Apres 12 ans, ca va etre enorme. 
Duke Nukem Forever
A
… Dune Nukem For never 
C’est plutôt ça ouais! 
ehanuise dit:... Dune Nukem For never
joli pied de nez au pied nickelé!
Come Get Some !
La blague “for never” est quand même un peu périmée les gars, nan ? 
Perso je n’ai JAMAIS douté !
Ah Ah AAAAAAH ! Il est de retour, il est pas content, et ça va chier des bastos de shotgun dans tous les fions adverses !
(la dernière vidéo leakée il y a quelques mois faisaient quand même bien envie, et il aurait été dommage de ne pas le sortir)
Let’s Rock !
Bon, ce doit être la 3e ou 4e fois que le jeu est re-annoncé.
Si il sort vraiment, je pourrai pas y jouer vu que j’ai pas de X360, pas de PS3, et pas de PC de gamer.
Mais je ne peut pas m’empêcher de penser à quelque chose : beaucoup d’eau a coulé sous les ponts du FPS, et si, finalement, il s’avérait être moyen ? 
Le sujet du “Et si” ne se trouve pas dans la CaT normalement ?
OSEF qu’il soit moyen, je pense que tout “fan” du Duke qui se respecte ne demande qu’un jeu Fun/Trippant/Défoulant/Jouable/Parodique
L’erreur serait justement de le comparer à d’autres FPS plus “sérieux” ou AAA comme les Halo, Bioshock, Crysis etc…
A coté de ça, il risque de se retrouver confronter à des jeux comme “Bulletstorm” d’Epic… et là, c’est de suite un peu plus chaud
A voir
Pour la petite histoire un des boss de 3D Realms avait à l’époque (2006) annoncé que le jeux sortirai quand les Cochons voleraient…
Et voici ce qu’il avait Twitté quelques jours avant l’annonce officiel de la sortie du jeux:
A noter : la paire de lunette sur un des cochons
La bonne nouvelle, c’est que c’est Gearbox (Borderlands) qui est aux commandes.
En attendant on a eu Serious Sam I et II à se mettre sous la dent, qui était bien dans l’esprit fun et déconne
La question, c’est le politiquement correct : la situation en 1996 était bien différente de celle d’aujourd’hui.
bah pas tellement, on ose plus maintenant qu’en 1996. Il n’y a qu’à voir le nombre de films (et même de séries TV) interdit au moins de 16 ans.
Non, la question c’est la testostérone. En 1996, c’était à la mode, maintenant beaucoup moins.
Je ne pense pas tant à la violence qu’aux femmes…
Franchement, je visualise pas dans un jeu d’aujourd’hui un bar de strip-tease (moment culte) ou un sex-shop. Ni la possibilité lancer une pipebomb a coté de chacune de danseuse pour les faire sauter toutes en même temps.
Après tant de temps de développement, le jeu risque d’être dépassé dans le gameplay et l’originalité par d’autres.
Il ne peut miser que sur l’ambiance mais même là, ça ne lui garantira qu’un peu de notoriété avant sa sortie…
Bref, ça risque d’être un effet d’annonce et le jeu sera bien vite oublié… quel gâchis.
Simboubou dit:Ni la possibilité lancer une pipebomb a coté de chacune de danseuse pour les faire sauter toutes en même temps.
Arf il faut que je réinstalle duke 3d, j'ai jamais pensé à l'essayer ce coup la
Randy Pitchford, le patron du studio Gearbox, l'avait annoncé, il y aura bien une démo pour promouvoir la sortie de Duke Nukem Forever. On ne sait toujours pas quand cette démo arrivera, mais tout porte à croire que les joueurs qui se procureront Borderlands : Edition Jeu de l'Année (Game of the Year) pourront mettre la main dessus avant tout le monde. D'après l'éditeur 2K Games et Gearbox, Borderlands GOTY offrira une entrée au Duke Nukem Forever First Access Club, un nom un peu pompeux qui semble désigner une démo jouable. Borderlands : Edition Jeu de l'Année sera disponible le 15 octobre sur PC, PS3 et Xbox 360 avec le jeu complet et ses quatre add-on. La démo de Duke Nukem Forever arrivera quant à elle plus tard.
Mais je sait pas pourquoi j’attends : j’ai pas de PS3, pas de Xbox360 et mon PC est loin d’être assez puissant.
je regrette surtout que Duke nukem soit passé d’un jeu de plate-forme déjanté à un FPS sans aucune saveur.
J’espère que ce jeu saura trouver son public mais je crains aussi qu’il déçoive pas mal. A trop attendre, les joueurs seront forcement déçu.
je pense qu’il aurait mieux valu en faire autre chose. Revoir le projet depuis son départ.