jmguiche :
M’sieur Phal, c’est un réseau courant continu/alternatif, TCP/IP, SNA, Appletalk, Decnet qui cause avec les morts !
C’est pour ça alors que mr Phal tire toujours une drôle de tête; mais par où se font les branchements ?

jmguiche :
M’sieur Phal, c’est un réseau courant continu/alternatif, TCP/IP, SNA, Appletalk, Decnet qui cause avec les morts !
angelo dit:jmguiche :M'sieur Phal, c'est un réseau courant continu/alternatif, TCP/IP, SNA, Appletalk, Decnet qui cause avec les morts !
C'est pour ça alors que mr Phal tire toujours une drôle de tête; mais par où se font les branchements ?
jmguiche dit:
Cela ne nous regarde pas.
Le seul truc qui me choque dans ce reportage c’est que l’interviewer pique au moins à deux reprises le verre d’eau d’Eric et se désaltère copieusement devant lui
Ah c’était de l’eau ?
J’ai cru voir que la couleur tendait vers le rouge, mais sur un timbre poste, ce n’est pas évident
Tiens, pas de Pouickie :picole:
angelo dit:C'est pour ça alors que mr Phal tire toujours une drôle de tête; mais par où se font les branchements ?
Merci pour ce document super-intéressant. J’aimais déjà bien DOW, dont j’aime déjà tous (enfin presque tous) les jeux et dont la qualité du matos est vraiment excellente. Mais, là en plus moi je dis respect . On comprend mieux leur succès et franchement il est mérité. Le Monsieur, il gagne sûrement tout plein de sous, mais on voit qu’avant tout il s’amuse et il aime se faire plaisir et faire plaisir aux joueurs. Sa description de môme ouvrant une boîte de jeu pleine de beau matos à Noël en dit long. Le seul truc qu’il n’explique pas bien, est qu’en plus d’être beaux (et et oui un peu cher), ses jeux disposent de mécaniques abordables, mais fun et très efficaces. Ne gagne pas le SDJ qui veut, surtout s’il n’est pas allemand !.. Je ne suis habituellement pas un admirateur fervent des jeunes loups du grand capital mais là je dit : Chapeau bas Monsieur DOW et longue vie !..
Matthieu.CIP dit:Le seul truc qui me choque dans ce reportage c'est que l'interviewer pique au moins à deux reprises le verre d'eau d'Eric et se désaltère copieusement devant lui
Y’a que moi qui ait trouvé que les interventions de Gassé (si c’est lui) m’aGassé ?
(était un peu à coté de la plaque ?) Qu’elles coupaient le rythmes du discours, interrompaient Hautemont, sans apporter d’éclaircissements?
jmguiche dit:Y'a que moi qui ait trouvé que les interventions de Gassé (si c'est lui) m'aGassé ?
(était un peu à coté de la plaque ?) Qu'elles coupaient le rythmes du discours, interrompaient Hautemont, sans apporter d'éclaircissements?
Jean-Francois dit:En résumé, on est pas près de voir un Caylus ou un Antiquity édité chez DoW
En tout cas, il est très intéressant et parait fort sympathique, Eric Hautemont…
Merci pour ce lien !
Logan dit: mais on voit qu'avant tout il s'amuse et il aime se faire plaisir et faire plaisir aux joueurs. Sa description de môme ouvrant une boîte de jeu pleine de beau matos à Noël en dit long.
Mitsoukos dit:Logan dit: mais on voit qu'avant tout il s'amuse et il aime se faire plaisir et faire plaisir aux joueurs. Sa description de môme ouvrant une boîte de jeu pleine de beau matos à Noël en dit long.
Vraiment j'ai beau regarder l'interview, je vois pas les choses de la même façon...
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Là où il s'est fait plaisir à mon sens c'est en relevant le défi de monter une entreprise qui marche dans le milieu du JDS.
Il a puisé dans son expérience d'entrepreneur et ses souvenirs d'enfances lui ont permis de définir sa ligne éditoriale.
DOW a dépoussiéré le milieu du JDS fait de passionnés qui eux "aime se faire plaisir et faire plaisir aux joueurs" en étant donc pas forcément cohérents dans la gestion de leur entreprise.
Chère Madame et Cher Monsieur,
Je crois que le décryptage tient dans l’analyse du Monsieur debout à coté qui essaye de le remettre dans la ligne de conduite du bon buznessman. En effet, si j’ai bien compris, on fait venir quelqu’un qui a réussi pour époustoufler les autres qui sont là pour l’écouter en exemple. D’ailleurs, on voit bien que des applaudissement (léger) arrivent quand il donne le chiffre d’affaire Ceux qui sont là, on dirait, sont là pour voir un type qui se fait plein de tunes et que même ça va les motiver les gars ! D’ailleurs, le Monsieur qui boit à côté lui dit “tu vas faire les poche de qui ?” en se marrant
… Et là, si on est attentif, on voit bien que Monsieur Eric essaye de répondre a l’attente de l’auditoire, mais que souvent il part dans son truc… Et l’autre qui le recadre “parle nous de microsoft…”
Bref, évidement que ce qu’on a apprit à l’école reste, que dans les discussions d’affaires ça ne doit pas être des tendres. Mais franchement, je crois qu’ils sont dans le jeu parce qu’ils aiment ça. En tout cas un gros gros % chez DoW. Même Pierre Gaubil qui n’y connaissait rien c’est mis a aimer ça
Bien à vous de cordialement
Monsieur Phal
Une fois de plus une analyse très pertinente de Monsieur Phal (non, j’fayote pas !!!). Je n’avais dabord pas analysé les interventions de l’homme au verre de cette façon, mais après cette explication magistrale cela me parait évident !..
Comme il est évident aussi que Monsieur DOW est un peu décalé devant cet auditoire interessé certainement uniquement par le côté épicier dont il parle parfois.
Moi je trouve que ça se voit quand même qu’Éric aime ce qu’il fait…
Après, évidemment, ça parle sous, j’ai quand même l’impression que c’est le principe du cours et on ne devient pas entrepreneur sans étudier son marché et tenter d’être bénéficiaire… du coup, il ne peut pas rentrer dans les détails qui montreraient le passionné sous-jacent et qui seraient hors-sujet, mais quand il cite Acquire, on sent le gars qui sait de quoi il parle.
Monsieur Phal dit:
Mais franchement, je crois qu'ils sont dans le jeu parce qu'ils aiment ça.
Bien à vous de cordialement
Monsieur Phal
Chère Madame Mitsoukos,
Je ne pense pas qu’il s’agisse ici de “crédibilité”.
Les 2 phrases que vous proposez sont très juste, tout s’apprend, Monsieur Pierre de Dow, comme je le soulignais juste au dessus, en est la preuve. Quand aux critères d’embauches, le graphiste, par exemple, doit avant tout être un bon graphiste, ça me semble une évidence Et chez Dow, le graphiste en chef est en plus un joueur comme il y en a sur Tric Trac, ce qui n’est pas forcément le cas des comptables par exemple
Maintenant, chacun est libre d’appréhender les individus comme bon lui semble et de chercher du “crédit” où bon lui semble…
Bien à vous de cordialement
Monsieur Phal
Le crédit d’une entreprise dépend beaucoup de l’angle de jugement.
E. Hautemont est en train de parler à des investisseurs ou à des entrepreneurs ou à des étudiants d’ecole de commerce. La presentation est animée (interompu?) par (semble t il) un manager de grosse boite.
L’angle de jugement qu’il est en train de subir est celui de la rentabilité et de la croissance.
Pour nous, les joueurs, les clients, ce qui compte c’est que nous soyons content des produits, des jeux.
En aucun cas la crédibilité dépent des goûts des salariés ou actionnaires de l’entreprise.
Que m’importe que E. Hautemont, son comptable, sa secretaire, son graphiste en chef, P. Gaubil et le gardien de l’immeuble aiment jouer ou non. Pour moi, client, la seules chose qui compte c’est que les produits soient bon, à mon goût ! Que E. Hautemont ( son comptable, sa secretaire, son graphiste en chef, P. Gaubil et le gardien de l’immeuble) aiment ou pas jouer aux aventuriers du rail, je m’en moque un peu, moi j’aime. S’ils aimeent j’en suis ravi, s’ils n’aiment pas c’est leur vie. Pour moi, la seule crédibilité d’un éditeurs, c’est la qualité de ses jeux.
Si les personnes qui travaillent chez l’éditeur aiment les jeux (que dis je ! aiment éditer des jeux! et je ne dit même pas aiment jouer !) tant mieux pour eux, ils s’éclateront plus dans leur boulot. Mais ce n’est en aucun cas un gage de qualité du produit final. Je pense que pour bien éditer de bons jeux, aimer les jeux c’est mieux, mais ce n’est pas indispensable.
On va me dire “ouai mais faut pas choisir d’éditer n’importe quoi !”. Ben oui, pour cela il faut certainement une équipe qui sache choisir comme il y a des comités de lecture chez les éditeurs de bouquins. Pas la peine que tout le monde (E. Hautemont, son comptable, sa secretaire, son graphiste en chef, P. Gaubil et le gardien de l’immeuble ) s’y mette.