Oh là là, après 8 ans d’absence de ciné je suis allez voir…predators
Affligeant, du même niveau que les AVP, la bande annonce (mensongère ou l’on voit le pianiste ciblé par pleins de predators) montrant tout. Passé 15 minutes le film fait du copier coller du premier opus en moins bien.
Triste d’autant plus qu’il y aura sans doute une suite…sans moi!
-- s e b dit:Splice est vraiment un pur navet
Hmm je serais curieux de savoir ce qui te fait dire ça...
la semaine dernière je suis allé voir The A-Team avec ma copine qui n’est pas une fan du genre) Alors, personnellement je l’ai trouvé génial, le réalisateur et le scénariste ont bien réussi à renouveler la série pour moi, notamment avec la première moitié du film qui retrace l’histoire de l’équipe avant qu’ils soient hors-la-loi. Looping est tout simplement génial, et Hannibal aussi. Futé et BA sont moins réussi, BA parce que MrT était en soit déjà le personnage et qu’il manquait les colliers en or (le van GM aussi, même si il apparait au début) et Futé ne fait pas assez séducteur très classe, même si l’acteur le jouant a réussi à renouveler assez bien le personnage et à l’adapter à son jeu. Le scénario se tient même si il n’a rien d’exceptionnel.
J’ai noté une différence majeure avec la série : il y a des morts dans le film.
Même ma copine l’a trouvé bien comme film alors que ce n’est pas vraiment son type de film.
note : 4/5
Mercredi soir : Shrek 4 en 3D : mon premier film en 3D. Le scénario est correcte, le film drôle et dramatique en même temps, mais je ne suit absolument pas convaincu par la 3D (mal règlée au début, j’avait l’impression d’être à 50cm de l’écran, ensuite le film repassait souvent en 2D et globalement ça n’apporte rien … à part faire payer plus cher). J’ai trouvé moins de cleins d’oeil que dans les précédents opus (il faut dire que la série s’éssoufle un peu), mais globalement s’était pas mal.
note : 3/5
akhela dit:Mercredi soir : Shrek 4 en 3D : mon premier film en 3D. Le scénario est correcte, le film drôle et dramatique en même temps, mais je ne suit absolument pas convaincu par la 3D (mal règlée au début, j'avait l'impression d'être à 50cm de l'écran, ensuite le film repassait souvent en 2D et globalement ça n'apporte rien ... à part faire payer plus cher).
C'est rigolo, cette différence d'appréciation. C'est pour l'instant le film que j'ai trouvé (de très loin) le plus probant en 3D. Comment tu aurais trouver les autres alors ! Concernant les passages en "2D", je ne comprends pas de quoi tu parles. C'est le seul film que j'ai vu pour l'instant en "3D" et où la notion de profondeur est présente sur absolument tous les plans (à tel point qu'elle sait se faire oublier en n'étant pas tape à l'œil).
Rody dit:akhela dit:Mercredi soir : Shrek 4 en 3D : mon premier film en 3D. Le scénario est correcte, le film drôle et dramatique en même temps, mais je ne suit absolument pas convaincu par la 3D (mal règlée au début, j'avait l'impression d'être à 50cm de l'écran, ensuite le film repassait souvent en 2D et globalement ça n'apporte rien ... à part faire payer plus cher).
C'est rigolo, cette différence d'appréciation. C'est pour l'instant le film que j'ai trouvé (de très loin) le plus probant en 3D. Comment tu aurais trouver les autres alors ! Concernant les passages en "2D", je ne comprends pas de quoi tu parles. C'est le seul film que j'ai vu pour l'instant en "3D" et où la notion de profondeur est présente sur absolument tous les plans (à tel point qu'elle sait se faire oublier en n'étant pas tape à l'œil).
c'est peut être dû à un mauvais règlage dans la salle où j'étais, mais le film semblait repasser en 2D par intermittence (ma copine avait même oté ses lunettes et m'a confirmé la chose, notamment parce que l'image était nette sans lunette).
Personnellement (mais alors de manière totalement subjective) je ne suis pas fan de la 3D au ciné pour le seul film que j'ai vu : le surcout est sensible, l'inconfort également (je porte des lunettes de vue) pour un apport visuel moyen (autant j'ai reçu une baffe devant Akira ou certains Myasaki, autant ici bof ... mais c'est peut être dû au mauvais règlage de la salle).
On m'a parlé de Nintendo qui développerait une technologie 3D sans lunettes, reste à voir le prix. J'avoue que pour moi, le prix du cinéma est un facteur important, si je retourne au cinéma depuis 1 an (j'y suis plus allé cette année que pendant les 10 années précédentes) ce n'est que parce que j'ai un multiplex à 5 min à pied de chez moi et que j'avais des réductions conséquentes grâce au CE de ma copine, puis maintenant avec Orange (2 tickets pour le prix d'un le mercredi pour les abonnés Orange au Luxembourg).
Je vais aps attendre demain, je viens de voir Tamara Drew, un chouette Stephen Frear. En en ressortant, j’ai dit à ma femme encore un film anti-mecs qui sont lâches, bêtes ou absent. Elle m’a rétorqué tu trouves que les femmes sont mieux ?
Ben non en fait
UN film avec des personnages humains, méprisabales et attachants. Et on rit beaucoup de plein de choses très tristes.
akhela dit:Shrek 4 en 3D : mon premier film en 3D. [...] je ne suit absolument pas convaincu par la 3D (mal règlée au début, j'avait l'impression d'être à 50cm de l'écran, ensuite le film repassait souvent en 2D et globalement ça n'apporte rien ... à part faire payer plus cher)
Tout à fait d'accord. Autant dans Avatar, la 3D servait le film, qui a manifestement été réalisé pour cette technologie, là, c'était tout bidon. Mis à part l'inévitable séquence qui fera bien dans le jeu vidéo (une poursuite aérienne avec loopings et tout le toutim), on ne perçoit aucunement de "valeur ajoutée" résultant du procédé. Moi aussi, à un moment, j'ai retiré mes lunettes en me disant "s'pas possib', y'a pas de 3D, làààà...", pour en tirer la même conclusion que toi : à moins que le film ait été prévu pour (ou que certaines séquences exploitent spécifiquement le procédé) ça n'apporte rien au film. Dans Shrek 4, la ficelle est trop grosse, et on a franchement l'impression d'avoir été baladé sur ce point-là (surtout si ciné ne présente le film que en 3D)
Ceci dit, ça reste un très bon film familial qui amusera les petits, et dans lesquels les papas pourront même trouver quelques échos étonnamment justes. En tous cas, mis à part cette histoire de 3D, moi, ça m'aura beaucoup plu.
Kovax dit:Dire que les deux premiers opus de Harry Potter sont surtout destinés aux enfants et qu'il n'y a pas grand-chose à grignoter pour les adultes, disons que c'est une belle lapalissade: Harry Potter est une saga de livres pour enfants au départ, pour ceux qui l'auraient oublié!
Etant donné le succès qu'ont rencontré à la fois les livres et les films, il me semble qu'on peut légitimement douter que cela soit uniquement destiné aux enfants. Comme je le disais dans mon précédent message, tous les Harry Potter ne se valent pas et n'ont pas la même "cible". Cela n'a donc rien d'une lapalissade.
Kovax dit:Aussi, se plaindre du côté enfantin de la série (et surtout à ses débuts, quand Harry et ses potes ont 11-12 ans), c'est un peu... à côté de la plaque, non? ^^
Où est-ce que je m'en plains ? Je ne fais que constater.
nikoII dit:Oh là là, après 8 ans d'absence de ciné je suis allez voir....predators
Affligeant, du même niveau que les AVP, la bande annonce (mensongère ou l'on voit le pianiste ciblé par pleins de predators) montrant tout. Passé 15 minutes le film fait du copier coller du premier opus en moins bien.
Triste d'autant plus qu'il y aura sans doute une suite...sans moi!
Alors, je viens de le voir. C'est tout à fait dans la lignée du premier opus (pas de la merde qu'est le second) : c'est con, bourrin, humide et sale. Bref, c'est du "vrai" Predator.
Cela n'a rien à voir avec AvP, je suis d'accord, film que j'ai bien aimé pour ma part (le premier du nom, pas l'irregardable Requiem).
Hier, vu Toy Story 3 avec le p’tit neveu. C’est dans la droite ligne des premiers : servie par une réalisation de qualité, une histoire bien ficelée et une multitude de petites trouvailles mémorables. Petit bémol pour l’histoire “à la Disney” (beaucoup de péripéties riches en sensations, mais au final pas si cruciales que ça pour la narration), ce qui peut gêner la compréhension des plus jeunes (mais pas leur plaisir, il faut le reconnaître). Le petit neveu a passé un bon moment, et le tonton aussi
Bref, c’est un excellent film que je conseillerai à toute la famille. Par contre, encore une fois, une 3D assez dispensable qui ne semble servir qu’à alourdir la facture déjà conséquente des billets. Surtout que maintenant, chez moi, ils ne prêtent plus les lunettes 3D : on doit les acheter à l’entrée pour 1€ de plus. Sympa si on n’a pas pensé amener les siennes, ou si on pensait naïvement trouver une séance 2D…
Pour finir, rien à voir avec le film, mais grosse colère après les exploitants pour les pubs avant le film : 30 minutes ! Une demi-heure de café, forfaits mobile, bonbecs… on se moque clairement du public, qui n’a pas la possibilité de zapper ou de couper le son. Pour le coup, c’est vraiment une pratique assez minable, je trouve.
Pas encore vu mais mes enfants y sont allés avec Papy et Mamie. Et eux aussi (enfin le grand) ont trouvé ça super mais n’ont pas vu l’intérêt de la 3D. “Au début, il y avait des bonbons qui nous passaient au dessus de l’épaule. Puis des serpents qui venaient vers nous, du coup j’ai eu peur (il a une phobie des serpents…). Et puis finalement, les personnages dépassaient de 2 cm de l’écran, c’était tout…”
Ah… la fameuse pub Haribo, c’est toujours ce qui se fait de mieux en 3D
J’ai l’impression que pour éviter la 3D pour les blockbusters, il faudra désormais se contenter des petits cinéma de quartiers, malheureusement.
Heh, oui, en fait c’est plutôt ironique car dans l’expérience 3D, le moment le plus frappant ne fait pas partie du film, mais des pubs… le moment que tu décris, c’est en fait la pub pour les bonbons (ceux qui rendent la vie bô, vous savez ?) qu’ils passent avant le film…
Bizarrement, il n’y a qu’au moment de la pub que j’aie vu des enfants lever les mains en l’air pour tenter de toucher les éléments en 3D. C’est dommage, quelque part…
Mr Popo, je compatis ; )
Sur les 5 films qu’il m’a été donné de voir en 3D, Toy Story 3 est le premier où l’effet est raté (à regretter même de porter les lunettes qui ne font que dénaturer les couleurs).
Par contre comme vous, c’est la première fois ou j’ai droit à des lunettes à dispositif passif (excessivement kitchs/moches au passage), à contrario des dispositifs actifs. Peut-être est ce corrélé ?
Pour revenir au film et sans dévoiler du film, on y appercois Totoro. Ce qui produit un mélange des genres assez déconcertant… en espérant que cela ne soit pas de mauvais augure.
Rasputin dit:Pour revenir au film et sans dévoiler du film, on y appercois Totoro. Ce qui produit un mélange des genres assez déconcertant...
Il n'y a aucun mélange des genres... Totoro a eu de nombreux produits dérivés (dont cette peluche), et Lasseter étant un fan de Miyazaki (et plus généralement, la plupart des animateurs des grands studios américains et mondiaux), le clin d'œil est plutôt très agréable. En tout cas, j'avais le sourire aux lèvres chaque fois que je voyais Totoro, dommage qu'on n'ait pas eu droit à son cri.
Sinon, quelqu'un parle un peu plus haut du côté Disneyen de ce dernier Pixar. Je ne l'ai personnellement pas du tout ressenti, tout au contraire de Là-haut où je l'avais trouvé criant (Là-haut m'a fait peur quant à l'avenir de Pixar suite au rachat de Disney, et j'avoue que Toy Story 3 me fait ravaler mes appréhensions).
D'un autre côté, ce n'est aussi peut-être tout simplement dû qu'aux réalisateurs qui sont différents et qui marquent fortement de leur empruntes leurs œuvres.
Non non, ne te méprends pas, Rody : la référence à Disney était quelque peu exagérée, car c’est en fait une tendance que l’on retrouve très souvent dans les productions enfants estampillées “grand public” (sauf chez Michel Ocelot, qui a l’immense vertu de prendre son temps et d’aller simplement…)
Je faisais surtout référence à cette structure particulière, qui devient criante dans les adaptations en livre de ces films (notamment les Disney) : l’action principale, le déroulement de l’histoire, est parfois encombré de passages au demeurant peu importants, mais fortement chargés en émotion. Une poursuite tapageuse (Tarzan, Shrek 4), une danse très rythmée (Madagascar)… ces moments sont rarement cruciaux dans l’histoire, et pourtant, ce sont eux qui accaparent l’attention et la mémoire des enfants.
Après, c’est un procédé comme un autre, ça se justifie par le désir d’en mettre plein les yeux pour le prix du billet. Mais bon, on pourra chipoter en regrettant que ces “grands moments” coïncident rarement avec les étapes-clés de l’histoire afin de permettre une approche autre que purement émotionnelle. Sûr, pour un film-divertissement du genre Madagascar, on s’en fiche un peu, mais dans un film qui a la prétention de proposer plus que juste ça, avec une vraie histoire et un message comme Toy Story 4, c’est un peu dommage, je trouve.
Par exemple, mon p’tit neveu a eu énormément de mal à raconter le film à sa mère le lendemain : qui est gentil, méchant, que veulent faire les héros, toussa… c’était pas bien clair dans sa p’tite tête de 6 ans, dans laquelle les séquences “boum badaboum” occupaient le devant de la scène.
Mais bon, je chipote, je chipote… je vois le film avec l’oeil du prof et non du spectateur lambda.
Dog Pound
J’étais parti pour voir Carlos, mais l’heure de la séance ne collait pas.
J’aurais bien été voir Toy Story 3 mais la personne qui m’accompagnait n’avait vu ni le 1 ni le 2.
Bon, ayant entendu dire que Dog Pound était un film qui en avait, je me suis dit “Go”… et ben franchement, c’était pas la meilleure idée du weekend.
Le film n’a aucun intérêt.
D’abord il ne propose pas un traitement innovant de la condition carcérale, aucun vision particulière, aucun scénario un tant soit peu original.
Franchement quand on a vu l’excellente série “Oz” et qu’on en est fan, quand on a vu l’excellent film “Un Prophète”… et bien il ne reste vraiment plus rien pour “Dog Pound”. On est à fond dans tous les clichés de la vie en prison du début à la fin, à tel point que franchement ça m’a profondément fait chier. On a donc droit à la scène de viol, la scène de racket, celle de l’émeute, celle des matons violents, à la consommation de drogues et à son marché parallèle, j’en passe et des meilleurs.
Non mais sérieux !? Comment peut-on faire un film qui ne sert autant à rien ? Même l’histoire est convenu… si tant est qu’on puisse appeler ça une histoire parce que j’ai plus eu l’impression de regarder une sorte de documentaire trash sans partie pris, juste des images comme ça, proposées les unes à la suite des autres.
D’ailleurs même la réalisation n’a rien pour elle. Elle n’a rien de catastrophique mais en fait elle est juste tout ce qu’il y a de plus lambda. Ce n’est ni moche, ni marquant. C’est basique.
Quant au fait que l’action se passe dans une prison pour jeunes délinquants plutôt qu’avec des adultes, on se dit au départ que ça va apporter quelque chose. Et puis en fait non, pas grand chose. Peut-être que c’est un peu plus léger par moment.
Globalement, quand la fin est arrivé, je me suis dit : Et ? C’est tout ? Y’a que ça ?
Il y a également eu un silence pesant dans la salle. Et j’ose espérer que c’était plus dû au fait que tout le monde s’est un peu posé les mêmes questions que moi, plutôt qu’à cause d’un soit-disant sentiment dérangeant lié au film.
Quant à applaudir… oh putain… sans doute était-ce une salle blindée de spectateurs comblés par Transformers 2, et qui ont découvert qu’il pouvait y avoir autre chose que des effets spéciaux débiles accompagnés de nanas en poum-poum short qui montre leur cul pendant les 2h de pellicule.
Bref, je n’ai ni aimé ni détesté, j’ai juste trouvé que ce film ne laissera aucune trace autre qu’un in-intérêt profond.
Butch est un excellent personnage.
Note : 2/5
Tamara Drewe de Stephen Frears.
Ou comment rire du quotidien de millions de personnes. Car oui, les thèmes de Tamara Drewe sont universels : envie, jalousie, adultère.
Les personnages et les dialogues sont savoureux. Frears prend sa loupe pour nous passer en vue ce microcosme, pour notre plus grand plaisir.
“Don’t be ridiculous” répètera plusieurs fois le personnage joué par Roger Allam. C’est là toute l’ironie du film puisque les protagonistes sont tous plus ridicules les uns que les autres. Ridicules mais attachants et c’est aussi ça une des grandes forces du film.
4,5/5
J’aurai ptet mieux fait d’aller voir ça, ouai…
piesstou dit:J'aurai ptet mieux fait d'aller voir ça, ouai...
Trop intello pour toi, laisse tomber