique et électorale sur le gouvernant; pas de pression économique (le prix) et réglementaire sur le producteur.
Là dessus tu rajoutes le saint des saints, la Commission européenne qui contrôle tout ça en dernier ressort et qui, elle, ne subit directement aucune pression. Le système est bien blindé, c’est pas demain que ça changera.

Mitsoukos dit:Certes le « bio » est globalement plus cher.
Déjà, pour mieux consommer le label AB n’est pas indispensable, il y a de bons producteurs locaux.
De plus lorsque tu manges une tomate toute moche à la chaire ferme poussée dans le jardin de papy (déjà elle est 10 fois meilleure), elle te fera plus de profit que 3 achetées au supermarché poussées dans du sable et gonflées d’eau.
La différence est que lorsque tu vas au magasin « bio » tu achètes ce dont tu as besoin. Au supermarché entre les chewing-gum, bonbon, friandises, soda etc. tu auras certes plus de choses pour le même prix mais quid du superflu ?
Mais libre à toi d’estimer que tu prives tes gamins si tu en achètes pas.

Je n'ai pas voulu dire cela, on c'est mal compris.
Non je ne prive pas mes gamins, car je n'achète pas ce superflu, j'ai heureusement pour moi, les moyens de faire le choix enfin pour l'instant, et la volonté de faire quelque chose à mon petit niveau,
@el com : d'ailleurs les prises de consciences sont parfois tardives.

Je te parle du français moyen, qui lui n'a pas de jardin potager, voir pas de jardin du tout, ou n'a pas le temps de faire pousser des tomates pour reprendre ton exemple...

Enfin bon je ne veux pas épiloguer indéfiniment : on est d'accord sur le fond. Je veux juste préciser qu'à mon avis, il y a des gens qui vont au supermarché, voir au hard discount, et qui n'ont même pas les moyens d'acheter le superflu dont tu parles, je pense que c'est une majorité de français, et que si ils y vont c'est par ce qu'ils n'ont pas le choix économiquement. Et c'est cela qu'il faudrait inverser, grace à des décisions politiques...
El comandante dit:
fabericus dit:
Fadest dit:
fabericus dit:Une bonne grosse guerre. On a pas encore trouvé mieux...

Mouais, enfin, pour que ce soit vraiment efficace, il faut que les gens soient prêt à y aller à la guerre. Il faudrait une bonne grosse crise économique avec sa vague de faillites, suicides et paupérisation quelques années avant pour préparer le tout.

Ca, c'est bon, c'est en route :skullpouic:
Accessoirement il n'y a pas besoin d'avoir beaucoup de combattants pour faire beaucoup de victimes, un missile ça vole tout seul. Fini les gue-guerres planplan d'avant, faut évoluer un peu quoi, on est plus sous napoléon !
--fab', les femmes et les enfants d'abord

Oui mais non, ça ne suffira pas. la population mondiale s'accroît grosso modo de 80 à 100 millions de personnes par an. La 2ème guerre mondiale a fait entre 40 et 60 millions de morts en six ans, et avec tout le monde occupé à plein temps dessus.
Donc même une bonne guerre, c'est plus ce que c'était. :pouicboulet:
+

+1 ouaip cela ne suffira pas...
tupak amaru dit: Tout à fait d'accord, dans un autre sujet sur TT on en avait parlé : je pense aussi que le problème numéro 1 c'est la surpopulation. Ne nous voilons pas la face : contrôler la natalité c'est la solution, la question c'est comment? Et avec tous les dangers de dérives que cela comporte je pense que c'est quasi impossible...


dans L'Histoire de ce mois ci, il y a un article de Sylvie Brunel intitulé : «Peut-on nourrir la planète ?"
dans lequel elle met à plat l'accroissement de la population et sa subsitance.
elle rappelle qu'aujourd'hui à 6,6 mds d'individus, nous serons 9 Mds en 2050 ce qui donne la mesure des défis à relever.
mais elle relativise la menace Maltusienne en avançant 4 arguments :
1-même avec la montées des espaces protégés au nom de la biodiversité (2 millions d'hectares en 1950, 20 millions aujourd'hui), il existe encore de nombreuses terres disponibles
en europe : par la remise en culture de terres "gelées" pour eviter les chutes de cours (leur production représenterait l'équivalent des importations alimentaires de l'afrique)
en asie et en afrique : la FAO estime que moins de 20 % des terres cultivables sont utilisées)
2-le changement climatique va libérer des terres cultivables : dans les régions situées aux hautes latitudes, comme les zones de toudra russe et canadienne (ce qui permetrait à moyen terme de piéger plus de carbone)
3- les réserves de production verticales autrement dit une forme d'agriculture productiviste. 1000kg de céréales à l'hectare en afrique contre 4000 en asie. en inde, après la révolution verte des années 60, le gouvernement a pris conscience de la nécessité de ne plus sacrifier sa paysannerie sur l'autel industriel (nouvelles variétés de rie plus productives, ralentissement de l'exode rural)
4- l'augmentation du cours des denrées devraient inciter les pays à mieux rémunérer leurs paysans et à les empêcher de devenir des pauvres urbains ou des ruraux qui n'assurent que leur stricte subsistance.

pourtant pour que les progrès agronomiques répondent à l'accroissement de la population elle pose 4 conditions indispensables :
1- une agriculture qui doit devenir "durable" :
-préserver les biodiversités, la monoculture étant gourmande et fragile.
-valorsier des techniques connues depuis longtemps : agroforesterie, associations culturales, bocage, bio...
-Orienter les recherches publiques (non commerciales) vers des espèces résistant en milieux difficiles (pauvreté de sols, salinité, insuffisance de pluies...)
2- réorienter l'agriculture vers un développement durable doit résulter d'une volonté politique :
-restaurer la souveraineté alimentaire : chaque pays doit pouvoir mener sa propre politique agricole en fonction de ses contraintes et ses atouts.
-permettre aux pays les plus pauvres de faire comme les pays riches : protéger leur agriculture locale des importations.
3- renforcer la coopération agricole dans le domaine international.
à l'instar de ce qui a été fait pour les médicaments dans le domaine des brevets, établir une charte des aliments essentiels.
4- améliorer la rémunération des paysans et leur sécurité foncière :
organiser des filières de développement à la petite agriculture paysanne.
recreer des marchés intérieurs pour éviter de subir la concurrence des importations de pays qui subventionnent leur agriculture(USA par exemple) ou de ceux qui disposent d'immenses espaces "neufs" (argentine par exemple).
pour assurer la sécurité alimentaire, l'interventionisme étatique doit réguler les échanges et les politiques d'aménagement du territoire veiller à réduire les déséquilibres entre les régions déficitaires et excédentaires d'un même pays.


il y a des pistes d'action et de réflexion intéressantes qui sortent des affrontements idéologiques et/ou manichéens.

(sinon, concernant notre consommation individuelle et européenne :
s'en tenir aux légumes de saison et aux produits locaux, c'est déjà une étape. et ça ne coûte pas plus cher.)
la copine d'ivy dit: "que des plantes, c'est naturel".

C'est le genre de phrase qui m'a toujours fait marrer !!! Naturel ou pas naturel, peu importe: un principe actif est un principe actif... S'il peut faire du bien, c'est qu'il est actif et que donc potentiellement, il peut aussi avoir des effets indésirables...
C'est comme l'homéopathie... sans risque puisque c'est de l'homéopathie... Ou bien on n'y croit pas, c'est sans risque mais donc ça ne fait rien. Ou bien ça marche et donc ça veut dire qu'il y a quelquechose d'actif et donc potentiellement, ça peut faire autant de mal que de bien si ce n'est pas pris à bon escient...

Le problème de la bonne vieille guerre, c’est que maintenant on fait tout un pataquès dès qu’on a 10 soldats tués… :mrgreen:

Quant à faire une guerre qui épargnerait les bâtiments, ce n’est pas forcément une bonne idée: une politique de grands travaux, c’est super pour relancer une économie…

Cookie dit:
la copine d'ivy dit: "que des plantes, c'est naturel".

C'est le genre de phrase qui m'a toujours fait marrer !!! Naturel ou pas naturel, peu importe: un principe actif est un principe actif... S'il peut faire du bien, c'est qu'il est actif et que donc potentiellement, il peut aussi avoir des effets indésirables...
C'est comme l'homéopathie... sans risque puisque c'est de l'homéopathie... Ou bien on n'y croit pas, c'est sans risque mais donc ça ne fait rien. Ou bien ça marche et donc ça veut dire qu'il y a quelquechose d'actif et donc potentiellement, ça peut faire autant de mal que de bien si ce n'est pas pris à bon escient...


D'ailleurs, une infusion de digitales ou de cigüe, c'est parfaitement naturel, et la plupart des alcools sont à base de plantes…