Hier, j'ai joué a ... page 1048 + (partie 1)

Rwain dit :Les sensations de jeu sont vraiment très bonnes. C'est agréable de voir chacun élaborer son plan, sans pouvoir trop expliquer ses actions. Les objectifs de carrière et de bataille donnent du piment au jeu coop. Ainsi, on a bien rigolé quand, en plein combat, alors que l'on se demandait si on allait pas être débordé par les gardes, notre mindthief s'est glissé au milieu des bandits pour... looter toutes les pièces qui traînaient au sol ! "Ah le rat !!!"

Ce point est à mes yeux la vraie grande réussite du jeu, et ce qui fait que je l'ai particulièrement apprécié alors que je ne suis pas (du tout) client des jeux tactiques. Et raison pour laquelle je n'imagine pas d'y jouer en solo, d'ailleurs.
 

Et j’attends toujours la boîte en VF hein… c’est quand vous voulez les éditeurs :laughing:

pingouin dit :
Rwain dit :Les sensations de jeu sont vraiment très bonnes. C'est agréable de voir chacun élaborer son plan, sans pouvoir trop expliquer ses actions. Les objectifs de carrière et de bataille donnent du piment au jeu coop. Ainsi, on a bien rigolé quand, en plein combat, alors que l'on se demandait si on allait pas être débordé par les gardes, notre mindthief s'est glissé au milieu des bandits pour... looter toutes les pièces qui traînaient au sol ! "Ah le rat !!!"

[...] je ne suis pas (du tout) client des jeux tactiques [...]
 

Genre Kingdom Builder et la traversée du désert ? ou plutôt Lettres de Whitechapel ?
Ou bien tu parles de wargames ?

L’a l’air bien sympa, ce Gloomhaven ; mais comme souvent, je sors déjà pas assez mes boîtes préférées donc de là à en rajouter une… angry
Hier, pour ma part, mini-ludique chez beri pour trois duels à couteaux tirés :
Mise en jambes par un retour dans les profondeurs d’Otys, dernière perle du bien nommé studio éponyme, que je remporte 18 à 17 (!). Alors soyons franc : c’était moins pire que la première fois, mais on rame toujours pas mal, quand même (activité normalement réservée à la surface de l’eau, je vous le concède ;-). Ceci étant dit, vers la moitié de la partie, je dirais, nous avons tous les deux commencé à progressivement modifier notre façon de penser et nos attentes, et les bons coups ont fait leur apparition ; utilité de certains plongeurs plus claire, enchaînements de deux ou trois actions “pas grave si les bonus changent”, etc. faut dire qu’on a bien choisi les sponsors, cette fois-ci : presque tous étaient sur leur face avancée (et pour le moment je jouerai toujours dans cette configuration). En fin de compte, victoire sur le fil grâce à deux jetons bonus parfaitement tombés ; je pourrais être mauvaise langue et dire “coup de bol, c’est nul ce jeu” mais en fait il faut plutôt voir ça comme un “j’ai pu le faire car dans Otys, il faut pouvoir être sans arrêt en capacité de saisir une occasion”. Otys, ou l’opportunisme à son paroxysme ?!? no
Après avoir mangé un bout de tofu, on est chaud patate et c’est parti pour un Concordia sur la carte Hispania (avec le sel, donc, ainsi que les tuiles Pouvoir :-). Bon, bah c’est décidé : fini les contraintes à la c… frownEn effet, comme mes deux uniques victoires à ce jeu ont été possibles à chaque fois avec notamment un tisserand à 30 points (grâce aux trois comptoirs de sel), je me suis obligé à essayer une autre stratégie (maçon/forgeron, en l’occurrence) alors que deux des trois cités “tissu” étaient juste à côté de la capitale… Bref. J’ai eu plus de difficultés que d’habitude à sortir de bons coups et un milieu de partie très cafouillant ; bilan : défaite 141 à 152 alors que j’espérais l’emporter, même de peu. Moralité : pas acheté assez de cartes, encore une fois, et brique/outils c’est peut-être un peu bâtard, comme combo ; blé/outil, peut-être ? Faudrait aussi que j’accorde moins d’importance aux spécialistes (mais y en a qu’UN !) afin de me concentrer davantage sur mon moteur de base, aussi.
Pour finir, comme il était pas tôt, pas de revanche mais un petit AZUL qui va bien ; je gagne de deux petits points face à un beri à huitante tout pile (spéciale dédicace ;-). Bon. Entre deux gros jeux pendant les 24h de St-Leu, c’était fort sympathique ; là, je dois bien avoué que… vais sans doute pas y retourner de suite. Bien mais pas top, quoi ; pas de “coup de cœur”, comme on dit. Mais il en faut pour tous les goûts !Et vous alors, vos dernières expériences ?

Amicalement,

Emmanuel

el payo dit :
pingouin dit :
Rwain dit :Les sensations de jeu sont vraiment très bonnes. C'est agréable de voir chacun élaborer son plan, sans pouvoir trop expliquer ses actions. Les objectifs de carrière et de bataille donnent du piment au jeu coop. Ainsi, on a bien rigolé quand, en plein combat, alors que l'on se demandait si on allait pas être débordé par les gardes, notre mindthief s'est glissé au milieu des bandits pour... looter toutes les pièces qui traînaient au sol ! "Ah le rat !!!"

[...] je ne suis pas (du tout) client des jeux tactiques [...]
 

Genre Kingdom Builder et la traversée du désert ? ou plutôt Lettres de Whitechapel ?
Ou bien tu parles de wargames ?

heu oui, ça peut être ambigü en effet
je pensais plutôt aux genres wargames. En confrontation directe je suis, le plus souvent, incroyablement nul.
J'aurais dû dire les jeux de combat tactique...
Gloomhaven n'est (presque) que ça, mais coop. Donc ça va laugh

A l’instant, après le tofu du repas de midi, (et les incroyables glaces du Pr. Grunschnabel), une partie de Troyes, toujours à 2 avec monsieur Proute.

Je découvre dans mes cartes Urbain IV et Hugues de Payns.
Nous démarrons de façon un peu atypique, puisque monsieur Proute décide de se mettre en force au Palais royal, je me retrouve donc pour moitié au clergé et pour moitié à l’hôtel de ville.
Les premières cartes d’activité me laissent tièdes puisqu’il s’agit de la Dîme, de la Chevalerie et du Marchand. J’entame donc tout de suite et largement les travaux de la cathédrale en croisant les doigts pour qu’il n’y ait pas de perturbation des travaux (mais elle arrivera au 4e tour), puis engage le marchand afin d’avoir un peu de sous.
Monsieur Proute, lui, engage directement la Chevalerie pour résoudre les problèmes de Brigandage aux alentours de Troyes.
La période suivante nous révèle l’Apprentissage, le Mercenaire (et là monsieur Proute va se mettre de l’argent ras-la-gueule) et le Forgeron ! Bon. Le jeu me semble à présent en faveur des nobles. Par principe, je finance deux apprentissages et continue mes travaux à la cathédrale, financés par le Marchand. Mon adversaire remplit effectivement ses coffres grâces aux mercenaires bien armés à l’aide du Forgeron. Pour ma part, je résous le petit problème de place à l’auberge (les Voyageurs) et un petit conflit théologique (tout ça en deux tours, bien sûr).
Se révèlent alors le Verrier (que j’ai l’impression de découvrir alors que c’est pourtant ma 20e partie de Troyes, enfin je crois), le Banquet (mais il n’avait rien à faire là du tout, on ne joue jamais avec les 4 cartes bonus !, un infiltré, donc, qui va bien arranger monsieur Proute), ainsi que l’Orfèvre.
Eh bien… Comment dire. La combinaison Apprentissage avec le Verrier (et plein de dés blancs et une construction de la cathédrale bien avancée) et l’Orfèvre, ça fait… un max de Prestige !!! Jamais vu ça, j’ai fait 16 points d’un coup grâce à la combo Apprentissage + Verrier (4e tour), et 6 points + 12 sous avec l’Orfèvre (3e tour), sachant que j’avais déjà grapillé des points avec le Verrier sans apprentissage au 3e tour et ensuite encore avec l’Orfèvre sans apprentissage au 4e tour.
En plus, avec tous les travaux de la cathédrale et les 2 événements résolus, j’ai assez d’influence pour récolter les hommages d’Hugues de Payns tandis que le pape apprécie totalement l’avancement sur les travaux de la cathédrale.
Du côté de monsieur Proute, Henri I nous récompense tous les deux (moi, à peine, lui mieux) et Thibaut II est très content de sa trésorerie (la mienne, par contre, est lamentable). Je récolte encore un peu de prestige grâce à ma pugnacité contre les événements tandis que monsieur Proute paye son absence à l’un des étages de la cathédrale, et les corps de métier engagés nous rapportent, surtout à moi, bien du prestige eux aussi.

Un résultat hallucinant : j’aurai amassé en tout 79 points de prestige, contre 41 pour monsieur Proute ! (qui, il est vrai, concentré sur ses militaires, ne m’a pratiquement pas acheté de dé…)

Proute dit :les incroyables glaces du Pr. Grunschnabel

Désolé pour le HS mais ÇA, c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd... ... et ce même si je trouve Troyes bien trop froid à mon goût (mais c'est pas parce qu'on n'aime pas le chocolat qu'il faut en dégoûter les autres, hein !). Amicalement,

E.

Je sens qu’Ornifan a lancé une thématique tofu :smiley:

beri dit :Je sens qu’Ornifan a lancé une thématique tofu :D

Jaloux. Et avoue : c'est TOI qui écris sous le pseudo Kundalini et crées des sujets sur les jeux "variantés"...

Non, c’est point moi, mais ça m’a l’air d’être qqn de très bien.

Bon, et bien je n’ai pas vu de sujet sur le dernier Stefan Feld (et Michael Rieneck) paru chez Queen games, donc je vais poster ici. 
Voilà, vous avez deviné, hier soir, découverte config 4 (dont 2 amateurs de Feld) de Merlin
Avant Kaamelott, j’avais toujours rêvé de succéder au roi Arthur avec les jeux qui vont bien. Depuis Kaamelott, je suis plus hésitant…

Alors on a une belle boite (à 52 euros), un beau et solide matériel abondant et très coloré, des règles françaises avec quelques coquilles… oui c’est bien un Queen games. De mémoire, Stefan Feld avait travaillé une seule fois avec Queen Games qui avait édité Roma dans un format petite boite… vous voyez autre chose ? 
N’étant pas adepte des salades de points, j’ai jamais vraiment été un “feldien”… et en plus, j’ai pas aimé Trajan ni les Châteaux de Bourgogne, deux jeux adulés par les aficionados de l’auteur de Um Rhum & Ehre (ah oui, là c’est sure, il faut un peu de culture ludique). Par contre, j’aime bien l’année du dragon, Notre-Dame et étrangement, je me suis surpris a apprécié Bora-Bora. 
Pour Merlin, ayant lu des choses sur le jeu, j’étais pas trop inquiet. En plus, Feld n’est pas tout seul, puisque qu’accompagné par Michael Rieneck, dont je joue actuellement à la dernière création, à savoir “Une colonne de feu”. 

Nous avons opté de jouer sans l’extension (oui, il y a un module fourni dans la boite). Après explication des règles, un premier constat : la mécanique est simple ; il y a toutefois plein de petite choses à expliquer mais les différentes icônes sont assez claires. Rapidement, on réalise que 4 dés à jouer par joueur et par manche, c’est pas beaucoup. Chaque joueur jouera 24 dés au total… et il y a tellement à faire ! Nous avons 3 décomptes durant la partie, 4 façons de marquer des points durant ces  décomptes (plus 3 petits additifs pour la fin), et des possibilités de marquer des points en cours de jeu. Sur ce plan là, c’et pas aussi “touffu” que d’habitude, et je trouve que c’est bien. Par contre, que c’est difficile de marquer des points… enfin je veux dire, beaucoup de points. Un brin songeurs, nous regardions de temps à autres la tuile +100 disponible quand un joueur dépasse les 100 points en nous demandant si c’était bien normal ce qui nous arrivait. Le vainqueur gagne avec… heu… moins de 70 points. On s’est dit que l’extension permettait sans doute d’en marquer plus. Parce qu’en cours de jeu, vous avancez le plus souvent sur la piste à coup de 1, 2, 3 points, parfois 5 ou 6 dans certains (rares) cas. 

Bref, nous avions l’impression de jouer comme des grosses buses. noEtait-ce le cas ? Je sais pas. 

Question règles, attention à quelques imprécisions des règles VF (il y a même un petit feuillet errata pour les Dames d’Honneur).
Par contre, il y a un truc qui me surprend :
A chaque décompte, vous avez 3 traîtres à combattre, chacun pouvant vous faire perdre 3 points. C’est la première chose qu’on vérifie avant de marquer des points sur le reste. Donc, au premier décompte, si un joueur a marqué aucun point et n’a pas combattu ses traîtres (ce qui est arrivé dans notre partie), il doit perdre 9 points… mais si il est à 0 et bien, rien ne dit dans les règles qu’il recule en dessous de la piste… ça m’a paru un peu facile, surtout que les actions pour combattre les traîtres prennent du temps, et ne rapportent pas de point (sauf cas particulier avec l’épée Excalibur), elles permettent juste de pas en perdre. Or, au premier décompte, on a pas marqué grand chose (et il est pas facile de marquer beaucoup), si bien que les écarts avec le joueur resté à 0 étaient faibles; Et d’ailleurs, ce joueur termine second à la fin, pas loin du premier… 

A part un doute sur cet aspect du jeu au premier décompte, les 4 joueurs ont apprécié Merlin et la partie. On peut se faire de vilains tours (les manoirs sur les terrains, les majorités sur les jetons d’influence, le déplacement de Merlin, la prise d’Excalibur ou du Graal), le déroulé du jeu est plutôt fluide. Le hasard des dés peut être parfois un peu gênant, mais il y a des moyens pour modifier les valeurs. Cela dit, pas deux fois dans la partie, j’ai été obligé de déplacer un chevalier… sans pouvoir faire d’action… mais bon, c’est peut-être le syndrome buse. 

Enfin voilà : Merlin est un jeu agréable que je vais souvent l’amener au club prochainement. 


Pour Queen Games, Feld avait sorti chez eux Amerigo.

Il faut jouer avec le module intégré, cela permet de bonifier les cartes objectifs qui sinon ne servent qu’à marquer des PV.

Pour les traîtres, Feld a confirmé sur BGG que le score pouvait descendre sous 0.


Etherion dit :Pour Queen Games, Feld avait sorti chez eux Amerigo.

Il faut jouer avec le module intégré, cela permet de bonifier les cartes objectifs qui sinon ne servent qu'à marquer des PV.

Pour les traîtres, Feld a confirmé sur BGG que le score pouvait descendre sous 0.


 

merci pour toutes ces précisions ! cheeky
Alors Amerigo... ah oui, je l'avais oublié celui-là. Bien vu.
Je n'y ai pas joué et il me semble l'avoir vu une seule fois sur une table. 

Pour le module, oui, nous nous sommes doutés qu'il devait être intéressant sur bien des aspects, mais comme c'était la première partie, avec en plus un joueur que je connais peu, j'ai préféré m'en tenir au jeu de base. 

Pour les traîtres, ouf ! Alors là, tu me rassures. Sinon, ben, je crois qu'une variante serait vite apparue...

Ornifan dit :Otys
Ceci étant dit, vers la moitié de la partie, je dirais, nous avons tous les deux commencé à progressivement modifier notre façon de penser et nos attentes, et les bons coups ont fait leur apparition
Perso, je n'ai pas ressenti cette bascule que tu décris. Mais pour sûr les mécènes alternatifs m'ont bien mieux plu que les originaux. Encore qu'on n'a jamais utilisé le pouvoir de déplacement des cubes (même moi, alors que je croyais qu'il n'y avait pas de contrainte d'étage pour cet effet).
 
Concordia sur la carte Hispania (avec le sel, donc, ainsi que les tuiles Pouvoir :-).
Précisons qu'on avait tenté une petite modif (qui n'a pas eu d'incidence cette fois) : les villes de sel coûtent 6$ au lieu de 5, mais comptent aussi pour Mercure (ce qui me paraît plus logique que pour Minerve).
 
Pour finir, comme il était pas tôt, pas de revanche mais un petit AZUL qui va bien ; je gagne de deux petits points face à un beri à huitante tout pile (spéciale dédicace ;-). 

Dédicace spotted. Ouaip Azul ça me plaît peut-être un peu plus à 2 joueurs, mais c'est toujours pas le grand kiff.

beri dit :
Ornifan dit :Otys
Pour sûr les mécènes alternatifs m'ont bien mieux plu que les originaux. Encore qu'on n'a jamais utilisé le pouvoir de déplacement des cubes.
 C'était une partie "totale dèche de batterie", pour moi, donc j'étais pas en train de faire mumuse avec !
Concordia sur la carte Hispania (avec le sel, donc, ainsi que les tuiles Pouvoir :-).
Précisons qu'on avait tenté une petite modif (qui n'a pas eu d'incidence cette fois) : les villes de sel coûtent 6$ au lieu de 5, mais comptent aussi pour Mercure (ce qui me paraît plus logique que pour Minerve).
Mouais bah intellectuellement ça me va plus mais je dois quand même que le sel, pour l'instant, j'en suis quand même moyen fan (sauf pour booster mon tisserand ;-). Bref. angryAmicalement,

E.

Découverte d’Agra hier soir à 3.
Les règles sont assez touffues mais plus digestes que Lisboa.
Au début, on tâtonne un peu devant toutes les possibilités pendant son tour . On était 2 à partir sur la méditation et donc booster notre valeur et donc à coucher nous ouvriers pour enlever ces caches avant d’augmenter notre production. Par contre nos ouvriers une fois chassés ne nous rapportaient plus de faveur, au contraire du 3 eme larron qui s’est gavé de faveurs toutes la partie avant de pencher doucement vers la voie de la méditation.
Au bout de quelques tours entre la possibilité d’acheter une marchandise de base, ou de la transformer ou de monter sur une piste d’influence pour satisfaire des commandes de guilde, combiné aux actions faisables en méditant, c’est dur de prévoir ce que peut faire un adversaire.
Du coup notre partie fut un peu longue 3 heures 15. mais je trouve cela agréable on trouve une certaine liberté même si c’est facile d’embêter ses compagnons de jeu en bloquant les actions de méditation comme enlever un cache (très demandée en début de partie) ou transformer une marchandise.
j’ai laissé la première piste d’influence libre pour mes adversaires et me suis concentré sur les 2 suivantes en faisant 4 livraisons sur les 5 commandes dispos (la 6 étant prise par le neutre) et en restant majoritaire sur ces piste.
j’ai beaucoup scoré sur les commandes de guilde au moins une 40 aine pour les 10 bonus à la fin (4x2 et 2x1) et l’emporte 71, 63, 59.
Je n’ai pas joué sur les livraisons à l’empereur et du coup vers la fin chaque bien livré rapportait 3 PV à mes adversaires.
On s’est demandé ce qu’avait fait comme jeu précédemment cet auteur et en voyant la granja en effet on y retrouve des similitudes, des livraisons à honorer, et surtout beaucoup d’actions secondaires possibles à son tour à gérer comme on veut.

Au vu de ses possibilité pas sur que les joueurs enclins à l’AP soient les bienvenus aux table d’Agra…

j’espère que la prochaine sera plus rapide, et que c’était juste le temps de se faire aux mécanismes du jeu.
On est 2 à bien aimer, Pingouin était perplexe sur certaines mécaniques de trop d’après lui  mais je laisserai exprimer son ressenti (enfin s’il trouve le temps de le faire.)

On était tous d’accord que le matos est bien mais que le plateau aurait mérité un peu plus de lisibilité, sur les fleches menant aux ressources transformées ou sur le fait qu’un bâtiment était construit.

Quelques points de règles flous aussi; comme le marchand qui dépose des pièces dans les batiments qu’il traverse (et donc pas là où il s’arrête)

(Comme Fdubois, j’ajoute à côté du nom du jeu le nombre de parties jouées pour celui-ci.)

Pioneer Days (4). Je le fais essayer à ma fille qui apprécie ce jeu attrayant. Elle redemande une nouvelle partie quelques jours plus tard, cette fois à trois joueurs. Tout le monde est emballé. Un bon petit jeu avec plein de décisions à prendre, et le tout en une heure.


Whistle Stop (2). Enfin, ma seconde partie depuis celle jouée à l’hôtel, le soir de son achat sur le salon d’Essen. Cette fois à deux joueurs, le jeu est sensiblement le même qu’avec plus de joueurs puisque nous avons ici cinq locomotives à faire évoluer.


Keyflower (28). Deux ans sans y jouer, et je me souviens à quel point j’aime ce jeu.


Parley (1). Un jeu obscur ramené d’Essen. Je me souviens que l’ambiance observée sur les tables de démonstration avait fini de me convaincre de l’acheter. Nous avons eu la même ambiance chez nous. Un jeu de corsaires avec des rôles cachés, du chantage, de la déduction, de la prise de risque… Très très bien.


Netrunner LCG (441). Quelques parties en réel avec Cerebral Imaging (non combo), Leela Patel et Ele “Smoke” Scovak, les mêmes decks que le mois dernier. Sur Jinteki.net, là, j’essaie une multitude de decks différents.

frayaka dit :Découverte d'Agra hier soir à 3.
Les règles sont assez touffues mais plus digestes que Lisboa.
Au début, on tâtonne un peu devant toutes les possibilités pendant son tour . On était 2 à partir sur la méditation et donc booster notre valeur et donc à coucher nous ouvriers pour enlever ces caches avant d'augmenter notre production. Par contre nos ouvriers une fois chassés ne nous rapportaient plus de faveur, au contraire du 3 eme larron qui s'est gavé de faveurs toutes la partie avant de pencher doucement vers la voie de la méditation.
Au bout de quelques tours entre la possibilité d'acheter une marchandise de base, ou de la transformer ou de monter sur une piste d'influence pour satisfaire des commandes de guilde, combiné aux actions faisables en méditant, c'est dur de prévoir ce que peut faire un adversaire.
Du coup notre partie fut un peu longue 3 heures 15. mais je trouve cela agréable on trouve une certaine liberté même si c'est facile d'embêter ses compagnons de jeu en bloquant les actions de méditation comme enlever un cache (très demandée en début de partie) ou transformer une marchandise.
j'ai laissé la première piste d'influence libre pour mes adversaires et me suis concentré sur les 2 suivantes en faisant 4 livraisons sur les 5 commandes dispos (la 6 étant prise par le neutre) et en restant majoritaire sur ces piste.
j'ai beaucoup scoré sur les commandes de guilde au moins une 40 aine pour les 10 bonus à la fin (4x2 et 2x1) et l'emporte 71, 63, 59.
Je n'ai pas joué sur les livraisons à l'empereur et du coup vers la fin chaque bien livré rapportait 3 PV à mes adversaires.
On s'est demandé ce qu'avait fait comme jeu précédemment cet auteur et en voyant la granja en effet on y retrouve des similitudes, des livraisons à honorer, et surtout beaucoup d'actions secondaires possibles à son tour à gérer comme on veut.

Au vu de ses possibilité pas sur que les joueurs enclins à l'AP soient les bienvenus aux table d'Agra...

j'espère que la prochaine sera plus rapide, et que c'était juste le temps de se faire aux mécanismes du jeu.
On est 2 à bien aimer, Pingouin était perplexe sur certaines mécaniques de trop d'après lui  mais je laisserai exprimer son ressenti (enfin s'il trouve le temps de le faire.)

On était tous d'accord que le matos est bien mais que le plateau aurait mérité un peu plus de lisibilité, sur les fleches menant aux ressources transformées ou sur le fait qu'un bâtiment était construit.

Quelques points de règles flous aussi; comme le marchand qui dépose des pièces dans les batiments qu'il traverse (et donc pas là où il s'arrête)
 

En fait je trouve que le jeu est bon, plutôt agréable même, mais c'est le contraire de l'épure : il y a trop de petits points de règles et autres micro-ajustements pour que j'aie une immense envie d'y revenir. J'appellerais ça "l'effet Lisboa".
Après quelques tours l'iconographie est assez claire mais rien qu'à la voir on comprend que le jeu n'est pas fluide (ou, plutôt, que la dose de lubrifiant est un peu forte). Et à la fin on ne sait pas vraiment ce qu'on aurait dû changer pour faire mieux.
Et même si je ne m'en plains pas sur ma partie de jeudi, je considère que le plateau est une catastrophe. Menzel s' est fait plaisir, c'est beau mais assez désastreux en termes de lisibilité. Même la partie Gange (le fleuve des notables, en gros) suscite la confusion.
Donc voilà, pour paraphraser un forumeur régulier d'ici : trop de chrome.

Une petite partie de Deus à 2, pour Noël…

Je commence avec la Baliste, après monsieur Proute qui s’est installé dans une région florissante et fait de l’agriculture.

J’ai tout du long l’impression de ramer un peu, peut-être parce que je n’ai pas de cartes bleues dans ma main, ni presque de cartes civiles, ce qui m’embête doublement puisqu’au fur et à mesure du jeu, j’ambitionne de poser finalement 3 temples. Dommage pour moi, le troisième demande d’avoir 4 bâtiments par région et j’allais poser le temple en 4e sur ma troisième région, mais monsieur Proute pose le 4e temple sous mon nez ! Arg.

D’ailleurs, pour sa part, il se développe bien en production et fait du commerce avec sa flotte, s’enrichit grâce au développement de sa civilisation et contrôle tout ça avec un peu de militaire pour pacifier les villages barbares.

Tout cela lui réussit, puisqu’il l’emporte 79 à 70.

Torres : deux parties à 2 avant de le revendre, avec un plateau réduit (6×6 et 6 châteaux). À la seconde, on ne garde que 4 chevaliers, histoire d’avoir à faire des choix. J’ai l’impression que ça a mal vieilli.

Century : au premier abord, je prends beaucoup trop de cartes pour être efficace. Sauf que parmi mes cartes prises tardivement, trois marchent très bien ensemble et une autre tire excellemment parti de celles que j’ai prises au départ. Résultat : une fois que j’ai fait un premier objectif, ça va aller très vite.

Tides of time : toujours impressionnant d’efficacité, ce jeu en 18 cartes et 15 minutes.

Carcassonne la cité : dommage qu’il ne soit plus édité car – attention radotage – c’est le meilleur d’entre eux. Le plus gamer en tout cas. Le seul auquel je joue encore avec plaisir en tout cas.