Dans le même genre Fourmidable est très bien aussi
palferso dit :Par contre, le seul point noir me semble être les canaux qui sont assez difficile à visualiser
Bah c'est pas un probleme : faut jamais construire de canaux de toute facon.
fdubois dit :
Tzolkin à 4 joueurs (ma 9ème partie) : à force d'y jouer (très mal), je suis persuadé qu'il faut mettre en branle un moteur à maïs et éviter de nourrir ses ouvriers lors du premier quart de la partie. En effet, le maïs doit servir à poser des ouvriers plutôt qu'à nourrir pour faire des grosses actions afin de lancer la machine. Et du coup, il n'y a pas 36 façons de générer du maïs :
- la meilleure : Yaxchilan, technologie "Extraction de ressources" à fond et conversion de ressources à Uxmal 2
- l'autre : Palenque et technologie "Agriculture".
Oui, mais il y aussi des stratégies pauvres en maïs qui sont efficaces, comme, par exemple, la stratégie crânes (pour laquelle j'ai un faible). Ou alors la stratégie 0-tech, à fond dans les temples.
A tout hasard, un très bon post stratégique: https://www.boardgamegeek.com/thread/1038126/guide-main-strategies-available-tzolk
Encore une partie de Caylus magna carta à 2.
Je perds 15 à 18 alors que la partie était centrée sur une stratégie deniers (avec le Comptoir et 2 Marchés) + achat de jetons château à l’Église. J’ai assez mal joué, mais ce qui m’énerve surtout, c’est que, que je perde ou que je gagne, j’ai toujours l’impression que c’est mon adversaire qui choisit la stratégie qui va définir le vainqueur. Et ça m’énerve. Ou alors peut-être simplement qu’il lit mieux le jeu que moi. Ça m’énerve aussi. Parce que même quand je gagne, j’ai l’impression d’avoir subi le jeu.
beri dit :Amen. Ça me rappelle cet article : All deep games are legacy games.
"When you play a strategy game, you're not competing. You're taking turns gifting interesting puzzles"
Tres belles citation et perspective, effectivement.
beri dit :Hier soir : 1H30 à jouer à The Mind
Ouch... je compatis !!!
Heureusement pour toi que ton groupe de joueurs était archi dissipé/tricheur/yolo/pas logique, sinon la soirée aurait pu être un véritable purgatoire désolé, je n'ai pas pu m'empêcher, j'ai un tel désamour pour ce The Mind, partagé par mon entourage, qu'il est devenu une sorte de blague récurrente par chez nous. Lorsqu'on cherche à quoi jouer, il y a toujours un farceur pour le proposer, ça fait rire tout le monde, on oublie vite l'idée et on cherche autre chose.
Sinon, durant ce dernier mois, plein plein de jeux, mais surtout du court et accessible.
19 parties de Codenames, qui a été un vrai succès auprès des amis. Il est sorti tous les soirs ou presque... j'hésite franchement à prendre la version duo, que je lis être jouée en équipe également, car les parties à 2 jouées au PEL m'ont séduit. Maintenant, ça fait un peu doublon quand même... à voir.
Plein de parties de jeux pour enfants, des tout premiers Batawaf, Little Cooperation (pour tenter de faire jouer le plus jeune) aux classiques Viva Topo, Hop hop Galopons... Mon plus grand (4 ans 1/2) veut à tout prix jouer à des jeux "de grand", on l'a donc initié à Pina Pirata (où il m'a battu 2 fois...) et à un Flamme Rouge allégé (1 seul coureur, 2 cartes à choisir au lieu de 4).
J'ai aussi eu le "plaisir" de perdre à Takenoko contre mon filleul, 5 ans 1/2... Ah ces jeunes, ils ne respectent décidément plus rien ! En parallèle, il a "explosé" ma compagne à Kingdomino, et est passé tout près de battre son père à Splendor !!! L'année prochaine, je le fais jouer à Agricola
Etant nombreux, on en a profité pour ressortir un vieux classique, très apprécié d'un ami, les Chevaliers de la Table Ronde... on joue à 6, je suis félon, et j'ai, avec du recul, très mal felonisé... déjà, je commence à Excalibur, ce qui suscite la suspicion de l'ami en question (pour lui, les félons commencent toujours à Excalibur). Du coup, je la joue très coopératif pour limiter les soupçons, mais j'attends trop avant de trahir. La partie est trop bien avancé pour les loyaux, qui récupèrent le graal et me dénoncent quand je commence à poser trop de catapultes devant la table ronde... 11 épées blanches contre 1 épée noire... ouch...
Il y a aussi eu du toc (comme toujours), un Big Book of Madness que l'on commence à bien maîtriser (victoire en mode normal), des Poilus, du Sylvion, de l'île interdite (encore avec ce filleul qui décidément veut jouer à tout! L'an prochain, je tente une mission FLIP avec son père ! ) etc... etc... ah oui, et du Bandido aussi (qui devient un vrai coup de coeur pour moi). Il est sorti très très souvent, il faut dire que son format est très favorable au mode vacances : mise en place très rapide, explications ultra courtes, nombre de joueurs modulable (même pendant la partie). Sans aucun doute le premier jeu minimaliste auquel je joue qui me séduit.
Bref, plages, jeux, bbq, apéros... c'était bien les vacances
Santorini à 2 et 3 joueurs
nous découvrions tous, ce n’est pas du tout le genre de jeu que j’apprécie généralement, mais finalement je me suis bien amusé, c’est quand même bien foutu et le matériel apporte beaucoup à un jeu aussi abstrait, par contre très vite il faut rajouter les cartes Dieu sinon c’est l’ennui assuré pour ma part - 4 parties 3 victoires. Je ne rejouerai plus sans les cartes.
Petite fin de soirée avec Unlock - Noside à 5
Nous avons bêtement bloqué sur un numéro caché tellement facile à voir pourtant !!
Sinon dans l’ensemble c’était sympa même si je n’aime pas trop l’univers
Par contre petit conseil, il faut impérativement laisser le son allumer de votre tablette ou smartphone sous peine de rater totalement cette aventure … dommage
Je vais tenter de répondre pour ma part (exclusive). Je ne juge aucunement ceux qui apprécient The Mind, chacun ses goûts, vraiment. Mais personnellement, je ne m’y amuse pas, même au regard du temps de partie relativement restreint.
Je trouve toujours un autre jeu qui m’aurait plus comblé, quel que soit mon angle de vue, mon humeur du moment. Je n’y vois pas non plus de grande logique (tout au plus un peu de mémoire, de timing, d’instinct, sans oublier la chance, mais tout ceci à dose homéopathique sauf le dernier point). Quand on gagne, on se croit mentaliste, quand on perd, on rabat quand même un peu la faute sur le hasard / l’ordre des cartes.
Et même si on oublie un instant l’ambition (relative) de gagner, je trouve ça d’un plat absolu, sans faire de métaphores osées avec l’électroencéphalogramme de Richard Caton. On retourne une carte, on rigole à peine ou on pleure à peine. Si ça plait, tant mieux, si ça marche, tant mieux, mais là c’est pour moi une route à laquelle je n’ai pas accès.
Terraforming Mars jeudi soir, avec l’extension Prélude. Config 4, plateau Elysium et pas de Draft. Les 4 corporations en jeu étaient les classiques Helion et Phob Log et les toutes nouvelles Vitor et Valley Trust… et c’est cette dernière qui l’emporte après 8 tours de jeu avec 66 points, Phob Log (votre serviteur) avec 62 points, Vitor 58 et grosse tannée pour Helion (pourtant pas menée par un débutant) avec 45 points.
Prélude remplit bien son rôle de “booster” de partie, on a joué moins de tour que d’habitude, mais question temps de jeu, ce fut pareil, sur cette partie en tout cas…
gobarkas dit :sebduj dit :Zemeckis dit :La rejouabilité est aussi une question de gout. Il suffit parfois d'une petite variante, ou extension, pour apprécier d'avantage le jeu et avoir l'envie d'y rejouer plus souvent.Je pourrais écrire un livre sur la rejouabilité. Il me semble que de plus en plus de joueurs cherchent de la rejouabilité avant même d'être entré dans un jeu, de la rejouabilité très voyante, très matérielle. La rejouabilité la plus intéressante est celle qui est liée à la variabilité ou à l'intensité du plaisir généré par des des situations de jeux diverses et variées. Bien souvent, seuls les joueurs qui sont entrés dans le jeu peuvent voir cette rejouabilité là. La rejouabilité très visible sans même avoir bien compris le jeu (pleins de pouvoirs, pleins de cartes,...) est intéressante aussi mais quel bonheur que d'avoir envie d'enchaîner les parties d'un jeu qui n'offre énormément de rejouabilité dans le plaisir et pas que dans la diversité du matériel.
J'achèterais ce livre avec plaisir :)
Ce qui me gêne avec les livres, c’est leur rejouabilite, une fois lu. Tu auras beau recommencer, le contenu ne change pas...
En attendant, je partage le point de vue que la rejouabilite vient des situations générées par les joueurs.
Braverats est fichtrement rejouable avec 16 cartes.
Une nouvelle partie de Brass : Lancashire. Quel jeu ! C’est quand même assez costaud surtout comme dans notre partie Où les ressources etaient rares et uniquement au marché extérieur à prix fort, ouille. Defaite totale pour ma aprt avec 76 point contre 117/106/85.
Suivit de 3 parties de Welcome to your perfect home toujours à 4 dont deux découvrent. Toujours un gros succes et un coup de coeur pour madame ! Plastification des fiches en 120micron et stylos effacables ont été une super solution, mon carnet de 100 fuilles serait deja presque vide et là il m’en reste 90 fuille et 10 plastifiées
Hier on a ressorti Elysium, à deux joueurs. Je gagne 55 à 48 sur un dernier coup qui me permet de prendre mon unique carte Ares et son PP associé. Cette action prive mon adversaire d’un différentiel de 12 points en sa faveur, réduit à 4 et lui empêche de terminer sa famille. On a eu la désagréable impression que la partie s’est jouée sur ce coup, même si elle fut agréable. J’ai développé mon jeu afin de pouvoir scorer sans faire la course aux PP en creusant l’écart le plus possible pour que ce différentiel de 12 pts soit le moins impactant possible et en espérant tout de même pendant 3 tours qu’une carte Arès filant un PP immédiatement finisse par sortir. ça a fini par payé, le jeu étant très opportuniste ce genre de stratégie doit sans doute faire partie intégrante du gameplay. Néanmoins mon adversaire n’a pas su m’étouffer alors qu’il menait durant toute la partie. Difficile de remonter le fil de la partie, il y avait sans doute de meilleurs coups à jouer de part et d’autre mais j’ai l’impression qu’à deux joueur Ares phagocyte l’attention au détriment des autres familles. La prochaine fois on l’intégrera pas, mais il faudra tout de même réessayer, peut-être en combinaison avec Apollon.
Hier, initiation à Five Tribes, que c’était bon de le ressortir.
Et comme mon amie a beaucoup aimé , il va beaucoup ressortir et ça c’est bien
Bon, il va falloir que je me remette au mode solo, parce qu’elle a déjà tout compris et autant sur la première nous avions deux points d’écart, autant sur la seconde l’écart était beaucoup plus important.
prunelles dit :Hier, initiation à Five Tribes, que c'était bon de le ressortir.
Et comme mon amie a beaucoup aimé , il va beaucoup ressortir et ça c'est bien :)
Bon, il va falloir que je me remette au mode solo, parce qu'elle a déjà tout compris et autant sur la première nous avions deux points d'écart, autant sur la seconde l'écart était beaucoup plus important.
Excellent choix !
Pareil…ressorti la boîte apres longtemps pour faire decouvrir…mes deux partenaires ont apprécié…super efficace cet awale like
sebduj dit :Zemeckis dit :La rejouabilité est aussi une question de gout. Il suffit parfois d'une petite variante, ou extension, pour apprécier d'avantage le jeu et avoir l'envie d'y rejouer plus souvent.Je pourrais écrire un livre sur la rejouabilité. Il me semble que de plus en plus de joueurs cherchent de la rejouabilité avant même d'être entré dans un jeu, de la rejouabilité très voyante, très matérielle. La rejouabilité la plus intéressante est celle qui est liée à la variabilité ou à l'intensité du plaisir généré par des des situations de jeux diverses et variées. Bien souvent, seuls les joueurs qui sont entrés dans le jeu peuvent voir cette rejouabilité là. La rejouabilité très visible sans même avoir bien compris le jeu (pleins de pouvoirs, pleins de cartes,...) est intéressante aussi mais quel bonheur que d'avoir envie d'enchaîner les parties d'un jeu qui n'offre énormément de rejouabilité dans le plaisir et pas que dans la diversité du matériel.
Entièrement d'accord. Je n'aurais pas dit mieux.
Projet Gaia à 2
Je prends les Taklons et mon adversaire les Hadsh Halla. J’ai joué à fond les actions du plateau et j’ai construit des le premier tour mon institut planétaire pour gagner des pions de puissance et pouvoir en sacrifier à l’envie. Mon adversaire lui se focalise sur la thune pour pouvoir acheter ses ressources facilement.
En bonne entente nous nous installons tous deux à peu vers le centre de la galaxie afin de s’aider/gêner mutuellement. Les Hadsh Halla partent très fort afin de blindé leur revenu, je m’étend un peu car un des objectifs de fion de partie est d’occuper le plus de planètes Gaia et l’autre d’avoir le plus de bâtiments.
Contrairement à d’habitude je ne développe que 2 techno la terraformation et la navigation. A la lecture des objectifs de tour et des tuiles booster, je préfère le me lancer dans l’exploration et la colonisation !
Stratégie payante qui me permet de marquer beaucoup de points en cours de partie et ainsi gagner des pions et de la puissance. Je pense que j’ai du utiliser au moins 2 sinon trois actions du plateau à chaque tour, ce qui compense mes revenus un peu défaillant. Je l’emporte largement 168-129.
Comme dans Terra Mystica, être en phase avec les bonus des tours aide énormément.
vivement la 12e partie, il me reste quelques peuples non joués.
Les noms des factions sont à coucher dehors.
En passant, petite coquille :
Harry Cover dit :Projet Gaia à 2
[…] un des objectifs de fion de partie est […]
de la mettre à l’envers à l’autre joueur ?