Gray_Mouser dit:Alors là, je ne suis pas d'accord ! Si la compagnie a avancé prudemment (comprenez y'a pas eu beaucoup de traque réussie), et si il y a encore un ou deux compagnons de niveau 2 ou 3 avec les porteurs, les chances sont plutôt du côté des peuples libres. Parce que du coup, les tuiles à 0, 1 ou 2 points n'occasionnent plus de corruption. Si en plus le joueur des peuples libre a gardé des cartes pour guérir la corruption, c'est gagné. Evidemment, avec une telle stratégie, c'est plus tendu militairement, on est d'accord.
Oui, j'y suis allé un peu fort... Mais c'est que j'ai toujours en tête une partie où on (on car on jouait à 4) était arrivé en Mordor avec peu de points de corruption (0 ?), des cartes de soin en main et les 4 tuiles bleues dans le sac. Les 4 tuiles rouges y étaient aussi. Et bien, tenez-vous bien, 5 tuiles rouges ont été tirées (si si, on avait joué la carte Mithril et Dague qui permet de repiocher une autre tuile sur une tuile rouge qui a été remise (donc ??) dans le sac et elle a été retirée à un autre déplacement). Du coup, la compagnie, elle a eu mal... Mais c'est forcément rare, ces cas-là, forcément (pourquoi c'est tombé sur nous ??)...
Mais même si on met toutes les chances de son côté, on peut perdre et c'est peut-être là qu'est la partie la moins maîtrisable du jeu, c'est ce que je voulais dire. Mais ça reste maîtrisable, bien sûr. Sinon, garder des compagnons comme gardes du corps, je ne fais pas assez ça, c'est vrai mais j'aime bien que Gollum soit le guide pour le nombre de dés de traque (comme avec un seul compagnon, d'accord) et puis sa capacité est intéressante aussi. Et puis pour organiser la résistance militaire, les compagnons sont utiles. Et puis j'aime pas l'idée de zigouiller les compagnons à cause de tuiles, je préfère les voir périr l'arme à la main, genre vikings, quoi.
Essayâtes-vous (ben oui, quoi) donc de laisser Gandalf dans la compagnie jusqu'au bout ? Si oui, ça donne quoi ? Ce qui m'ennuie le plus chez lui en tant que guide, c'est que souvent on doit jeter plein de cartes ; quoique : c'est surtout vrai au début, à la fin on en manque plutôt. Donc si Gandalf est toujours le guide à la fin, ça peut aider à avoir une main pleine de cartes ; à essayer cette histoire...