Mirmo dit:@dardar La version longue d'Avatar, qui rajoute à peine 15 de mémoire, change énormément le psychologie des personnages interprétés par Sam Worthington (sa lassitude, son envie d'en finir, sa part sombre) et Sigourney Weaver (pourquoi ses liens avec les Navii ont été rompus, pourquoi elle est en conflit avec l'armée). Ces scènes manquantes ajoutent beaucoup d'empathie et c'est dommage qu'elles aient sauté.
Bof. J'ai vu la version longue il y a quelques semaines : j'ai bien repéré les scènes en plus, mais pour moi elles n'apportent pas grand chose et ne font qu'expliciter des points qui étaient déjà très bien suggérés avant. Avec un héros en fauteuil roulant et un frangin décédé, on n'a pas besoin d'une scène de baston supplémentaire dans un bar pour comprendre que le vétéran paraplégique il est forcément un peu vénère dans la vie (surtout après Né un 4 juillet et Forest Gump)...
vu Respire y pas longtemps. Ma claque de l’année avec States of Grace. vu Interstellar : Pas aimé a sa sortie (tout ça pour ça), et puis plein de réflexion. Un film qui restera dans mon esprit comme “pas si mal finalement”. Mais, franchement les films américains, c’est de l’entertainment avant tout. vu gone girl… ahahahah ; un peu gras, et totalement nul scénaristiquement avec beaucoup d’incohérence sur la fin. Juste une métaphore sur le mariage vu de l’autre coté de l’atlantique. Une daube. Vu Le juge. Amusant mais pas Amazing.
Vu Asterix : Le domaine des dieux par Astier Dans la catégorie familiale, ça m’a paru complétement excellent. Fantastique travail sur les voix, en particulier.
Vu ce week-end : night call (magnifique titre français de nightcrawler ) : j’ai beaucoup aimé cette plongée d’un paumé dans les nuits de los angeles, caméra au poing à la recherche de faits divers sanglants dont sont friandes les chaînes d’info locales. Le “héros” prêt à tout fait froid dans le dos et l’acteur jake gillenhaal m’a fait un peu penser à javier bardem dans not a country for an old man dans les expressions de son visage et son côté totalement détaché par rapport à la violence.
gone girl, le film le plus ludique de l’histoire…une petite perle du ciné américain…ou le theme du jeu parcours le film de part en part…David Fincher signe une oeuvre à part destiné au passionné de jeu de société mais attention tout est fait à l’encre invisible… jeu de déduction, de réflexion, jeu d’ambiance, jeu de rôle, jeu de l’oie, jeu de carte tout y passe… jesuis surpris que les joueurs n’en parlent pas plus… film de passionné pour passionné…
walterstefano dit:gone girl, le film le plus ludique de l'histoire...une petite perle du ciné américain...ou le theme du jeu parcours le film de part en part...David Fincher signe une oeuvre à part destiné au passionné de jeu de société mais attention tout est fait à l'encre invisible.... jeu de déduction, de réflexion, jeu d'ambiance, jeu de rôle, jeu de l'oie, jeu de carte tout y passe.... jesuis surpris que les joueurs n'en parlent pas plus.... film de passionné pour passionné....
Vu Night Call samedi soir. Jolie performance (comme d’habitude) de Jake Gyllenhaal. A part ça, pas grand chose à se mettre sous la dent. La réalisation et la photo sont génériques, sans plus, et la charge sur le cynisme des médias se prend les pieds dans le tapis à plusieurs reprises, le film utilisant les mêmes artifices de mise en scène que ceux qu’il cherche à dénoncer. Maladresse volontaire ou non, cela rend la lecture du film et de son propos assez confus. Dommage. Cela dit, les dialogues sont savoureux et quelques fulgurances d’humour noir particulièrement bien senties font de l’ensemble un agréable moment de cinoche. Bien, mais pas top, donc…
Dans la série des petites perles disparues et miraculeusement retrouvées, je demande Wake in Fright de Ted “Rambo” Kotcheff. Le film se situerai quelque part entre le malaise du Délivrance de Boorman et la violence d’un Peckinpah. La chose est même recommandée par Mr Scorsese himself. Miam ! http://www.lemonde.fr/m-actu/article/20 … 97186.html Je ne l’ai pas encore vu, non, mais j’en crève d’envie ! Malheureusement, il ne passe pas à moins de 100 km de chez moi. Vivement le BR !
Diffusion dans seulement 6 salles en France…(ce qui n’est déjà pas si mal pour une ressortie). Et en effet, le plus proche de toi semble être l’Utopia de Toulouse… Un poil loin, peut être, pour se faire une toile…
J’ai vu Nightcall et j’ai bien aimé. J’aurais toutefois préféré que le héros (aussi bien interprété soit-il) soit moins froid et insensible. Qu’il laisse apparaître des failles. Ou alors qu’il soit au moins une fois vraiment dans la merde pour voir comment il réagit. Parce que là, globalement, sa vie est un long plan tranquille qui se déroule sans accroc. Quant au sujet, je le trouve assez bien exploité, bien qu’un peu trop superficiellement.
J’ai aussi vu Nightcall et j’ai trouvé ça pas mal. Enfin, surtout un peu effrayant quand on voit ce personnage horrible incarné par Gyllenhall. Je pense que des sociopathes de ce genre se trouvent un peu partout. ce genre de pervers narcissique, c’est un type qui ne doute jamais, n’a aucune empathie et aucun sentiment.
Quand vient la nuit: Un bon moment de polar noir, tendu comme il faut. En fait, soyons clair, la tension est omniprésente malgré un contenu minimal en termes d’action, preuve que le film est réussi. Le quartier est vraiment bien filmé, de façon sobre et immersive, on sent qu’on a affaire à un vrai cinéaste. Le scénario est assez banal, mais vraiment rehaussé par les performances de James gandolfini, Noomi Rapace et Matthias Shoenaerts. Le jeu de Tom Hardy m’a, pour une fois, un peu moins emballé. En même temps le rôle est vraiment pas si simple à jouer. Une réplique restera dans ma mémoire, le fameux “that meant something” de Gandolfini, que l’on peut voir dans la bande annonce. Elle résume pratiquement le film à elle seule. Cette scène restera d’ailleurs comme le chant du cygne (noir bien sûr) de cet acteur, qui quitte donc la scène avec classe. Pour résumer, disons que le film déroule le cahier des charges du film noir new-yorkais façon “James Gray illustré”, et le fait très bien. 4/5.
Avec un peu de retard… Pride Commençons par le commencement: pride est une comédie populaire british qui a connu un immense succès outre-manche. Bref tout ce que je déteste. Mais bon, l’envie de voir un film léger, les bonnes critiques, découvrir Mc Nulty (the wire) en gay “flamboyant” bein…ça vaut le détour. Non seulement le film est drôle mais en plus il est bon. Enfin…souvent limite aussi. En même temps, raconter un mouvement gay (et…minier !?) dans l’Angleterre de Thatcher, difficile de pas tomber dans les clichés. Et tout y passe, du jeune leader révolté (ben schnetzer, belle découverte) et incompris au sexagénaire à l’homo sexualité refoulée (bill nighy), en passant par les villageois hyper intolérants. Mais le film arrive comme par miracle à survivre à ses raccourcis et à son immense naïveté et finit par embarquer le spectateur. Il évite même d’aborder le sida de front, et traite le sujet avec une délicatesse assez bien sentie. Même son final idéaliste tiré tout droit d’un film de Capra passe tout seul, c’est dire… 3.5/5
Merci pour l'info... ai noté le James Bond par Sam Mendes encore!!!! Par contre, pas vu de Jurassic World, de Nouveaux Héros, des indestructibles 2, du petit prince, cinquantes nuances de gray, le dernier loup, Retour à la vie, Big eyes, au coeur de l'océan, la maison au toit rouge ....etc et il y en a d'autres et pour tous les goûts Bref pas facile de faire un choix, et certains vont rester sur le carreau. Vu "Les héritiers" ce WE. Très bon film A voir.
) : j’ai beaucoup aimé cette plongée d’un paumé dans les nuits de los angeles, caméra au poing à la recherche de faits divers sanglants dont sont friandes les chaînes d’info locales. Le “héros” prêt à tout fait froid dans le dos et l’acteur jake gillenhaal m’a fait un peu penser à javier bardem dans not a country for an old man dans les expressions de son visage et son côté totalement détaché par rapport à la violence.
