[politique] Sarkozy : illuminé ou malhonnête ?

alighieri dit:pour don lopertuis :
on est pas fondamentalement en désaccord : je n'ai pas dit "tout se passe comme dans les années 30", j'ai juste dit : pour prouver qu'on déteste les nazis, le mieux est de ne rien faire comme eux, et j'ai pointé deux exemples pour dire que ce n'était pas tout à fait le cas de notre président (on pourrait rajouter ses propos sur la génétique) ; mais je ne dis pas Sarko=Hitler, ce serait bien sûr ridicule. je dis plutôt : vouloir commémorer la Shoah quand on expulse des étrangers à tour de bras et qu'on approuve les bombardements américains, c'est se donner bonne conscience à peu de frais

Je n'aime pas notre président ni ses idées de commémorations de la shoah pour les petiots mais je ne vois vraiment pas le lien entre cette proposition et les bombardements américains ou l'expulsion d'étrangers.

Il me semble difficile de comparer un fait historique qu'il est nécessaire de garder en mémoire à des actes politiques actuels sans lien direct pour moi avec ce fait.

Je viens d’apprendre que l’Angleterre, un modèle pour “Nicolas Sarkozy le religieux” avait légalisé les tribunaux islamiques.

Ces tribunaux peuvent régler certains litiges mineurs et même prononcer des divorces religieux. Certaines mosquées peuvent même faire l’enregistrement des mariages à titre réligieux ( jusque là, ça va ) mais à titre civil aussi !!!

Après la volonté sarkozienne de faire valoir une “laïcité positive”, à quand la transposition du modèle anglais à la France ?

Fred. dit:Je viens d'apprendre que l'Angleterre, un modèle pour "Nicolas Sarkozy le religieux" avait légalisé les tribunaux islamiques.
Ces tribunaux peuvent régler certains litiges mineurs et même prononcer des divorces religieux. Certaines mosquées peuvent même faire l'enregistrement des mariages à titre réligieux ( jusque là, ça va ) mais à titre civil aussi !!!
Hmm, cela dit, il faut quand même voir la présence pakistanaise en Angleterre... C'est plus qu'une minorité ou qu'un "lobby", c'est une véritable composante de la population. Personnellement, je ne suis pas du tout mais pas du tout choqué par cette mesure, venant d'un pays où l'autorité religieuse est encore plus que présente. La laïcité me semble bien un modèle "à la française"...
Le Temps I International I Article
«Sarkozy a des complexes qu'il ne surmonte pas»
Nicolas Sarkozy:«Le trait narcissique-compensatoire a des aspects positifs: c’est une personnalité inventive, imaginative, qui n’a pas peur de bousculer les règles établies.»Photo: Keystone
FRANCE. Le «casse-toi, pauv' con» suscite bien des interrogations. Décryptage avec Pascal de Sutter, spécialiste du psychisme des hommes politiques.
Sylvain Besson, Paris
Samedi 8 mars 2008

Tapez «Sarkozy est-il fou?» sur Google et vous obtiendrez 150000 réponses. Dont bon nombre sont effectivement des sites consacrés à la santé mentale du président français. Depuis le «casse-toi alors, pauv' con» lâché à un importun au Salon de l'agriculture, le 23 février, la psychologie du chef de l'Etat est devenue l'objet d'analyses innombrables, quoique souvent farfelues.
François Léotard, ancien ministre de droite qui vient de publier un pamphlet anti-Sarkozy (Ça va mal finir, chez Grasset), livre un bon résumé des doutes qui pèsent sur le psychisme présidentiel. Les hommes politiques ont tous leur petit grain de folie, explique-t-il au Temps, car «la recherche du pouvoir implique un ego un peu différent». Mais la «psychologie défaillante» de Nicolas Sarkozy l'inquiète: il décèle chez lui une «forme de narcissisme très forte», de l'agressivité et un «comportement infantile» qui seraient «le résultat d'une incertitude profonde sur lui-même».
Ces critiques ne sont pas isolées. Sur Internet et dans les médias, le président français est décrit comme névrosé, borderline, dépressif... mais pour le psychologue belge Pascal de Sutter, professeur à l'Université de Louvain-la-Neuve, tous ces diagnostics sont faux. Interview.
Le Temps: Avant l'élection présidentielle, vous aviez décrit Nicolas Sarkozy comme une personnalité «ambitieuse-dominante» avec une tendance «narcissique-compensatoire». Ce profil est-il encore valable aujourd'hui?
Pascal de Sutter: Je pense que oui. Nicolas Sarkozy a fondamentalement des complexes sous-jacents qu'il ne parvient pas à surmonter. Même après avoir été élu, il doit prouver à tout le monde qu'il peut faire des choses extraordinaires. Contrairement à Jacques Chirac qui est devenu beaucoup plus calme après son élection, il doit toujours en faire trop parce qu'il a besoin d'être aimé, reconnu, admiré.
- D'où viennent les complexes que vous évoquez?
- On a ri du fait qu'il ait évoqué son «enfance difficile» alors qu'il a grandi dans les quartiers bourgeois de l'ouest parisien. Mais dans ce milieu, il était le pauvre parmi les riches: son père avait plus ou moins disparu, sa mère dépendait de son oncle, on s'est beaucoup moqué de lui, de sa taille. Certes, il allait en vacances à Saint-Tropez, mais c'était dans la villa des autres. Normalement, une fonction de prestige permet de surmonter ces humiliations. Mais lui doit compenser continuellement, car même être président, ce n'est pas assez.
- Le fait d'être «narcissique-compensatoire» pose-t-il problème pour exercer ses fonctions?
- Là où c'est embêtant, c'est sur la scène internationale, où son manque de retenue risque de le faire passer pour un guignol. C'est lié à sa difficulté à la modération: avant, il avait une carotte - devenir président - qui pouvait modérer son côté excessif, bagarreur de bas de gamme. Maintenant qu'il est au sommet, il n'a plus tellement de garde-fous. Cela dit, je ne m'inquiète pas trop pour lui car il va sûrement rebondir à la faveur d'un incident, d'une crise quelconque. Le trait narcissique-compensatoire a des aspects positifs: c'est une personnalité inventive, imaginative, qui n'a pas peur de bousculer les règles établies.
- La psychologie de Nicolas Sarkozy se rapproche-t-elle de celles d'autres dirigeants?
- Churchill et de Gaulle étaient un peu dépressifs, François Mitterrand mégalomane... Je le comparerais plutôt à Napoléon, Mussolini ou au président américain Jimmy Carter.
- Nicolas Sarkozy est-il «fou», comme l'ont prétendu certains?
- Non, c'est exagéré. Ce n'est pas le diagnostic que je poserais. Etre fou, pour moi, c'est être dysfonctionnel, c'est ne plus pouvoir assumer ses fonctions. Il n'en est pas au stade où il doit être hospitalisé. En revanche, il est probable que seul un grave échec personnel, comme se faire massacrer aux élections, pourrait le guérir.
*Ces fous qui nous gouvernent, comment la psychologie permet de comprendre les hommes politiques,Pascal de Sutter, Paris, Les Arènes, 2007.
SuperGerm dit:En revanche, il est probable que seul un grave échec personnel, comme se faire massacrer aux élections, pourrait le guérir.

oui sans doute mais les municipales ne suffiront pas, donc rendez-vous dans 4 ans.
Les petits sont plus jaloux (en plus d'être plus mal payés)
Par Guillemette Faure (Rue89)

Les hommes de petite taille sont plus jaloux que les hommes de grande taille. Au moins, en tout cas, les Espagnols et les Néerlandais, selon une étude conduite par des chercheurs des universités de Groningen et de Valence qui ont interrogé 549 hommes et femmes.
Si les grands sont moins jaloux, à en croire l’étude reprise par The New Scientist et publiée par le Journal of Evolution and Human Behaviour, c'est parce qu'ils n'ont pas de raison de s'inquiéter: la grande taille est, chez l’homme, associée à la capacité d’attraction et de reproduction.
Les petits ont raison d'être jaloux. Déjà parce que les grands sont enclins à gagner plus qu'eux.
"Trois centimètres en plus peuvent vous faire gagner 1000 dollars sur votre salaire annuel, écrivait Steven E. Landsburg, l’économiste de Slate en 2002. Si vous mesurez 1m83, vous gagnez probablement 6000 dollars de plus par an que si vous mesurez 1m65."
Pourquoi gagnent-ils plus? Est-ce parce qu’ils inspirent plus de respect? Ou parce qu’ils ont plus confiance en eux? Autrement dit, s’interroge Steven Landsburg, est-ce que cette différence tient à la façon dont ils se voient ou dont on les voit?
Il cite une étude étonnante menée par des chercheurs en économie de l’Université de Pennsylvanie. La taille, selon eux, est un facteur aussi déterminant des écarts de salaires que le sexe ou la race des employés. Et l’injustice se perpétue, dans la mesure où elle est largement héréditaire.
Selon cette étude, c’est surtout la taille à l’adolescence qui détermine les écarts de salaires car les grands qui étaient petits pour leur âge au collège gagnent autant que le groupe des petits (et inversement). Or à l’adolescence, les grands participent à plus d’activités extra-scolaires que les petits.
Ce n'est donc pas le regard de l'employeur qui donne une prime au grand, puisqu'il ne connaît pas la taille de l'employé à l'adolescence.
D’où leur conclusion: ce serait la confiance en soi à l’adolescence, inspirée par sa taille, qui expliquerait les différences de revenus.
A Rue89, on attend une autre étude pour savoir si les petits, moins payés et plus jaloux, sont aussi plus syndiqués.

Je ne sais pas si cela a déjà été fait sur le site, mais j’aimerais souhaiter la bienvenue à Nicolas Princen, qui a désormais un bureau et une prise adsl à l’Élysée pour noter tout ce que l’on dit sur le web de son patron. En voilà un qui n’a pas fini de travailler plus. Ce sera aussi probablement un grand numéro de diplomate que de présenter les synthèses hebdomadaires sans se faire dévisser la tête par son homonyme.
Donc voilà Nicolas, bienvenu sur Tric Trac (je ne suis pas certain que quelqu’un va oser créer un compte à son tom, après cette semaine d’imposture… :mrgreen: ). Tu verras, on ne dit pas que du bien de notre président (et ses défenseurs, que je plains, ne savent à vrai dire plus trop par où commencer depuis quelques mois), mais ce n’est généralement rien de bien méchant.
On est très joueurs. :clownpouic:


Il parait qu’ils ont libéré de la place dans les centres de rétention pour ceux qui pensent mal … :D

Fred. dit:Il parait qu'ils ont libéré de la place dans les centres de rétention pour ceux qui pensent mal ... :D

Hommage particulier au camp de Rivesaltes, ouvert en 1939 pour les Républicains espagnols, en 1940 pour les Juifs, tsiganes et autres untertrucs, en 1962 pour les harkis et devenu de 1984 à 2007 centre de rétention administrative.
C'est arrivé près de chez vous et ça s'appelle la continuité de l'État. :china:



sur le site arrêts sur images , Daniel Schneiderman dit:Vous voulez des nouvelles du site ? En voici. Notre émission de cette semaine, avec Eric Decouty (de Marianne), sur la caisse noire du patronat, a été environ trois fois moins consultée que celle de la semaine précédente, avec Antoine Guiral (de Libération), sur Sarkozy. Vous avez été environ 36 000 à visionner, entièrement ou partiellement, l'émission Sarkozy est très lisible. Et seulement 11 000 à mettre le nez dans les caisses noires du patronat.
Trois fois moins. Vous êtes trois fois moins intéressés à savoir pourquoi la Justice patine sur la caisse noire du patronat, qu'à savoir si les journalistes savaient que Sarkozy était givré, et pourquoi ils ne l'ont pas dit plus tôt.
...
Je ne juge pas. Je pousse un énorme soupir intérieur, mais je ne juge pas. Je constate
El comandante dit:
Fred. dit:Il parait qu'ils ont libéré de la place dans les centres de rétention pour ceux qui pensent mal ... :D

Hommage particulier au camp de Rivesaltes, ouvert en 1939 pour les Républicains espagnols, en 1940 pour les Juifs, tsiganes et autres untertrucs, en 1962 pour les harkis et devenu de 1984 à 2007 centre de rétention administrative.
C'est arrivé près de chez vous et ça s'appelle la continuité de l'État. :china:



Je ne sais si tu as pu voir l'excellent docu-fiction " Résistance " passé il y a quelques semaines sur France 2. Il y était présenté les centres de rétention de juifs de 1940. Des familles entières y étaient envoyées par le régime d'extrème droite de Pétain.

Il m'était difficile de ne pas faire le rapprochement avec le reportage Envoyé Spécial de France 2 sur les internés d'aujourd'hui, internés comptant parmi eux des familles complètes, parents, enfants de 5 à 9 ans arrachés à leur école et à leurs amis. Cela se passe en France, en 2008, sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
Fred. dit:Je ne sais si tu as pu voir l'excellent docu-fiction " Résistance " passé il y a quelques semaines sur France 2. Il y était présenté les centres de rétention de juifs de 1940. Des familles entières y étaient envoyées par le régime d'extrème droite de Pétain.

désolé, sans télé... :)
Fred. dit:Il m'était difficile de ne pas faire le rapprochement avec le reportage Envoyé Spécial de France 2 sur les internés d'aujourd'hui, internés comptant parmi eux des familles complètes, parents, enfants de 5 à 9 ans arrachés à leur école et à leurs amis. Cela se passe en France, en 2008, sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

Lors de mon dernier passage en France j'ai logé chez des amis. Ils cachent chez eux des enfants sans papier pour éviter leur placement en centre de rétention. Pas des excités, hein, les copains. Plutôt bobos famille nombreuse, cathos et tout. Ben ça fait bizarre. :|
C'est ce que dit Badiou dans son pamphlet - brutal, toujours contestable, mais le plus souvent impitoyablement juste pour "ce dont quoi Sarkozy est le nom", tout autant que pour la gauche mainstream : "le pétainisme comme transcendantal de la France" (ch. VI).
Je cite la critique faite dans A contre-sens :
... L’analyse centrale de Badiou porte sur le « pétainisme » comme « transcendantal de la France ». Un « transcendantal » est quelque chose qui « sans apparaître à la surface (…) configure de loin, donne la loi et son ordre, à une disposition collective ». Sarkozy serait ainsi la manifestation actuelle d’une subjectivité de masse proprement française, que l’on retrouve périodiquement et sous diverses formes dans l’histoire (dans la Restauration monarchique post-révolutionnaire de 1815, dans l’après-Commune de 1871, dans le régime de Vichy en 1940), et que Badiou se propose de nommer, à défaut d’autre terme et dans une visée bien évidemment pamphlétaire, « pétainisme ». Plusieurs traits le caractérisent.
Ce que Badiou nomme « pétainisme » est la forme étatisée, catastrophiste, de la « désorientation » : il se présente comme un tournant majeur en manipulant l’idée de « révolution » (Pétain) ou de « rupture » (Sarkozy) alors même qu’il est une capitulation et une soumission ici à l’étranger, là au capitalisme mondialisé : « La "rupture" est en réalité une politique de la courbette ininterrompue, qui va se présenter comme une politique de la régénération nationale. C’est là une désorientation typiquement pétainiste : la servilité devant les puissants du jour (…) est nommée par le Chef la "révolution nationale" ! ».
Prétendre « rompre », c’est avant tout prétendre sortir d’une « crise » d’ordre moral, d’une « décadence ». Comme le rappelle Badiou, intégrer de cette façon la morale en politique, c’est refuser la politique au sens véritable, tout particulièrement la politique non institutionnelle portée par des mouvements sociaux : « la "crise morale", c’est toujours un énoncé qui vise à donner les pleins pouvoirs à l’Etat, en arguant de l’irresponsabilité des gouvernés, notamment des plus démunis et des plus faibles ». A l’origine de cette « crise morale », il y a un événement récent, désastreux, « de structure ouvrière et populaire », avec lequel il faut rompre. Pour Pétain, le Front Populaire. Sarkozy affirme quant à lui qu’il faut notamment « liquider Mai 68 ». Le « pétainisme » propose ainsi « une lisibilité simplifiée de l’histoire », permettant à l’Etat de se poser comme un acteur historique de première importance, renversant des courants de l’histoire… alors qu’il ne fait que suivre le mouvement.
Le « pétainisme » se caractérise en effet par le mimétisme qu’il préconise envers des expériences étrangères, d’où vient l’exemple du « redressement ». Concernant Vichy, la chose est entendue. Dans le cas de Sarkozy, il s’agit d’admirer les entreprises et les universités américaines, le libéralisme de Blair, dont on fait des exemples de « modernité » – celle-ci étant bien sûr un mouvement naturel de l’histoire dans lequel il serait archaïque de ne pas se mouler… Dès lors, affirme Badiou, ce dont Sarkozy est le nom tend au parti unique : « et c’est bien naturel ! Dès lors que tout le monde accepte l’ordre capitaliste, l’économie de marché et la démocratie représentative comme des données aussi objectives et indubitables que la gravitation universelle, et même plus encore, pourquoi monter la fiction de partis opposés ? ». C’est ce qui fait de Sarkozy « l’homme aux rats », entouré d’une cour de transfuges de toutes sortes qui se précipitent dans ses pattes pour participer à ce beau mouvement naturel et inéluctable.
Enfin, le « pétainisme » dont Sarkozy est le nom a une dimension racialiste. Celle-ci se manifeste théoriquement, dans la volonté de figer une identité nationale nécessairement exclusive, et présentée comme supérieure : la France n’a de leçons à recevoir de personne, soyons fiers de nous-mêmes, les Africains sont hors du temps, etc. Pratiquement, cela se manifeste par le « choix » des immigrants : en amont, par le refus quasi systématique de titre de séjour aux immigrés non qualifiés et pauvres ; en aval, par des rafles et expulsions massives du territoire.
Face à ce mépris puant de toute considération universaliste, Badiou martèle l’affirmation fondamentale suivante : « il y a un seul monde ». Phrase performative, aux conséquences essentielles pour l’idée et l’action politiques : il s’agit tant, par exemple, de lutter avec et pour les « sans-papiers » en France que de refuser les guerres impérialistes (présentes et à venir), dans une perspective internationale d’actions politiques ne perdant jamais de vue le monde et s’appuyant sur « l’indifférence des différences », étant entendu que « la politique est un opérateur pour la consolidation de ce qu’il y a d’universel dans les identités »....


Je me suis procuré le livre de manière réticente, intrigué par le buzz. J'en recommanderais la lecture, tant à gauche qu'à droite. C'est un pamphlet, qui se présente comme tel, mais il incite à la réflexion.
bertrand dit:...

surtout que les retraits en liquide de DGS ont été signalés à l'époque à TracFin, dont à son ministre de tutelle, celui de l'Économie.
Et c'était qui ? :)

Mais je comprends un peu l'amertume de Schneiderman.
Pour en rajouter, je regarde si le reportage indiqué par Fred. ci-dessus ne se trouve pas sur emule.
Palmarès des reportages France2 sur la mule, trèèès loins devant les autres en termes de sources : 1)Le libertinage en France 2) Forces spéciales France commandos marine 3)Bob marley contre-courant.
:lol:

PS : ça vaut le coup l'abonnement à ASI ?
El comandante dit:
bertrand dit:...


PS : ça vaut le coup l'abonnement à ASI ?


On pourrait renvoyer sa "constatation " à Daniel: ils usent et abusent de sarkozy comme produit d'appel...

Pour autant, il y a vraiment des plateaux et des articles intéresants: le débat sur le docu-fiction de Christophe Nick sur la résistance dont parle Fred, l'avis d'une historienne spécialiste des images de la Seconde Guerre mondiale Sylvie Lindeperg, l'entretien avec Fabius, celui avec Rocard, le Tibet...

Globalement positif donc :wink: Et puis 30 euros pour un an, je ne pense pas que l'on soit floué...