http://www.dailymotion.com/relevance/se … erape_news
Comme disait Desproges, on peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui.
Personnellement je n’ai pas envie de rire avec Hortefeux, le premier Ministre Français de l’Immigration et de l’Identité Nationale.
Rappelons que ce dernier a viré un préfet pour des propos similaires ( pour se faire une virginité à bon compte sur le dos d’un fonctionnaire après son passage au Ministère sus-cité, comme le crie haut et fort le préfet éconduit ? ). Dès lors est ce que le Ministre sera à son tour viré par son chef ? S’il y a une justice en France en 2009, cela devrait se faire.
A suivre de près .
(Autre) son de cloche du principal “interessé” :
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit … efeux.html
Je ne suis pas, mais alors pas fan du tout du bonhomme. Le voir me donne des boutons. Mais j’avoue malgré tout être circonspect sur l’affaire, les propos restant assez difficile à bien interprété je trouve. Beaucoup de bruit pour être pas grand chose. J’aimerais bien lui lancer quelques “briques” mais je ne le ferais que si je suis convaincu, et là, bein, j’ai un doute. Et le bonhomme a beau m’être particulièrement antipathique, j’aime bien être sûr de moi avant de lancer de telles accusations.
Pareil que Loïc. En fait, le problème c’est pas tellement le racisme réel ou supposé de Hortefeux, c’est la politique qu’il a appliqué.
J’avoue que cette dérive de l’information politique qui se base toujours sur les propos “de table”, hors micro au lieu de prendre le temps de disséquer les discours officiels et leurs mises en application me laisse de plus en plus dubitatif…
Pour ma part les explications tirées par le cheveux de Hortefeux ( il parlait des auvergnats soit disant 
) et celles du militant UMP concerné ne convainquent pas du tout. La vidéo se suffit à elle même.
Pour de tels propos il a viré un Préfet ( à juste titre ). A son tour il doit partir, sinon je ne comprends rien.
On ne doit pas opposer la forme au fond. Sa politique est tout aussi inacceptable à mes yeux.
Que celà soit vrai ou non, il n’aurait absolument pas dû dire ces choses devant une caméra (ou tout autre média), car celà peut être sujet à interprétation; pour moi, s’il a viré un préfet à cause de choses semblables, il dégage aussi, tout simplement (quand on est au pouvoir, on montre l’exemple…).
Le verbatim, donc.
Comment Brice Hortefeux a menti
Article publié le ven, 11/09/2009 - 19:08, par Michel Dalloni - Mediapart.fr
Après la diffusion, jeudi 10 septembre, sur le site lemonde.fr, des images de Brice Hortefeux tenant des propos indignes à l’égard d’un militant UMP d’origine algérienne, le 5 septembre lors du Campus d’été de la formation sarkozyenne, à Seignosse (Landes), le ministre de l’intérieur a tenté de se défendre en livrant sa version des faits, qui aura par ailleurs légèrement varié au cours de la soirée. Le premier ministre, François Fillon, a volé à son secours, dès jeudi soir, en direct du journal de 20 heures de TF1, où il était venu défendre la taxe carbone, en donnant sa propre interprétation des propos tenus par Brice Hortefeux. Plusieurs ministres membres du gouvernement et de l’UMP, dont Marie Aphatie, secrétaire départementale des Landes, qui a participé activement au dialogue en cause, lui ont emboîté le pas.
Amine Benalia-Brouch, le militant visé par les propos de Brice Hortefeux, s’est exprimé lui aussi à de nombreuses reprises vendredi 11 septembre (vidéo, radio, presse écrite) pour lever les soupçons pesant sur le ministre de l’intérieur. Peine perdue. Le visionnage de la vidéo – dont on a appris qu’elle avait été initialement tournée par un cadreur de Public Sénat, qui a fini par la diffuser dans son journal vendredi à 18 heures après avoir renoncé à le faire pendant près d’une semaine «en raison notamment des conditions dans lesquelles elle a été enregistrée et l’absence de journaux d’information le dimanche 6 septembre» –, l’écoute de la bande-son et la lecture du verbatim de la discussion entre les différents protagonistes de la scène que Mediapart vous propose ne laissent planer aucun doute sur la nature des propos tenus par Brice Hortefeux.
Retour sur images et décryptage du dialogue.
Samedi 5 septembre, au Campus d’été de l’UMP, à Seignosse (Landes). Entre deux débats sous les grands chapiteaux blancs et une tournée des stands, Brice Hortefeux et Jean-François Copé échangent avec des militants. Le ministre de l’intérieur et le patron des députés UMP sont invités à prendre la pose avec Amine Benalia-Brouch, 22 ans, un jeune adhérent de la fédération départementale des Landes, qui a figuré en 25e position sur la liste UMP conduite par Jacques Forté à Dax lors des élections municipales de 2008. Amine Benalia-Brouch est né de père algérien et de mère portugaise. Une discussion s’engage aux milieux des militants. Des rires fusent. Un cadreur de Public Sénat tourne. Le document est diffusé jeudi dans l’après-midi sur le site lemonde.fr et seulement vendredi vers 18 heures par Public Sénat.
Voici le verbatim:
Jean-François Copé (en parlant de Brice Hortefeux aux militants): «N’oubliez jamais un truc, il est auvergnat.»
Brice Hortefeux (qui semble répondre à Jean-François Copé) : «Je suis auvergnat.»
Jean-François Copé (qui reprend): «Il est auvergnat, c’est un drame, c’est un drame.»
Brice Hortefeux: «Enfin bon, je vais faire une exception.»
Amine Benalia-Brouch (évoquant Brice Hortefeux et Jean-François Copé): «Je me mets entre les deux.»
Brice Hortefeux: «Voilà, entre les deux.»
Jean-François Copé: «Oui, il n’y a aucun problème. Moi, je suis facile.»
Les participants: «Amine, Amine. Amine, ça c’est l’intégration.»
Brice Hortefeux (à propos d’Amine Benalia-Brouch): «Ça ne va pas du tout. Il est beaucoup plus grand que nous en plus.»
Un participant: «Lui, il parle arabe.»
Jean-François Copé (à Amine Benalia-Brouch): «Ne vous laissez pas impressionner, ce sont des socialistes infiltrés.»
Marie Aphatie, secrétaire départementale de l’UMP Landes: «Il est catholique, il mange du cochon et il boit de la bière.»
Brice Hortefeux: «Ah mais ça ne va pas du tout, alors, il ne correspond pas du tout au prototype. C’est pas du tout ça.»
Marie Aphatie: «C’est notre petit Arabe.»
Brice Hortefeux: «Bon, tant mieux. Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. Allez, bon courage…»
Dès la mise en ligne de la vidéo et alors que la polémique enfle, le ministre de l’intérieur publie à 18h33 sur le site du ministère un communiqué ainsi rédigé: «Brice Hortefeux dénonce une vaine et ridicule tentative de polémique. A l’occasion des universités d’été de l’UMP, alors qu’il prenait une photo à la demande d’un jeune militant, des commentaires du public ont porté sur les caractéristiques supposés des habitants de l’Auvergne, région d’origine de Brice Hortefeux.Celui-ci a alors précisé «s’il y en a un, ça va; c‘est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes» par référence aux très nombreux clichés qu’il venait de prendre avec la délégation auvergnate et alors qu’il s’apprêtait à partir. Pas un seul mot de Brice Hortefeux ne fait référence à une origine supposée d’un jeune militant.»
«Jamais on ne se manque de respect à l’UMP»
Au micro de RTL, toujours jeudi, Brice Hortefeux déclarait un peu plus tard: «Dans ma bouche, il n’y a aucune référence à une origine ethnique. Je faisais référence aux Auvergnats. Je prenais des dizaines de photos avec la délégation auvergnate, un jeune m’arrête et me demande une photo, et le public fait des commentaires sur le fait que l’Auvergne était très présente, et j’ai dit cette phrase.»
Sur France-Info, il développait: «Je venais de faire, je ne sais pas, 40, 50, 60 photos notamment avec la délégation auvergnate, l’Auvergne qui est ma région d’origine (…) J’étais en retard. Je me dépêchais pour partir vers la sortie lorsque j’ai été interrompu par un autre groupe, un jeune, qui me demande de faire une photo, ce que je fais bien volontiers. Là-dessus, il y a des blagues qui surgissent précisément sur l’Auvergne, le fait notamment que je parlais auvergnat. Venant de quitter les Auvergnats, j’ai dit : Il y en a un, ça va, mais c’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes, parce que j’étais pas décidé à ne pas recommencer à reprendre des photos.»
Cette défense, répétée dans des termes presque identiques au micro de RMC puis sur I-télé et précisés devant quelques journalistes, jeudi soir, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), où le ministre de l’intérieur visitait le commissariat de police, ne résiste pas à une lecture attentive du verbatim et à la vision des images. C’est bien à Marie Aphatie, qui déclare au sujet d’Amine Benalia-Brouch «c’est notre petit Arabe», que Brice Hortefeux répond lorsqu’il lance: «Bon, tant mieux. Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. Allez, bon courage…»
Comme il le précise lui-même, les propos du ministre de l’intérieur ne font pas explicitement référence «à une origine supposée d’un jeune militant» mais ils prolongent, en renchérissant, la remarque pour le moins douteuse de la secrétaire départementale de l’UMP.
Marie Aphatie a volé au secours de Brice Hortefeux, vendredi, dans les colonnes du quotidien Sud-Ouest. Elle parle d’«une vidéo tronquée», «montée de toutes pièces» ce que le visionnage dudit document ne confirme d’aucune manière, et finit par évoquer des images «complètement sorties de [leur] contexte», ce qui se révèle également inexact. De plus, la séquence longue, diffusée vendredi sur la chaîne Public Sénat, confirme qu’en aucun cas, le document n’a été “tronqué”, “monté”.
Sud-Ouest rapporte également la version d’Amine Benalia-Brouch. «Cette polémique est totalement démesurée par rapport à la réalité. Au moment où Brice Hortefeux parle, il est question du nombre de photos prises dans la journée. Il y a une légère coupure dans la vidéo qui a été très bien faite», affirme-t-il sans le démontrer. Amine Benalia-Brouch, qui milite depuis trois ans dans les rangs de la formation de l’UMP, poursuit en assurant: «Jamais on ne se manque de respect à l’UMP, un mouvement populaire qui rassemble tous les Français.»
Le quotidien régional a également publié la photo montrant Amine Benalia-Brouch entouré de Jean-François Copé à sa droite et de Brice Hortefeux à sa gauche. Sur ce document, on distingue bien le cadreur de Public Sénat, caméra à l’épaule, derrière les trois hommes. Et sur la séquence longue diffusée par Public Sénat, les regards appuyés de Jean-François Copé à la caméra prouvent que les images n’ont pas été prises à l’insu des protagonistes.
Le premier ministre, François Fillon, qui était, jeudi, l’invité du journal de 20 heures de TF1, a estimé que son ministre de l’intérieur était «victime d’une campagne de dénigrement assez scandaleuse». «Aucun des propos qu’il a tenus ne peuvent lui être reprochés», a ajouté François Fillon. Les images, rediffusées vendredi à 18 h 05, par Public Sénat, et la lecture du verbatim montrent clairement le contraire.
Par ailleurs, de nombreux membres du gouvernement – Roselyne Bachelot, Christine Lagarde, Valérie Pécresse, Jean-Louis Borloo, Luc Chatel, Nora Berra – et le secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand, ont également exprimé leur soutien à Brice Hortefeux. Fadela Amara, secrétaire d’Etat à la ville, issue d’une famille algérienne de Kabylie, a jugé, pour sa part, que le ministre de l’intérieur a «de l’humour».
URL source: http://www.mediapart.fr/journal/france/ … feux-menti
Liens:
[1] http://www.mediapart.fr/files/Sophie Dufau/hortefeuxReuters.jpg
[2] http://www.lemonde.fr/politique/video/2 … id=1238747
[3] http://www.interieur.gouv.fr/misill/sec … mique/view
C’est lamentable… la défense “officielle” en est presque comique… au royaume de la com’, langue de bois et mensonge triomphent… 
Eric dit:... En fait, le problème c'est pas tellement le racisme réel ou supposé de Hortefeux, c'est la politique qu'il a appliqué.
A ce sujet, je ne peux que vous inciter à aller sur le site de
d'acheter leur livre et de le lire.
Quand je vois tous ceux de droite qui montent aux crénaux pour le défendre, je me dis qu’il est vraiment très très mal.
Ce qui est encore plus lamentable, c’est sa défense ( voir le verbatim de El Commandante )
Le menteur doit partir.
Quand je vois tous ceux de gauche qui essayent de detourner l’attention de leur tricheries et autres arnaques, c’est qu’ils doivent vraiment etre tres mals.
Mais comme ils sont tous menteurs, on ne peut pas leur dire de partir
Tiens en relisant le verbatim, quelque chose m’avait échappé:
Marie Aphatie: «C’est notre petit Arabe.»
loic dit:Je ne suis pas, mais alors pas fan du tout du bonhomme. Le voir me donne des boutons. Mais j'avoue malgré tout être circonspect sur l'affaire, les propos restant assez difficile à bien interprété je trouve. Beaucoup de bruit pour être pas grand chose. J'aimerais bien lui lancer quelques "briques" mais je ne le ferais que si je suis convaincu, et là, bein, j'ai un doute. Et le bonhomme a beau m'être particulièrement antipathique, j'aime bien être sûr de moi avant de lancer de telles accusations.
Je viens de voir le zapping. Sur une première interview, Hortefeux dit qu'il parlait des photographes. Sur la deuxième, il dit qu'il parlait des auvergnats.
La conclusion est donc qu'il ne parlait ni des auvergnats, ni des photographes...
En revanche, pour la démission, je ne suis pas certain. Comment exiger la démission d'un membre d'un gouvernement créé en s'appuyant sur certains extremismes...
Wasabi dit:Quand je vois tous ceux de gauche qui essayent de detourner l'attention de leur tricheries et autres arnaques, c'est qu'ils doivent vraiment etre tres mals.
Et toi pour accorder un adverbe tu dois être sacrément secoué.
Blague à part les fraudes électorales au PS sont évidemment honteuses mais critiquer Hortefeux ce n'est pas détourner l'attention.
C'est bien entendu inadmissible de la part d'un homme politique (Le Pen ne dit pas les chose différemment) mais de la part d'un ministre....
Bel exemple....
Groove dit:Wasabi dit:Quand je vois tous ceux de gauche qui essayent de detourner l'attention de leur tricheries et autres arnaques, c'est qu'ils doivent vraiment etre tres mals.
Et toi pour accorder un adverbe tu dois être sacrément secoué.
C'est pas de sa faute. C'est la faute de l'Education Nationale trop laxiste depuis 68 ... Tu comprends ?
Le fait est que sa défense toute pourrie et la montée au créneau comme un seul homme de ses copains de l’UMP ne plaide pas en sa faveur…
Sans doute aurait il du reconnaître que sa blague était de très mauvais gout, voir tout simplement douteuse et s’en excuser… Doit-il pour autant démissionner? Au prime abord, je suis tenté de dire non… S’il avait fait amende honnorable… Reste qu’il a oeuvré pour limoger un préfet pour des propos du même acabit… Et il semblerait assez sain, puisque charité bien ordonnée commnce par soit même, qu’il démissionne… Histoire de montrer qu’il a une certaine cohérence… Mais la démission n’est pas et en sera sans doute jamais à l’ordre du jour puisque les UMP boys, d’une seule voie, explique que le PS essaye de botter en touche pour qu’on ne parle pas des tripatouillages internes dans les élections du premier secrétaire… Reste que si l’un est vivement critiquable, l’autre ne l’est pas moins!
Et la défense mesquine de dire que ce n’est qu’un écran de fumée pour masquer autre chose, franchement, non, en tant que citoyen, les propos du ministre (leur enchaînement faisant exploser ses excuses à gémométrie variables) est vivement contestable.
Cela dit, en matière d’écran de fumée, que penser de la grippe H1N1 et du tapage médiatique, des mesures marketing & cie que seule le France semble prendre en Europe… L’avenir nous dira si tout cela était fondé ou si c’était, qui sait, un bel écran de fumée… En attendant le paludisme fait des millions de morts chaque année… et visiblement, on s’en fout pas mal… mais ceci est sans doute une autre histoire destinée à ce qu’on ne parle pas de Hold-ups, arnaques et trahisons"…
Wasabi dit:Quand je vois tous ceux de gauche qui essayent de detourner l'attention de leur tricheries et autres arnaques, c'est qu'ils doivent vraiment etre tres mals.
Mais comme ils sont tous menteurs, on ne peut pas leur dire de partir
ahahah... c'est qui déjà qui a dit qu'il serait le président du pouvoir d'achat? j'ai un trou de mémoire
Eric dit:Pareil que Loïc. En fait, le problème c'est pas tellement le racisme réel ou supposé de Hortefeux, c'est la politique qu'il a appliqué.
J'avoue que cette dérive de l'information politique qui se base toujours sur les propos "de table", hors micro au lieu de prendre le temps de disséquer les discours officiels et leurs mises en application me laisse de plus en plus dubitatif...
Tiens je suis pour le +1... J'ajouterais quand même à charge que quand on est un représentant de la République, on se doit d'avoir une retenue. Les propos de café du commerce nous en avons, je le crains, tous tenu à un moment où à un autre mais nous savons la plupart que dans le cadre professionnel on ne les tiendrait pas... Dès qu'il y a une assemblée ou une caméra, le ministre est en représentation. Le fait que cette notion ne soit pas intégrée ou peut-être que le sentiment d'impunité soit plus fort me laisse très très perplexe (euphémisme poli)...
OC qui pense à De Gaulle qui ne mettait pas de lunettes en public pour ne pas altérer l'image de la France et qui se dit que les standards gaullistes ont du baisser
Cheesegeek dit:
OC qui pense à De Gaulle qui ne mettait pas de lunettes en public pour ne pas altérer l'image de la France et qui se dit que les standards gaullistes ont du baisser
En fait c'est comme pour les lunettes:
«C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle.
Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne […]
Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !»
( De Gaule en privé)
Les standards gaullistes n'ont pas baissés: ils ne se cachent plus, c'est tout.