Hier, j'ai joué a ... page 1048 + (partie 1)

Nidavellir a 2 avec l’extension Thingvellir.
Apres une douzaine de parties, on connaît plutôt bien le jeu de base. L’extension ajoute bcp de profondeur et rend les choix encore plus difficiles. A deux joueurs réguliers ca casse vraiment les habitudes et apporte un renouvellement des strategies bienvenu mais je ne suis pas sur de la sortir a chaque fois car ca rallonge sensiblement le temps de partie.

Suite des aventures de Donjon & Dragon pour mes 4 aventuriers de 8 ans. C’est le 3eme scénario, ils ont maintenant compris que c’est un jeu coopératif donc il vaut mieux rester groupir et faire les choses dans l’ordre, genre d’abord taper les monstres et seulement après ouvrir les trésors. Ils perdent le scénario de justesse après avoir fait une belle partie. Il leur manque encore quelques notions. Par exemple le guérisseur préfère jouer avec une grosse arme qui fait du dégât plutôt que de jouer avec une petite arme qui permet de gagner de la mana et donc de soigner, le voleur c’est un peu la même chose, il préfère taper que chercher des pièges. Mais globalement ils apprennent vite et ils s’éclatent sur le jeu.

Découverte de Hallertau à 4 joueurs. Fan d’agricola depuis toujours, je suis rentré assez facilement dans le jeu. J’ai pioché pas mal de cartes au début dans les différents paquets pour voir ce que ca rapportait. ensuite j’ai essayé de construire mon jeu autour des cartes avec comme objectif de faire avancer ma barraque d’une case à chaque tour.
Le système d’actions est intéressant et malgré le fait qu’on soit 4 joueurs, j’ai trouvé que c’était bien dosé. je ne me suis jamais retrouvé bloqué mais il m’est arrivé de payer plus que prévu, normal pour ce genre de jeu. J’ai trouvé le jeu plutot lisible malgré toutes les ressources différentes et la partie fut agréable avec un seul petit bémol, avec toutes les manipulations à faire pendant la partie, pas évident de ne rien oublier.

des retours sur le jeu Khôra ?

Je fais découvrir Through the ages à un pote.
C’est un jeu assez spécial à faire découvrir, l’un des rares où je n’explique qu’une petite portion de la règle. Je lance la partie assez vite en utilisant le premier tour tronqué pour expliquer les premiers concepts, la production (qui est quand même très particulière à ce jeu),…
Je pars sur Homère avec les Pyramides, mon adversaire opte pour Aristote et le Colosse. Il monte assez rapidement sa force militaire, mais je ne subis cependant pas d’agression. Il prend une belle option sur la colonisation et devient dangereux sur les colonies, surtout que Cook est de la partie. Je choisis donc Isabelle de Castille pour le contrer un peu et j’arrive à choper une première colonie habitée. Ayant choper Fer et Irrigation, je lance la construction du Macchu Picchu. En face, c’est Barberousse qui succède à Aristote, ce qui lui permet de continuer sa politique de colonisation. 
Le développement de la cavalerie lui permet de continuer de me mettre la pression en militaire. Mes fantassins arrivent à gérer la défense. Ma cartographie me permet de faire monter les enchères sur les colonies. Il les gagne quand même, mais je lui fais payer. J’arrive quand même à en choper une autre (un territoire historique). 
Il termine alors le Taj Mahal et prend Cook comme leader de sa civilisation. Il produit 11PV par tour alors que je plafonne à 1.
Je prends alors Marie Thérèse histoire de commencer à faire un peu plus de points. Ma production de bouffe est suffisante pour l’activer sans souci à tous les tours. Après avoir serré les fesses pendant quelques tours niveau militaire, je développe une cavalerie avec une tactique de hussards et Marie Thérèse m’aide pour remonter la pente et même prendre légèrement le lead militaire.
Avec un Cook efficace, mon adversaire laisse passer les premiers leaders d’âge III. Marrie Thérèse ayant fait son temps, elle cède la place à Meier, qui, avec le développement d’ordinateur, commence à remonter mon retard en PV. Mais j’ai de gros problèmes de bonheur. Je suis complètement à flux tendu, et je gère avec des opéras qui me permettent aussi de soutenir la culture.
Mais je suis toujours en théocratie, ce qui limite mon développement urbain. J’ai pris le communisme quand il est passé, mais mon problème de bonheur m’empêche de le développer. Le développement d’une culture sportive va me permettre de régler ce problème, mais j’opte alors pour la démocratie. Je prends alors le lead sur les revenus de culture, même si mon adversaire reste loin devant. Il a quelques problèmes de production qu’il va régler grâce au développement d’une industrie pétrolière. Il me déclare la guerre après avoir développé l’aviation. J’utilise mes hussards pour tenir le choc et ne perdre la guerre que d’un point.
En toute fin de partie, après le décès de Cook, mon adversaire choisit Mandela, qui, grâce aux colonie populeuse de Barberousse et Cook, générera pas mal de points. Je reviens fort sur la fin de partie, mais ça ne suffit. A l’entame du décompte final, j’ai encore une quinzaine de points de retard. Seul l’impact sur la technologie me permettra de ne pas perdre cette partie : 272-263.
J’ai suffisamment de recul aujourd’hui sur le jeu pour bien mener mes parties d’initiation de ce jeu. J’arrive à maintenir des parties intéressantes en dévoilant les différentes facettes de ce jeu incroyable. Bon, il est évident qu’après une seule partie, il est difficile de juger de la bête, mais il a eu l’air d’apprécier cette découverte.

Merci pour la narration qui démontre encore une fois tout le génie de Chvatil. C’est de mon point de vue LE jeu de civilisation ultime.

Le passage hussard vs aviation est vraiment marrant : il n’y a que dans TTA que l’on peut voir de tels anachronismes et des civilisations aussi bariolées.

Oh, je dirais au contraire que l’on retrouve cet aspect dans plein de jeux de civs, y compris dans le jv.

@loïc : merci pour le CR, et surtout pour avoir enrôlé un nouveau TTAste !!! 

@fdubois : dans ce genre de situation j’imagine tout simplement des types « de même niveau technologique que des hussards » (mais pas avec les mêmes fringues, bien sûr… ).

Amicalement,

Emmanuel qui veut bien y retourner sur table ou en ligne 

fdubois dit :

Le passage hussard vs aviation est vraiment marrant : il n'y a que dans TTA que l'on peut voir de tels anachronismes et des civilisations aussi bariolées. 

Non, tu oublies que l'on peut trouver cela aussi dans le Sid Meyer's civilization de K. Wilson.

Ultime jeu de civ' TTA ? c'est possible... sa conception, ses mécanismes, son déroulé, oui, c'est assez impressionnant, prenant, passionnant même. Il me manque toutefois, mais peut-être parce que je suis maintenant de la vieille Ecole, une petite dimension géographique, des territoires sur un plateau avec des pions dessus quoi....
Certes, V. Chvatil a montré brillamment qu'on pouvait s'en passer mais  question jeu de civ', j'ai commencé avec celui de F. Tresham et puis l'oeil a besoin de sa part...

@u Zeptien : les cartes de TTA sont bien plus belle que celles de Civilisations !!! surprise Version Descartes en tout cas (et non pas d’image suis sur mon tel no).

Assyria : où je pose 7 puits sur 8 (36PV à 5) et où je prendrai une belle avance, mais où MMM remportera les trois majorités et construira plus de puits. Score final : 124-120

Hadara : je le fais découvrir à Ornifan et El Bobo. Tous deux apprécient sa simplicité qui cache néanmoins de quoi se creuser la tête quand on est gamer.

Oracle de Delphes : El Bobo me met à nouveau une grosse rouste 12-7. Je ne sais décidément pas utiliser le bateau à 4 espaces de stockage (ou alors il est faible).

Gloire de Rome sauce beri : encore un petit truc à revoir dans la sauce, mais dans l’ensemble ça marche bien. Score serré : 39-36.

À la recherche de la planète X : jeu de logique qui m’a bien fait fumer la tête, alors que je suis rompu à la résolution de puzzles logiques. On joue direct en mode difficile (18 secteurs), mais avec 8 indices initiaux chacun. J’ai peut-être un peu de chance sur certaines actions que je fais. Quoi qu’il en soit l’habitude semble payer car je l’emporte d’1 point sur un joueur qui avait 67% de chances d’en avoir 10 de moins. J’ai hâte de remettre le couvert, car les jeux de déduction exigeants et satisfaisants sont rares.

Evolution : le maître de maison fait vite un prédateur social et intelligent et prend une avance qu’on n’arrivera pas à lui faire perdre. 74-66-61

Du Res Arcana où je découvre la puissance du repaire des dragons. Depuis, j’ai vu qu’il était considéré comme trop puissant.

Paris Connection : jeu très simple et sans hasard, avec des lignes de train qui prennent de la valeur et dont on peut pogner des actions pour avoir des PV. Après ces deux nouvelles parties, je suis un peu plus perplexe sur l’intérêt du jeu à long terme.

Circle of life : l’abstrait le plus thématique que je connaisse. Je laisse Morgal prendre une jolie avance, lui tendant quelques pièges tentants. Puis, profitant de sa liberté de placement fort réduite, je place mes cellules de-ci de-là et fais une remontada. Il pique la tête, mais j’aime beaucoup son originalité, mécanique et thématique.

Le Zeptien dit :

Certes, V. Chvatil a montré brillamment qu'on pouvait s'en passer mais  question jeu de civ', j'ai commencé avec celui de F. Tresham et puis l'oeil a besoin de sa part...

La démonstration est assez forte je trouve. Car, paradoxalement, elle permet une interaction bien plus directe. Pour moi aussi, ça reste pour l'instant le n°1, car, ce qu'on "perd" sur la géo, on le retrouve sur le reste. L'aspect géographique apporte certaines contraintes, mais ici tout marche à merveille. Et, si on fait abstraction de ce qui existe, en acceptant la proposition telle qu'elle est, force est de constater qu'il propose une vision de la civ vraiment très intéressante et originale. Tout en restant plutôt simple (les choix sont cornéliens, mais, globalement, c'est très accessible pour un jeu de ce genre).

La boîte de Dominion trépignait sur l’étagère et a fini par sortir hier soir. On y a ajouté et découvert l’extension Guildes
Pour la mise en place on a commencé avec celle proposée « artisanat ». 
C’était, encore une fois, du tout bon. Et Guildes nous a apporté du dynamisme et a enlevé la frustration du « p’tain il me manque 1 sous ». 
On commence à être assez à l’aise avec le jeu pour pouvoir choisir nous-mêmes les cartes de la réserve. Ça sera pour la prochaine partie.

Décidemment, même en ligne, HANABI m'en veut.
A deux joueurs, nous avons joué deux parties.

A la première, le "deux" multicolore est l'avant-dernière carte de la pioche, autant dire qu'on ne peut pas faire de parfait, mais nous sommes très satisfaits, on avait très-très bien mené notre affaire.
29/30

A la deuxième, les deux "deux" bleus sont dans les trois dernières cartes de la pioche, là encore on se fait bananer pour le parfait ... moins de regrets puisque quelques coups précédents nous avions été contraints de défausser le "cinq" vert. Mais quand même ...
C'est cette malédiction du hasard de la pioche qui fait qu'il est impossible de faire un parfait avant même d'avoir commencé qui me poursuit ...
26/30

Hé bien non !
Je prends la boîte du jeu pour une partie avec mon épouse.
*Pour la petite blague, à la fin de la distribution, je retourne la première carte de la pioche & annonce "atout ..." euh, non, rien, c'est pas le bon jeu ^^*
Bref, après ce démarrage étrange, la suite s'annonce très compliquée. Beaucoup de "cinq", beaucoup de multicolores ... on va se faire démonter.
Mais on s'accroche, la prise de risques est obligatoire ... & payante !
Alors que nous avions un parterre de cartes défaussées, chaque carte piochée & défausse s'annonçait décisive. Jusqu'à ce que le "deux" multicolore vienne tout débloquer, permettant d'écrémer notre main, de voir venir, de donner des indices plus "globaux" & finalement d'arriver à nous sortir d'une situation très périlleuse sans une égratignure.
Encore une dizaine de cartes dans la pioche & quatre cartes à poser, cela devrait le faire.
Pour le coup, pas de petite carte unique en fond de pioche. Juste un "un", un "cinq" & un "quatre". Ouf !
Petite frayeur lorsque mon épouse pioche la dernière carte, "oubliant" de m'indiquer où est la dernière carte à poser ... "M'enfin ! Si je ne te dis rien, c'est que c'est la dernière !" qu'elle me dit ...
Oui, bon d'accord, mais avec encore six indices en mains, il n'y avait plus le feu au lac ^^
Quoi qu'il en soit, nous faisons un parfait ! :D
La malédiction est-elle enfin levée ? ...
30/30

+++
Ornifan dit :@u Zeptien : les cartes de TTA sont bien plus belle que celles de Civilisations !!! surprise Version Descartes en tout cas (et non pas d’image suis sur mon tel no).

Oui, nous sommes d'accord, mais peut-on les comparer ? Entre l'édition Descartes de Civilization  et la dernière édition de TTA, il y a 27 ans d'évolution concernant illustrations et matériels de jeu...

@Loïc : TTA accessible... heu, oui... enfin comme tu le précises bien, pour un jeu de ce genre. Une chose est certaine, moi qui suis souvent aux explications de règles, j'aime pas trop expliquer TTA...je suis plus à l'aise pour expliquer un Clash of Culture. 

Oui alors en fait c’était juste une boutade pour rebondir sur la « part de l’œil »… 

Torpedo dice :
Même si il y a e’ fait peu d interaction ça reste assez original pour un roll write. 
Au niveau matériel dommage que les dés 'e fassent pas apparaître les points qui ne touchent pas ou au moins avoir une aide de jeu par joueur
Au début on est obligé de mettre le livret au milieu de la table… 

Ou alors on est juste nuls en repérage dans l espace. 

Dommage aussi de pas avoir une version ffa. 
M enfin ça couine bien et c est tout ce qu on demande à ce genre de jeu ! 
​​​​

Le Zeptien dit :

@Loïc : TTA accessible... heu, oui... enfin comme tu le précises bien, pour un jeu de ce genre. Une chose est certaine, moi qui suis souvent aux explications de règles, j'aime pas trop expliquer TTA...je suis plus à l'aise pour expliquer un Clash of Culture. 

A TTA, je suis incapable de lister de mémoire tout ce qu'on peut faire avec une action civile. En comptant les parties en ligne, contre IA, IRL, je pense que je flirte avec les 1000 parties. Mais je ne connais pas la liste des actions faisables par coeur. Parce que c'est inutile, il n'existe aucune action "bizarre". Si tu veux faire un truc "logique", tu peux le faire et ça coûte une action. Il doit y avoir une douzaine d'actions possibles, mais on s'en fout, à aucun moment tu ne dis "Ah, au fait, j'ai oublié, t'as le droit de faire ça." C'est en ça que je le trouve accessible.
Ca fait longtemps que je n'ai pas joué à CoC, mais je n'ai pas le souvenir d'une telle "évidence".
Alors oui, les actions politiques compliquent le truc, les actions militaires, à cause des tactiques, sont un peu moins évidentes.
Mais, avec des débutants, qui n'auront jamais une vision claire du jeu, je lance la partie en quelques minutes, car tu peux expliquer le jeu en jouant, c'est pas gênant. Et ça, je n'y arrive avec aucun autre jeu non coop.

Un petit Pulsar 2849 à 3.
Je décide de partir sur une stratégie d’exploration, un truc que je ne fais pas trop habituellement, mais il y a la techno de récupération de points quand on n’a pas le bonus et celles qui valorisent les courses quantiques.
Ma première explo me donne un gyrodyne, mais je décide d’y renoncer. Un adversaire commence à collectionner les gyrodynes mais a du mal à les mettre en rotation. Je chope aussi quelques transmetteurs, un perso les valorisant.
Je monte doucement mon QG grâce à la techno qui en facilite la construction. Mes quelques transmetteurs me permettent d’accumuler de l’ingénierie et j’arrive à les conserver grâce à une bonne exploitation du dé rouge.
Le joueur à gyrodyne commence à les mettre en rotation et à combler son retard. Le 3° joue beaucoup sur les transmetteurs avec un peu d’explo. La fin de partie voit des tirages à petit chiffre rendant les choix assez difficiles. J’arrive à terminer mon QG, choper la techno qui le valorise et valider toutes mes courses quantiques. Je termine assez seulement 8 systèmes explorés + 1 bonus. 190-166-133.
Une partie où il a vraiment fallu faire preuve d’adaptation face aux tirages. Le dernier a trop manqué de cubes blancs et n’a pas réussi à mettre ses gyrodynes en rotation assez vite. J’ai réussi à mener une partie assez varié, même si je fais l’impasse complète sur les gyrodynes, me privant d’un perso.
Clairement, j’adore ce jeu qui propose un défi toujours renouvelé, et propose un ratio durée/profondeur assez fou.

Un petit Kingdom builder pour finir la soirée avec Bergers, Explorateurs et Familles.
Un jouer chope le camp qui vire une maison à chaque adversaire, me privant d’une tour et l’autre d’une carrière. Ca pique un peu. Ayant utilisé la tour pour récupérer le dolmen, son utilité devient un peu moins forte. J’arrive à l’utiliser ailleurs pour bien activer les bergers. Je me retrouve bloquer à un moment et l’explorateur semble m’échapper. J’arrive à choper la prairie dont j’ai besoin pour me débloquer, mais je n’arrive pas à rallier les châteaux.
Au début du décompte final, on se tient en 2 PV, mais avec moins de châteaux et moins d’explorateurs (17/17/19), je termine bon dernier : 61-57-51.
Le jeu est vraiment très bon, mais l’analyse préalable du plateau est quand même un peu punitive. Peut-être un peu trop à mon goût par rapport à la légèreté et la rapidité du jeu. Mais ça reste toujours sympa à jouer.

Et puis quelques Dominion parce qu’on ne s’en lasse pas.

Dune imperium
3ème partie. Ce jeu reste une énigme. Je ne sais pas si vous arrive des fois de ne pas “comprendre” le jeu. Je veux dire pas au sens “règle” mais au sens comprendre ce qu’il faut faire où aller, comment y aller, que le jeu vous parle. Parce que là c’est brouillard chez moi. Pourtant c’est du deckbuilding j’adore ça et c’est une méca qui me parle. C’est mâtiné de placement d’ouvrier , pas de souci non plus et par exemple j’ai eu un aucun souci avec Narak avec qui il partage des mécaniques similaires. Le pire c’est que je le préfère à Narak, que je trouve un peu linéaire. 
Peut-être l’ergonomie, visuellement j’ai du mal . Différemment mais ça me rappelle Brass nouvelle édition.
Plus j’y joue et moins je suis bon no, j’en suis rendu au moment du “je continue pour avoir le déclic (comme ça m’avait fait pour Scythe par exemple) ou je me résigne et on passe à autre chose laugh

Imperium Legend
Mode solo.
Revanche prise et victoire contre le bot Minoans 67-Mauryans 36  
J’ai été étonné de gagner quand j’ai compté mes points, je m’attendais à me faire ramasser par le bot. Mais je l’ai bien neutralisé dans son scoring et surtout la partie a été mine de rien rapide, il me semble par le fait qu’on a engagé pas mal de luttes de territoire ce qui épuise le deck. J’étais partie sur une stratégie Gloire (première carte récupérée) avec justement les terrains. J’ai mal jauger son potentiel d’attaque et je me suis trop éparpillé en développement pour mettre de côté mes cartes barbares et a contrario je n’ai pas bien absorbé les désordres. Ca manque encore d’équilibre tout ça laugh .  Et pas encore essayé l’axe poterie des Minoans , ça doit être sympa à jouer (peut-être pas contre les Mauryans car ça demande à exploiter des territoires et ils sont un peu chatouilleux sur ce plan  )

Bon et va falloir que je trouve un moment pour refaire du Innovation pour honorer la session Putch que j’ai ouverte (ou à défaut faire du Impulse pour rester dans l’esprit ).
Et trouver une occasion de jouer à Imperium à 2 pour voir, même s’il est excellent en solo

ocelau dit :Dune imperium
3ème partie. Ce jeu reste une énigme. Je ne sais pas si vous arrive des fois de ne pas "comprendre" le jeu. Je veux dire pas au sens "règle" mais au sens comprendre ce qu'il faut faire où aller, comment y aller, que le jeu vous parle. Parce que là c'est brouillard chez moi. Pourtant c'est du deckbuilding j'adore ça et c'est une méca qui me parle. C'est mâtiné de placement d'ouvrier , pas de souci non plus et par exemple j'ai eu un aucun souci avec Narak avec qui il partage des mécaniques similaires. Le pire c'est que je le préfère à Narak, que je trouve un peu linéaire. 
Peut-être l'ergonomie, visuellement j'ai du mal . Différemment mais ça me rappelle Brass nouvelle édition.
Plus j'y joue et moins je suis bon no, j'en suis rendu au moment du "je continue pour avoir le déclic (comme ça m'avait fait pour Scythe par exemple) ou je me résigne et on passe à autre chose.

je pense que Narak vous a semblé plus " accessible" car dans Narak, on sait tjs faire qqchose, parfois avec une grande efficacité, parfois moins tandis que dans DI, si on se voit voler une place convoitée ou si on pioche ce qui nous arrange pas trop, on peut faire des tours ' à vide ' ( mais parfois utiles pour mieux agir après).

En general on prefere DI car le hasard des combats et des cartes intrigues rendent chaque manche " fun, imprévisible, strassante" là où Narak c est de la popotte dans son coin et le plaisir doit venir de son propre combotage.