J’ai vomi.
beri dit :J’ai vomi.
Cela aurait mérité un peu de contexte, ou peut-être pas...
Pandémie Iberia à 4 hier soir, avec 5 épidémies mais avec 2 événements en trop. Sans doute ma variante préférée de Pandémie, avec des lignes de train à construire, le système de purification d'eau qui protège des régions de l'infection, alors que l'hôpital ne permet plus de voyager. Même si c'était notre première partie, nous n'avons pas eu trop de difficulté à gagner, il faudrait sans doute jouer avec 6 épidémies (et 2 cartes événements en moins), ou alors tester les variantes et scénarios. Je suis particulièrement intéressé par celle où les cubes sont des malades qui convergent vers les hôpitaux, produisant des surcharges. Cela devrait changer de façon très intéressante le jeu.
Pour le reste je me demande si la partie construction de rail varie vraiment en fonction des scénarios, ou si l'on finit par toujours faires plus ou moins le même réseau, ce qui rendrait les choses moins intéressantes.
beri dit :J’ai vomi.
C'est pas vrai? Tu y étais? Toi, beri, tu as fait un Lacerda?
C’est vrai que la description de fdubois ne donne vraiment pas envie d’essayer Kanban. En plus si c’est le meilleur Lacerda…
Little Town
2j ce midi
1ere partie (après 9) en tirage aléatoire de bâtiments
Les autres fois j’étais presque toujours avec des nouveaux joueurs.
Même si j’aimais déjà bien le jeu comme ça, ce tirage aléatoire ajoute un peu plus de défi (non non je ne dirais pas challenging et autre rewarding) bienvenu.
Je gagne serré 58/52
Ce jeu est vraiment une réussite et un modèle du genre : court, mais on construit quelque chose, simple, mais le plateau ouvert donne énormément … d’ouverture, sans rendre le tout indigeste.
Le tout dans une petite boîte très bien édité.
Bravo !
+1 pièce pour l’As d’or !
(re) chaudement recommandé !
Hier j’ai joué à Newton avec sa mini extension à 3 joueurs.
Première partie, pour moi. Mes compères y ont déjà joué mais sans l’extension il semblerait.
J’ai la boussole, un a le livre et l’autre à l’engrenage.
Je ne sais pas trop comment j’ai fait mais j’ai remporté la victoire à 1 point près. Pourtant, pendant la partie je n’avais pas trop compris certains détails comme le coup des trois potions. Je pensais que ça permettait de boucher une case de la bibliothèque sans faire d’action… J’étais donc parti sur une stratégie full potion. Ce qui ne servait en fait à rien puisque j’ai pu visité une bonne partie des lieux et qu’on ne pouvait utiliser qu’une potion max pour remplacer un livre coloré…
Au moins, j’ai pu poser tous mes cubes sur la carte.
Les scores 91-90-66
Je finis avec 11 potions inutiles ^^'
Mon impression de fin de partie c’est que le jeu te frustre car tu n’arrives pas à trop savoir dans quelle direction partir et une fois que tu sais ce que tu veux, tu n’arrives pas à faire vraiment ce que tu veux.
A retester, maintenant que je connais les règles.
A priori je lui préfère d’autres jeux euro.
Pit0780 dit :Partie à 3 joueurs de Atlantis Rising, en sûrement un peu trop facile.
Première impression : sympatoch, sans plus.
Je pourrai pas vraiment dire pourquoi. C'est sympa, ça tourne bien, c'est fluide.
Mais c'était un peu plat au final. Et puis ce système de dés, ça casse un peu le délire.
C'est sans doute parce que t'as pas joué avec le playmat et que tes cartes ne sont pas sleevées.
Et je suis sûr que vous avez joué sans draft.
Sans ces détails d'importance, l'expérience est tout à fait différente.
beri dit :J’ai vomi.
La chérophobie se soigne, il faut consulter. ;)
palferso dit :beri dit :J’ai vomi.
C'est pas vrai? Tu y étais? Toi, beri, tu as fait un Lacerda?
Alors je me permets de répondre : non, beri n'était pas autour de la table.
Il ne me viendrais d'ailleurs pas à l'idée de l'inviter pour jouer à ce genre de jeu : ce serait l'erreur de casting assurée.
Un Lacerda, cela se joue avec des gens motivés qui ont de l'estomac !
fdubois dit :Alors je me permets de répondre : non, beri n'était pas autour de la table.
Il ne me viendrais d'ailleurs pas à l'idée de l'inviter pour jouer à ce genre de jeu : ce serait l'erreur de casting assurée.
Ah ouf! Tu me rassures...
Des petits jeux avec des amis grands et petits : Kingdomino avec l’âge des géants, Karuba et Patchwork.
A Karuba, la petite miss de 6 ans m’a bluffée en faisant le tour du plateau avec les tuiles puis en avançant ses explorateurs l’un après l’autre. Je n’aurais jamais pensé à faire ça (après, ça ne m’amuserait pas, non plus).
Mais surtout, ce soir, nous avons enfin rejoué à Concordia. Ça faisait longtemps que j’en avais envie, on était dispos mais pas non plus pour un jeu trop long, nous en avons donc profité.
Nous étions 2 et avons donc joué sur la carte de l’Italie (car oui, moi j’ai l’ancienne version du jeu). Monsieur Proute est premier joueur et débute le jeu avec un Sénateur.
Moi, je préfère œuvrer pour me développer rapidement vers l’est puis le nord-est (Ombrie, Emilie). Lui est allé vers le sud et dans les îles pour finir par se spécialiser dans les outils avec le Forgeron.
De mon côté, je me suis pas mal servi des préfets sur les provinces où j’avais le monopole pour produire des ressources, notamment du tissu, qui m’ont permis de bien me développer ensuite. Monsieur Proute ayant acquis la carte Colons, j’ai sagement gardé mon Diplomate pour elle afin de le reproduire chaque fois qu’il le jouait pour avoir des sous (d’ailleurs, je ne me suis pas posé la question sur l’instant, mais avais-je le droit de faire n’importe laquelle des deux actions des Colons en jouant le Diplomate ? Edit pour me répondre après avoir relu la règle : oui, j’ai le droit de faire n’importe laquelle des deux actions de la carte.)
Les cartes s’achètent vite et j’ai posé à peine 7 villas lorsqu’il ne reste plus que 7 cartes, je me demande comment ça va se finir. Finalement, il restera 2 cartes lorsque je choisirai de poser ma dernière villa (ça tombe bien, je renonçais au Négociant en vins, mais monsieur Proute me dit qu’il l’aurait acheté un tour avant moi, juste sous mon nez !)
Je gagne assez largement, mais je pense que c’est dû au fait qu’à mi-chemin j’ai commencé à acheter les cartes en fonction des dieux qui m’arrangeaient et que quand monsieur Proute a senti que c’était cuit, il a jeté son dévolu sur la production d’argent qui, avec Vesta, ne rapporte pas grand-chose…
Qu’importe, puisque monsieur Proute a confirmé que le jeu lui plaisait vraiment, a priori nous pourrons donc remettre ça dès que possible. Oui, parce que si moi j’ai trouvé le jeu vraiment pas facile au début, je me suis bien amusée quand même à trouver les combines pour optimiser la récolte des ressources en fonction de ce que je comptais en faire ensuite, en tenant compte des objectifs correspondant aux cartes que j’avais en ma possession.
Typiquement le genre de jeu qui me demande de me forcer un peu pour le sortir lors des premières parties (les précédentes avaient été jouées en 2018), mais auquel je risque d’avoir tout le temps envie de jouer passé celles-ci.
Proute dit :ConcordiaQuand j’ai lu la première phrase, j’attendais la seconde :-P
Lui (…) [finit] par se spécialiser dans les outils avec le Forgeron.
Je gagne assez largement
Comme je disais sur je ne sais plus quel topic, soirée “découverte jeux casuals” au petit bistro associatif du coin (patelin de 300 habitants).
- Plouf Party. C’est tout con, drôle et rapide. Que demander de plus ?
- Strike : c’est tout c… bon, pour pas écrire la même chose : un bon petit ressenti de "allez, encore un… ", c’est extrêmement bien foutu. L’envie de vider l’arène, les dés en X qui peuvent coûter cher… parfait pour des petites parties rapides autour d’une bière.
- Crossing : c’est bien moins bête que ça en a l’air, rapide, tactique, bluffage instantané, top aussi pour le format.
- Kingdomino, que je connais bien, mais fait découvrir à un petit jeune.
Quand les autres sont arrivés, au lieu de faire le It’s A Wonderful World habituel, on a plutôt fini la soirée sur un Neta Tanka à 5. Peut-être un peu plus lourd qu’à 3 ou 4, le plateau est bien chargé et on ne pose que 3 bonhommes (mais on dispose chacun d’un chef qui peut copier tous les emplacements déjà occupés).
Comme toujours, pas de grosse monté en puissance, mais une nécessité d’optimisation bien serrée avec la satisfaction, quand ça marche, d’un plan qui se déroule sans accrocs, comme disait Hannibal Smith :

Du coup à 5, c’est plus difficile de bien faire son truc. On pose un ouvrier, et 4 personnes vont ensuite poser le leur, c’est un peu plus dur de comboter.
Mais c’est toujours aussi sympa : un thème bien ancré (bien plus que It’s A Wonderful World, l’autre squatteur de la table), les actions “pour la communauté” (fendre du bois, chasser le bison) qui sont bien trouvées, c’est propre et net, y’a rien qui dépasse.
Dans mon petit top perso, j’ai l’impression qu’il est gentiment en train passer devant Pillards en terme de pose d’ouvrier medium pas trop prise de tête.
Hier et aujourd’hui :
découverte du désormais célèbre 7ème continent : 3 parties sur la Déesse Vorace, défaite après environ 5h de jeu. Une fois l’iconographie digérée, ça tourne tout seul. On a vraiment beaucoup aimé, le fiston devrait nous rejoindre pour le 2ème run.
Un Innovation, partie expresse en 30 minutes. je prend une sévère déculottée 6 à 1, rare chez nous qu’il y ait un tel écart. Ma femme a pu piocher des cartes de l’âge 10 quand j’étais encore à l’âge 5. Y’a pas eu photo.
Doc Topus dit :
Un Innovation, partie expresse en 30 minutes. je prend une sévère déculottée 6 à 1, rare chez nous qu'il y ait un tel écart. Ma femme a pu piocher des cartes de l'âge 10 quand j'étais encore à l'âge 5. Y'a pas eu photo.
Bonsoir,
INNOVATION aussi chez nous.
2 joueurs, la meilleure config' pour ce jeu.
Une partie mémorable de 2H.
Que de rebondissements !
Je mène 4 Dominations à 0.
Puis mon camarade de jeu revient à 5-1.
Me reste 1 Domination à acquérir.
On se retrouve à 5-5.
Et je perds 6-5.
Mais quel sacré bon moment ludique !
Allez, bons jeux à tous.
Un Agricola + extension Fermier à 4 gros joueurs experts du jeu, le 5eme joueur nous ayant fait faux bon.
Pas de bol, Agricola doit être le seul jeu ou je n’aime pas la config 4 joueurs. En général c’est ma préférée.
On démarre sur un draft 9/7.
Et ce qui devait arriver arriva, je suis prêt pour la naissance tour 5 mais elle n’arrivera que tour 7, alors qu’à 5 joueurs, on est sur de l’avoir.
Tour 5 un adversaire joue la cabane en roseau qui lui donne une pièce et une naissance utilisable dès ce tour.
Il a donc eu 3 actions au lieu de 2 pendant 3 tours avant que l’un de nous puisse faire une naissance. (moi en l’occurrence) et l’égaliser.
Un avantage tellement énorme qu’on a compris de suite qu’on allait jouer la 2eme place.
En plus, c’est un gros joueur (+ de 2000 parties online quand même) qui nous a fait une partie de folie ou il a cumulé les aménagements, se permettant le luxe de scorer 24pts d’aménagements + 6 pts bonus d’aménagement. Du jamais vu !
Bref, l’exemple parfait du pourquoi je n’aime pas la config 4 joueurs et trouve la config 5 joueurs tellement plus équilibrée. Ca n’arrive pas souvent bien sur mais quand ca arrive, c’est chiant.
Bien sur, il gagne mais avec 54 pts “seulement”, il a finit la partie sans animaux à part des chevaux et sans cloture donc -3 PVs. On l’a bien emmerdé pour y arriver, on n’est pas du genre à pleurnicher sans rien faire parce que l’un d’entre nous sort une grosse carte et on l’a gardé dans le viseur toute la partie mais il était irrattrapable. .
De mon coté, je choppe une carte dont j’ai oublié le nom qui me donne 1 Pv/adversaire/série de 4 animaux différents.
Une grosse combo de plusieurs cartes me permettra de rentrer 3 séries donc 9 PVs plus les PVs que l’on gagne sur les animaux. Pas évident de stocker 3 animaux mini de chaque espèce, c’était le max que la carte permet de scorer.
Je finis par réussir à remplir les conditions pour la poser (aucune case libre sur sa ferme) et termine 2eme à 48 pts.
La naissance tour 5 ou 6 m’aurait surement permis de faire peur au gagnant.
Malgré cette carte un peu cheatée, une grosse partie ou aucun de nous n’a baissé les bras et tout le monde a sorti de grosses combos. Le 3eme joueur finit à 44 pts et le dernier a 34 pts je crois.
Une partie ultra tendue ou chaque décision est un calvaire tant les choix sont tendus.
Une partie comme on les aime.
Hier, nous avons fait une nouvelle partie de Concordia, à 3 cette fois-ci.
Monsieur Proute a bien pris sa revanche, puisqu’il gagnera de loin, moi 10 points derrière, le nouvel arrivant bon dernier.
Je suis toujours dans la phase découverte de ce jeu et j’ai fait plein d’erreurs, ce qui m’amène à dire qu’elles ne sont pas très punitives : elles m’ont empêchée de gagner, mais la partie n’était pas une punition pour autant. Par exemple, au début de la partie je joue mon Sénateur pour prendre le Maçon, qui m’a bien servi la veille, et au passage, juste pour éviter que quelqu’un d’autre le prenne, je prends le Fermier, ce qui dépensera la ressource blé qui m’aurait permis d’avoir une maison de plus dans une ville produisant de la brique. J’ai donc pris un gros virage histoire de ne pas l’avoir achetée pour rien, et donc construit deux villas dans des cités produisant du blé, pour rentabiliser mon fermier. Tout ceci m’a bien évidemment servi, mais j’ai eu l’impression de suivre deux lignes parallèles sans l’avoir vraiment voulu.
A la fin, je veux trop optimiser mon Tribun et perds du temps sur trois actions secondaires (eh oui, carrément), temps que je pensais avoir, mais quand monsieur Joyeux a acheté soudain la dernière carte et ainsi mis fin à la partie, je n’avais pas eu le temps de construire mes villas prévues dans différentes régions pour rentabiliser à la fois Jupiter et Saturne. J’aurais donc dû moins pinailler et prendre plus de risques. Le vainqueur a manqué lui aussi d’actions pour prendre plus de distance, mais aurait pu plus difficilement que moi faire autrement que ce qu’il a fait. Ça m’apprendra.
Pour le moment, en raison du nombre de villas, de provinces et de la répartition des cartes, on a l’impression que ce sont quand même Jupiter et Saturne qui vont permettre de scorer un max, mais monsieur Proute a fait un très joli score aussi avec Mercure, et c’est ce dernier qui aura vraiment fait la différence entre nous.
Au stade de découverte où nous en sommes, la difficulté est de se rappeler des différentes façons de scorer tout en les optimisant à la fois sur le plateau mais aussi dans notre main.
Pour l’instant, nous surveillons les actions des autres joueurs surtout en raison de la carte Diplomate, mais pour ma part je n’ai pas encore assez de cerveau disponible pour compter les différents dieux sur les cartes qu’ils ont choisies et tenter de les contrarier sur le plateau ou même simplement surveiller leur avancée dans les domaines choisis.
Un jeu qui promet de nombreuses parties avant de le maîtriser suffisamment pour vraiment enquiquiner les autres joueurs tout en s’assurant de progresser sur son petit chemin.
Malgré sa froideur déconcertante lors des premières parties (pas pour rien qu’on l’a laissé végéter deux ans après nos deux premières parties), il commence à sérieusement m’intriguer et me titiller pour avoir envie d’y jouer de façon répétée. Heureusement, monsieur Proute l’aime bien, et encore plus maintenant qu’il nous a donné une bonne leçon !
J’ai aussi fait une partie de Terraforming Mars, à 2 avec monsieur Joyeux qui en redemande, sans draft naturellement. A titre d’information, cette fois-ci nous avons calé la partie en moins de 3 heures. Il faut dire aussi qu’il restait deux océans seulement à placer (les deux autres paramètres déjà au taquet depuis un moment) à la 16e génération et que je savais que j’étais loin devant, j’ai donc acheté ces deux océans, ne voyant pas la nécessité de prolonger sur une 17e génération juste pour encore creuser l’écart.
Cette fois-ci, mon adversaire dont c’était la 6e partie fait un meilleur départ qu’habituellement et je m’en réjouis. Cela ne m’empêchera pas de valider deux objectifs ni de financer et remporter les deux premières récompenses ; je n’en financerai pas de troisième puisqu’il possède plus de chaleur, de minerais et de badges science que moi. De fait, je dépenserai tout mon titane sans regrets chaque fois que j’en aurai l’occasion.
J’aurai eu le plaisir d’accumuler une belle collection d’animaux : les fameuses vaches, les petits loulous de poméranie (ou sont-ce des westies ?), des petites belettes, mes ours mangeurs de saumons (ou étaient-ce des requins mangeurs de thons ?)… Mais j’avais aussi de quoi produire beaucoup de centrales d’énergie pour en dépenser dans une opération de magnétisation du pôle martien. Je crois n’avoir jamais fait autant de points grâce aux ressources accumulées sur les cartes bleues.
J’ai aussi couvert Mars de forêts, de préférence autour de mes cités (parfois judicieusement placées contre trois forêts de l’adversaire), les développant pour la plupart à l’aide des projets standard, chose que j’avais rarement faite jusque-là. Je progresse donc doucement, mais sûrement.
Ah oui, mon adversaire avait Teractor (ayant rejeté Ecoline qu’il avait la dernière fois), et moi Crédicor (rejetant Saturn system pour ne pas faire une partie similaire à la dernière ; bon, ç’aurait peut-être été l’occasion de confirmer qu’on peut faire deux parties bien différentes avec la même corpo).
Nous avons aussi fait une partie d’Abyss, jeu auquel mes deux partenaires veulent bien jouer chaque semaine avec plaisir.
Ayant acquis un lieu qui rémunère les alliés fédérés poulpes (les bleus), j’essayerai d’en avoir le plus possible en alternant prises de cartes au conseil et recrutement de Seigneurs qui me permettent de dépenser ces cartes bleues, faibles pour pouvoir en fédérer une à chaque fois ; je passerai donc une longue deuxième moitié de la partie sans perle.
De son côté, monsieur Proute recrute entre autres le seigneur qui lui rapporte une perle à chaque tour, mais surtout celui qui permet de fédérer l’allié de son choix parmi ceux dépensés (et il aura à la fin 22 points rien que pour les alliés fédérés !) Il va donc acrobatiquement recruter aussi souvent qu’il le peut, mais uniquement des seigneurs sans clé ou des ambassadeurs, afin de conserver le plus longtemps possible ces avantages (et il y arrivera toute la partie).
Monsieur Joyeux quant à lui refait de la collection d’alliés dans sa main, mais malgré ça ne parviendra pas à acheter l’Assassin qui aurait permis de mettre un terme aux manigances de monsieur Proute ; il explore donc joyeusement, recrute de temps en temps, et finit par avoir une belle collection de perles avec tous les bons alliés que monsieur Proute lui rafle sous le nez.
Les scores sont pourtant assez groupés : 89 - 87 - 78 (je suis 2e, devinez qui a gagné ?)
On finit sur un Linko!, toujours à 3. Un petit jeu très plaisant qui pourrait laisser croire que la chance y est importante, mais en réalité bien plus subtil que cela, et une fois de plus je le remporte.
Ici, 22eme partie de On Mars, avec les 4 mêmes joueurs qu’il y a 3 semaines. Petits rappels de règles après lesquels nous bouclerons la partie en 3 heures.
Tout le monde se rue sur les plans, sauf moi (je n’en prendrai qu’un seul de toute la partie). Je tente de presque tout miser sur les scientifiques (je réussirai à en choper 4 avant que ça réagisse en face) laissant les autres oeuvrer pour moi Je m’en tire pas mal puisque je terminerai second.
La partie a été particulière et intéressante, personne ne prenant de technos de bâtiments avant le milieu de partie. 2 d’entre eux ne seront pas pris du tout.
La gagnante (ma compagne) réussit un très gros tour, bien préparé, où, entre autres, elle va améliorer 5 bâtiment d’un coup.
Partie très interactive et fun (si si !) qui se finit sur des scores pas très élevés et assez resserrés : 78-70-67-63.
Barrage à deux, c’est excellent. deux nouvelles defaites pour ma part. madame adore. Pas encore essayé mais à 3 ou 4, on pense que ca enleve de la programmation et de la strategie planifiable pour ajouter bcps d’opportunisme, un tout autre jeu selon nous. a tester.
Notre partie de Robinson Crusoé du mois : Aujourd’hui, ce fut le scénario 4, L’île au volcan.
Les participants : 4 joueurs connaissant le jeu, jouant des chasseurs de trésors
Notre ennemi principal : Un volcan
En fait, nous avons joué 2 parties. La première fut perdue en 1h15 au 5 ième tour, par le décès prématuré de la Menuisière qui a perdu 4 points de vie en deux cartes. Ce fut si soudain que nous sommes restés un moment sans voix.
Maintenant, Il y a eu en début de partie un événement qui promettait des galères futures : Un joueur joue une exploration spéciale (comme l’impose le scénario) en piochant trois cartes mystère : La première, il trouve une boite pour conserver l’alimentation qui peut périmer. la seconde, il trouve une vieille couverture pour se protéger du froid en cas de neige et la troisième… il fait une chute dans une fosse et perd tout ce qu’il a trouvé.
Et ce fut comme ça toute la partie.
“Bon ! On y retourne ?”
Aller, nouvelle mise en place, et c’est reparti…
Et là, ce fut presque enchanteur. Tout se goupillait bien, nous étions bien plus sures de nous sur la stratégie à suivre (surtout pour les explorations) et on a eu de la réussite sur les jetons, le gibiers, les événements, les cartes mystères… si bien qu’on termine à nouveau en 1h 15 au 6 ième tour cette fois (sur 8 possibles) par la construction de la chaloupe. On a dominé le jeu de la tête et des épaules, on termine même avec une quantité de nourritures telle qu’on avait presque 3 tours d’assurés question victuaille.
Nous avons ensuite parlé un moment de ce qui s’est passé dans ces deux parties puis nous nous sommes penchés sur ce qui nous attend la prochaine fois dans le scénario 5 : une confrontation avec les cannibales !