Hellboy à 4j.
Hellboy version cornue, Liz, Abe et Lobster sont dans la place, pour une petite partie de chasse.
C’est un scénario de durée moyenne mais de difficulté élevée, que nous avions déjà tenté… et perdu !
Dans les grandes lignes, nous devons trouver un gros amphibien et lui régler son compte.
<<< SPOIL ALERT >>>
Au début de la partie, il y a 3 pièces à explorer, dont une comportant un point d’intérêt faisant évoluer le scénario lorsqu’il est révélé.
Nous commençons par révéler la 1ère carte rencontre et par chance (ou pas), nous révélons 2 crapauds mutants et le fameux POI. C’est un point d’apparition de nuée de grenouilles… mais également la zone où se trouve la grosse bêbète à dégommer ! Nous n’avons donc même pas commencer à agir que le monstre se rue sur nous ! Il avance de 2 cases, projette Lobster sur la zone adjacente (car zone saturée - la bestiole prenant 3 emplacement et une zone étant limitée à 6) et envoie une grosse tartine à Hellboy, qui prend 3 dommages d’entrée de jeu. Aïe !
Mais le monstre ne fera pas long feu. Durant cette première apparition, il faut seulement lui infliger 8 dommages, ce que Liz puis Hellboy arriveront à faire, grâce notamment à un gros crochet du droit qui le projettera dans la zone adjacente. Celui-
Celui-ci s’enfuit révélant d’autres pièces à explorer afin de la débusquer une fois de plus. Après avoir nettoyer la zone, nous passons donc à la suite. Nous explorons la 1ère pièces révélée par la fuite du boss qui s’avère être en flamme. De plus, deux jetons indices s’y trouvent, qui partiront en fumée à la fin du tour si nous ne faisons rien. Nous profitons de la présence de Liz la
pyromane pyrokinésiste pour l’envoyer éteindre les flammes (être ignifugé ça aide !) et parvenons à grimper sur la piste d’enquête (nous n’arriverons malheureusement à récupérer qu’un seul jeton BPRD).
Après discussion, nous décidons ensuite d’explorer la plus grande pièce et encore une fois, nous tombons sur le boss, qui s’active et vient caler une grosse mandale à Lobster (moi…). Il m’inflige 6 dégâts (sur mes 8pv…) que je décide d’annuler avec mon petit fer à cheval porte-bonheur (que j’ai eu la bonne idée de prendre au début du scénario !).
Liz et Hellboy (encore eux !) prennent le relais en mêlée pour cette fois-ci lui infliger 12 dommages (bien aidés par Abe, ses balles perforantes et son tir de précision !). Le monstre est encore une fois repoussé par Hellboy et son crochet du droit et s’enfuit une dernière fois par un trou béant laissé dans le plancher.
Nous finissons de nettoyer la zone pour plonger enfin au coeur des ténèbres…
Un couloir infesté de grenouille nous attend mais mon triple tir fait rapidement le ménage !
Nous avançons finalement dans la dernière pièce où le boss, agonisant (ou pas…), nous attend !
nb: dans ce scénario, les dommages successifs infligés au boss restent d’une rencontre à l’autre… mais celui-ci se soigne au fur et à mesure des tours (ou complètement guéri si nous prenons notre temps - ce que nous faisons par 2 fois).
Le boss se trouve donc dans la dernière pièce, en pleine forme et comme si de rien n’était ! Il est entouré de 5 sbires, correspondant aux 5 jetons BPRD que nous n’avons pas réussi à enlever de la piste d’enquête.
Au final, ils ne feront pas long feu, bien aidé par une petite grenade qui en blessera mortellement plusieurs.
Le boss quant à lui, pliera sous les coups répétés de Hellboy et de Liz, toujours appuyés par les tirs de Abe et Lobster.
<<< FIN SPOIL ALERT >>>Nous avons plié le scénario en un peu moins de 3h, et même si au final je ne me suis pas senti très utile (Lobster - encore que chacun amène son lot de compétence), j’ai vraiment apprécié le côté cinématographique de cette partie et les choix que nous avons du prendre (prendre notre temps quitte à laisser le boss récupérer - explorer ou non pour faire avancer l’enquête). De plus, le déroulement de ce scénario est aux antipodes de ce qui s’était déroulé lors de notre premier
essai fessée. Ici nous somme rentré immédiatement dans le vif du sujet. Pas d’exploration et d’enquête. Seulement du brutal (ou presque !).
Enfin bref,
Hellboy c’est bon, mangez-en !