Tous les articles à ce sujet, parlent pourtant bien du toit et d’une tuile brisée.
Je sens que le sujet va bientôt dériver sur les aspects techniques du métier de couvreur.
Et donc la probabilité qu’une météorite icosaèdrique de la taille d’un cabanon de jardin tombe sur le cabanon de jardin de Mr. Aimé Théord ? Et sur quelle face a-t-elle le plus de chance de retomber ? Je pense que ce sera forcément un fumble.
PJ : Oups, fumble !
MJ : Pas de chance, ton personnage meurt écrasé par une météorite.
Celui que j’ai trouvé parlait d’une météorite de 88g “retrouvée dans son jardin”.
C’est pas incompatible, remarque. 88g, c’est à peu près un caillou de la taille d’une balle de ping-pong. L’aérolithe tombe sur son toit en pétant une tuile, rebondit, et tombe dans le jardin.
88g, c’est le genre de caillou comme il en tombe des centaines chaque jour, mais avec une vélocité terminale autour de 100m/s, ça a l’énergie cinétique d’une balle de fusil.
Un truc pour jouer à P&P 3 (Pharaons et Pyramides, 3° édition). On voit que le joueur a essayé de tricher en effaçant la face Epsilon, qui correspond aux échec critiques (règle controversée et heureusement abandonnée dans la 7° édition byzantine du 13° siècle, mécaniquement plus solide même si le Lore était complétement parti en live).
Apparemment, la probabilité qu’une personne connaisse la réponse et vienne la poster ici est plus basse que celle de trouver dans son jardin 10000 météorites de 88g en forme de D20 qui donneraient tous un résultat de 1, si j’ai bien tout compris…
Je tente une hypothèse liée à une recherche rapide sur les Internets.
Ne s’agirait-il pas d’une variation autour du Toma Todo, un jeu mexicain (à boire/d’argent) ?
Initialement une toupie à 6 faces, qui aurait pu être revisitée par un D20.
On pourrait ainsi expliquer les T(x) et P(x) et les N pour “Nada”.
La toupie et sa variante en D6.