Le vote utile

grolapinos dit:
Alix dit:Tu as déjà les vacances, les stages de formations pendant la scolarité dont certains peut-être non remplacé, plein de vacances. Sauf si je ne m'abuse ta retraite est calculée sur les 6 derniers mois et tu as la sécurité de l'emploi.

Sans compter les masseuses nues en salle des profs.

C'est pour ça qu'on avait jamais le droit d'y entrer ???!!!! :shock:
L'homme de la pampa dit:Mes collègues enseignants commencent à parler de plus en plus souvent de vote utile, autrement dit de donner leur voix à Ségolène Royal. C'est le syndrome Jospin. Beaucoup d'enseignants n'ont pas voté pour lui en 2002 et assument mal aujourd'hui ce choix légitime. Ils ne veulent plus fauter, s'égarer dans les bras d'Olivier, d'Arlette ou de José. Chevènement est là pour leur dire de redevenir sérieux, 2002 n'est plus qu'un mauvais souvenir.
Mais voter utile pour un enseignant de gauche, c'est quoi ?
Voter pour un parti autiste euro libéral ? Non c'est mal.
Voter pour une candidate qui méprise les enseignants ? Non c'est mal.
Voter utile c'est tout le contraire. C'est faire comprendre au parti socialiste en lui faisant perdre une nouvelle fois les élections qu'il n'est plus le centre de la gauche française, qu'il n'a plus de raison d'être historiquement.
Voter utile c'est voter Arlette, José, Olivier pour fêter la fin du PS et du PC son allié sous perfusion qui a miné grossièrement la gauche antilibérale.
Voter utile ce peut être aussi voter Bayrou pour prendre des voix à Ségo et Nico, les jumeaux qui mènent une campagne à l'américaine.

J'avoue que j'ai un peu de mal à comprendre : voter utile c'est voter pour deux extremistes ? (ben dans ce cas là, le vote Lepen "de contestation", c'est aussi un vote utile alors (vous avez déjà assisté à un meeting L.O. ? ), c'est voter pour l'allié historique de l'UMP ?
Et puis même si Bayrou était vraiment un candidat de la rupure, en quoi un vote massif au centre pourrait-il pousser le PS à revenir à gauche ?

La question n'est pas tellement de savoir ce que Ségo pense des enseignants mais das son entourage qui aura la charge de l'Education Nationale et quel en sera le budget, non ?
O'Cédar dit:
Jopajulu dit:Moi j'veux bien tout ce que vous dîtes, mais si la gauche traditionnelle (notamment enseignante) ne vote pas Royal, Sarko à un boulevard devant lui. Désolé mais moi je prends pas le risque.

ça va dans les 2 sens... j'espère bien (et j'y crois quand même un peu) qu'une bonne partie de la "droite traditionnelle" ne votera pas pour Sarko...

je confirme que je fais partie de la "droite traditionelle" et que je ne voterais pas sarko au premier tour. à priori ca sera soit bayrou soit blanc.
brunbrun dit:
O'Cédar dit:
Jopajulu dit:Moi j'veux bien tout ce que vous dîtes, mais si la gauche traditionnelle (notamment enseignante) ne vote pas Royal, Sarko à un boulevard devant lui. Désolé mais moi je prends pas le risque.

ça va dans les 2 sens... j'espère bien (et j'y crois quand même un peu) qu'une bonne partie de la "droite traditionnelle" ne votera pas pour Sarko...

je confirme que je fais partie de la "droite traditionelle" et que je ne voterais pas sarko au premier tour. à priori ca sera soit bayrou soit blanc.


Pareil.
Rémy-lee dit:...des tas de trucs...


Merci, tu as été plus intelligent et constructif que moi, mais j'avoue qu'hier soir, à minuit, j'avais pas le courage.

J'ajoute que nos deux mois de vacances ne sont pas payés. Sisi, je vous assure, le salaire des profs est un salaire de 10 mois répartis sur 12. J'ajoute aussi concernant le calcul des retraites que selon le nombres d'heures-sup que l'on fait, jusqu'à 20% de notre salaire n'est pas comptabilisé pour nos retraites. J'ajoute enfin que ceux qui pensent que l'éductaion nationale est une super planque pour glandeurs privilégiés peuvent passer les concours, ils sont ouverts à toute personne ayant un diplôme suffisant.

C'est vrai y'a pas de raison que ce soient toujours les mêmes qui s'amusent.
bigsam dit:
grolapinos dit:
Alix dit:Tu as déjà les vacances, les stages de formations pendant la scolarité dont certains peut-être non remplacé, plein de vacances. Sauf si je ne m'abuse ta retraite est calculée sur les 6 derniers mois et tu as la sécurité de l'emploi.

Sans compter les masseuses nues en salle des profs.

C'est pour ça qu'on avait jamais le droit d'y entrer ???!!!! :shock:


Pour ça et pour l'alcool et la drogue. Les orgies sexuelles, par contre, y'en a moins, c'est plus à la mode.
Jopajulu dit:Moi j'veux bien tout ce que vous dîtes, mais si la gauche traditionnelle (notamment enseignante) ne vote pas Royal, Sarko à un boulevard devant lui. Désolé mais moi je prends pas le risque.



Pour moi il y en a d'autres qu'eux......
grolapinos dit:
bigsam dit:
grolapinos dit:
Alix dit:Tu as déjà les vacances, les stages de formations pendant la scolarité dont certains peut-être non remplacé, plein de vacances. Sauf si je ne m'abuse ta retraite est calculée sur les 6 derniers mois et tu as la sécurité de l'emploi.

Sans compter les masseuses nues en salle des profs.

C'est pour ça qu'on avait jamais le droit d'y entrer ???!!!! :shock:

Pour ça et pour l'alcool et la drogue. Les orgies sexuelles, par contre, y'en a moins, c'est plus à la mode.


Et à quoi croyez-vous que servent les petites salles en annexe de la salle des profs, hein ? :pouicok:
Jer dit:
Voter utile c'est voter pour candidat qui a de vraies chances de l'emporter.
Actuellement il n'y en a que trois : Sarkozy, Royal et Bayrou. Le Pen, même présent au second tour, ne pourra jamais l'emporter.


dans l'hypothèse d'un duel ségo-le pen au 2ème tour (sarko débordé par le pen à sa droite et bayrou à sa gauche, c'est possible) , je serais pas sûr sûr du résultat. d'une part, je ne suis pas sûr que les responsables politiques de droite s'engageraient aussi massivement et aussi nettement pour appeler à voter socialistes que ne l'avait fait l'ensemble de la gauche. et d'autre part l'electorat de la droite traditionnelle, je suis pas sûr non plus qu'il voterait pour ségo. au final, je pense quand même que la gauche l'emporterait mais pas avec un 80-20 comme chirac en 2002.

Il a raison : c’est vrai que dans le privé, on travaille qu’au bureau, qu’on a plein de vacances, et qu’on est surtout pas stressé.

greuh, qui a allègrement dépassé les 70 heures par semaine, travaillant jusqu’à 2h du mat’ et le WE, stressé par trois clients en même temps et la hiérarchie, pas de vacances depuis… Pfiouuu plus que ça, et qui n’est pas revenu au bureau depuis deux mois. :evil:
EDIT : ne parlons pas des retraites, ou de la sécurité de l’emploi, parce que là je vais vraiment entamer une déprime.

greuh dit:Il a raison : c'est vrai que dans le privé, on travaille qu'au bureau, qu'on a plein de vacances, et qu'on est surtout pas stressé.
greuh, qui a allègrement dépassé les 70 heures par semaine, travaillant jusqu'à 2h du mat' et le WE, stressé par trois clients en même temps et la hiérarchie, pas de vacances depuis... Pfiouuu plus que ça, et qui n'est pas revenu au bureau depuis deux mois. :evil:
EDIT : ne parlons pas des retraites, ou de la sécurité de l'emploi, parce que là je vais vraiment entamer une déprime.


Dites les enfants, si vous vouliez deux secondes considérer mon post au second degré, ça calmerait un peu les choses.

Ensuite, jamais je n'ai dit que les conditions de travail dans le privé étaient enviables par rapport aux miennes. Mais quand on me dit "il ne faut pas tomber dans la facilité" après m'avoir fait l'étalage de mes privilèges insensés, désolé, j'ai du mal. Maintenant, quand on part avec des a priori su style les profs sont des fainéants qui n'en foutent pas une, ont des conditions de travail exceptionnelles et se plaignent tout le temps, forcément, le débat est stérile.

Personnellement, et ce sera mon dernier mot sur la question, je me considère effectivement comme un privilégié. Pas pour les raisons que vous évoquez, mais parce que je fais un boulot passionnant, éminement difficile (je bosse plus de 60 heures par semaine en ce moment), mais qui me motive, et qui me permet accessoirement de gagner ma vie. Je ne me plains pas, contrairement à ce que vous dites. Et je suis prêt à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que les conditions de travail de tous puissent être celles-là, même si ce n'est pas parfait. Si demain on me démontre qu'en restant 35 heures dans mon bahut on pourrait y arriver, je le ferai le plus volontiers du monde.

Visiblement, vous préféreriez vous battre pour que les conditions de travail des profs soient totalement dégueulasses, comme ça pas de jaloux. C'est un état d'esprit aussi.
greuh dit:Il a raison : c'est vrai que dans le privé, on travaille qu'au bureau, qu'on a plein de vacances, et qu'on est surtout pas stressé.
greuh, qui a allègrement dépassé les 70 heures par semaine, travaillant jusqu'à 2h du mat' et le WE, stressé par trois clients en même temps et la hiérarchie, pas de vacances depuis... Pfiouuu plus que ça, et qui n'est pas revenu au bureau depuis deux mois. :evil:
EDIT : ne parlons pas des retraites, ou de la sécurité de l'emploi, parce que là je vais vraiment entamer une déprime.


Tant pis pour toi, tu vas pas me faire pleurer. Je suis dans le privé, je fais mes 40 heures dans mon boulot que j'adore, pas une seconde de plus. Il y en a peut-être des moins doués que d'autres pour choisir son emploi :twisted:
J'ai quitté un boulot de consultant parce que j'étais aux Pays-Bas pour vivre avec ma femme, pas dormir dans un hôtel ou camper derrière un serveur rétif touts la nuit.
Et je suis pourtant moins gaté que dans mon job précédent, qui était pourtant le rêve du capitalisme des winners triomphants, Euronext : 36 heures par semaine, 36 jours de congés par an, retraite payée, sécu payée... Ah, la dure vie du privé.

Ton patron te taille et te corvé à merci; too bad.
Tu es ton propre patron, bravo, tu es un winner/achiever

Moi j'ai choisit : esclave du salaire, mais une qualité de vie incomparable.
Et pour rien au monde je ne deviendrais prof, bien que le lycée français de LaHaye m'ait fait du pied.
Quand je vois la vie pourrie de ma frangine qui est instit, je n'échangerai pas ma place, mon salaire, ma tranquilité d'esprit à la fin de ma journée contre toutes les conditions de travail iddyliques que vous attribuez aux enseignants.

(décousu et 3615 ma vie, mais bon...)
grolapinos dit:Maintenant, quand on part avec des a priori su style les profs sont des fainéants qui n'en foutent pas une, ont des conditions de travail exceptionnelles et se plaignent tout le temps, forcément, le débat est stérile.


C'est pas une question d'à priori. Je ne vois guère quelque chose de plus stupide que celle qui consiste à dire: "oula pour faire ce métier faut être fainéant. Ce sont tous des fainéants".

Il se trouve que je connais quelques instits' et profs et je suis bien désolé mais je n'en connais pas un seul qui ne se plaint pas de ses conditions de travail.
Alors je ne les traite pas de fainéants, peut être que leurs conditions de travail sont effectivement pas facile, mais j'ai jamais vu un corps de métier qui se plaint autant... et pourtant j'ai quand même l'impression qu'il existe des métiers plus difficile. Même si je peux me tromper.

On ne devrait plus dire Voter utile mais plutôt voter institutionnellement :

Seuls 3 partis possèdent les équipes et la reconnaissance sur tout le territoire pour gouverner le pays : PS, UDF, UMP

Un quatrième homme fait de bons scores aux élections Le Pen, mais son parti, le FN, n’a pas d’appui sur le territoire national (même pas de majorité dans ne serait-ce qu’une seule circonscritpion, comment voulez-vous qu’il l’obtienne à l’échelle nationale ?). Il ne peut a priori pas être élu, sauf avec une forte abstention au second tour, y compris dans le camp de la personne qu’il serait amené à rencontrer.
De toute façon, il n’aura peut être même pas ses signatures…

Au plus deux partis seront au second tour, voter institutionnellement c’est faire en sorte que celui des trois partis qu’on préfère, ou qu’on déteste le moins, soit au second tour pour pouvoir voter de nouveau pour lui au second tour.

Aux législatives, tout est différent, il y a de nombreux sièges à choisir, on doit, institutionnellement, voter pour son meilleur (ou son moins mauvais) candidat, car n’importe quel candidat local peut avoir sa place à l’assemblée, s’il obtient les votes. C’est avec ses députés et autres élus locaux que les partis peuvent accéder au “club des dirigeants possibles”, dans nos institutions, bien entendu…

Il ne faut pas lire nos institutions comme on voudrait qu’elles soient, mais comme elles sont !
En revanche, il faut militer pour qu’elles changent, si on veut qu’elles changent aux prochaines élections, bien entendu…

Clem42 dit:
grolapinos dit:Maintenant, quand on part avec des a priori su style les profs sont des fainéants qui n'en foutent pas une, ont des conditions de travail exceptionnelles et se plaignent tout le temps, forcément, le débat est stérile.

C'est pas une question d'à priori. Je ne vois guère quelque chose de plus stupide que celle qui consiste à dire: "oula pour faire ce métier faut être fainéant. Ce sont tous des fainéants".
Il se trouve que je connais quelques instits' et profs et je suis bien désolé mais je n'en connais pas un seul qui ne se plaint pas de ses conditions de travail.
Alors je ne les traite pas de fainéants, peut être que leurs conditions de travail sont effectivement pas facile, mais j'ai jamais vu un corps de métier qui se plaint autant... et pourtant j'ai quand même l'impression qu'il existe des métiers plus difficile. Même si je peux me tromper.


Bon, alors tu es libre de me croire ou pas, mais les enseignants que je fréquente sont des gens assez normaux. Quand ils sont au bahut, c'est pour faire leur boulot. Ils font en sorte de donner les meilleurs cours possibles. Quand une réunion ou un boulot supplémentaire imprévu leur tombe sur le nez, ils râlent, et ils y vont (et ne viens pas me dire que dans le privé, on est joyeux à l'idée d'avoir un boulot imprévu). Quand ils ont passé la journée devant leurs élèves, ils sont nazes et c'est normal. En rentrant chez eux, ils font leurs corrections et leurs préparations de cours pour le lendemain.

Pour se plaindre, ils se plaignent. Ils se plaignent parce que la photocopieuse est toujours en panne. Ils se plaignent parce qu'ils n'ont pas de craies, ou pas de feutres. Ils se plaignent parce qu'il faut deux mois pour arriver à avoir la clé de leur salle de cours. Ils se plaignent parce que la bouffe à la cantine est dégueulasse et qu'il y a vingt minutes de queue. Ils se plaignent parce que leurs élèves ont été hyper agités de 11 à 12. Ils se plaignent d'un rapport d'inspection mitigé quand il leur semblait avoir bien fait les choses. Ils se plaignent parce qu'il pleut.

Ils se plaignent de détails, qui font que leur boulot est bien mais pas top. C'est vrai que dans le privé, personne ne se plaint de ces choses-là.

Dans des cas plus graves, ils se plaignent aussi, ceux qui travaillent dans des ZEP où l'on se fait insulter par les élèves, où l'on se prend des boulettes de sarbacanes et des cartouches d'encre dans le dos, où l'on se fait crever les pneus de sa bagnole, où l'on va au turbin chaque matin la peur au ventre. Et encore je ne parle pas de ceux qui subissent des réelles agressions physiques.

Bon allez, y'a qu'à dire qu'on se plaint. Si ça peut vous faire plaisir. ET au fond, ça change quoi ? Faut nous punir ?
grolapinos dit:
greuh dit:Il a raison : c'est vrai que dans le privé, on travaille qu'au bureau, qu'on a plein de vacances, et qu'on est surtout pas stressé.
greuh, qui a allègrement dépassé les 70 heures par semaine, travaillant jusqu'à 2h du mat' et le WE, stressé par trois clients en même temps et la hiérarchie, pas de vacances depuis... Pfiouuu plus que ça, et qui n'est pas revenu au bureau depuis deux mois. :evil:
EDIT : ne parlons pas des retraites, ou de la sécurité de l'emploi, parce que là je vais vraiment entamer une déprime.

Dites les enfants, si vous vouliez deux secondes considérer mon post au second degré, ça calmerait un peu les choses.
Ensuite, jamais je n'ai dit que les conditions de travail dans le privé étaient enviables par rapport aux miennes. Mais quand on me dit "il ne faut pas tomber dans la facilité" après m'avoir fait l'étalage de mes privilèges insensés, désolé, j'ai du mal. Maintenant, quand on part avec des a priori su style les profs sont des fainéants qui n'en foutent pas une, ont des conditions de travail exceptionnelles et se plaignent tout le temps, forcément, le débat est stérile.


Ce n'est pas moi qui ai écrit que les profs étaient des feignasses*. Et je ne répondais pas à toi mais à (je sais plus son pseudo) qui expliquait pourquoi son taf de prof était trop durreuh. J'écrivais mon message pour montrer que c'est dur partout et que (j'ai oublié son pseudo, je suis désolé) n'arrivera pas à me prouver que de son coté c'est plus dur que du mien.

Le concours de quéquette pour savoir qui "souffre" le plus, j'ai un peu de mal à y croire.

Ce qu'on doit retenir, c'est en effet : "Ensuite, jamais je n'ai dit que les conditions de travail dans le privé étaient enviables par rapport aux miennes."

C'est en effet, dur partout. Et franchement, dans tous les corps de métier, je vois l'avenir plutôt en noir.
greuh, chomage technique du matin, chagrin (serveur en rade).
* : surtout que je n'en pense rien, et que j'ai moi aussi quelques potes profs qui me trucideraient**.
**: et en plus, je fais de temps à autres de la formation dans ma boîte. C'est très dur, je le vois bien, mais j'aime ça. ;)
greuh dit:C'est en effet, dur partout. Et franchement, dans tous les corps de métier, je vois l'avenir plutôt en noir.


Bon, ben alors on est en phase à 100% :(

C’est quoi déjà l’étymologie du mot travail?

Vieux chat dit:C'est quoi déjà l'étymologie du mot travail?


Sauf erreur de ma part, ça veut dire "torture" ou un truc approchant en bas latin.

1°) Défense à 100% des enseignants et chiage en bloc sur les arguments “vous avez 4 mois de vacances et peu d’heures de cours”. Madame Lapin est prof et bosse probablement plus que moi qui gagne bien plus qu’elle. Profs, infirmières: statut scandaleux.

2°) Voter utile c’est en effet admettre qu’on se limite au choix entre deux candidats même si un “petit candidat” est plus proche de nos idées… c’est en effet déprimant et peu motivant. Mais c’est surtout éviter la présence de Le Pen au second tour et ça ça doit être une priorité de tous les républicains de gauche ou de droite.
J’ai tellement fulminé contre les gros malins qui avaient voté pour Christiane Taubira en 2002 que je ne voterai pas pour un petit candidat, même si plusieurs d’entre eux ont un programme qui me plait.