Memories of Murder est vraiment très bon…
essayez MAN ON HIGH HEELS dans le registre polar venu de l’ORIENT…
Chakado dit
Et Memories of Murder, oh là là quel chef-d'oeuvre. Mais pour le coup ça n'est vraiment pas marrant.
+1, et je dirais la même chose pour Mother, excepté que pour le coup, il arrive à être marrant.
Ben c’est très drôle aussi Memories of Murder, c’est même burlesque :
https://youtu.be/v4seDVfgwOg?t=66
Mais vous l’avez oublié parce que le flim vire au tragique
Pour continuer sur Maître Bong, vu son dernier bébé “Parasite” hier soir.
Un très bon film malgré un sujet assez bancal (l’intrusion dans la vie de gens “pas pareils”), traité avec son humour particulier et son bon goût pour l’absurde.
Excellement bien filmé et joué, comme d’habitude, et toujours pas de misérabilisme dans sa vision des laissés pour compte de la “nouvelle” Corée du Sud.
Pour autant, je le mettrais un cran en dessous de Memories et Mother, peut-être parce qu’après une première moitié tendue et très intriguante, j’ai trouvé plutôt prévisible la suite des événements. Et aussi parce qu’il faut bien chipoter, des fois.
vu DARK PHOENIX
en bonne fan de l a première heure des X men (j’ai toujours strange N°1) , je l’ai trouvé bien sympa, même si c’est un reboot d’un film X-men…
bon, il est moins pourri !!!
maintenant j’attends d’aller voir TOLKIEN avec impatience
galadriel dit :(j'ai toujours strange N°1)
Respect
madcollector dit :galadriel dit :(j'ai toujours strange N°1)Respect
c'est l'avantage de l'âge...
Mr le Néophyte dit :Pour continuer sur Maître Bong, vu son dernier bébé "Parasite" hier soir.
Un très bon film malgré un sujet assez bancal (l'intrusion dans la vie de gens "pas pareils"), traité avec son humour particulier et son bon goût pour l'absurde.
Excellement bien filmé et joué, comme d'habitude, et toujours pas de misérabilisme dans sa vision des laissés pour compte de la "nouvelle" Corée du Sud.
Pour autant, je le mettrais un cran en dessous de Memories et Mother, peut-être parce qu'après une première moitié tendue et très intriguante, j'ai trouvé plutôt prévisible la suite des événements. Et aussi parce qu'il faut bien chipoter, des fois.
Ouaip, super film mais j'ai aussi tendance à préférer la triplette Memories of Murder, Mother voire The Host... Enfin c'est quand-même vraiment excellent
Vu Toy story 4 en famille ce dimanche, je l’ai trouvé excellent : de l’action, des moments d’émotions, on rigole, bref, un bon Pixar… et qui arrive à faire évoluer ses personnages de manière cohérente.
C’est rare de voir une franchise qui arrive à tenir la distance, et ça mérite d’être souligné !
Allez petit bémol histoire de dire : le coup du jouet fabriqué/recyclé à partir de déchets était vraiment une bonne idée, ouvrant sur un thème on ne peut plus d’actualité, mais j’ai trouvé que finalement c’était juste un prétexte pour lancer les péripéties. Dommage, ça aurait pu être un peu plus creusé que ça.
(Edit : Alors oui, il y a bien aussi la poupée Gabi Gabi dans son magasin ou les jouets perdus qui sont aussi dans le thème, mais c’est juste par rapport à Fourchette que j’ai surtout “tiqué”, je trouve qu’il s’efface un peu trop vite dans la narration)
Vu Toys strory 4, et franchement bof.
Autant j’adore le thème magique de ces jouets qui s’animent en dehors de la présence des adultes (un peu comme dans Calvin et Hobbes, avec le tigre qui s’anime dans l’imaginaire de son enfant), autant là c’est à mon sens le film de trop.
J’aimais l’évolution d’Andy, l’attachement réciproque avec ses jouets, puis le recul, la mise en placard, le fait que les jouets acceptent leur destinées, mais dans Toys strory 4, les humains n’ont plus d’existence ou peu; les jouets pourraient etre remplacés par des hamsters ou des schtroumpfs ça serait pareil.
Pas un mauvais film en soit mais pas indispensable à mon sens.
(c’est juste pour émettre un avis contradictoire et non pas lancer une polimique avec l’avis précédent).
viking dit :Mr le Néophyte dit :Pour continuer sur Maître Bong, vu son dernier bébé "Parasite" hier soir.
Un très bon film malgré un sujet assez bancal (l'intrusion dans la vie de gens "pas pareils"), traité avec son humour particulier et son bon goût pour l'absurde.
Excellement bien filmé et joué, comme d'habitude, et toujours pas de misérabilisme dans sa vision des laissés pour compte de la "nouvelle" Corée du Sud.
Pour autant, je le mettrais un cran en dessous de Memories et Mother, peut-être parce qu'après une première moitié tendue et très intriguante, j'ai trouvé plutôt prévisible la suite des événements. Et aussi parce qu'il faut bien chipoter, des fois.
Ouaip, super film mais j'ai aussi tendance à préférer la triplette Memories of Murder, Mother voire The Host... Enfin c'est quand-même vraiment excellent
Déçu pour ma part...
Je trouve le film très prévisible dans sa première partie.
Je n'aime pas trop les jeux de massacre.
Sur un sujet voisin, je préfère de beaucoup UNE AFFAIRE DE FAMILLE, beaucoup plus empathique.
Potrick dit :viking dit :Mr le Néophyte dit :Pour continuer sur Maître Bong, vu son dernier bébé "Parasite" hier soir.
Un très bon film malgré un sujet assez bancal (l'intrusion dans la vie de gens "pas pareils"), traité avec son humour particulier et son bon goût pour l'absurde.
Excellement bien filmé et joué, comme d'habitude, et toujours pas de misérabilisme dans sa vision des laissés pour compte de la "nouvelle" Corée du Sud.
Pour autant, je le mettrais un cran en dessous de Memories et Mother, peut-être parce qu'après une première moitié tendue et très intriguante, j'ai trouvé plutôt prévisible la suite des événements. Et aussi parce qu'il faut bien chipoter, des fois.
Ouaip, super film mais j'ai aussi tendance à préférer la triplette Memories of Murder, Mother voire The Host... Enfin c'est quand-même vraiment excellent
Déçu pour ma part...
Je trouve le film très prévisible dans sa première partie.
Je n'aime pas trop les jeux de massacre.
Sur un sujet voisin, je préfère de beaucoup UNE AFFAIRE DE FAMILLE, beaucoup plus empathique.
J'ai un peu de mal à comparer les deux, Parasite part largement plus du côté du burlesque qu'une Une affaire de famille, qui se veut beaucoup plus réaliste.
En effet, c'est un très beau film, et je l'ai peut-être bien préféré à Parasite également.
(ouais mais Burning quand même...)
Midsommar
Bon, je ne sais pas trop quoi en penser, mais c’était intéressant en tout cas.
Je n’avais pas trop apprécié Hereditary, qui malgré de beaux moments d’étrangeté, m’avait laissé un sentiment global de vide et de vanité.
Il y a quand même davantage de choses à manger dans Midsommar. Même si ça reste encore beaucoup un film de metteur en scène un peu trop complaisant avec ses effets (mais des fois ça marche drôlement bien, que ce soit les plans zénithaux, ou le tourbillon de la scène de danse).
Mais l’ambiance est assez réussie, avec ces paysages trop beaux et ces adeptes trop immaculés pour être honnêtes. Le malaise est bien présent dès le début, car comme les protagonistes, on ne sait comment réagir à tous ces rituels sophistiqués : doit-on trouver ça touchant, noble, ridicule ? D’autant plus quand on est dans le rôle du touriste américain avec ses gros sabots qui essaie de ne pas juger… Cela donne lieu à des scènes assez drôles (en particulier la réjouissante inversion des rôles, quand c’est un anthropologue noir qui étudie les moeurs bizarres de cette communauté bien blanche et bien blonde).
C’est ce qui empêche les moments les plus bizarres de sombrer dans le ridicule : les scènes grand-guignol ou un peu over-the-top sont de toute façon contrebalancées par le malaise ressenti, né du décalage entre le ridicule de la situation et le sérieux que les personnages y mettent. Ça crée vraiment un sentiment très particulier, qui est propre au film.
Mais surtout, c’est le cheminement intérieur de l’héroïne, le propos sur le deuil et la rupture, qui font que le film se démarque vraiment et l’empêche d’être une pâle copie de The Wicker Man. L’actrice principale fait un boulot génial ; elle n’est pas à sa place, ni chez les Suédois, ni dans le groupe de touristes. Son isolement, son évolution et sa renaissance finale sont la principale raison de voir Midsommar.
On pardonnera du coup les redondances (2h30 c’est un peu long pour ce que le film a à raconter) et les effets de style un peu trop voyants.
Chakado dit :Midsommar
Bon, je ne sais pas trop quoi en penser, mais c'était intéressant en tout cas.
Je n'avais pas trop apprécié Hereditary, qui malgré de beaux moments d'étrangeté, m'avait laissé un sentiment global de vide et de vanité.
Il y a quand même davantage de choses à manger dans Midsommar. Même si ça reste encore beaucoup un film de metteur en scène un peu trop complaisant avec ses effets (mais des fois ça marche drôlement bien, que ce soit les plans zénithaux, ou le tourbillon de la scène de danse).
Mais l'ambiance est assez réussie, avec ces paysages trop beaux et ces adeptes trop immaculés pour être honnêtes. Le malaise est bien présent dès le début, car comme les protagonistes, on ne sait comment réagir à tous ces rituels sophistiqués : doit-on trouver ça touchant, noble, ridicule ? D'autant plus quand on est dans le rôle du touriste américain avec ses gros sabots qui essaie de ne pas juger... Cela donne lieu à des scènes assez drôles (en particulier la réjouissante inversion des rôles, quand c'est un anthropologue noir qui étudie les moeurs bizarres de cette communauté bien blanche et bien blonde).
C'est ce qui empêche les moments les plus bizarres de sombrer dans le ridicule : les scènes grand-guignol ou un peu over-the-top sont de toute façon contrebalancées par le malaise ressenti, né du décalage entre le ridicule de la situation et le sérieux que les personnages y mettent. Ça crée vraiment un sentiment très particulier, qui est propre au film.
Mais surtout, c'est le cheminement intérieur de l'héroïne, le propos sur le deuil et la rupture, qui font que le film se démarque vraiment et l'empêche d'être une pâle copie de The Wicker Man. L'actrice principale fait un boulot génial ; elle n'est pas à sa place, ni chez les Suédois, ni dans le groupe de touristes. Son isolement, son évolution et sa renaissance finale sont la principale raison de voir Midsommar.
On pardonnera du coup les redondances (2h30 c'est un peu long pour ce que le film a à raconter) et les effets de style un peu trop voyants.
Merci pour ton retour sur ce film. Du coup, je reste très curieux. Il ne reste plus qu'à trouver une salle et de la VO pour le voir!
vu HAUT LES FILLES
les filles et le rock !
très très bien, de Piaf à l’inégalée et inégalable Brigitte Fontaine…Chris, Jeanne Added, Catherine Ringer, Elli Meideros, Lou Doillon, et des tas d’autres, de Barbara à Catherine Ribeiro…
des interviews, des sets live impeccables : à voir absolument quand on aime la musique.
La fille cachée de Chtulhu ?
galadriel dit :vu HAUT LES FILLES
Ctahrien Ringer,
frayaka dit :La fille cachée de Chtulhu ?galadriel dit :vu HAUT LES FILLES
Ctahrien Ringer,c'est bien elle ! bravo ! niveau 12 à TTMC en Lovecraft
dans la série films musicaux, vu INNA DE YARD, le film reggae sur le projet musical du même nom…avec des vieux reggaemen, et kk jeunes (dont l’excellente JAH9, a girl !)
bon, vu Winston Mc Anuff sur scène y’a peu, donc contente de le voir à l’écran, et sinon ben c’est superbe de bout en bout : je vais de ce pas acheter le CD.
parce que.
Vu récemment, Il était une fois à Hollywood de Tarantino.
On m’y a traîné, on en est sorti très mitigé, ce qui pour moi n’est pas si mal, vu que je craignais le pire.
C’est très bien filmé et joué (même Leo !), la reconstitution de l’époque est au poil, c’est rythmé et divertissant, ça se regarde donc sans lassitude.
Le problème : oublié dès le lendemain, ça ne parle de pas grand chose au final.
Et le dernier 1/4 d’heure, je l’ai trouvé nullissime.
Si, carrément.
Vu hier, Roubaix, une lumière.
Ami(e)s de la joie et de la bonne humeur, passez votre chemin !
Parce que la ballade à Roubaix (la ville la plus pauvre parmi les 100 plus grandes villes de France, c’est ce qu’on entend dans le film en tout cas), elle se fait essentiellement de nuit.
Parfois de jour, certes, mais le quartier est tellement chouette qu’on préférerait éteindre le soleil.
Pour le reste c’est visite du commissariat, procédure et interrogatoire sous toutes les coutures.
La performance de Sara Forestier est assez étonnante, mais le film est surtout illuminé par la présence de Roschdy Zem, impérial en commissaire humaniste.
Pour moi, je me trompe peut-être mais je m’y risque : la lumière dont il est question dans le titre, c’est lui et uniquement lui.
Ce film m’a fait penser aux polars dits sociaux qui viennent d’Asie, qui mélangent allègrement polar, drame, et analyses de la nouvelle pauvreté de la nouvelle Asie. On y trouve aussi souvent de l’humour, là, à peine un gramme (french touch ?).
Il n’a pas l’envergure des meilleurs d’entre eux, mais c’est un film que j’ai aimé, celui-là je m’en souviendrai.
Le genre de film à voir “en connaissance de cause”.
“On s’ferait bien un cinoche, on hésite, Captain Marvel ou Roubaix ?”, ça marchera pas.
J’ai bien aimé Roubaix, une lumière.
Je n’ai pas reconnu Sara Forestier. Je me suis dit: “cette actrice surgie de nulle part, elle va décrocher le César du meilleur espoir féminin…”