Hier, j'ai joué a ... page 1048 + (partie 1)

arthiev dit :Je pense que c'est ce que Loïc voulait dire, ça ne correspond pas ;)

Manifestement

Du coup je veux bien votre définition du jeu à l'Allemande laugh
Pour moi c'était un jeu au thème minimaliste, pas loin du jeu abstrait.

 

bast92 dit :


Du coup je veux bien votre définition du jeu à l'Allemande laugh
Pour moi c'était un jeu au thème minimaliste, pas loin du jeu abstrait.

 

Au vu de l'évolution du jeu, je distingue eurogame et jeu "à l'allemande".
Le jeu à l'allemande, c'était un genre très présent à la fin des années 90 début 2000.
Comme je l'ai dit, il se définit par un temps de jeu assez court (60-75', 90 max), une règle assez simple (10' d'explication, souvent moins), un thème "inutile", une certaine dose de hasard (pas prépondérante, mais présente).
C'est un genre qui a été éclipsé par l'avènement de l'eurogame, avec Agricola en gros. L'un de ses derniers gros succès est Taluva.
Aujourd'hui, c'est un genre qui revient assez fort, mais pas forcément d'Allemagne et avec un design beaucoup plus travaillé. Azul en est un parfait exemple (mais l'auteur est Kiesling, un vieux de la vieille du genre).
Evidemment, difficile d'avoir une frontière nette entre allemand et eurogame comme il n'est pas facile d'avoir une frontière nette entre eurogame et ameritrash.

Merci 

donc non, Tabannussi n’entre pas dans cette catégorie.

Oui enfin là c’est la categorisation personnelle de Loïc qui fait appel à des notions très subjectives (complexité, taux de hasard… :wink:

Très intéressante, mais historiquement les deux termes ont coexisté fin 90 pour parler de la même chose: jeu à l’allemande (terme français) = eurogame (terme US)

je ne suis pas fan de reduire un terme à une sous catégorie. Ça donne un peu l’impression de faire du révisionnisme. 

je préférerais qu’on parle de jeu à l’allemande old school vs. jeu à l’allemande moderne par exemple ou que sais-je…

Je savais que tout le monde ne serait pas d’accord :wink:

et on drafte ou pas dans un jeu à l’Allemande ? :grinning:
OK je sors :arrow_right:
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Azul un jeu à l’allemande ? P’tin, pour moi, jeu à l’allemande je pense à Funkenschlag; et Azul en est à des années lumière …

Comme quoi, on a chacun nos définitions de jeux à l’allemande, eurogame, ameritrash, jeu d’ambiance, …

Alfa dit :Oui enfin là c’est la categorisation personnelle de Loïc qui fait appel à des notions très subjectives (complexité, taux de hasard… ;)

Très intéressante, mais historiquement les deux termes ont coexisté fin 90 pour parler de la même chose: jeu à l’allemande (terme français) = eurogame (terme US)

je ne suis pas fan de reduire un terme à une sous catégorie. Ça donne un peu l’impression de faire du révisionnisme. 

je préférerais qu’on parle de jeu à l’allemande old school vs. jeu à l’allemande moderne par exemple ou que sais-je…

Carrément d'accord !

@Ymokal ça me ferait mal de repas considerer Azul comme un jeu à l'allemande pur jus ! Il est plutôt archétypal.

A l’instant, j’ai joué à Hamlet qui a été kickstarté récemment et devrait arriver en boutique en fin d’année.


En anglais, un “Hamlet” est un hameau qui n’a pas d’église… or justement, on va en construire une, et dès la 6ème partie d’église construire, la partie s’arrête et on compte les points.

On a un classique jeu à ressources qui seront produites ici et là afin de construires des tuiles bâtiments ici et là…

Mais quelques points ressortent :

les ressources produites ne sont à personnes et restent sur le plateau jusqu’à ce quelqu’un les utilise. Je produit 3 bois (et gagne 2 pièces d’or) mais ensuite, chacun peut utiliser ces bois.
il faut déplacer les ressources là où on veut les utiliser, et ce avec de petits ânes qu’on achète et déplace de tuile en tuile. S’il n’y a pas de routes imprimées sur les tuiles (comme dans Keyflower), il faut alors construire des ponts en bois pour ouvrir l’accès.
Tout le monde fait donc sa tambouille sur le plateau qui se construit au milieu, avec des ressources qui apparaissent, s’améliores (le bois devient de la planche, le grain passe à la ferme et devient du lait), le choix des tuiles s’étoffe au fil de la partie et le réseau de déplacement se développe…

Alors oui, la planification c’est compliqué, puisqu’on ne sauras jamais vraiment quelles seront les ressources dispos au tour à venir… je veux construire telle tuile, j’ai besoin de bois, y’en a pas… donc je fais du bois. Mais tour suivant, il est déjà parti.
SAUF si j’ai construit un ouvrier de plus, donc je peux faire ces 2 actions dans mon tour (on peut en avoir jusqu’à 4).

Mais du coup, ça donne un truc très interactif et opportuniste que j’aime beaucoup, loin des jeux un peu trop “chacun dans son coin” qu’on voit beaucoup dernièrement.

Bref, c’était très plaisant, et je suis en pleine hésitation de toper ce petit machin rigolo.

On dirait du Wallace, c’est marrant. L’auteur doit être un fan 

Oui ça me fait penser à via nebula.

Pour se remettre en douceur de notre nuit dans l’espace, hier, nous avons joué trois formats plus courts…

- découverte de la gamme Undo avec la boîte La Fièvre du Trésor, offerte par un très gentil joueur lors d’une transaction ; le “narratif/causant” n’est clairement pas ma came et ça n’intéresserait sans doute pas non plus ma dame mais on a tout de même passé un agréable moment (et réussi à sauver “la victime”, avec nos dix points).

- duel “sorcière contre transmutateur” à Res Arcana, que j’apprécie vraiment beaucoup. Mon adversaire râle au voir de ses artefacts car j’ai préféré faire sans dragon surprise mais en fait il me chipe sous le nez à une action près les Catacombes de la Mort en début de tour 2 ; je bascule sur un combo Anneau de Midas & Tréant pour viser Bosquet Sacré et monuments mais ces derniers sortent moyennement bien, et c’était sans compter son utilisation des Naufragés, que je n’ai pas vu venir… no Score final sans appel puisque 11 à 6 et j’étais même pas sûr de gagner avec +7 au tour suivant. wink

- dépoussiérage en règles de Tournay, qui devrait VRAIMENT sortir plus souvent. Petit temps de réadaptation aux icônes mais l’aide de jeu est très bien faite et surtout, plein de mécanismes originaux (encore aujourd’hui, je pense ) et “intrigants” (sebduj, si tu me lis ) qui demandent vraiment à être forgés pour… devenir forgeron ; enfin vous voyez, quoi. Stratégie “religion puis commerce” des deux côtés ; faut dire que côté militaire on a pioché aucun truc de baston dans les premières cartes donc ça nous a un brin refroidi… Je l’emporte 32 à 26, principalement grâce à mes 4 blancs/4 rouges qui vont très bien avec Saint-Quentin et la Porte des Vignes

Amicalement,

Emmanuel

Je suis aussi assez admiratif du travail sur Tournay et de la profondeur du jeu vs le matériel utilisé. C’est un peu l’anti-KS surprise Si je ne dis pas de bêtises Sebduj avait indiqué réfléchir à une rethématisation car il a probablement  souffert d’un design trop proche de celui de Troyes (qui est aussi celui qui est resté à la maison.) J’y rejouerai avec plaisir si on me le proposait.

Mais nous hier on a joué à Carpe Diem (petite cacedédi @bast92 & loïc !)
Objectifs bien costauds avec bcp de prod à 3 ou 4 - pour la première fois en près de 20 parties j’ai fait une strat full boulangerie (villas & tuile à une case) et… ça m’a permis de faire un de mes meilleurs scores à ce jeu : victoire 126-89. The Feld qui sort tjs régulièrement chez nous après la revente de Notre Dame & Bruges (dont j’ai fini par me lasser) et qui nous apporte tjs autant de plaisir.

Alfa dit :Oui enfin là c’est la categorisation personnelle de Loïc qui fait appel à des notions très subjectives (complexité, taux de hasard… ;)
Même les catégorisations plus classiques restent en partie "subjectives".
 
Très intéressante, mais historiquement les deux termes ont coexisté fin 90 pour parler de la même chose: jeu à l’allemande (terme français) = eurogame (terme US)
Tout à fait. Mais l'émergence de jeux plus complexes (qui ont aussi été appelé "école française" à une époque) a rendu tout ça un peu obsolète. Quand on parle d'eurogame aujourd'hui, on ne pense pas facilement à des Carcassonne, des Azul,...
A l'émergence de ces titres, il y a eu extension des catégories, mais je pense que c'est très artificiel et rend mal compte de la diversité qui existe.
 

je préférerais qu’on parle de jeu à l’allemande old school vs. jeu à l’allemande moderne par exemple ou que sais-je…

Ca ne marche pas très bien. Puerto Rico a 20 ans et est clairement un eurogame. Azul est récent et est clairement à l'allemande (il en est quasi archétypal). Donc jouer sur des notions "temporelles" fausses alors qu'on a des termes qui collent bien, c'est dommage. Oui, ça revient sur des manières de classer et peut-être que des termes nouveaux, plus adaptés, seraient une meilleure chose. Pour l'instant, il me semble "correct" de les nommer de cette manière, de façon à mieux exprimer les différences qui existent entre un Funkenschlag et un Azul, pour reprendre deux titres déjà cités.

En ce moment on est plutôt petit jeux :

Les cinq rois
Je vois très peu de gens ici parler de ce jeu, pourtant il est simple, rapide et addictif, très étonné de voir aussi peu de retour.
On reste dans une réinvention du rami de ce que j’ai pu lire mais vraiment sympa

Papayoo
Je ne connaissais pas le jeu, pas forcément amateur de jeux de plis, les seuls que je connaissent vraiment sont « skull king » et « jeckyll vs hyde ».

Simple à jouer mais assez surprenant à appréhender dans la mécanique (quand et comment lâcher ses payoo en fait).
A voir s’il reste dans la ludo

Lama
Petit jeu bien sympa même si on a l’impression de jouer à la bataille avec un twist

Floatsam Fight
Jeu avec très peu de retour également dans la gamme des oink games (insider, deep sea adventure, etc, …)
On se rapproche du 6 qui prends mais avec des contraintes sur les endroits où poser.
A voir s’il ne fais pas doublon avec ce dernier.

Imhotep
C’est un jeu que j’affectionne et encore une fois il a fonctionné avec les joueurs autour de la table. Même que mini.ludi est venu jouer avec son papa.
Le jeu est globalement abstrait (marquer des points par zone de construction) mais sa thématique est vraiment bien trouvée et colle parfaitement au point qu’on en oublie l’abstraction. L’interaction est très forte sans être frontale et ça couine pas mal à l’envoi des bateaux, niark-niark-niark.
Ludi.belle.maman n’a pas oublié les règles depuis sa dernière partie (presque 1 an) et sans faire de bruit elle se débrouille pas mal.
Les scores finaux sont serrés et je finis deuxième à 1 point du premier.
Imhotep était dans la sélection finale du Spiele en 2016/17 et hier je me faisais la réflexion qu’on a beau aimé ou pas mais les prix ludiques de cette envergure ont quand même du nez et de la gueule.


Akropolis
Euuuuh c’est quoi cette petite bombe dans la piscine estivale ?
Depuis que j’ai commencé l’expérience de réduire mes jeux et en acheter de moins en moins je me méfie de la “hype”. Le jeux tournent pas mal sur les réseaux et les influenceurs sont au taquet. Mais là je reconnais que “quand même quoi” !
Une simplicité de prise en main, une construction en 3D qui oblige à réfléchir à ses choix pour les optimiser car construire sa ville en hauteur est gage de valeur, et une légère sensation de frustration car on n’a pas pu tout faire. Vous savez celle qui donne tellement envie de relancer une partie.
La parenté avec Kingdomino est sur le papier car les sensations sont bien différentes, par contre comme avec Kingdomino la configuration 3 ou 4 joueurs a un goût de trop peu. Préférez y jouer à 2 en ajoutant les tuiles pour 3 joueurs.
J’attends que ludi.moitié y joue pour voir s’il rentre dans la ludothèque.


Pandemic - Iberia
Oup-là ! Existerait-il un Pandemic à la mécanique plus élégante ?
Visiblement oui !
L’essentiel de la mécanique de Pandemic se retrouve dans Iberia mais les quelques variations de règles (adaptées à l’époque) lui donnent plus de contrôle, d’anticipation et d’élégance : purification de l’eau, chemin de fer, maladies simplement étudiées ; ainsi que les petits détails de défausser la nouvelle carte sortie du fond du paquet d’infection lors d’une épidémie, d’avoir plein de cartes évènements mais de n’en ajouter qu’un certain nombre au deck, d’avoir des propositions de missions etc…
Bref avec Pandemic je n’aime pas l’espèce d’atmosphère qui se tend au fil de la partie, que le jeu prend le dessus sur nous, sans pour autant sentir que nos actions gagnent en puissance. A reconfirmer avec plusieurs parties mais il semblerait que Iberia gomme cet aspect que je trouve être, pour ma part, du défaut.

loïc dit :
Antoinette dit :
Mais mais mais, le jeu devient plus tactique et notamment au moment de phase de pose des tuiles. Ooh mais c’est aussi plus taquin pour bloquer les adversaires. Mouahahah 

J’aime donc encore plus. 

Je me replonge en ce moment dans les vieux jeux à l'allemande (pas les eurogames, le vrai jeu à l'allemande, comme on en fait plus beaucoup) : et c'est assez impressionnant le niveau d'interaction qu'il y a.
(...)

Tout à fait. Mais je suis pas plus malin que les autres, moi aussi je leur trouvais un niveau d'interaction un peu faible à l'époque. Aujourd'hui, je révise sérieusement mon jugement pour certains de ces jeux dits "à l'allemande", pas forcément réalisés que par des allemands d'ailleurs (je pense par exemple à Colovini). 
Parmi ceux que j'ai ressorti après une longe absence des tables par chez moi, il  y a eu La traversée du désert de Knizia, ainsi que son Samuraï, Goa et Louis XIV de Dorn, L'alhambra de D. Henn, Richard Coeur de lion, Löwenherz de Teuber, et dernièrement Carcassonne de J. Wrede...cela dit, El Grande, Tikal, T&E, Sankt Petersburg, Thurm und taxis et quelques autres sont encore sollicités par chez moi avec plus ou moins de régularité certes, mais bon... je pense toujours à eux quand l'occasion se présente.  

 

Northgard uncharted lands à 3 joueurs totalement débutants à ce jeu. Avec Warchiefs mais juste avec les créatures de base. 
Nous avons commencé à expliquer les règles à 20h30 , à jouer à 20h45 et fini à 1h du matin !.. La seconde partie !!! 

Tout le monde a voulu rejouer immédiatement tellement nous avons aimé.
C’est relativement simple, plus de réflexion sur le jeu que d’analyse de règles. 
C’est vraiment un développement conquête épique. 

Par contre je ne suis pas sûr d’avoir autant apprécié si je n’avais eu que la version du commerce ? 

Hier découverte avec 2012 et 2014 de Terminator Genisys : l’Eveil de la Résistance.

Si l’on met de côté le set up, tjs un peu long dans ce type de jeu, et la fragilité des figurines ennemies - on a un jeu très accessible et très réussi. La mise en place de la totalité du plateau en début de partie est au final une bonne idée, on perd un peu en exploration et on gagne énormément en fluidité. Partie bouclée à 3 en moins d’1h30, j’avais un peu peur de la mecanique de programmation des dés mais en fait les tours s’enchaînent pas à toute allure. Victoire sur le fil pour ce prier scénario. Si l’univers vous parle, foncez!

Et un Res Arcana avec A. Je suis aux fraises en début de partie et je vois que j ai probablement perdu des le deuxième tour. 6eme defaite d’affilee même si je limite la casse en fin de partie…

Antoinette dit :
Pandemic - Iberia
Oup-là ! Existerait-il un Pandemic à la mécanique plus élégante ?
Visiblement oui !
L'essentiel de la mécanique de Pandemic se retrouve dans Iberia mais les quelques variations de règles (adaptées à l'époque) lui donnent plus de contrôle, d'anticipation et d'élégance : purification de l'eau, chemin de fer, maladies simplement étudiées ; ainsi que les petits détails de défausser la nouvelle carte sortie du fond du paquet d'infection lors d'une épidémie, d'avoir plein de cartes évènements mais de n'en ajouter qu'un certain nombre au deck, d'avoir des propositions de missions etc...
Bref avec Pandemic je n'aime pas l'espèce d'atmosphère qui se tend au fil de la partie, que le jeu prend le dessus sur nous, sans pour autant sentir que nos actions gagnent en puissance. A reconfirmer avec plusieurs parties mais il semblerait que Iberia gomme cet aspect que je trouve être, pour ma part, du défaut.

Je suis un gros fan de Pandemie, j'ai la version d'origine et plein d'autres et pour moi cette version Ibéria est la meilleure.
C'est, en gros, un condensé de tout ce qui a de mieux dans Pandémie pour les raisons que tu sites...
C'est une version Ultimate de ce jeu.
Bien sûr en tant que telle, elle méritait une goodification intense et cela a été fait 

Mister Goodies dit :Bien sûr en tant que telle, elle méritait une goodification intense et cela a été fait 

Ouaiiii, du plastiiique… angry

Deux très jolies soirées à 2j :

Carpe Diem : joker voulait sa revanche. Bon, à la place il a eu une fessée. Drôle de partie où on finit à 6 bâtiments chacun, j’ai jamais vu ça.

Hadara : je vois très tôt que je dois laisser tomber le militaire, où je resterai à 3. Point de sceau doré pour moi donc. Je pensais m’en tirer très bien – d’habitude les boycotts d’une couleur se passent mal –, mais j’échoue de 5 PV. Toujours sympa.

Ur : confirmation que cet excellent jeu inconnu tourne très bien à 2. Mon adversaire prend un gros ascendant et lorsqu’on s’apprête, lui et moi, à faire une ziggourat et terminer la partie, je me rends compte que je perdrais, donc foutu pour foutu, autant que je prolonge la partie, sait-on jamais.

Donc je freine des deux pieds et décide de me renforcer pour attaquer, tandis que lui n’a plus aucune économie : seule sa culture pourrait l’aider, mais aucune tuile Culture n’est dispo. Il se renforce face à mes troupes. J’attaque quand même, abandonnant une précieuse tuile bleue (foutu pour foutu, hein…), mais gagnant une tuile Commerce très bien placée (+3 cubes). Je finis par lui reprendre deux tuiles assez juteuses pour lui, pendant que, un peu tard, il décide de faire 2×2 renforts pour avoir une tuile à 5 cubes pour faire la dernière ziggourat (sa 4e) si je me décide pas à le faire. Il fera cette 4e ziggourat, mais je l’ai trop endommagé : 48-42.
Amusante, cette fin de partie.
Un grand jeu.

À la recherche de la planète X : le summum du jeu de déduction. Cette fois, je ne me plante pas, mais j’échoue à 1pt.

Iwari : réédition de Kardinal&König / China / Han. Mais qu’eeeeeeest-ce que c’est bien!! Quelle finesse!! Je prends un pied intégral et le mode 2j fonctionne à merveille.

Codenames duo : une formalité. 9 manches sur 10. 1 erreur sur 3.

J’ai encore la tête pleine d’étoiles grâce à Ur et Iwari.