L’analytique paralysé défaillant : il s’est décidé. Il avait deux coups. Un gagnant un perdant. Il a choisi le mauvais, j’ai joué le mien, je vais faire une tarte au citron en attendant qu’il comprenne.
Je joueur honteux : bon… faut admettre, jouer à un jeu ça a un côté infantile que le joueur honteux n’assume pas. Le joueur honteux ne joue donc pas, il teste.
Le honteux persévérant : il fait 72 parties d’un jeu pour finir par dire : « ce jeu est nul, je sais de quoi je parle, je l’ai testé 72 fois. »
Le joueur menuisier : il ne fait pas plusieurs parties d’un jeu, il le ponce.
Le joueur c’était mieux avant : il ne jure que par les vieux jeux car avant on savait les faire
Le joueur vache à lait : pour lu,i les jeux sont toujours trop chers et les éditeurs se gavent sur son dos pour s’acheter des gros 4 x 4
Le joueur monomaniaque : il ramène toujours tout à un seul jeu (de préférence ancien)
Le variantiste: Persuadé après une seule partie que tout jeu serait mieux avec une variante maison. Phrase fétiche : moi, j’aurais pas fait comme ça
(Un cousin éloigné du genie de jmguiche)
L’extraterrestre : à chaque fois qu’on sort un jeu « qu’il connaît bien » on se rend compte qu’il utilise des règles assez fantaisistes qu’il affirme officielles.
Le améjtaipadi : quand on joue à un jeu dont il à expliqué les règles, il y a toujours un truc qui lui permet de gagner au dernier tour qu’on n:avait jamais abordé avant.
On attend la compilation de toutes tes définitions.
Le joueuràpeuprès: Veut a tout prix sortir sa dernière nouveauté, mais n’a pas eu le temps d’intégrer tout les points de règles. On se retrouve à jouer avec des micro règles fausses, ce qui change complètement la donne au final, voire donne un autre jeu. On découvre en général la boulette le lendemain ou du moins après la partie.
Ça marche aussi pour la godimachin-chose ?
Un grand personnage celui là, présent dans tous les groupes de joueurs
Le joueur vert : il veut les verts. Éventuellement les rouges.
Le joueur jaune : il veut les jaunes. Éventuellement les marrons.
Le joueur rouge : il veut les rouges. Et rien d’autre
Le daltonien : il veut bien les marrons à condition que le vert et le rouge ne soient pas pris, mais il préfère les jaunes.
L’autre joueur : qui veut bien les jaunes ou les verts, mais pas les bleus. Personne ne veut les bleus
Ho puis merde on fait un tarot.
Haha j’ai un vrai problème avec ça, limite incapable de jouer correctement si je n’ai pas cette couleur ! Et je pousse même cette “névrose” en ayant un “problème” avec les (rares) jeux dont le rouge est absent des couleurs de joueurs.
Faux. Je suis le joueur vert, et je ne valide pas cette description.
En voici la version revue et corrigée:
Le joueur vert : Il veut les verts. S’il est obligé de jouer une autre couleur, il va se tromper en court de partie parce qu’il va oublier qu’il ne joue pas les verts. S’il n’y a pas de vert dans le jeu, il dit que Ce jeu est nul, y a pas de verts.
J’en connais, des comme ça.
Le spéléologue : pour lui un jeu n’a d’intérêt que s’il est « profond ».
Le bâtisseur : Passe l’essentiel de la partie à construire des pyramides, des châteaux, des structures délicates avec le matériel du jeu. Hésite parfois à jouer un coup qui l’obligerait à rompre la symétrie de son palais baroque en ôtant une pièce.
Le morveux : Resté au stade oral, suçote, lèche, porte à la bouche ses doigts avec lesquels il manipule le matériel de jeu quand il ne mâchouille pas directement les pions. Fléau des jeux avec des cartes non-protégées.
Le bridgeur curieux : vient sympathiquement jouer, mais traite les cartes de Roots en les tordant comme si c’était celles d’un jeux de bridge de compétitions qui coute 4 euros et qu’on va balancer à la fin de la partie.
Le rêveur : Il a plein de super titres auxquels il joue régulièrement. Et pourtant, il se surprend à rêver de jeux qui n’existent pas, dont la thématique et les mécaniques correspondraient exactement à ses attentes, et si riches et profonds qu’une vie entière ne suffirait pas à en faire le tour. Ces jeux, s’ils existaient, remplaceraient probablement tous les autres de sa ludothèque. Parfois, le rêveur aperçoit ces jeux dans ses rêves et songe à les reconstituer à son réveil. Mais il sait la tâche si longue et ardue qu’il finit à tous les coups par se décourager. Alors il continue à jouer aux jeux existants en espérant que des créateurs auront l’idée de créer ces fameux jeux à sa place, ou du moins quelque chose s’en rapprochant le plus possible. Que l’on ne se méprenne pas, le rêveur est très heureux de sa belle ludothèque, seulement quelque chose manquera toujours à son cœur meeple. Ah, je précise au cas où, le rêveur, c’est moi.
Le sigliste : non, il ne fait pas de vélo. Il joue à TFM, LADR, TI4E, AN, DI, WOTR, SP, PR, SJ…
Invocation d’Immyr repérée.
Le portail risque de s’ouvrir à tout moment (ou asap).