Sortie prévue pour Essen. Alex Yaeger de Mayfair, le partenaire américain de Lookout, a présenté le jeu à Origins, l’apéro avant la GenCon. Il qualifie le jeu comme plutôt simple pour un Rosenberg (pas un Odin, pas un Terres d’Arle), peut-être plus proche de la Route du Verre niveau complexité. Il annonce quand même 120 minutes à 4. A voir. Il donne un petit aperçu des règles. (j’espère avoir bien compris)
Jeu pour 1-4 joueurs. On gère une compagnie de pêche en Norvège.
Chaque joueur à un plateau personnel. Sur ces plateaux, on trouve un espace pour construire des bâtiments, une forêt pour pouvoir récupérer du bois (on pourra d’ailleurs replanter les arbres), un espace pour accueillir des « Anciens » qui nous aideront dans notre entreprise. Il y a enfin un emplacement pour nos bateaux de pêche, qui nous permettront de récupérer du poisson.
On a 3 ouvriers, qu’on enverra sur le plateau central pour effectuer des actions. Il y a également des bâtiments à construire. Il y a 3 ressources : le poisson, le bois et l’argent.
Le jeu se déroule en 7 tours. Chaque tour se décompose en deux phases (à voir s’il y en a d’autres).
Première phase : La récolte de poissons. C’est une phase où les joueurs récolteront de façon simultanée. Autant de poissons qu’indiqués sur notre plateau personnel. Ce poisson nous servira notamment à nourrir les Anciens.
On mettra, au cours du jeu, des parts de nos compagnies piscicoles en vente aux autres joueurs. Chaque part nous permettra de récupérer de l’argent. En échange, on doit donner autant de poissons issus de notre récolte à nos adversaires qu’ils ont de parts dans nos sociétés. Et simultanément, nos adversaires nous donneront le poisson qui nous sera dû.
Une fois les Anciens nourris, et les poissons distribués aux actionnaires, le reste de notre récolte ira dans notre réserve. Il nous faudra utiliser une action grâce à l’un de nos ouvriers pour pouvoir en bénéficier.
Au final, on se trouvera uniquement avec le poisson donné par nos adversaires en début de tour.
Deuxième phase : Utilisation des ouvriers pour (entre autres):
Pour aller piocher dans notre réserve à poissons
Couper du bois, replanter des arbres.
Acheter des bateaux grâce aux ressources pour augmenter notre pêche. Les bateaux nous donneront des points également.
Embaucher des anciens.
Construire des bâtiments.
Au tour 4, des bâtiments seront disponibles à l’achat en « vente privée ». Si vous n’achetez pas ces bâtiments, ils seront offerts à la vente par la suite à tous les joueurs au tour 6.
Il semblerait que le sel du jeu réside dans cet échange parts contre poisson. Voilà pour l’aperçu. Plus d’infos à venir lors de la GenCon.
Voila qui m’attire. Quand Rosenberg amène une nouvelle mécanique, elle est souvent très intéressante (je pense à Patchwork). Hâte de voir cette dimension interactive. Est-ce qu’il y a un lien où on peut en voir plus?
On a l’illustration de la boite, signée Patrick Soeder, que je trouve réussie ! On sent bien le petit village de pêche norvégien. Ca vient de l’éditeur Lookout Spiele, via bgg.
a t on des nouvelles sur une traduction FR de ce nouveau Rosenberg par nos amis de Funforge? il a l’air tentant, je regrette juste le manque d’illustrations sur les cartes batiments (je pinaille, mais bon…) Et à nouveau si des TTraciens on des retours à partager…ce serait cool !
Une partie à 2 ce soir. Je commence par déforester pour 5 bois afin d’agrandir ma flotte de pêche, DJ fera une coupe fine afin de m’obliger à jouer la construction de bateau, il enchaine par l’elder qui permet de construire un bateau ou un building et construit un sloop .(ce qui était peut être mieux joué d’ailleurs) et je finis par une vente d’action et il reforeste. je ne me rappelle pas forcément de chaque coup par la suite mais j’ai revendu une action et comme j"étais le seul à avoir de l’or je les ai rachetées pour 2. Ce qui me permettait d’avoir 4 poissons tous les tours dans mon stock perso, du coup j’ai pu servir du poisson à 3 assiettes, il a pris l’elder qui permet d’échanger un bateau contre celui de la taille au dessus grâce au fait que j’avais rempli des assiettes. il émet une action que j’achète encore. Je refais un service. Je déforeste, prend le marin qui donne un bois par assiette servie, et refais une tournée, du coup j’ai pas mal de bois et d’or et construis un cutter. Je construis un building qui contre un sloop me rapporte un bois un or et un poisson dans le stock et dans la réserve. La fin de partie approchant et avec mes 2 pauvres forêts, 1 seul bâtiment, et plein d’espaces vides et donc de points négatifs en fin de partie. je replante au bord de mer … (pas bonne idée). Les bâtiments C apporteront l’hôtel de la plage (qui donne 2 PV par espace vide au bord de mer) et celui qui donne 6 pv si l’on a autant de navires que de bâtiments (pour moi 2 navires/ 1 bâtiment alors). Je construis alors ce dernier, c’est bon je passe à 2 bâtiments 2 navires. vers la fin, je prends encore un sloop et je prends un elder, qui pour 3 poissons vire 0 1 ou 2 forêts et construit un batiment. Je vire mes 2 forêts en bord de mer et construis l’hôtel de la plage . Au dernier tout je fais encore un service alors que mon adversaire thésaurisait les poissons (13 ou 14) mais je me sers de la case du plateau de jeu pas de mon marin histoire de le bloquer. Mon dernier coup sera tout minable, mais ne pouvant plus construire ou de bateau au risque de casser mon équilibre et ses 6 PV, je vais gagner un or. Je finis à 37 (contre 28) avec 7 actions Dans toute la partie je n’aurais fait qu’une action de transfert de la réserve au stock perso (j’avais 7 poissons et la douane m’avait rapporté un or un bois et un poisson de plus, rendant le transfert encore plus attractif) On n’a pas trouvé les bâtiments super motivants au début, la quasi totalité demandait de l’or pour les construire. mais par contre quand on a des ressources oui çà vaut le coup entre les points qu’ils rapportent et les cases vides qu’ils occupent çà devient intéressant. Cà dépend sans doute du deck choisi (parmi les 3) et du tirage. Jouer les elders à 2 c’est risqué car une seule assiette n’est remplie au début et sans assiette remplie les elders ne sont plus utiles. du coup il faut soit avoir beaucoup de poissons pour les servir, soit compter sur une âme charitable.
Emettre des actions très tôt çà ouvre des possibilités de construction de batiments voire de navires plus intéressants.
On a joué en 40 minutes, il n’y a pas des masses d’actions possibles à chaque tour, on n’a que 3 ouvriers à chacun des 7 tours et sans ressource certaines actions ne sont du tout jouables.
Sysyphus - Pommard dit :Sortie prévue pour Essen. Alex Yaeger de Mayfair, le partenaire américain de Lookout, a présenté le jeu à Origins, l’apéro avant la GenCon. Il qualifie le jeu comme plutôt simple pour un Rosenberg (pas un Odin, pas un Terres d’Arle), peut-être plus proche de la Route du Verre niveau complexité. Il annonce quand même 120 minutes à 4. A voir. Il donne un petit aperçu des règles. (j'espère avoir bien compris)
Jeu pour 1-4 joueurs. On gère une compagnie de pêche en Norvège.
Aïe ! Aïe ! Et là, c'est le drame : La faute technique, soudaine, donc sans préparation psychologique... Rhaa ! c'est vraiment bête...!
Pourtant l'entame était bonne hein... pourquoi a-t-il fallu préciser ce : "On gère une compagnie de pêche en Norvège". mais pourquoi ? Car là, mes rêves s'effondrent. Commencent alors à défiler devant mes yeux des images de parties de Upon a Salty Ocean (Marco Pronzo, Giochix.it, 2011) la pèche de morues et de merlans qui demandaient rien à personne, le vent glacé, le sel, le mal de mer et les gerbes qui l'accompagnent. Remarquez, avec son jeu de vikings où on était sensé faire un festin pour Odin, ce brave Uwe nous avait préparé à un truc dans le genre. Et en plus là, il faut aussi fabriquer les navires... c'est une manie chez certains auteurs, ils veulent toujours nous faire couper des arbres. Quand la Norvège sera aussi pelée que l'île de Pâques, vous rigolerez moins. Maintenant, j'ai hâte de voir la suite : sans doute la gestion précise d'une conserverie, avec la mise en boîte du thon Petit Navire ou des sardines Connétable.
Heu... pardon pour ce mouvement d'humeur, ...mais je crains qu'à mon club habituel, il me faudra encore zigzaguer entre les tables pour échapper à ce jeu qui me fait autant envie que de passer tout l'hiver en mer baltique à bord d'un chalutier estonien.
fifty-fifty niveau appréciation du jeu, je fais partie du côté de ceux qui ont apprécié.
le jeu est léger, même niveau que la route du verre, les bâtiment sont similaire.j’apprécié la construction, déforestation couplé aux pouvoirs des anciens avec de la pose d’ouvriers.
j’ai retrouvé quelques sensations d’agricola en beaucoup + légers. je regrette juste qu’il n’y ait que peu d’anciens pour la rejouabilitée néanmoins les bâtiments constitué de 3 decks offrent cette rejouabilitée au jeu.
j’espère qu’il y aura une VF du jeu car je crains que Funforge ne localise plus les jeux lookout et que donc à moins d’un repreneur, nusfjord n’ait pas de VF.
le zeptien, c est si important que ça le theme pour ce type de jeu? quand je joue a agricola je me prends pas pour un fermier, ou upon a salty ocean je me caille pas vraiment les miches a rouen…
Sysyphus - Pommard dit :Sortie prévue pour Essen. Alex Yaeger de Mayfair, le partenaire américain de Lookout, a présenté le jeu à Origins, l’apéro avant la GenCon. Il qualifie le jeu comme plutôt simple pour un Rosenberg (pas un Odin, pas un Terres d’Arle), peut-être plus proche de la Route du Verre niveau complexité. Il annonce quand même 120 minutes à 4. A voir. Il donne un petit aperçu des règles. (j'espère avoir bien compris)
Jeu pour 1-4 joueurs. On gère une compagnie de pêche en Norvège.
Aïe ! Aïe ! Et là, c'est le drame : La faute technique, soudaine, donc sans préparation psychologique... Rhaa ! c'est vraiment bête...!Pourtant l'entame était bonne hein... pourquoi a-t-il fallu préciser ce : "On gère une compagnie de pêche en Norvège". mais pourquoi ? (...)
Maintenant, j'ai hâte de voir la suite : sans doute la gestion précise d'une conserverie, avec la mise en boîte du thon Petit Navire ou des sardines Connétable.
Désolé si vous zept' déçu. Je n'avais fait que transcrire les propos de l'éditeur.
J'espère que la vente de légumes cultivés grâce à l'énergie géothermique à des touristes en Islande ne vous achèvera pas. Quoique du maïs en salade pourrait vous aider à digérer vos boîtes de thon.
C'est donc avec un semblant de préparation psychologique que vous pouvez désormais vous pencher sur le prochain Rosenberg, Reykholt.