[Les sessions du club] Troyes

NaHO dit :En faite c'est un "désavantage" qui es donné au premier jouer, plutot qu'un avantage pour le dernier : les dés noirs à contrer.

Tout a fait. Et les dés noirs peuvent être un vrai poison pour un premier joueur qui manquerait en plus de dé rouge ou bien ayant des petites valeurs. Je ne pense pas honnêtement qu'un "rééquilibrage" s'impose, mais si fati2020 et ses amis ont envie de jouer ainsi, pourquoi pas... cela dit avec moi à la table, ce serait  "Non ! Pas question Et si ça vous convient pas, on peut décider de cela au fleuret : choisissez vos témoins..." blush

Petit rappel : Le nombre de tours est différent selon le nombre de joueurs pour offrir des durées de parties (donc aussi des possibilités de développement) plus ou moins comparables. Ce qui entre en jeu et reste quelle que soit la configuration, c’est qu’une fois toutes les cartes d’activité dévoilées, chacun des joueurs sera une fois premier joueur.

Pour simplifier et montrer un exemple, prenons une partie en duel : J’aurais presque tendance à préférer être 2e joueur. Pourquoi ? Le 1er joueur dans la partie sera aussi 1er joueur à la 3e manche, donc juste au moment où les dernières cartes d’activité sont dévoilées (pas le temps de bien s’y préparer). En tant que 2e joueur, je vois ces cartes à la 3e manche, et quand débute la 4e manche, je peux faire 1 (ou 2) gros coup(s).

fati 2020 dit :On commence à avoir une petite expérience sur Troyes (30aine de partie) et j'aimerais avoir votre avis sur notre ressenti.
On est déjà d'accord sur le fait que Troyes est un jeu exceptionnel.
On trouve que la position de départ est assez (trop importante), jouer 1er permet d'être 2 fois 1er dans le jeu et permet aussi prendre une bonne place avec de bons dés (se faire un bon paquet d'argent pour demarrer par exemple...).
J'aurais bien vu un avantage donné au dernier et même au 3ème.

Je suppose vu le texte qu'on parle de partie à 4 joueurs.

Personnellement, j'aurais tendance à penser que jouer en premier dans la manche est effectivement plutôt un avantage. Donc je serais potentiellement d'accord pour dire qu'effectivement être premier ou deuxième à jouer, et donc bénéficier deux fois de cet avantage, est une meilleure position. Mais de façon assez légère. Donc je ne parage pas le constat complet : oui la position peut jouer, mais non ce n'est pas très / trop important (à mon avis).

Concernant le placement prioritaire sur les cartes activités, effectivement si tout le monde joue de la même façon, le premier se retrouve avec à chaque fois 1 point de plus, et donc une belle avance. Mais je pense qu'à 4 joueurs l'argent n'est pas un trop gros problème, donc qu'on peut facilement se passer d'une carte activité de trésorerie, et partir sur une diversité des activités.

Maintenant, Troyes est un jeu avec beaucoup d'interaction très directe : on te pique tes dés, on te chasse des bâtiments.

Donc, dans un jeu à 3 ou 4 joueurs, le jeu va normalement très vite s'auto équilibrer, c'est à dire que si un joueurs a un avantage, les autres ont plein de possibilité de lui mettre des bâtons dans les roues. Certes, ce n'est pas toujours 100% le cas car on conduit aussi notre propre stratégie, mais ça reste largement un point à prendre en compte.

Quel avantage verrais-tu pour le 3eme ou le 4eme joueur ? Un point ? Un denier ? Une influence ?

Docky dit :Petit rappel : Le nombre de tours est différent selon le nombre de joueurs pour offrir des durées de parties (donc aussi des possibilités de développement) plus ou moins comparables. Ce qui entre en jeu et reste quelle que soit la configuration, c'est qu'une fois toutes les cartes d'activité dévoilées, chacun des joueurs sera une fois premier joueur.

Pour simplifier et montrer un exemple, prenons une partie en duel : J'aurais presque tendance à préférer être 2e joueur. Pourquoi ? Le 1er joueur dans la partie sera aussi 1er joueur à la 3e manche, donc juste au moment où les dernières cartes d'activité sont dévoilées (pas le temps de bien s'y préparer). En tant que 2e joueur, je vois ces cartes à la 3e manche, et quand débute la 4e manche, je peux faire 1 (ou 2) gros coup(s).

Oui, mais à force de connaître les cartes, on peut selon l'orientation qu'on a déjà prise, tenter d'anticiper sur ce qui va sortir et maxer le truc même au 4e tour en étant 2e joueur, d'autant que la première place sur l'activité aura pu être prise au 3e tour si on a bien géré la chose (pas facile, je te l'accorde).

Et quand bien même, je trouve toujours intéressant au premier tour de pouvoir choisir en premier l'activité et donc l'orientation qu'on va donner à sa partie, d'autant que si on a de la chance, on peut contrer deux dés d'événement et avoir donc deux points d'influence de plus, pour éventuellement se placer sur une deuxième activité si la première nous a donné des sous.

Il y a tellement d'angles sous lequel considérer les choses que je pense que c'est équilibré. En tout cas il ne nous a pas paru comme évident que l'un des deux joueurs avait un avantage sur l'autre selon qui était le premier.
Mais il faudrait que je vérifie mes stats pour dire ça, je jetterai un œil à l'occasion.

Une nouvelle partie de Troyes, à 2, avec les cartes bonus et les cartes des Dames (personnages, activités et événements). Sans les remparts, donc.

Eh bien, quel changement !

J’avais tout mélangé les cartes avant la mise en place, mais apparemment très mal : nous n’avons eu que des personnages de la base, et que des activités des Dames. Les événements étaient, eux, un peu mieux mélangés, mais plus des Dames que de la base.

Autant dire qu’au premier tour, à la révélation des cartes, nous avons fait une drôle de tête : c’est quoi ces… ah ? En deux temps ? Ouuuuuh mais c’est que ça ne va pas être facile facile, ça…

On se place donc tous les deux sur la Catapulte et le Bûcheron, moi dès le premier tour puisque j’ai contré les dés noirs de façon à avoir assez d’influence pour ça, heureusement !

Au deuxième tour, je comptais bombarder les drôles qui perturbaient les travaux de la cathédrale, mais monsieur Proute s’étant aimablement placé au dernier étage, je me contenterai de les bombarder modérément, un seul coup, soit deux cubes. Il n’aura qu’à finir le boulot.

En attendant, je fais le plein de deniers en vendant 4 stères de bois sur les 5 que j’avais coupés, et engage un Maître d’œuvre pour faire une cathédrale plus haute que toutes celles connues jusque-là. Bonne idée, mais plus tard je ferai une erreur de tempo et laisserai à mon adversaire le dé qui m’aurait permis d’être présente au 3e étage. Zut.

Autre erreur, de débutante, je laisse courir des dés en passant mon tour au lieu de les acheter pour me placer dans les différents lieux de recrutement (évêché, palais, hôtel de ville). Mais ça fait quelques mois qu’on n’a pas joué, et surtout, perturbée par toutes ces nouvelles cartes inconnues et bizarres, je joue vraiment à la cool.

Au troisième tour, monsieur Proute presse la Princesse de ses avances tandis que j’irai poser un cube pudique auprès de l’Ermite, bientôt rejoint par celui de monsieur Proute. Là, on n’a pas bien retenu la lecture de la carte, et c’est quand j’y reviens au 4e tour que monsieur Proute se rend compte que c’est trop tard pour lui. Dommage, il pouvait en refaire la lecture à sa volonté.

Bon, là on se dit que la Princesse, c’est pas mal, 6 points juste pour lui, mais l’Ermite, ça fait mal : 16 points pour moi contre 4 pour lui. Me voilà donc avec 6 points d’avance.

Pendant ce temps, on a découvert les nouveaux événements (avec les gros délires des auteurs du jeu), et on en a un peu combattu, deux pour moi, mais aucun pour monsieur Proute qui avait négligé la Résistance et placé ses cubes sur des cartes différentes, aïe.

Le jeu consistera au dernier tour à choisir mes actions avec soin pour faire monter et maintenir mon influence à un minimum de 15, vu que j’ai Hugues de Payns. Pas trop difficile.

Nous aurons eu les mêmes points avec Le Florentin (mon deuxième mécène) et Urbain IV, mais je serai seule à remporter 1 petit point avec Henri 1er. Ce dernier me semble toujours plus difficile à contenter, mais c’est sans doute dû à mon habitude de jouer peu les nobles, je préfère généralement commercer et construire plus que jouter et guerroyer, question de caractère sans doute. Quant à monsieur Proute, il les aime bien, mais malgré cela contre peu les événements, il doit préférer la joute à la guerre. Ainsi, nous accumulons rarement ces cartes sous le plateau, plutôt dessus.


Bon, alors finalement, qu’est-ce que j’en pense, de ces Dames ?!?

La dernière fois, les remparts ont été meurtriers. Associés aux activités de base que je connais plutôt pas mal, je n’avais à me soucier que d’eux et ça avait très bien marché.

Cette fois-ci, nous sommes à la même enseigne, découvrant tous deux toutes ces cartes, mais monsieur Proute a moins bien mesuré que moi les conséquences de différer les effets d’une action au tour suivant (cartes à double effet) et a négligé son influence, l’amenant à retirer ses forces des bâtiments pour les amener sur les activités, un mauvais calcul malgré l’argent qui coulait à flots avec le Bûcheron (mais un tour sur deux seulement).

Il nous faudra quelques autres parties pour entre à nouveau dans la danse sur un pied plus égal, et à la fin de celle-ci, j’ai bien bien bien mélangé les cartes des trois types, afin que les suivantes soient plus douces.

Enfin bref, on peut dire que les Dames changent vraiment la façon de jouer tout en devant continuer à penser de la même façon, c’est le même jeu, mais ce n’est plus le même. Aha.


Avec les Dames, je n’aime ni plus, ni moins le jeu, par contre, y avoir rejoué hier soir et avec toutes ces nouvelles cartes me donne juste envie d’enchaîner à nouveau les parties (alors que depuis quelques mois on avait plutôt un rythme de croisière d’une partie toutes les 4 à 5 semaines).

On s’y est remis (mais avait-on vraiment arrêté), donc on rejoue hier soir à 2, avec les Dames, puisque ça y est, maintenant les cartes sont intégrées et n’en bougeront plus (sauf si quelqu’un qui ne connaît pas le jeu me demande à y jouer, mais ça m’étonnerait que ça arrive, ça).

Monsieur Proute est premier joueur et va commencer en plaçant un prêtre à l’évêché. Je place donc deux citoyens à l’hôtel de ville, pensant qu’il va prendre les deux autres places, mais il préfère placer deux curés de plus. A aucun moment je ne me demande ce qu’il peut bien avoir comme personnages, et quand bien même, vu que j’ai Le Florentin et Thibaut II, je ne crois même pas que j’aurais pensé à une dame ! no
Bref, je me dis que c’est l’occasion de me frotter aux militaires et je placerai 3 nobles au palais et un seul curé, et tout ça me coûtera bien cher, et hop, une raison de ne pas aimer les militaires !


Le premier tour révèlera la Catapulte (ah mince, c’est vrai, j’avais oublié ces histoires de résolution en deux temps, youpi, autant pour les militaires), l’Artisan et la Dîme. Pendant ce temps, quelqu’un nous déclarera la Guerre, affolant les Moines qui voudront prendre les choses en main. Prenant possession de la Catapulte, je règlerai vite le problème des Moines, les rassurant sur mes capacités à défendre la cité, tandis que monsieur Proute fera de la politique, récoltant des impôts via la Dîme et ponctionnant les Artisans.

Au deuxième tour apparaîtront le Recruteur (moui, pourquoi pas), l’Apprentissage et le Forgeron. Hmmm, le beau forgeron, je n’ai d’yeux que pour lui et y mets 5 cubes avant que monsieur Proute ne me pique un dé jaune ! Mais quelle erreur ! Me voilà sans le sou, c’est l’Artisan que j’aurais dû presser afin de moi aussi lever un impôt, qui m’aurait permis plus tard de commander de bonnes armes au forgeron. Là, j’ai cramé toute ma fortune et une fois mes jets de Catapulte faits sur la Possession (aidant aussi mon compatriote), je pleure de mon impuissance à contrer le Chef hors-la-loi qui va pourrir mes plans militaires, occupant toutes mes forces lors de ces deuxième et troisième tours.

Nous verront alors un engouement pour le Pèlerinage, un renfort des défenses avec le Fort et le développement du Compagnon(nage). Côté événements, ça ne s’arrange pas, puisque le Hors-la-loi permet l’avancée de nombreuses troupes en occupant nos forces, c’est terrible et il nous faut contrer 6 dés noirs à 6 !!!
C’en est trop, et j’utiliserai le reste de mes forces pour le faire enfin prisonnier ! Je ne sais toujours pas si j’ai fait le bon choix, cela arrangeant fort monsieur Proute (qui me conseille même, me rappelant que je peux utiliser le recruteur pour grossir mes forces en présence), mais j’en ai assez de ne pouvoir concrétiser mes plans militaires.

Je démarre le dernier tour avec un pauvre cube sur la Catapulte, un autre sur le Recruteur, et beaucoup d’armes chez le Forgeron. Monsieur Proute a toujours une option sur la Dîme et durant les trois premiers tours, nous avons tous deux construit la cathédrale.
Je peux enfin penser aux désidératas des puissants et renfloue enfin mes caisses en ponctionnant fortement les Artisans. Ensuite j’aurai le choix entre suivre les instructions du Florentin (et prendre le risque de négliger Chrétien de Troyes s’il était présent) ou consolider mes positions (utiliser mes cubes pour contrer les événements et autres actions militaires). Je décide de suivre Le FLorentin, faut dire que quand on le voit, il n’a pas l’air très engageant comme monsieur, et je crains les retombées.
J’enverrai donc mon curé en Apprentissage (en négligeant, toujours, la possibilité qu’une dame soit présente, quelle misogynie !), et adjoins un citoyen au Fort avec les armes du forgeron, afin qu’il soit plus efficace.

Voilà, je découvrirai à la fin que monsieur Proute avait bien Chrétien de Troyes, mais aussi Marie de Champagne que j’avais totalement ignorée. Nous terminons sur les scores de 40 et 45.
Avec toutes ces nouveautés et cette autre façon de penser ses dés, je trouve que nous nous sommes bien défendus.

Plein de nouveautés avec l’extension des Dames hein ? Cette diversité est superbe et chaque partie est un défi nouveau. Par contre… heu… le score ? je m’y perds : vous faites un match ? En combien de partie ?

Le score… déjà je me suis trompée, nous avons fini 45 à 49 (et non pas 40 à 45, je ne sais pas d’où ça m’était venu), mais peu importe, c’est surtout que je ne comprends pas bien ta question, étant donné qu’il s’agit juste des points que nous avons faits à cette partie, l’un et l’autre.

Pas de match tel celui que tu as fait avec ta moitié d’orange, je doute que monsieur Proute ait envie d’enchaîner ainsi les parties, malheureusement.

Parce que moi, en effet, l’arrivée des Dames me donne de nouveau envie d’y jouer bien plus souvent, même si elles me perturbent un peu.

Par score, je pensais à un match en effet. 

Et si tu jouais avec enjeu, genre la vaisselle, les courses, le ménage, etc… ?
Partie après partie, ça fait un match… 

Tu veux dire que le perdant doit faire un truc ?
Ça ne marchera jamais !

Proute dit :Tu veux dire que le perdant doit faire un truc ?
Ça ne marchera jamais !

On l'a fait un moment chez nous. Et après on n'arrivait plus à se mettre d'accord sur un jeu. Et après on voulait plus jouer :p

je veux bien faire des sacrifices à la maison, mais pas de la à ne plus jouer !

sur bga, un joueur ne finissait pas les cartes événements, mais qu’est-ce qu’il joue mal, la partie avance, c’est du tour par tour, je n’ai pas VU que le capitaine pouvait être aussi efficace; et bim la carte activée 4 fois sur 4 cartes menaces,16points.
Bien joué, je retiens la leçon.

les cartes menaces resteront inachevées, ne voulant pas moi-même y participer pour ne pas les lui donner

bachibouzouk dit :sur bga, un joueur ne finissait pas les cartes événements, mais qu'est-ce qu'il joue mal, la partie avance, c'est du tour par tour, je n'ai pas VU que le capitaine pouvait être aussi efficace; et bim la carte activée 4 fois sur 4 cartes menaces,16points.
Bien joué, je retiens la leçon.

Et c'est aussi (pour tout le monde) en fin de partie 1pv par carte événement non contrée sur laquelle on est présent. ;)

(Vu que j’ai pris la peine de rédiger, je remet ici mon CR de « Hier j’ai joué… »)

Une partie de Troyes à 2 : chouette partie où mon moine à plusieurs fois multiplié les pains les dés pour réaliser quelques miracles et copiner entre autre avec le marchand, toujours aussi efficace pour faire des pépettes.

Ceci est mon corps…

Je suis très peu allé construire la cathédrale et je me ramasserai un -2 pv en fin de partie à cause de cela. Mais j’avais d’autres priorités :

- rentabiliser au maximum mes joutes qui m’ont pas mal rapportés…
Ou comment acheter les forces militaires des adversaires pour les retourner contre eux…


- allez voir rapidement le sculpteur et gagner 6 pv rien qu’au placement + les pvs de l’action (je sais plus combien mais c’était plutôt sympa).
Ça coûte cher d’embaucher des artistes mais ça rapporte…

C’était une partie « à tunes » pour moi : j’avais aussi engagé des mercenaires qui rapportent vite gros. J’ai aussi engagé des miliciens mais là c’était pas super bien joué à priori même si ça m’a quand même servi, c’était un peu de la « dispersion » (mais de mémoire je crois que c’était pour éviter de me faire virer de l’Hôtel de ville et rentabiliser le dé avec une action un peu forte vu que j’avais les moyens donc peut être pas si mal…).

Le copain, qui s’en est très bien sorti pour une 1ère partie, s’est beaucoup mis sur les évènements ce qui m’a fait très vite suspecté qu’il avait Henri I (et c’était le cas), il n’a par contre pas fait un très bon départ en négligeant son économie au 1er tour et n’a sans doute pas placé assez d’habitants à l’Évéché ce qui l’aurait aidé à satisfaire pleinement Urbain IV et aussi de se faire pleins de points vu que le Verrier est sorti. (et il peut être bien balaize si on est très présent sur la cathédrale… mais c’était sa première partie). Il combote aussi un peu avec la Confession, essaye de me virer de l’Hôtel de Ville mais j’arrive à y revenir aussi sec et j’anticipe chaque fin de tour pour tenir mes positions. On lancera chacun 7 dés pendant la majeur partie du jeu. Le dernier tour fait mal à mon adversaire avec l’évènement « Guerre Civile » et ses pertes financières de 3 deniers. (un peu moins galère pour moi vu que j’avais un bon moteur à thunes).

Je satisfait pleinement Chrétien de Troyes et pas du tout Hugues de Payns qui va récompenser mon adversaire d’un 3 PV qui fait toujours plaisir. Ma petite expérience du jeu a payé, je l’emporte 49 à 40. Chouette partie !