La pâte des auteurs (mais pas que les italiens)

Je crois pouvoir avancer sans me tromper qu’il s’agit justement d’une blague de la part de @weis, qui écrit correctement “patte” dans le corps de son message.
Mais c’est vrai que je vois souvent la faute sur les réseaux (“pâte” pour “patte”).

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Le fait d’emprunter aux jeux traditionnels peut aussi être une marque d’un auteur. D’ailleurs Fictionnaire est également issu d’un jeu de la tradition orale (le jeu du Dictionnaire).

Si on va par là oui tout à fait.

Oui mais en l’occurrence ce serait réducteur
Et Hervé n’a pas fait que des jeux de mots : au moins Skull et The Phantom Society

Je m’attendais à ce que quelqu’un le fasse remarquer, mais pas toi quand même ! Ou bien je n’ai pas bien saisi le second degré…

Alexander Pfister:

Boucle à parcourir plusieurs fois en optimisant ses actions: Great western trail, Maracaibo, Boonlake…
Cartes multiusages (ressources, effets, batiments, scoring de fin de partie, …) : Maracaibo, Expediton to Newdale, Cloudage…

Exception: Mombasa/Skymine

Ok pardon…la pâte des auteurs, celle avec laquelle ils font leurs jeux… du coup je m’écrase et quitte ce fil à la pâte.

Je t’ai vu Harry…tss, tss, tss ! :face_with_monocle: Le syndrome Mythotopia… bon et Way out west aussi.
Il y a aussi le joyeux bololo des règles de Brass et de Byzantium, ok, mais pour le reste…ça demande juste parfois d’être un peu futé, voilà tout.

Les auteurs italiens ont un style particulier que j’apprécie peu (mais c’est mon problème). C’est souvent calculatoire, alambiqué et peu lié avec le theme du jeu dans les cas que j’ai rencontrés.

J’aime la patte de Bernd Eisenstein pour ce qu’il fait avec les dés ou avec des mécaniques qui s’imbriquent bien entre elles

J’aima aussi celle de Seiji Kanaï pour les emotions procurées avec seulement qq cartes à pouvoir

Et et Reiner Knizia pour le costume / deguisement qu’il porte à chaque promotion d’un de ses jeux :joy:

Une patte ça ne se traduit pas forcément par un principe appliqué à tous les jeux de l’auteur. Pour ma part je trouve qu’il n’est pas aisé de trouver un liant entre tous les jeux d’un auteur (non pas que ça soit impossible mais je ne m’en sens pas capable). Par contre on peut voir que certains font plusieurs séries avec un lien conceptuel.

J’ai pensé comme toi en cherchant un lien unique dans les jeux de Bernd Eseinstein ou ceux de Benjamin Schwer.

Il y a aussi Paolo Mori. Je sais pas comment il fait mais c’est souvent très bien et ça se ressemble pas