[Hegemony], des retours ?

Harry Cover dit :
Krrro dit :

-Harry Cover dit : Je jouais la classe ouvrière, je me suis concentré sur ma prospérité et sur la création de syndicat afin de générer des points de victoire régulièrement.

Ah oui "bizarre" comme moi qd je jouais la classe ouvrière ! surprise

 

ben oui c'est la chose la plus évidente et conseillée de faire quand on découvre le jeu non ?

C'est surtout la chose indispensable à faire avec la classe ouvrière qu'on ai une ou 100 parties dans les pattes vu que c'est notre unique moyen de marquer des points, c'est d'ailleurs ce que dit le guide stratégique dont tu nous a envoyé le lien.

Après on est d'accord que suivant le contexte global ça sera plus ou moins facile et qu'il va falloir réussir à influencer ce contexte pour marquer ces points mais j'aurais quand même aimé qu'on ai d'autres manières de scorer surtout par rapport à la durée du jeu où j'ai quand même eu l'impression de faire beaucoup la même chose...

Après, j'avais aussi fait une grosse erreur de jeu car j'avais à un moment oublié de mettre à jour mon niveau de population, ce qui fait que je payais moins cher que ce que j'aurais dû, ce qui m'a forcément facilité les choses en plus de l'éducation gratuite à un moment de la partie... Ça peut en effet fausser mon ressenti mais je persiste à penser que le jeu est un peu trop long et trop "monodirectionnel" au moins pour la classe ouvrière tout en étant assez incroyable sur la manière dont tout est agencé, imbriqué... A réessayer à l'occaz...mais 1ère impression mitigée...

Merci pour vos sages réponses et aussi pour le lien stratégique que je n’utilise, je le précise dans un cadre général au cas où, jamais en tant qu’anti-sèche ou martingale mais pour m’ouvrir les yeux et l’esprit sur la richesse qu’offre un jeu et à côté de laquelle je ne souhaite pas piteusement passer. :wink:

Docky dit :Merci pour vos sages réponses et aussi pour le lien stratégique que je n'utilise, je le précise dans un cadre général au cas où, jamais en tant qu'anti-sèche ou martingale mais pour m'ouvrir les yeux et l'esprit sur la richesse qu'offre un jeu et à côté de laquelle je ne souhaite pas piteusement passer. ;)

Je n'ai lu que la partie Classe ouvrière après ma première partie. ça reste assez général, mais je n'aime pas me divulgacher les stratégies d'un jeu que je découvre, c'est pour cela que je ne lis jamais ce genre de document. 

Je croyais m’en rappeler, c’est pour ça que j’ai un peu précisé mon approche personnelle. :wink:

Pfiou, j’ai fait un début de partie la semaine dernière, et je crois que je suis vraiment fan du jeu. Comme ça a déjà été dit, le thème est vraiment très bien traité, l’interaction est très forte et originale.

Histoire de ne pas juste redire ce qui a été déjà dit plus haut, je suis globalement d’accord avec tout. Mes quelques remarques additionnelles :

- Ce n’est pas un jeu sur la lutte des classes je trouve. C’est un jeu de gestion, on va chacun essayer de marquer plus de points que les autres, mais on ne va pas attaquer ou détruire les autres. A aucun moment il n’est question de classe dominante/dominée ni de révolution. Ca peut sembler anodin, mais moi un jeu sur la lutte des classe, ça ne me motivait pas trop.

- Je trouve l’interaction extrêmement riche et originale. Pour résumer, on peut obtenir ce qu’on veut de tous les autres joueurs, mais à des prix différents. Et si on se contente de prendre le moins cher à chaque fois, ben on fait gagner les adversaires. Je comprend la critique du “on fait toujours la même chose/les parties se ressemblent”, mais pour moi, l’intérêt du jeu n’est pas dans savoir comment on va marquer des points, ce sera toujours de la même façon en effet, mais plutôt de savoir a qui on va faire profiter de nos actions, “comment empêcher les adversaires de profiter de ce que je fais”. Acheter de la nourriture, c’est indispensable. Mais l’acheter aux capitalistes, aux classes moyennes ou l’importer, ce n’est pas du tout la même chose. Je pense que ce type d’interaction est très clivant (moi j’adore, mais j’ai pas beaucoup de joueurs qui aiment dans mon entourage).

- Je me demande si le jeu est vraiment équilibré. Je n’ai fait qu’une demi partie hein, donc je n’en sais rien. Mais je trouve le système tellement complexe/bien imbriqué avec le thème que je trouverai ça extraordinaire que ça marche. Je vais aller faire un tour sur BGG pour lire des retours de personnes qui ont enchainé les parties. Mais si la qualité mécanique du jeu se confirme, ça va être mon jeu de la décennie. :o (sous réserve que ça plaise à mon entourage)

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Petit retour sur Hegemony que j’ai testé pour la première fois. Partie de 5h30 comme beaucoup, de ce que j’ai pu lire ici et la. Explications comprises.

Je ne vais pas redire ce qui à été dit car le jeu et ses mécaniques sont très bien décrits.

Points fort :
. Thème extrêmement fort, au centre du jeu et qui s’insère parfaitement dans le gameplay.
. Système d’enchères sur les lois encore une fois très thématique et qui donne tout le sel du jeu, le gros point fort d’Hegemony au niveau de son design
. Graphisme réaliste mais bien travaillé, exactement le genre de travail que j’aurais aimé voir sur Terraforming Mars.

Points faibles ou déceptions :
Malheureusement, le core design du jeu est pour moi la grosse déception…
. Classes asymétriques mais la façon de jouer chaque classe semble extrêmement scripté. J’aurais aimé beaucoup plus de variabilité et de latitude pour aborder chaque classe.
. Système de cartes décevant car ce ne sont pratiquement que des actions de bases plus ou moins amélioré.
. Interactions finalement assez faible sur le plateau, une classe peut n’avoir que très peu d’impact sur une autre en interaction directe.

En conclusion, Hegemony donne l’illusion d’un Eurogame exigeant avec des classes asymétrique et une interaction forte (une sorte de Root Euro en quelque sorte) mais il s’avère rapidement que l’asymétrie des classes qui semble être un atout sur le papier devient rapidement le gros point faible du jeu car chaque faction se joue d’une seule façon possible. On fait le tour de sa faction au bout d’une partie en se rendant compte rapidement que la façon de jouer est linéaire et répétitive. On constate également que l’interaction sur le plateau est quasiment inexistant. Par conséquent on comprends rapidement que le seul espace de stratégie et d’interaction réside au niveau du vote des lois. C’est donc plus un jeu de négociation et d’enchère qu’un vrai Eurogame.

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5/5 :slight_smile:

Entrée d’Hegemony dans le top 100 de BGG (93) !
J’attends avec impatience la réception des cartes corrigées pour relancer une partie de ce jeu formidable !
LA meilleur expérience ludique 2023

Peux-tu détaillé cette histoire de “cartes corrigées” ? Les cartes du jeu contiennent pour l’instant des erreurs ?
J’ai acheté le jeu il y a quelques semaines, mais je ne l’ai même pas encore déballé

il ya un sujet sur BGG à ce titre, bon y a pas mal de rageux grincheux, mais tu auras toute l’histoire https://boardgamegeek.com/thread/3200578/dont-panic-doit-faire-imprimer-les-erratas/page/1

Oula, fausse alerte, j’ai confondu “Hegemony” et “Heredity”.
Mais je lirais quand même le sujet par curiosité.

Merci pour ta réponse :+1:

Sur suggestion de @znokiss, je mets ici aussi mon CR.

Découverte (on n’arrête plus, deux en deux semaines) d’Hégémonie à trois. Alors, là, on n’est plus dans le classique allemand mais dans une toute autre dimension, du moins en apparence.

Il s’agit donc d’un jeu sur la lutte des classes qui transpire son thème : le rouge représente vraiment qqch et jouer le bleu met encore plus le seum que de manipuler cette horrible couleur (oui, je joue rouge normalement, et oui j’étais le capitaliste dans cette partie). Chaque joueur incarne un rôle aux mécaniques propres : classe laborieuse en rouge, capitaliste en bleu (donc) et la classe moyenne en jaune (:face_vomiting:).

L’objectif du prolétariat est d’accroitre son bien-être en récupérant des ressources auprès de l’Etat (neutre à trois, mais incarné par un joueur à quatre) et/ou du capitaliste. Celui du capitaliste est d’amasser le plus d’argent possible, principalement en créant des entreprises qui, occupées par les prolétaires, généreront des ressources. Ces dernières seront vendues à ce même prolétariat ou à l’export. Le capitaliste devra bien sûr payer les salaires et les taxes avant de pourvoir épargner. Et c’est cette épargne qui en fin de tour lui octroiera des points de victoire. La classe moyenne, quant à elle, emprunte ses mécaniques à ces deux classes : elle doit augmenter son bien-être tout créant des entreprises et en accumulant de l’argent. Elle joue également le rôle pas facile d’arbitre : elle doit à la fois générer ses ressources et payer des taxes pour les micro-entreprises qu’elle crée.
En pratique, la mécanique sous-jacente consiste à jouer des cartes (propres à chaque classe) soit pour leur pouvoir soit pour des actions “de base” (une petite demi-douzaine qd mm, propres à chq classe aussi).

Et, enfin, le truc hyper malin et qui pour moi est l’idée du jeu, c’est le tableau des lois. Ce sont 7 jauges de trois niveaux chacune qui vont avoir une influence sur tous les aspects du jeu : coûts des ressources fournies par l’Etat, niveau des taxes, niveau du salaire minimum, niveau de l’emploi public, niveau de protectionnisme (import/export et immigration). Evidemment, ces trois niveaux correspondent pour un extrême au libéralisme effréné, pour l’autre à un étatisme forcené. Avec une fois de plus un entre-deux plutôt favorable aux classes moyennes.

Et une fois la pénible mise en place faite qu’est-ce que ça donne ? Beaucoup, beaucoup de trashtalk : et vazy que je traite de macroniste parce que tu joues jaune avec tes startups et vazy que je te traite de macroniste parce que tu joues bleu et que tu baisses les salaires, et vazy que je traite de macroniste, juste pour le fun. Bref, vous voyez l’idée. On parle évidemment de politique et d’anecdotes amusantes. Mais, c’est nous qui faisons le show, pas le jeu qui ne raconte pas des masses de choses et ne gère pas d’histoire.

Et ça nous amène aux trois problèmes que je vois après cette première partie :
1/le jeu est long (au moins 5h sur notre partie) et comme il n’est porté par un souffle épique ni des négociations enflammées, il en devient un peu rébarbatif ;
2/ c’est un bordel de p* d’euro dans lequel on finit par faire des calculs d’épicier pour optimiser ses points et pousser le curseur dans le bon sens pour en grapiller qquns, pour être juste où il faut en bénéfices pour éviter de perdre de l’argent en subissant l’effet de seuil des niveaux de taxes, pour avoir le bon compte d’actions pour poser une carte et y mettre les bons meeples etc ;
3/ mécaniquement, j’ai trouvé certaines choses un peu faibles or comme c’est euro ça gène : l’intervention du FMI, la gestion des stocks et du prix de revient, les niveaux de taxe non linéaires, les grèves ou la manif sans impact.

Donc, oui, le jeu a un thème fort qui le porte, mais non on ne “vit” pas la lutte des classes. Il n’y a pas de lutte, ni même de confrontation et ou un début de négociation : il y a des actions à optimiser pour gagner des points. Il y a une certaine intrication des rôles, c’est tout. Le jeu est ainsi tout le temps pris entre son thème super fort et les contraintes mécaniques qui viennent percuter ce thème et l’affaiblir.

C’est d’autant plus le sentiment que l’on a que les rôles donnent l’impression d’être très figés. Ainsi, la table des lois est une excellente idée mais elle est en grande partie stéréotypée ce qui ne donne pas de possibilité d’entre-deux. En tant que capitaliste, je dois avoir le moins de taxes possibles sinon, je perds des points. Donc, je joue dans le but de baisser les taxes et rien ne peut m’y faire déroger. Je n’ai pas de terrain d’entente possible avec les prolétaires et pas d’interprétation du rôle autre que ce que le jeu m’impose.

De plus, et c’est faire preuve certainement d’une trop grande exigence, mais la simulation/le modèle atteint des limites certaines. On est, par exemple, arrivé à une situation économiquement absurde dans lequel les taxes étaient faibles et les ressources fournies par l’Etat gratuites. Personne n’incarnait l’Etat pour éviter une telle situation, d’accord, mais rien à trois ne l’empêchait non plus. On s’est pris le FMI sur la tête, faillite étatiques. Moi, j’étais très content en tant que capitaliste. Mais, il n’en est résulté qu’une remise à jour des curseurs et en avant Guingamp. Les prolétaires n’en ont pas tant pâtit que ça et je n’en ai pas franchement bénéficié. Thématiquement bien vu, mais mécaniquement un peu anecdotique et loin de la bonne vieille cure d’austérité néo libérale espérée.

Le jeu fait une promesse qu’il ne tient pas. Le thème est super bien intégré, pour un euro. Ce n’est pas un John Company dans lequel on vit une histoire de folie en oubliant la mécanique qui est d’ailleurs par moment un peu simplette. Et, c’est sûrement la force de celui-ci : un jeu qui assume son thème en lui donnant la prépondérance sur la mécanique. A Hégémonie, c’est l’inverse et c’est pour cette raison que c’est un euro : la mécanique prend le pas sur le thème alors qu’il est si présent. Le FMI intervient, on met qq curseurs à jour et pim pam poum, on continue notre petit tour d’action. Aucune injustice, aucune méchanceté. La première fois que la John company a fait faillite, on l’a senti passé. On l’a insulté le boloss qui a laissé l’Inde sans protection parce qu’il avait préféré s’acheter des actions. A JC, mon argent si précieux quand je l’octrois à une direction, je le pèse la sous-pèse. Là, je fais de la monnaie en permanence (ce qui est assez pénible au passage) pour gagner de l’argent qui me feront des PV comme dans tout euro.

Pour conclure ce qui ressemble certainement trop à un long réquisitoire à charge, j’ai malgré tout passé un excellent moment. J’ai très envie de rejouer au moins pour être le rouge et découvrir ce que les prolétaires peuvent faire. Je ne sais pas si on pourra être 4, mais incarner l’État doit être amusant aussi.
Passée la découverte, je sais pas si on refera. Si on doit faire 5h de partie, je vais probablement préférer un truc plus épique.

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J’y ai joué il y a 4-5 mois en VO.

Je suis assez étonné des temps annoncés. Après 1h d’explication nous avons plié la partie en 3h de notre côté en jouant à 4.

Nous avons tous beaucoup apprécié le jeu qui possède une vrai asymétrie et dont les règles sont pas si compliqués que ça. Le petit reproche qu’on peut lui faire comme beaucoup de jeu asymetrique c’est que puisque c’était notre première pour 3 joueurs sur les 4. Nous avions beau bien comprendre comment chiffrer/scorer avec le groupe qu’on incarnait on ne maitrisait que mal celui des autres groupes donc + difficile de s’y opposer.

Le jeu est assez équilibré même si j’ai l’impression que le capital est plus facile à jouer. Tout du moins + standard.

Le thème est très présent et il est marrant de voir que dans notre partie le capital s’est allié à l’état pour écraser le prolétariat tandis que la classe moyenne se faisait partiellement manipuler. Echo de la réalité ? Allons savoir, ce n’est pas le sujet ici façon ^^.

Je conseille ce jeu en tt cas !

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Nouvelle partie de Hegemony. On est 3 et je me retrouve à jouer la classe laborieuse. Ça me va bien, ça revient à jouer rouge. C’est joli le rouge.
Je n’avais pas du tout pu relire les règles, préférant consacrer les 15 min que j’avais le midi pour faire une micro sieste et espérer enchaîner plus de deux pensées cohérentes d’affiliée le soir.
Pendant que les copains finissent la mise en place qui a le bon goût d’être laborieuse, je me relis la fiche détaillée. Bien foutu le bordel. Il manque qq informations primordiales qui seront pas loin de m’empaler pendant la partie, mais bien foutu quand-même. Et incomplète. Connerie.

Je commence la 1er ronde comme quasiment toutes les autres : en faisant des lois. Ce sera ainsi presque tout mon tour qui y sera consacré avec 4 actions sur les 5. C’est une entame dont j’abuserai trouvant que c’est un avantage bien avantageux que de commencer par pourrir les lois. J’userai en outre de la carte qui permet de mettre deux votes dès le premier tour des 2e et 3e rondes.
Sur ce premier tour, même si je me ferai un peu embêté sur les cubes du sac par le Jaune (:nauseated_face:) aka la Classe tout à fait moyenne, il me soutiendra lors du vote de manière opportuniste pour poser facilement des entreprises au tour d’après (grâce à une carte qui demandait certaines lois “socialistes”). Bleu, le grand K, qui tire la tronche avait presque réussi à casser la banque, mais heureusement certains paient leurs impôts. Ca donne une fin de premier tour très animée et lance la partie dans la bonne direction pour moi.

Malheureusement, la frénésie de ce premier tour retombe vite et on revient à un jeu plus ronronnant dans les rondes suivantes. Les coups d’éclats sont rares je n’arrive toujours pas à voir comment les différentes factions peuvent réellement interagir entre elles au-delà de dérouler leur jeu. Il y a bien sûr la possibilité de fixer les prix, mais je trouve ça bien court. Il arrivera un moment où cela généra un peu d’interaction avec un Bleu cupide qui refusera de vendre moins cher que Jaune et qui, malgré ses cris d’orfraies, en fera les frais. Mais, en 4h, ça fait peu.
En sus, j’ai l’impression de dérouler un plan assez bêta : acheter de quoi augmenter la prospérité de mes ouvriers. Réduc sur l’éduc, j’achète. Rabais sur la santé, j’achète. Portable à prix potable, j’achète. Bref, j’achète. Et comme, c’est pas cher, j’accumule les pépètes et me retrouve à la tête d’une somme coquette.

La partie touche à sa fin (elle aura mis le temps) et je fais encore un coup d’éclat en ajoutant tous mes cubes au sac de vote (avec la carte qui ajoute autant de cubes que de population). Je finis très largement en tête avec au moins une vingtaine de points d’avance.

Une partie que je n’aurais pas trouvé désagréable, mais d’une longueur excessive pour ce que le jeu propose. Il manque une dimension party game injuste “et bim, je te mets tous tes gus au chômage parce que je ferme mes usines” (oui, je sais, ce n’est pas un Eklund). Je pense surtout qu’il manque l’Etat pour que ce soit tendu et que les interactions s’équilibrent. Là, classe ouvrière et capitaliste n’ont pas de raisons de s’allier.

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Tout à fait d’accord avec ton avis, et avec ceci en particulier.
Très long pour ce qu’il propose, ce qui fait que souvent je préfère faire un autre jeu, même si il a pleins de qualité, il souffre de ces quelques défauts.

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