Hier, j'ai joué a ... page 1048 + (partie 1)

On ne fait pas une critique générale d’un jeu si on n’a fait que des parties à 2 joueurs. Pas très sérieux.

Et la critique est basée sur combien de parties aussi? Une seule ou plusieurs?

ou alors, on n’édite pas un jeu s’il est très moyen à 2 joueurs (ce que je confirme)

Gugong est très bien à 2 joueurs aussi !


dans cette vidéo, ils sont 2 à en parler certes, mais je n’ai pas souvenir qu’ils disent n’y avoir joué qu’à deux et franchement je ne vais pas aller vérifier et ce serait bien d’arrêter de se focaliser sur cette vidéo, c’est leur opinion et d’autres ont la même ou opposée. Inutile de partir en guerre, je disais juste que je n’étais pas de leur avis et que moi aussi je tenais à donner le mien d’avis…

donc j’insiste, jouez à Gugong, à 1,2 3 4 ou 5 joueurs, il est très bien !!


Sinon je viens de faire 2 parties de Renegade !! excellent brise neurone !!

Je n’ai joué qu’une partie de Gugong et c’était à 2. J’ai adoré! 
(bon, c’est vrai, je n’ai joué qu’une partie, donc je n’ai aucun recul)

Harry Cover dit :Gugong est très bien à 2 joueurs aussi !


dans cette vidéo, ils sont 2 à en parler certes, mais je n'ai pas souvenir qu'ils disent n'y avoir joué qu'à deux et franchement je ne vais pas aller vérifier et ce serait bien d'arrêter de se focaliser sur cette vidéo, c'est leur opinion et d'autres ont la même ou opposée. Inutile de partir en guerre, je disais juste que je n'étais pas de leur avis et que moi aussi je tenais à donner le mien d'avis...

donc j'insiste, jouez à Gugong, à 1,2 3 4 ou 5 joueurs, il est très bien !!


Sinon je viens de faire 2 parties de Renegade !! excellent brise neurone !!

Effectivement, ils ne disent pas qu'ils ont fait qu'une partie à 2, mais le collègue de Ludema dit bien "Bon, j'ai fait une partie à 2 et..." et Ludema le coupe en précisant..."contre moi".  Après ils ne disent pas combien ils ont joué de partie au total et dans quelle configuration avant de donner leur opinion sur le jeu. Donc vu qu'il n'en disent pas beaucoup sur ce point, ça peut laisser perplexe, mais ça me traumatise pas plus que ça...
Quand à la guerre, j'en ai refait une aujourd'hui, pendant 4 heures intenses, toujours sur le proto d'un jeu qui s'appelle Holly wars. Nous étions 5 et le travail de réglage sur ce genre de jeu est toujours aussi intéressant. kiss
Pour l'anecdote, au moment d'une bataille, les forces en présence était de 14 vs 18... pour un 11 novembre, on a trouvé ce hasard troublant...

Eminent Domain Microcosm, première partie où ni moi ni mon adversaire ne connaissions les règles. Elles nous l’ont été sur le pouce et le jeu reste un mystère pour moi. Je n’ai fait que subir, à chaque fois que je voulais faire quelque chose (coloniser ou la guerre) il me manquait un point. En revanche mon adversaire pouvait faire tout ce qu’il voulait comme me prendre les domaines à chaque tour. Au final, il obtient plus du double de mes points.

Small Islands, première partie (à 3) aussi mais avec un joueur qui en connaissait les règles. Jeu de pose de tuiles à la Carcassonne, j’ai beaucoup aimé. Le fait de ne scorer qu’une fois sur chaque île, les cartes de comptage de points différentes pour chaque joueurs et pour chaque manches et la mise de fin des manches m’ont beaucoup plu. Qu’on pose de mignonettes maisons sur les îles et que le graphisme est chouette ne gâchent absolument rien. Pouvoir mettre fin à une manche prématurément (en ayant la chance d’avoir la carte de scoring utilisée au tour précédent par un adversaire qui a donc fait le travail avant) et relier une île copieuse en points à une autre que tous avaient déjà scoré (ce qui fait que la réunion des deux ne pouvait plus l’être) m’ont permis de remporter la victoire.

Beriette découvre Assyria avec deux parties à 2 joueurs. Avec de l’aide de ma part, elle me talonne : 105-104 puis 101-98. J’espère pouvoir lui retirer les petites roues bientôt. Elle aime bien.

beri dit :Beriette découvre Assyria avec deux parties à 2 joueurs. Avec de l’aide de ma part, elle me talonne : 105-104 puis 101-98. J’espère pouvoir lui retirer les petites roues bientôt. Elle aime bien.

Faut que j'y rejoue à celui-là !

Une partie de Coimbra, largement remporté grâce à une excellente dernière manche. J'en parle dans le sujet dédié. En gros, j'aime bien.

Race for the Galaxy est vraiment partout puisque nous aussi nous y jouons souvent en ce moment. Le premier arc, sans objectif, car je trouve le jeu suffisamment riche sans eux et ils peuvent facilement avantager un joueur selon l’adéquation à la stratégie au tableau qu’il développe (lui même surtout dépendant des cartes piochées).
Je remplace stratégie par tableau, car l’utilisation intensive de la version numérique de keldon m’a appris que la “stratégie” doit être réévaluée à chaque tour.
Hier une tentative généralement risquée contre l’IA de Keldon mais qui a marché contre ma femme : commencer la consommation/production avec seulement 2 marchandises (mais 3 cartes piochées par tour).

Welcome to your perfect home :
Gentil sans plus, quelques parties et puis s’en va …

Myrmès :
Toujours aussi génial et punitif. Une seule petite erreur et tu fous ta partie en l’air : je planifie de vider la grosse tuile 2 tours plus tard et de la remplacer par la mienne … et j’oublie le cube de terre nécessaire à la vider … s’ensuit un tour misérable au lieu du feu d’artifice prévu.

Troyes :
7 parties pour se replonger dans ce jeu auquel je n’avais pas accroché et même si cela passe mieux, je lui préfère largement Tournay même si on commence à saturer sur ce dernier avec 70 parties IRL.

Micro Robots :
Un des seuls jeux achetés récemment. Une variation minimaliste autour de Ricochet Robot. Sympathique et un peu plus facile que son ainé. Parties très tendues avec mon jeune fils, avec des scores toujours très serrés.


Comme on ne joue plus beaucoup, on a entamé notre rallye de fin d’année avec ma petite ludothèque : je te joue (une fois par an) ou tu me quittes

Sushi Bar, Go, Quoridor, Clans, Les cités perdues, Patchwork, Dvonn resteront un an de plus.

Rallyman, Through the Ages, Scythe et Battlelore doivent encore faire leur preuve.

Hier soir on s’est fait un Chronicle of Crimes scénario Secret Défense.
Encore une fois un très bon scénario des Lucky Duck.

Une personne ressemblant fort à un zombie est retrouvée à l’aube dans une rue de Londres. L’armée prend immédiatement les commandes de l’opération et nous demande d’élucider tout ça avant la fin de la journée et dans la plus grande discrétion.
Trop confiant dans nos capacités à résoudre une énigme, nous ne voyons pas que toute cette histoire cache un vrai nid de guêpe. La vue des conclusions et notre score piteux (41/100) nous montre clairement qu’il nous manque une moitié de l’histoire.
Qu’à cela ne tienne, on remettra le couvert dans la foulée pour résoudre cette enquête dans sa globalité.

C’est une des parties de Chronicle of Crimes que je préfère à Sherlock Holmes Detective Conseil : lorsqu’on répond aux questions, on a la possibilité de savoir lesquelles de nos réponses sont fausses sans avoir la solution. On peut donc si on le souhaite refaire l’enquête sans lire la solution détaillée pour trouver /découvrir les éléments nous ayant échappés.

Vraiment un excellent jeu d’enquête. Aïe, il va falloir attendre la sortie des prochains scénarios pour en refaire une.

High Frontier à 5 joueurs, première partie.



Ce fut aussi épique qu’attendu. Nous avons joué 6 heures explications comprises, et avons dû abandonner après la construction de la première usine extra-terrestre, alors que la partie se termine lorsque 7 usines sont construites.

Tout le monde a fait des erreurs de planification dans leur programme spatial. J’étais les Nations Unies, et j’ai voulu construire une base sur la Lune, mais je me suis rendu compte après deux heures de jeu que mon vaisseau n’aurait jamais la capacité d’y atterrir, en raison d’une force gravitationnelle trop puissante. Du coup j’ai du réorienter mon programme vers l’exploration de quelques champs d’astéroïdes. J’ai pu prospecter Ceres et 4 autres astéroïdes, mais je n’ai pas pu construire de base avant qu’on abandonne la partie.

Les Chinois se sont perdus quelque part dans la ceinture d’astéroïdes, pendant que la Nasa a réussi à atterrir sur Mars en mode Cowboy, avec parachute et à travers les tempêtes, mais ensuite a dû laisser Mat Damon pousser des pommes de terre jusqu’à la fin de la partie, faute de moyens pour construire une base en bonne et due forme.

Les Japonais m’ont talonné dans la course pour les astéroïdes, mais suite à diverses erreurs de calcul, ont subi un retard considérable. Ils se sont contentés de prospecter des champs d’astéroïdes plus pauvres, et tirant chou blanc de leurs campagnes de prospection. Le joueur était assez esseulé, car la prospection se résout au jet de dés, et pas moyen de modifier les probabilités d’un tel jet, du moins pas dans la version de base.

La victoire morale est revenue à l’ESA, qui a réussi à construire la première base et usine dans un caillou dont je ne me rappelle plus le nom.

Ce jeu est vraiment une expérience. On n’a joué qu’avec un tiers des règles (jeu de base), et on devait souvent se référer aux forums pour lever des ambiguités (prospection spatiale et raygun sont la même chose en termes de règles, alors pourquoi deux termes, alors qu’un seul est expliqué dans le manuel…).

Le hasard dans la prospection est vraiment méchant, il faut être prêt à estomaquer qu’une mission programmée depuis des heures tombe sur un site vide de toute ressource, et avoir des plans de contingence.

Moi j’ai adoré, et espère pouvoir jouer à une partie complète. C’est la première fois que je joue à un jeu de conquête spatiale réaliste, et on comprend beaucoup mieux pourquoi les programmes spatiaux patinent depuis des décennies, c’est pas facile!

Après le rouleau compresseur d’High Frontier, j’ai joué pour la première fois à First Class! orient express, un jeu de draft et de course au points très sympa. Nous avons joué avec les modules A et B. J’ai adopté une stratégie basée sur la construction de ligne de train qui m’a permis de rapidement construire les deux trains, et avoir le premier et troisième bonus de train complet. Mon adversaire a plutôt tablé sur l’amélioration des wagons et le recrutement de célébrités (multiplicateur de la valeur des wagons). Je termine premier avec 167 contre 135 points.

L’utilisation de modules semble promettre pas mal de rejouabilité (l’un deux concerne un meurtre sur l’orient express), et le jeu se joue en une heure, très accessible. Par contre la mise en place gagne à être facilitée par tous les joueurs, ainsi que le rangement des multiples modules utilisés.

ça m’a l’air méchamment costaud ce High Frontiers broken heart

Pandoria [3]. Le dernier Irongames. Un mécanique vraiment sympa pour laquelle j’ai un peu de mal à jouer efficacement, je dois l’avouer. Il faudra du temps pour manier les éléments du jeu de manière correcte. Ici encore, mes “gros coups” on été annulés ou déclenchés trop tôt par mes deux adversaires.

Avec un pote qui était venu à la maison pour jouer sur plusieurs jours:

Aeon’s End à 2 :
Une partie contre Rage Incarnée avec le marché préconisé, sans souci (toutes les cartes écartées étaient des monstres, cela simplifie énormément la partie).

Une seconde contre la Reine des bogues avec un marché aléatoire. Passés les premiers tours de panique (on a ni soigneur, ni carte de soin), avec des oeufs qui arrivent par millier, on se répartit les tâches avec un qui prend quelques gros sorts pour blaster la reine, et l’autre qui garde ses étincelles pour les oeufs. On sacrifie quelques PV de temps en temps pour bien éclater tous les oeufs, et au final, on explose la maman les doigts dans le nez (Xaxos, avec sa capacité “finissons le boss” en jouant 4 tours de suite est quand même bien fumé).


Dinosaur Island à 2 :
Un jeu de gestion de Jurassic Park.
On part chacun sur des optiques différentes, lui collecte plein de dinosaures et je me concentre sur 2 ou 3 T-Rex et des boutiques de souvenirs à refourguer aux gens qui patientent.
Le tirage des touristes du dernier me donne 2 resquilleurs sur 10. Le resquilleur de trop m’empêche de scorer l’un des objectifs, et on finit à égalité parfaite (les T-Rex compensent l’écart de point en fin de partie), et je perds au tiebreaker.

Ce jeu est en tout cas vraiment très sympa, il y a tout dedans (gestion des attractions et des dinos, achat de personnel qualifié, gestion de la sécurité). Je ne cracherais pas sur une VF (avec les dinos en plastique svp)! :slight_smile:


Founders of Glomhaven à 2:
Encore une jeu de gestion, assez original, puisque chaque joueur a dès le premier tour, le monopole complet (incluant le choix d’en poser ou non sur le plateau) sur 2 ressources parmi les 7-8 du jeu.
Le principe m’a clairement fait penser à du Great Zimbabwe (gestion des filières d’approvisionnement), avec une couche supplémentaire de Tetris, un brin de bluff (enchère fermées) et un gestion de main à la Lewis & Clarke. 
On arrête alors que j’ai réussi un blocus complet de mon quartier, tout en pouvant accéder aux ressources de mon adversaire (ce qui me permettrait de facilement construire tous les bâtiments avancés sans le laisser en profiter.
Clairement pas pour tout le monde (c’est compliqué quand même), mais j’y reviendrai avec plaisir aussi.


La Guerre de l’anneau à 2 :
Celui là, ça faisait un moment que j’attendais le bon moment pour l’essayer.
Après un tour de chauffe pour comprendre les règles, on réinitialise et on commence.

Je joue le Mordor, et j’ai en main une carte me permettant d’attaquer tous les elfes si je tiens l’un de leurs bastions. Je jette mon dévolu sur Rivendell.
Comme je fais bien attention à ne pas provoquer les autres peuples libres, mon adversaire se creuse la tête pour tenter de les bouger, et finit par séparer Grand-Pas, qui fera directement entrer en guerre les peuples du Nord (vie une carte événement). 

Pendant ce temps, le siège de Rivendell se termine dans un bain de sang, principalement celui des elfes, et de nouveaux renforts sont déjà prêts autour de la Moria. Comme une nouille, j’ai entre temps défaussé la carte me permettant  d’utiliser ma nouvelle place-forte pour dégommer les elfes…

Pas content, Grand-Pas prend le contrôle d’une armée pour aller assiéger Dol Guldur à l’est de la Lorien.
Quelques cartes de renfort de mon côté (et un armée de soutien venue du Mordor) mettront fin à la menace, puis à Grand-Pas lui-même (mais il aura fallu insister!).

J’ai maintenant en main des cartes me permettant de gros renforts chez les Suderons, et une autre me permettant de faire le siège de Minas Tirith sans trop de souci (l’adversaire ne peut pas jouer de cartes sur ce siège…), donc je décide de lancer l’opération “Couic Denethor”. 

La compagnie décide alors de se dépêcher d’avancer, quitte à larguer les boulets en route. Frodon et Sam se retrouvent bientôt avec Gollum pour les guider, et arrivent au pied du volcan avec moins de problèmes que je ne l’aurais souhaité (on peut vraiment arrêter une Compagnie réduite à 1 qui décide d’avancer à fond?).

Je renforce mes troupes pour tenter de gagner au militaire (mais c’est pas gagné) avant que mon bel anneau ne finisse refondu comme un vulgaire lingot volé.
La corruption aura au final raison des hobbits sur la dernière avancée.

Ouf! Le règne sombre peut commencer, dans la joie et la bonne humeur!


On a évidemment du faire 1 ou 2 erreurs de règles et de stratégie (la Compagnie aurait probablement dû se lancer plus tôt à la course au Mordor, et tant pis pour les Elfes), et on se demande si le Mordor peut vraiment intercepter les porteurs s’ils limitent la taille de la compagnie. Les dés jouent aussi pas mal dans le déroulement du  jeu, qu’il vaut mieux prendre comme une histoire plutôt qu’un jeu de gestion, mais on s’est quand même bien amusés :slight_smile:


Colt Express à 3 :
Mon fils de 8 ans nous rejoint pour essayer un nouveau jeu, tout le monde a bien rigolé (surtout quand un coup de poing bien placé plante totalement le tour d’un autre joueur). C’est rapide, c’est facile, c’est marrant, bref du tout bon.


Kanban (driver’s edition) à 2 :
On repart sur du lourd. Un tour pour comprendre, puis on reset et on se lance (avec Sandra-la-méchante).
la partie est bien tendue comme on aime, et je me fais avoir au placement de l’avant-dernier tour (à 2, on ne peut se placer là où est Sandra), ce qui m’empêche de valider un objectif et me fait perdre 4 points (je venais juste d’utiliser touts mes designs et pensais en racheter).
Le décompte final démontre que cela ne m’aurait de toute façon pas sauvé, mais c’est vexant :slight_smile:
Encore un jeu à ne pas sortir avec n’importe qui, mais ma foi, j’y reviendrai avec plaisir aussi.


Cléopatre et la société des Architectes à 3 :
Je voulais tester ce jeu pour voir s’il pouvait convenir aux enfants. On essaie une partie avec Madame pour l’occasion.
On prend des cartes, on achète des trucs (pas toujours facile de se souvenir des combinaisons). 
Madame et mon pote font des tours avec plein de corruption, du coup j’en profite pour me lâcher un peu, puisque je n’avais rien pris jusque là.
Au décompte final, grosse surprise, je me retrouve premier en corruption, alors que tout le monde me donnait dernier, on n’a pas compris.
Bref je me fais bouffer par les crocos pendant que les autres comptent leur points en rigolant.

Encore un peu compliqué à mon avis pour un enfant de 8 ans, donc il rejoindra sagement son étagère pendant 1 ou 2 ans (et c’est pas juste parce que j’ai perdu! :slight_smile: )


Holmes and Moriarty à 2:
En version simple.
Grosse déception, on a du complètement passer à côté du jeu, qui nous a paru plus comme une roulette que comme du réel bluff.



Vast à 2 :
Les gobelins contre le chevalier (la chevalière?).
Bonne découverte que ce jeu totalement asymétrique.
Le chevalier essaie de casser des cristaux pendant que les gobelins essaient de la tuer.
Après un début de partie assez chaud, le chevalier gagne suffisament d’XP pour ne plus craindre les attaque incessantes des sales monstres verts, et finira par l’emporter.

J’aurais bien aimé pouvoir aussi essayer les autres entités du jeu (dragon, caverne, voleur), c’est en tout cas très innovant de faire cohabiter des asymétries aussi poussées (et du coup je veux bien essayer Root aussi).



Après tout ça, j’ai dormi :slight_smile:

-Mildaene.

TotoLeHéros dit :ça m'a l'air méchamment costaud ce High Frontiers broken heart

Mais il est sacrément costaud !

Agréable surprise de voir que des joueurs le pratiquent encore et même le découvrent. C'est Barney521 qui va être content aussi.  Je n'ai pas proposé High Frontiers depuis longtemps et ma boite avec son extension prend un peu la poussière, mais je le regrette et il faudrait que je m'y remette.  C'est original, thématique (et en plus un thème que j'aime particulièrement), c'est Eklund quoi...

A Iskander et ses partenaires, je dis...

Le Zeptien dit :


A Iskander et ses partenaires, je dis...

Merci, on a décidé de jouer une nouvelle partie sur Vassal, histoire de consolider la connaissances des règles, afin d'être compétents la prochaine fois qu'on y joue pour de vrai. En attendant j'attends avec impatience le prochain tirage de ce jeu (même si je ne pense pas qu'il y en ait un annoncé).

La plupart des jeux d'Eklund sont des expériences, mais il y en a aussi qui sont véritablement des jeux solides en termes de gameplay (je pense à Pax Renaissance). En tout cas ils ne laissent jamais indifférent. Il y a un mois j'ai joué à Pax Porfiriana, qui était endiablé et hilarant, et cette semaine on a prévu de se lancer sur un Greenland.

J'aurais d'ailleurs aimé participer au kickstarter en cours de BIOS:Origins, mais les frais de port sont élevés, j'attendrai qu'il sorte en boutique.

fdubois dit :Hier soir, soirée en tête à tête avec Manubis :
[...]
Koenig von Siam (13ème partie) : jeu de majorité qui possède les particularités suivantes :
- il faut affaiblir une faction sur la map pour être en mesure de l'emporter grâce à elle (dit comme çà, çà peut paraître bizarre mais çà fonctionne)
- il y a moulte égalités (je m'impose au 3ème tie-breaker....) avec le twist des anglais qui tirent les marrons du feu des luttes intestines.
 

Bon, c'était pas hier soir mais je voudrais tout de même donner mon sentiment sur ce jeu...

Le sentiment est assez mitigé...

Commençons par les points négatifs :
J'ai eu l'impression que les actions sont trop "rigides", c'est-à-dire qu'elles ne permettent pas de se détacher des adversaires...
Résultat, le départage final se fait au Xème tie-breaker. Bref, une impression de jeu qui ne "décolle" pas...

Les points positifs :
La mécanique est très originale et des plus intéressantes... Le jeu est abstrait mais pourtant le thème est bien présent... On se sent dans la peau d'un marionnettiste de l'ombre qui a ses objectifs et qui joue de l'influence entre les factions...
En tout cas, le jeu est très tendu et propose des défis passionnants à relever.

Je ne dis pas non pour retenter... J'imagine que mieux connaitre les conditions de victoire permet de mieux gérer sa main de cartes et d'être plus efficace mais j'ai l'impression que ça se finira toujours dans un mouchoir de poche et ça c'est dommage...

a++
Manubis.
 

Nous avons bien accroché à Tzaar. J’en ai donc fait une douzaine de parties ces derniers jours.

Si au début on s’amuse surtout à construire le plus grand empilement possible pour éliminer l’autre, au bout de quelques parties la victoire ira plutôt à celui qui élimine en douce les tzarras de son adversaire en s’efforçant d’attirer l’attention sur les tours à tzaar.

Nous sommes des joueurs peut-être un peu plus intuitifs que réflexifs, cependant nous voyons bien les changements progressifs dans nos parties et donc notre douce courbe d’apprentissage, bien que nous n’en soyons qu’au début, j’en suis sûre, du saisissement des subtilités de ce jeu.

Je croise les doigts pour qu’il continue à intéresser Mini et monsieur Proute, qui jouent tour à tour ou ensemble contre moi, j’espère bien en faire de nombreuses parties.

@Manubis à propos de King of Siam
C’est sûr que c’est un jeu très “petit” dans ses actions. Mais elles ont un tel impact que les grossir rendrait le jeu trop chaotique. Et dans la mesure où c’est un jeu sans aucun hasard hors mise en place, tu peux effectivement tout calculer et jouer des parties très serrées.

@Proute à propos de Tzaar : ahhhhh la chance de pouvoir gravir la courbe d’apprentissage en même temps qu’un autre joueur, sentir comme il s’améliore et comme on arrive soi-même à trouver les parades à ses nouveaux coups, lui poser de nouveaux défis, auxquels il répond avec d’autres défis. Comme le disait si bien Aristote, cité par Victor Hugo : all deep games are legacy games.

When you play a strategy game, you’re not competing. You’re taking turns gifting interesting puzzles, and in so doing, you help help each other learn.