greuh dit:Il a raison : c'est vrai que dans le privé, on travaille qu'au bureau, qu'on a plein de vacances, et qu'on est surtout pas stressé.
greuh, qui a allègrement dépassé les 70 heures par semaine, travaillant jusqu'à 2h du mat' et le WE, stressé par trois clients en même temps et la hiérarchie, pas de vacances depuis... Pfiouuu plus que ça, et qui n'est pas revenu au bureau depuis deux mois. 
EDIT : ne parlons pas des retraites, ou de la sécurité de l'emploi, parce que là je vais vraiment entamer une déprime.
Tant pis pour toi, tu vas pas me faire pleurer. Je suis dans le privé, je fais mes 40 heures dans mon boulot que j'adore, pas une seconde de plus. Il y en a peut-être des moins doués que d'autres pour choisir son emploi
J'ai quitté un boulot de consultant parce que j'étais aux Pays-Bas pour vivre avec ma femme, pas dormir dans un hôtel ou camper derrière un serveur rétif touts la nuit.
Et je suis pourtant moins gaté que dans mon job précédent, qui était pourtant le rêve du capitalisme des winners triomphants, Euronext : 36 heures par semaine, 36 jours de congés par an, retraite payée, sécu payée... Ah, la dure vie du privé.
Ton patron te taille et te corvé à merci; too bad.
Tu es ton propre patron, bravo, tu es un winner/achiever
Moi j'ai choisit : esclave du salaire, mais une qualité de vie incomparable.
Et pour rien au monde je ne deviendrais prof, bien que le lycée français de LaHaye m'ait fait du pied.
Quand je vois la vie pourrie de ma frangine qui est instit, je n'échangerai pas ma place, mon salaire, ma tranquilité d'esprit à la fin de ma journée contre toutes les conditions de travail iddyliques que vous attribuez aux enseignants.
(décousu et 3615 ma vie, mais bon...)