Bon, alors c'est partit... Vous l'aurez voulu...
Tout commença lorsque la PS1 est sortie, lors d'un trou video-ludique. En effet, Nintendo et Sony travaillaient main dans la main pour adapter un lecteur CD à la Super NINTENDO (super famicom). Nintendo mettant du temps à se décider et testant ses nouveaux prototypes au japon (comme le récepteur de jeu satellite), sony pris les devants.
Sony se lance donc dans les jeux vidéos avec un esprit : celui de vendre le lecteur cd qui devais sortir pour Nintendo. Ils prirent un train d'avance. Sortir une toute nouvelle console avec 3 titres sur tout les continents, avecla seule innovation du lecteur cd.
Pariant sur la suppériorité médiocre du hardware, sony ne déchaîne pas les foules : prix trop élevé. Cependant ils mettent l'accent là ou SEGA avais fais ses essais : Hey, kids, Playstation is for bad boy : Première campagne lancée, vente du premier million d'unitées.
Nintendo devais se réveiller, sega avais déjà la réplique : la Saturn. Malheureusement mal supportée par les développeur, la console de l'espace disposais de plus de puissance, mais malheureusement était un cauchemard à exploiter tant son jeu de puces était chaotique. Nintendo roupille en silence, préparant la N64. Tout le monde se plaint des gros pixels, Nintendo filtre à outrance. Tout le monde dis que la PS1, c'est long à charger, Nintendo reste sur les cartouches... Mais finalement, lors de la sortie de la N64, la dev est plus importante sur PS1. Pourquoi ? parceque Nintendo n'a jamais fondé ses béénfices sur le hardware, mais sur le software, en touchant des royalties sur les productions de jeux, les supports, et les kits de développement. EN même temps nintendo s'en fout : la majorité d eleur propre production suffit à faire vivre la machine.
Cependant, SOny gagnais du terrain, en refilant une image de "gamin" à Nintendo... Peut-on dire pour autant que les pro-sony sont des hommes ? Loin de là. 80% des productions PS1 sont des jeux qui ne marquent aucuns hits et passent inaperçu. Sony s'en fout : du moment qu'ils vendent du hardware, ils font du beurre. Ils se paient quand même le luxe de racheter quelques studios de développement histoire de justifier l'achatd e la machine. Premiers bootloader et émulateurs : Sony multiplie ses ventes là ou la Saturn coulera inévitablement, pourtant plus puissante mais moins bien soutenue.
NIntendo fais des bons jeux, mais trop peu nombreux et malheureusement pas copiables, ou alors à un tarif trop élevé : on se souvient du Docteur64, qui copiais les cartouches de jeu sur des disque ZIP iomega afin de jouer directement sur la machine affublée de l'extension.
Sorties des puces dites "alone chip" : un fil à souder, voir aucuns. On estime alors que près de 43% des PS1 vendues utilisent des jeux gravés. Les ventes baissent et la moyenne internationale passe à 7 jeux/Consoles... Une utopie, puisque la pluspart possèdent tous FInalFantasy 7, Gran Turismo, Crash Bandicoot, et au moins une vigtaine de titres...
La PS2 suivis le même chemin, puisque initiée par la PS1, la marche marketing des jeux vidéos pour adultes était lancée. En effet, la PS2 à ouvert un marché qui se tenais à couvert jusque là : les adultes qui aimaient jouer aux jeuxvideo (amour souvent initié par Nintendo ou Sega) qui se cachaient de peur qu'on les traites de gamins. L'image n'était pas reluisante, et pourtant le marché était là : il se cachais juste.
EN plus un lecteur DVD à l'époque ou ce standard fais des bonds : la machine multimédia est là, bien que munie d'un hardware des plus pitoyables.
En faisant des jeux plus "soit-disant matures", sony révélais des milliers de gamins qui allaient pouvoir dire au grand jour : "Je JOUE" !
PS2 en route, Sega coulé pour cause de marketing inexistant sur sa nouvelle console (dreamcast)(manque de fond, baisse des parts) et Nintendo qui tient avec une seule chose : ses jeux uniques non-portés sur autres consoles, qui prouvent à eux seuls la puissance ludique de Nintendo sur son terrain.
Nintendo s'est déjà cassé la figure à trop vouloir innover : virtual boy, etc... Mais là, on est en face d'une vraie révolution de jeu. Pas un bête pistolet à pointer devant son écran, mais un vrai capteur de mouvement poussé, qui permettra une immersion totale au coeur du jeu.
Nintendo ne possède pas de concurrents, Sony et Microsoft se battent pour leur gateau, nintendo à le sien. On ne mélange pas les torchons et les serviettes... Dire qu'ils se partagent le même marché révèle de ll'utopie. Et puis, 80% des vrais gamers possèdent en plus d'une console DVD, une console nintendo.
Voilà. veuillez excusez les fautes d'orthographes et autres, mais je mange