Grand fan aussi de Dominion et de Kingdom Builder.
Mais l’auteur a fait bien d’autres jeux, et qui n’étaient pas de leur calibre…
Pour ce qui est du texte en anglais, c’est en effet très accessible.
Grand fan aussi de Dominion et de Kingdom Builder.
Mais l’auteur a fait bien d’autres jeux, et qui n’étaient pas de leur calibre…
Pour ce qui est du texte en anglais, c’est en effet très accessible.
Pour ceux qui sont intéressés ci joint un petit retour :
Bouh, çà dégouline d’adjectifs ultra-positifs au possible, de superlatifs exacerbés de niveau 6…
J’ai l’impression d’entendre un bonimenteur à la foire de Paris …
Ah, petite précision : si le deck de pioche s’étoffe tout le long de la partie, celà se fait de façon “automatique” : le contrôle des joueurs dessus est nul, à part les rares cartes qu’on y mettra nous, qui sont juste des gains de ressources pour nous seulement (et quelques rares bâtiments vous feront ajouter des cartes que vous aurez mieux prévu que les autres, puisque vous aviez le bâtiment en main), et, dans le jeu lui-même, une goutte dans la mer…
Du coup, si le jeu nous est vendu comme un “deckbuilding inversé”, il faut bien l’entendre juste comme un deck d’évènements qui s’étoffe par lui-même au fil de la partie que comme un deck sur lequel on intervient, nous.
Un coup de coeur, ok, mais de là à lui donner tt les qualités possibles (dont l’immersion et la variété des parties), je trouve que çà prête à sourire. Et je ne parle pas du design, puisque là, c’est vraiment une question de gout.
Les IA sont plutôt bon public !
Gus&Co est devenu un peu “l’école des fans” du JdS.
Ah ? Moi je pensais que c’était Vind’jeu, çà ? (que des bonnes notes, même quand ils trouvent plein de défauts au jeu).
Tellement !
Pour Vind’jeu, afin avoir une idée de ce que vaut un jeu, j’enlève 5 points à la note et je multiplie par deux.
10 ?