Pfiou, je ressors de ma partie solo de
Clash of Culture: Monumental Edition à trois joueurs (donc moi ainsi que 2 Bots).
Je joue les Perses (bleus) tandis que mes deux adversaires jouent les Grecs (rouges) et les Aztèques (violets).
Ma noble civilisation s’intéresse dès son plus jeune âge à l’éducation. Sa soif de connaissance la pousse à construire de belles académies qui permettront de belles avancées.
De son côté, le joueur Aztèque se focalisera sur la construction de cités au détriment d’avancées technologiques.
Quant au joueur Grec, il subira d’entrée une violente attaque barbare qui le forcera à longuement s’isoler tout en haut à gauche du plateau.
La partie avance : mes nobles Perses délaissent leurs études car faire la guerre leur semble plus marrant. Il faut dire que leur habileté à chevaucher des éléphants les convainc qu’il est possible de péter plus haut que sa monture. Le joueur Aztèque subira donc mes foudres puisque je prendrai le contrôle de deux de ses cités, allant même jusqu’à vaincre son puissant leader dont j’ai oublié le nom.
Pendant ce temps, les Grecs se préparent. Sachant que la plus efficace des guerres est toujours psychologique, ils s’attaquent à mon patrimoine culturel : en moins de deux, des statues explicites d’Aphrodite s’érigent devant mes belles académies… Mais cela ne sera pas tout : ces maudits spartiates traversent la mer pour s’établir juste à côté de ma cité déjà fort influencée par leurs mauvaises manières. La punition ne se fera pas attendre puisque mon leader Xerxes, accompagné de son infanterie, les chassera aussitôt, ce qui donnera au passage naissance à la célèbre phrase : “
Allez vous faire voir chez vous-mêmes !”.
Petit bémol, les Aztèques ne se reposent pas entretemps. Ces méchants Païens ne se gêneront pas pour envahir une de mes cités retranchées que j’avais bêtement laissée sans surveillance. Pire, un nouveau dirigeant les persuadera de récupérer les cités que je lui avais piquées. Je ne serai pas de taille à leur tenir tête.
La partie se finira peu après que les Grecs parviennent à ériger une illustre merveille, un phare qu’ils baptiseront en l’honneur de leur chef Macédonien : “Le phare d’Alexandre” !
Les points sont comptés : je finis en bon dernier. Grâce à leur étendue, les Aztèques se préparent à grimper le sommet du podium, mais c’est sans compter la remontée spectaculaire des Grecs qui, notamment grâce à leur merveille, décrochent la première place.
Il ne me reste donc plus qu’à retenter ma chance avec une autre civilisation… poil au fion.
Le superbe mode solo fan-made
est disponible ici pour ceux et celles que cela intéressent.