L'hybride ideal melangeant JDR & JDP ! ou le nouveau JDR

Ok dès que c’est en ligne je vous fais signe…

bon, je n ai pas donne de news depuis qq jours, et je vois qu il y a 2 pages qui se sont deja passees avec un nouvel arrivant et une proposition d utiliser le tarotn (comment j ai pu omettre se parallele ? :) ) et l ouverture d un site dedie pour le projet.

Pensez vous cependant toujours utiliser ce forum? Je trouve pour ma part dommage d utiliser un autre forum, celui ci a le merite d etre tres frequente, et donc d amener de nouvelles idees en permanence. Je pense qu un autre hebergement serait utile uniquement pour regrouper et synthetiser les idees, et organiser une forme de projet.

Concernant le but du projet, ma propre definition serait:
La creation d un nouveau systeme de jeu de role qui permettre de jouer des parties rapides (1h) avec une preparation minimum (qq minutes) et avec des joueurs n’ayant jamais jouer a des RPG auparavant. D ailleurs ce dernier point meriterait d etre un peu plus approfondis, peut etre devrions nous voir plus en detail, avec des joueurs occasionnels (et non que des anciens rolistes), qu est ce qui les empechent de jouer a du jeu de role.
Il y a une difference a priori entre raconter une histoire et jouer a un jeu de role. Un jeu de role c est raconter une histoire en incarnant des roles.

dehix dit:Je pense qu un autre hebergement serait utile uniquement pour regrouper et synthetiser les idees, et organiser une forme de projet.


C'est l'idée... Mais il sera aussi utile pour trancher des décisions ce qui est nécessaire pour tendre vers une concrétisation. Parcequ'il va de soit que même si on est plus ou moins d'accord sur les grandes lignes, on a chacun nos attentes vis à vis de ce concept.

http://www.01net.com/editorial/381181/g … tes-wikis/

;)

je me permets de vous poster quand même un lien pour la poursuite de mon idée —> tarot = richesse importante pour générer un JDR collaboratif, narratif et permettant beaucoup d’impro pour décharger le narrateur …

GO TO : Aventure Grand-Ecran: comment mettre + de tarot dans le jeu?

arnvald dit:Bonjour à tous,
j’ai besoin de vos lumières pour m’aider à progresser dans la mise en place de mon système de jeu. la perspective est un JDR narratif, collaboratif : le réalisateur avec les Acteurs qui incarnent les Rôles principaux vont tourner un film aventure ensemble …
Grand Ecran : l’Aventure
Le pitch
Le Producteur Oracle est un mec richissime et très superstitieux. Il finance sans compter le film que vont jouer les Acteurs mais en contrepartie impose sa marotte de l’utilisation du Tarot pour deviner l’issue d’une action ou interpréter la réalité.
Credo du Producteur Oracle
Le juste milieu entre préparation et improvisation est la clé du succès d’un bon film.
Les décisions importantes seront prises démocratiquement entre les Acteurs et le Réalisateur.
La co-participation des Acteurs au tournage et au montage est encouragée par la production.
Le règlement est au service du plaisir ludique qui est le but de toute aventure imaginaire.
Postulat de la vérité narrative relative
Les acteurs peuvent en activant un trait de leur Rôle ou un dépensant un(des) point(s) de synchronicité intervenir directement sur le déroulement de l’Aventure comme le Réalisateur. Ce qui revient à dire que ce que les acteurs vont décrire dans ce cadre va devenir réalité. Ce postulat donne aux acteurs un large pouvoir narratif, leur permettant de créer nouvelle scène, événement positif/négatif, intrigue, hasard bénéfique, … et d’une manière générale pour compliquer l’Aventure vécue. Il est plus amusant de considérer que vous aviez l’outil nécessaire dans votre coffre plutôt que devoir repartir vers le magasin le plus proche pour l’acheter avant de revenir à la maison hantée. L’Acteur peut dépenser un point pour faire arriver son Rôle au bon moment.
Synchronicité Scénaristique
Chaque acteur débute avec x (3/5) points de Synchronicité Scénaristique (PSS) (ou chi, mana ou destin) qui lui permettent d’influer sur le déroulement du film et donc de l’Aventure. Il s’agit de modifier légèrement le scénario en sa faveur en provoquant une coïncidence bienheureuse.
Effet dans une action : + 1 ?
L’intérêt d’avoir quelques Traits négatifs ou ambivalents est qu’ils permettent la régénération des points de Synchronicité par leur Invocation Involontaire, c’est-à-dire lorsque le Réalisateur ou un Acteur décide d’invoquer la facette négative du Trait d’un Rôle (par exemple: tu es Colérique, donc tu entres dans une colère noire au mauvais moment). Si le Rôle accepte (refuse), il gagne (perd) autant de points de Synchronicité Scénaristique que de niveaux dans le Trait.
Postulat de la description collaborative
Le cœur du système repose sur les descriptions du cadre de façon collaborative avec les Acteurs. L’ambiance de l’Aventure et la richesse du décor dépendent donc aussi de leur participation. Le parti pris est clairement narratif (référence littéraire ou cinématographique) car chaque action d’un acteur nécessitant un test devra être enrichie une trinité descriptive. Il s’agira d’éléments visuels ou descriptifs lié à l’action en cours ou pas, intéressant au niveau de l’ambiance de la campagne et du style de jeu, autant de cascades supplémentaires que de dialogues cinglants, de détails cinématographiques ou une réflexion introspective littéraire ou un flash-back , … Bref toute description ou scène qui aurait sa place dans un film ou un livre palpitant pour « embellir » l’action et la rendre plus vivante. L’acteur qui se mettrait en scène de façon « inélégante » pourrait se voir sanctionné sur proposition de Réalisateur en réunion cinématographique.
Postulat de l’autorité partagée
Les décisions importantes seront prises démocratiquement entre les Acteurs et le Réalisateur par vote si nécessaire. Mais la recherche d’un consensus sera toujours privilégiée. Les réunions cinématographiques sont présidées par le Réalisateur qui tranche en cas d’égalité. Un veto peut être mis sur tout utilisation inopportune du postulat de la vérité narrative par ce biais. En cas de problèmes graves, insolubles ou en visite de routine, il arrive que notre bon vieux producteur Oracle se déplace pour présider la réunion et régler les différents. Ces décisions seront justes mais sévères et surtout sans appel.
Définir plus précisément ce qui relève de la compétence de la réunion … limiter pouvoir d’oracle

comment ficeler l’utilisation du Tarot au mieux ?
Je pensais que chaque joueur aurait une main de cartes (4/5).
Les traits du Rôle basés sur une échelle descriptive à la fudge/Fate donnerait des bonus en fonction du niveau : style bon (+3)
Chaque action donnerait lieu à l’utilisation d’une carte de sa main à laquelle nous ajouterions le bonus éventuel d’un Trait du Rôle, un bonus supplémentaire si l’on active un Trait (activation en nombre limitée) ou que l’on grille un point de Synchronicité Scénaristique …
bref, un carte du Tarot (1 à 14 pour les arcanes mineures / 1 à 21 pour les arcanes majeures) + bonus éventuels à comparer soit à une difficulté fixée par le Réalisateur soit un tel tirage de la personne qui s’oppose.
quid des spécificités d’un jeu de Tarot dans ce cadre ?
quid des arcanes majeures ? (pouvoir spéciaux en sus ? un tirage d’un carte arcane : susciter un rebondissement improvisé/deviner ? Arcanes majeures lors d’une action : soit interprétation directe dans le feu de l’action, soit mise de côté pour interprétation future après l’action ? )
quid des couleurs (deniers/coupes/épées/bâtons) dans le système ? (-certains type d’action serait favorisés par certaines couleurs (épée = combat offensif, or = commerce/diplomatie, coupe = magie / technologie / artisanat, baton = combat défensif/protection/médecine/création artistique … si oui comment concrètement ? )
Comment relier tarot et improvisation ? lien avec le jeu de carte « improvisation collaborative » ? (voir ci-dessous) un truc en passant pourquoi pas recourir au pouvoir évocateur et mystérieux du tarot pour vos improvisations ? selon les ambiances/époques, une grille de lecture riche peut être préparée pour chaque carte mais après un moment d’adaptation, la seule vision de la carte (dessin + nom) devrait être suffisamment évocateur pour la majorité d’entre nous.
Improviser via le pouvoir évocateur du tarot :
- une seule carte pour improviser un rebondissement/une piste secondaire
- soit plusieurs cartes pour mettre en place une intrigue plus complexe (plusieurs cartes pour former une sorte de phrase : une localisation/complément circonstanciel , un sujet, un verbe/action, un complément du verbe objet/sujet/autres ) —> similitude avec le simulateur antédiluvien de scénario aléatoire de casus belli
exemple de tirage de 4 cartes : Dans la sombre forêt, (localisation/complément circonstanciel) un clerc (un sujet) conspire (verbe/action) contre le Roy (complément du verbe) ----> la suite peut continuer avec une deuxième phrase pour approfondir l’intrigue si besoin


pool commun de cartes ? ou mix avec pool perso/commun ?
Blessures/échecs  perte d’une carte de la main

Pistes supplémentaires à intégrer au mieux : besoin d’avis
+ Cartes « improvisation collaborative » : style commedia/corto maletese/fudge  orienter / susciter des scènes / interactions / richesse de jeu / improvisation collaborative des acteurs (récompense en PS). Si l’on veut faire une comparaison, on pourrait se représenter certaines Scènes de Commedia comme ces scènes dans les séries TV où les comédiens ont soit des flashbacks, soit font partie de scènes où ils s’imaginent dans des situations fantasmées parfois complètement délirantes : dans tous les cas, cela donne un éclairage différent sur les personnages, tout en développant leur personnalité et/ou leur background …
+ Jouer aussi les scènes où les Rôles sont absent (ou seulement présent en nombre limité), le Narrateur et les acteurs jouent des figurants, voire même les opposants comme le Grand-Méchant dans son repaire qui manigance, …  changement de perspectives …

+ Faire du système aventure : un film mj = réalisateur, PS = Points de Productions, …  facilité à moins s’accrocher à un perso principal, à partager l’interprétation des figurants et collaborer ensemble à l’ambiance, partage du rôle du producteur (collaboration, narration, synchronicité)  réunion de co-production pour trancher  pouvoir changer de point de vue (pas un joueur un perso )  pouvoir jouer aussi les scènes d’un film/livre où des héros sont absent  certains pnj sont joués par un acteur dont le rôle est absent -- l’on peut aussi jouer des scènes où tous incarnent l’enemi …
+Référence à Ars Magica : Gestion d’un méta-groupe commun aux persos (l’alliance), un personnage principal mais foulitude de personnages secondaires nécessaire et jouable …
+ Une dépense de PS = activation du principe de vérité narrative
(1 PS = bonus de +1/ un phrase descriptive / mise en place d’une scène/figurant/…) Figurant, scène, lieu créés par un acteur lui donne un pouvoir supplémentaire dessus (veto ou cout moindre pour l’activer)
+ Avoir un système de perso simple comme scales
Un Rôle = quelques Traits + (très peu) Talents + Points de Synchronicité
+ Tarot = générateur de D14  correspondance avec l’échelle des adjectifs
+ Pour récuperer un score le personnage doit effectuer des actions particulières qui dépendent de la compétence et de sa personnalité. Ca pourrait être aussi bien “avoir des rapports sexuels avec un(e) inconnu(e)”, “dormir dans des draps de soie”, “s’empiffrer de mets fins”, que “faire des katas au petit matin” ou “méditer en observant des roseaux plier sous le vent” ; Les deux dernières correspondraient elles à une éventuelle adaptation à un univers “japonisant”.

+ Les points de synchronicité joué par les acteurs vont dans un pool pour le réalisateur … Créer un budget effets spéciaux pour le Narrateur (rempli avec les pts de traits et de synchronicité utilisé par les acteurs) pour mettre en place certains trucs (coup de traitre, fausse piste, complications, seconde vie pour le boss, une attaque imprévue, ….)
+ Gestion des actions par scène de façon collective (à la wushu)
+ Avoir une description/portrait écrite du personnage  quelques mots/lignes d’explications pour chaque trait/période de la vie du Rôle
+ Impliquer les acteurs : création d’extras par chaque acteur (lieu/objet/personne/intrigue/…)

Je suis toujours en train de reflechir sur ce paralelle entre le tarot et le story telling. Ce qui me plait bien c est qu on retrouve plus ou moins ce découpage situation, personnage, lieu. En plus le contexte est assez “neutre” et donc transposable a des univers differents.
Concernant le systeme de combat, je comptais utiliser qq chose derive du pocker, la encore on retombe sur un jeu de carte classique.

Ce qui manque a nos systemes jeux d apres moi, c un systeme qui assure un coherence globale de l histoire. Je comptais notamment utiliser ce decoupage : http://en.wikipedia.org/wiki/Dramatic_structure

Exposition
In the exposition, the background information that is needed to understand the story properly is provided. Such information includes the protagonist, the antagonist, the basic conflict, the setting, and so forth.
The exposition ends with the inciting moment, which is the single incident in the story’s action without which there would be no story. The inciting moment sets the remainder of the story in motion beginning with the second act, the rising action.
Rising action
During rising action, the basic conflict is complicated by the introduction of related secondary conflicts, including various obstacles that frustrate the protagonist’s attempt to reach their goal. Secondary conflicts can include adversaries of lesser importance than the story’s antagonist, who may work with the antagonist or separately, by and for themselves.
Climax (turning point)
The third act is that of the climax, or turning point, which marks a change, for the better or the worse, in the protagonist’s affairs. If the story is a comedy, things will have gone badly for the protagonist up to this point; now, the tide, so to speak, will turn, and things will begin to go well for him or her. If the story is a tragedy, the opposite state of affairs will ensue, with things going from good to bad for the protagonist.
Falling action
During the falling action, the conflict between the protagonist and the antagonist unravels, with the protagonist winning or losing against the antagonist. The falling action might contain a moment of final suspense, during which the final outcome of the conflict is in doubt.
Dénouement or catastrophe or Resolution
The comedy ends with a dénouement (a conclusion) in which the protagonist is better off than at the story’s outset. The tragedy ends with a catastrophe in which the protagonist is worse off than at the beginning of the narrative.

Je pense que cela peu encore aider a la creation d un scenario, et assurer un minimum d interet.
J aimerai bien voir de plus pres comment on apprends a lire le tarot ;)
[/quote]


Pour le tarot, je suis parti sur un truc un peu trop fouillé pour les arcanes majeures et donc inutilisable en l’état à mon sens : une grille de lecture hyper dense et donc difficilement utilisable dans le feu de l’action —> je pensais à utiliser les arcanes majeures pour générer des rebondissements, intrigues secondaires et autres trucs aléatoires pour décharger le narrateur d’une partie de la préparation




improviser via le pouvoir évocateur du tarot :
- une seule carte pour improviser un rebondissement/une piste secondaire
- soit plusieurs cartes pour mettre en place une intrigue plus complexe (plusieurs cartes pour former une sorte de phrase : une localisation/complément circonstanciel , un sujet, un verbe/action, un complément du verbe objet/sujet/autres ) —> similitude avec le simulateur antédiluvien de scénario aléatoire de casus belli
exemple de tirage de 4 cartes : Dans la sombre forêt, (localisation/complément circonstanciel) un clerc (un sujet) conspire (verbe/action) contre le Roy (complément du verbe) ----> la suite peut continuer avec une deuxième phrase pour approfondir l’intrigue si besoin

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oui l histoire des cartes genre tarot rejoins mon idée d il y a quelques post.

maintenant l idee secondaire est de rendre la lecture avec des sens cachée ou aucun des joueurs ne peut connaitre le sens veritable de la quete.
par exemple la description du lieu doit etre assez vague pour ne pas etre trouvée du premier coup, un jet de dé ou des cartes d indices peuvent alors aider au recoupement. Par exemple la recuperation de point d’indice permettre de modifier le lancement du dé pour savoir si la grotte ou on va aller est la bonne (je m inspire un peu des mille et une nuits).

pour le tarot il y a certainement moyen de le “simplifier” avec des cartes plus adaptées a la lecture du commun des mortels et avec une jeu de couleur faire que la lecture de l enigme soit plus facile…

comment gérer les conflits/antagonismes concrètement avec les cartes de mon tarot ? voilà ce dont j’ai besoin comme réponses, aides et avis

Autorité = le Réalisateur par défaut, mais la réunion cinématographie (c-a-d tous en time-out) peut décider différemment.

schéma d’un scène antagoniste à gérer dit:1)Planter le décor (lieu, temps, durée, personnes, ambiance, …)
2)Définir l’Enjeu (le but de la scène : repousser un ennemi, trouver des indices, convaincre le chef de démissionner, « D’accord, mais si tu perds, ton ennemi mourra bel et bien, mais tu pleureras sa mort le reste de tes jours, regrettant ton geste. », «gagner plus d’informations sur une personne" ou “courir après le prisonnier échappé» ou «faire une bonne impression sur le maire.”)
3)Tension dramatique (qui va réussir ? qui peut être couplée à un choix difficile, ce qui augmente la tension dramatique et le nombre d’issues possibles, dilemme moral, …)
4)Une résolution qui donne lieu dans le meilleur des cas à la perception des conséquences du conflit. (réussite, résultat neutre, échec)


- chaque acteur aurait une main de cartes (4/5)
- le scène gérant un antagonisme serait composé de plusieurs séquences
- chaque acteur présent joue un carte de sa main mais il peut en jouer des supplémentaires en les prenant dans la pioche (ou au moins augmente son efficacité) en activant un trait, en dépensant un point de Synchronicité Scénaristique, en jouant une arcane majeure (effet spécial à déterminer)
- je compare cela soit à une valeur fixe (comme le niveau de menace de wushu) soit au jeu de l’opposant

je patauge encore dans la formalisation du tout. je pensais à ce que l’autorité décide d’un atout pour la scène. chaque couleur (épée/esprit, coupe/coeur, denier/corps, …) étant plutôt une manière d’agir et le fait de jouer de l’atout donnant un avantage également. je vais me retrouver à additionner les valeurs de pleins de cartes, ce qui me rebute et s’oppose à un système fluide et léger. je ne sais donc pas encore gérer ni la modalité de résolution du conflit, ni les couleurs des arcanes mineures.

→ chacun joue sa (ses) cartes le premier tour, l’ordre de narration des tours suivants se déroule dans un sens décroissant des résultats.
→ l’Acteur qui gagne l’antagonisme a le « dernier mot » (voir the pool)

→ quid concrètement des arcances majeures que je voulais introduire comme stimulant à des intrigues improvisées et autres rebondissements ?

p-e un mot clé par arcane majeure à insérer dans l’intervention narrative de l’acteur pour obtenir un effet spécial ou simplement un bonus avec possiblité d’inventer de nouvelles utilisations par consensus ? mais c’est flou là, je pensais à introduire un truc comme les “cartes dramatiques de commedia”

autre piste :
arcane majeure = remplacement de mes points de synchronicité ?
Arcane majeure = gestion du pouvoir narratif (+ un effet spécial point de vue intrigue narrative)

Salut Arnvald

J’ai vu ton post sur jeuderologues…bienvenu ici :)
Tes idées sont interessantes, certaines rejoignent mes préoccupations…le tarot je trouve que ça a de la classe mais perso je ne suis pas convaincu que ce soit le + utile.

Enfin, a chacun sa recette.

Dans la meme idée, j’ai posté sur Theforge

http://www.indie-rpgs.com/forum/index.php?topic=26302.0

N’hesitez pas a faire pareil. Au plus on est de fous…

merci à toi, je progresse dans ma quête. y a quand même déjà pas mal d’infos sur les théories et mécaniques ludiques et rôlistiques sur le net quand on cherche bien mais faut aller aussi chez les anglophones effectivement. je vais aller voir ton fil de discussions alors.

bonjour

je suis le fil avec parcimonie mais je suis intéressé par le débat que je place pas tout a fait sur le côté technique mais sur le public visé.

je m’explique. lors des parties de jdr, chacun a son personnage et le Mj a un scénario et la partie commence. le roleplay qui est semble t’il la pierre angulaire de ce jeu est je trouve un peu surfait, beaucoup de joueurs se contente de lire les carac et de dire ben j’'ai 18 ici et hop je fais cela ou quelques rares moments où ils sentent que il va falloir être sérieux hop une pincé de roleplay.

je travaille a longueur d’année avec des enfants et je côtoie des ados et force est de constater que le rythme, le temps son des valeurs qui vont faire qu’un jeu marche ou pas. De plus étant devenu joueur de Yu GI oH j’ai remarqué le role de l’adulte dans le jeu pour cadrer, accompagner les parties. j’attend de ce jeu jdr/jdp que je puisse l’adapter a mon public pour gagner du temps des fidèles et aussi apres aller vers le jdr plus spécifique si le temps le permet.

Pour en revenir a yu gi oh le principe c’est de mettre des cartes qui provoquent une situation particulière forçant l’adversaire a réagir ou a subir. donc un ensemble de cartes d’action de terrain de magie de piège,…

supposons qu’on prenne un mj avec une trame de scénar, on pose une pioche sur la table destinée aux joueurs et au MJ en piochant le MJ va devoir adapter , imaginer des situations qui vont modifier le cours de l’histoire. la carte n’est pas le support mais l’outil, et le roleplay demeure la base du jeu avec une fiche de perso pas trop lourde à l’image de ce qui se fait pour donjon et dragon miniature.

voila qu’en pensez vous? mauvais bon?

peu importe le systeme, l’objectif est tjrs de pouvoir joueur au JDR ( cadne histoire ET jouer un role) avec un minimum de preparation et d’investissement en temps, y compris pour le MJ, avec idealement pas de MJ du tout…

On est d’accord.

Pour le reste, je ne connais pas le jeu que tu cites. Tout est potentiellement interessant comme solution, mais je n’en sais pas assez pour te donner un avis…

encore une fois the pool/the puddel remplit haut la main presque toute les demandes du cahier des charges.

Il y a certe besoin d’un MJ qui sais bien improvisé, mais à part ça, pas de préparation, pas de scénar, juste une accroche pouvant être tiré rapidement dans le doc posté dans ce sujet qui résume les intrigue de scénar de JDR.

faire les perso, max 10 minutes, si les joueurs prennent leur temps et la fiche est ultra simple à comprendre.

Après on joue tout de suite, et les joueurs peuvent intervenir dans le scénar et l’orienter…

Système de jeu très basique, avec que des d6.

D’accord avec toi, sauf que dans le genre jdr cooperatif, universalis me semble + complet.
Apres ça ne reste qu’une base a partir de laquelle inventer un jdr qui troune facilement. Car en l’etat, il reste pas mal de question en suspens.

si on en un MJ, il lui reste tout le travaille de preparation, donc rien de nouveau de ce coté la ( ou developper un systeme pour le lui eviter) . Sans MJ, il faut resoudre les problemes qu’on a evoqué ( cohesion de l’histoire, gestion des “secrets” des PNJ, etc…)

Enfin, c’est comme ça que je le vois.

De mon coté, j’ai aussi pris le JDR collaboratif comme base de travail, mais apres voir essayé de convertir un scenars en cartes selon le systeme que j’ai evoqué, beaucoup trop de problemes apparaissent.

Apres avoir posté sur the forge, on m’a donné une piste interessante pour lier les scenes entre elles.

En resumé : dans un Dongeon Crawler les evenements (scenes) sont liées a un espace. C’est donc facile a gerer : le MJ a un organigramme ( le labyrinthe) et la description de chaque scene. Quand les joueurs entrent , la scene commence.

Dans des scenars + complexes, il n’y a pas de donjons.
Mais cela n’empeche pas d’appliquer le meme procedé.

le plan du dongeon → le plan du scenar , sous forme d’organigramme

Quand un joueur rentre dans une “salle” ( dans ce cas la , une phase de l’organigramme), la scene a lieu.

En terme de jouabilité on a :

1- un scenario de jrd découpé en

a) organigramme numeroté
b) description des scenes
c) débouchés possibles vers les autres scenes

A mon avis ça reste la presentation la +

Le reste est du jdr collaboratif.

Mais ça ne resout pas tout.
Si le scenario est assez complexe, le MJ doit connaitre pas mal d’elements sur le monde pour son interpretation. Et si il n’y a pas de MJ ( c’est tout a fait possible, dans ce cas on ne connait que la portion de l’organigramme que l’on parcours), on retombe dans le probleme de gestion des " secrets".

resalut, j’ai enfin eu mes parametres free je vais enfin bientot pouvoir me mettre à l’installation du forum dédié. Si vous avez des suggestions pour son découpage/organisation.

Si ta proprositiond e transcrire un scénarion sous forme de donjon/organigramme me plait bie, je doute que l’on arrive à faire qqchose d’attractif visuellement parlant non?

Le but c’est surtout que ce soit pratique. C’est pour le MJ ( de tour) seulement. ça revient a faire un melange de LDVELH et de JDR collaboratif.

justement pour le forum il y a plusieurs façons de voir la chose.

En fonction des objectifs et/ou des mecanismes privilegiés.

Attends, j’aiencoreun petit souci, je ne’arrive pas à voir chez frre où l’on obtient/ou nomme sa base MySQL …

ludesix dit:supposons qu'on prenne un mj avec une trame de scénar, on pose une pioche sur la table destinée aux joueurs et au MJ en piochant le MJ va devoir adapter , imaginer des situations qui vont modifier le cours de l'histoire. la carte n'est pas le support mais l'outil, et le roleplay demeure la base du jeu avec une fiche de perso pas trop lourde à l'image de ce qui se fait pour donjon et dragon miniature. voila qu'en pensez vous? mauvais bon?

c'est bien mon idée : Improviser via le pouvoir évocateur du tarot :
intrigue/rebondissement/piste secondaire
Maitresinh dit:si on en un MJ, il lui reste tout le travaille de preparation, donc rien de nouveau de ce coté la ( ou developper un systeme pour le lui eviter) . Sans MJ, il faut resoudre les problemes qu'on a evoqué ( cohesion de l'histoire, gestion des "secrets" des PNJ, etc...)

--> le narrateur prépare juste les bases : un fil rouge (le thème de l'épisode comme dans un série avec un scène de départ) et quelques éléments clés de l'épisode (un scène d'action, un scène d'interaction sociale, une scène d'investigation) but: forte implication des acteurs (joueurs dans l'élaboration de l'histoire : narration collaborative) avec l'aide du pouvoir évocateur du tarot
Maitresinh dit:peu importe le systeme, l'objectif est tjrs de pouvoir joueur au JDR ( cadne histoire ET jouer un role) avec un minimum de preparation et d'investissement en temps, y compris pour le MJ, avec idealement pas de MJ du tout... On est d'accord.

j'ai un Réalisateur (MJ), Autorité Narrative par défaut mais la réunion de tous peut décider par consensus ou vote si besoin de changer pour un temps ou pour tjs les règles ou les modalités de partage de l'autorité.
--> je désire pouvoir avoir un réalisateur tournant par épisode, ou même pas de réalisateur dans certains cas. Mon angle d'attaque par défaut, c'est un réalisateur avec les grandes lignes du scénario avec des acteurs hyper impliqués et une bonne dose d'impro. but : peu de préparation, partie plus courte et nerveuse comme un épisode de série.
Maitresinh dit:Apres avoir posté sur the forge, on m'a donné une piste interessante pour lier les scenes entre elles.

j'apprécie pas mal la forge et après avoir pas mal galéré sur les forums francophones, je suis tombé sur un petit frère forgien en français. je te le conseille à tout hasard (lien par ICI) Des gars géniaux là-bas pourront t'épauler aussi et en français ce qui n'est pas négligeable.


Mon idée : je pense que le tarot sera utilisé à deux niveaux :

A) un gestionnaire de l'aléatoire pour résoudre les antagonismes et gérer le hasard (sorte de D14 pour arcanes mineures et les majeures sorte de joker spéciaux)

les arcanes majeures valent lors de la résolution d'un conflit leur valeur faciale mais le fait de jouer une arcane majeure donne le droit de rejouer un autre carte (de sa main et/ou de la pioche faudra voir). Maintenant, le fait d'égaler la valeur du fou/mat (22/0) avec une arcane majeure et une autre carte donne une résultat parfait imbattable (soit addition et j'arrive à 22; soit soustraction et j'arrive à 0) --> à creuser et seulement si une arcane majeure est jouée

B)un booster de l'imagination pour improviser les "retombées" de l'antagonisme (dommage physique, évolution spirituelle, dilemme moral, ...) et aussi comme "programmateur scénaristique" pour soulager le travail du narrateur.

Les couleurs des arcanes mineures ont déjà un symbolique forte utilisable pour l'interprétation :

Denier : énergie qui correspond au plan matériel/corporel. l'argent, la vie économique, la santé, la Terre, l'aspect pratique, le corps, l'esthétique, la santé, le temps, guerre
Bâton : énergie qui correspond au plan artistique/spirituel. âme, religion, surnaturel, inspiration artistique, créativité, Feu sacré, sexualité, passion, intuition, combustible
Coupe : énergie qui correspond au plan affectif/relationnel. amour, relations amicales ou familiales, cœur, l'Eau, émotions, initiation dans groupe
Epée : énergie qui correspond au plan intellectuel/cérébral. esprit, études, intellect, psychologie, loi, justice, Air, résolution des problèmes, politique, loi, paperasserie


Soit Je pensais à un atout par épisode, l'Autorité responsable de la scène qui choisit l'atout du conflit, chaque épisode met en avant un Rôle en particulier et c'est l'acteur qui a le droit de choisir l'atout, ...
--> jouer de l'atout donne droit à rejouer un autre carte (main et/pioche)
soit chaque couleur correspond à une manière de procéder avec le coeur/esprit/corps/âme ; puissance/précision/rapidité/rusée ; ...
offensif/défensif

quid des arcanes majeures ?

à chaque carte correspondera plusieurs moyens d'interprétations :
- l'interprétation visuelle (ce qui est dessiné)
- l'interprétation sémantique (quelques mots choisis pour stimuler l'imagination et ne pas noyer les acteurs dans un fatras ésotérique)
style bateleur = "initiative, démarrage, action, insouciance et immaturité"
- un sens supplémentaire, spécial selon l'univers de la série : exemple : dans un monde cyber, le bateleur pourra aussi être un netrunner/deker et la maison dieu être un tour corporatiste. but : faire correspondre avec certaines arcanes, les lieux communs de mon univers de jeu (pj, pnj, situation classique, endroit, ...)

Moi j’aime bien ce système de tarot, mêm si je dois bien l’avouer, je n’ai pas tout suivi… Par contre je préconise d’une part l’abandon des figures traditionnelles du tarot au profit de figures un peu moins ésotériques. Plusieurs raisons :
1. Raison commerciale : ben ouais qui achètera un jeu qu’il peut refaire avec ses propres tarots.
2. Bannir l’aspect esothérique du truc qui risque de rebuter certains.
3. Raison de l’immersion dans l’univers : On pourrait adapter les figures aux univers

Je ne sais pas si c’est ce que tu envisages quand tu parles des couleurs et de des arcanes mineures et de leurs significations, mais celles-ci pourraient très bien aussi substituer les fameux “attributs” chers à nos PJ… Ainsi entrerait en jeu une notion de gestion est ce que je joue cette Am dans l’intéret commun et donc du scénario ou en tant qu’attribut dans mon intérêt perso.

Bon je n’ai pas encore réussi à faire fonctionner le forum, je voulais que l’on en profite pour discuter de son organisation.

… Ayé… Ca se passe :arrow: là, j’améliorerai au fur et à mesure, notamment avec un nom de domaine pour un accès plus facile.