[Pronostic]Présidentielles US

Leonidas300 dit:
miror59 dit:Sauf que Hilary a nettement moins de chance contre Maccain que Obama donc selon le candidat démocrate ca peux changer l avis.

C'est ton opinion ça ou tu as des sondages/projections/analyses qui appuient cette thèse ? parce que perso, je pense l'inverse ...


Sondages d opinions aux usa , j ai vu ces infos la semaine derniere sur i télé

et Obama repasse en tête côté démocrate tandis que le bouffon soutenu par Chuck Norris :pouicboulet: remonte et n’a pas dit son dernier mot face à Mc Cain. Vraiment passionnante cette élection. :artistpouic:

El comandante dit:


Ah, putain, ça fait longtemps que je veux le lire, cuilà. Mais faut d'abord que je finisse "Kingdom of fear" du même.

Loris.

je lisais ce matin sur un site gringo que vu l’écart très faible entre Clinton et Obama, tout se jouerait à la Convention démocrate de Denver et que celle-ci allait être sanglante. :twisted:
C’est vraiment Fear and Loathing again…

moi je vote comme elle



go Obama !

:mrgreen:

je te rejoins sur les critères, au bas mot… :mrgreen:

c’est la fameuse “obama girl”
la voilà contre la giuliani girl (un peu loupé mais à l’époque, giuliani était dans les favoris)

http://www.youtube.com/watch?v=ekSxxlj6rGE

:pouiclove:

le cul et le fric, c’est très surfait, ça n’intéresse plus que les américains…

alighieri dit:le cul et le fric, c'est très surfait, ça n'intéresse plus que les américains...


...mais les Français prennent la relève. Le premier d'entre eux au moins.

Pour illustrer quelque peu des précédents propos sur le processus de désignation démocrate et les chausse-trappes de la convention, ci-dessous un intéressant article sur les “super délégués”, ou comment ne pas laisser trop de champ au populo pour désigner le candidat.

Hillary Clinton’s Superdelegate ‘Firewall’
By Sean Gonsalves, AlterNet
Posted on February 11, 2008
At the heart of the Democratic Party’s nomination process is a decidedly undemocratic creature known as the superdelegate.
What are superdelegates, a.k.a. unpledged delegates? Key word: unpledged.
Superdelegates – mostly members of Congress, governors, party officials and grassroots activists – can back any candidate they choose. While ordinary delegates are technically committed to a candidate, superdelegates can change their allegiance whenever they feel like it.
Former President Clinton, for example, is a superdelegate – hence his vital importance to his wife’s bid for the White House. The Washington Post reports: “Clinton, former president Bill Clinton … and their allies have been working aggressively for months to court the superdelegates, drawing on old loyalties to open a huge advantage for the senator from New York in total delegates amassed.”
Al Gore’s 2000 campaign manager and superdelegate Donna Brazile describes the essence of this elitist practice. “One person, one vote? Forget about it. Some votes are worth more than others. You have to know the rules.”
Those are the “rules.” And this is the way the game is being played: “Of the nearly 300 superdelegates who have committed to a candidate, out of a total of 796, Clinton leads Obama roughly by a 2-to-1 ratio, according to numerous counts. The lead is so substantial, her campaign asserted before Super Tuesday, that even if Obama pulls ahead in pledged delegates after Feb. 5, (as he did) Clinton will probably retain a modest edge in the overall delegate tally.”
Tom Foreman of CNN.com provides a super brief history of the superdelegate. “A few decades ago, Democratic leaders felt that sometimes, Democratic voters were choosing poor presidential candidates: campaigners who couldn’t win elections, or even if they could, they didn’t please Democratic kingmakers.”
“Jimmy Carter, for example, was an obscure candidate who developed so much popular appeal that he essentially forced Democratic Party leaders to accept him as the nominee, even though not everyone was thrilled by it.”
“They made the superdelegates: a super class of super Democrats, each of whom could vote at the convention for a candidate of choice – in effect, giving each of these Democrats the power of tens of thousands of average citizens.”
So, with delegates-on-steroids as the Democratic Party “rule,” it explains why Obama can be getting more votes and ordinary delegates while Hillary Clinton leads in overall delegate count. This is what the Clinton campaign refers to as their “firewall.”
Think 100-yard-dash (I ran track in the pre-metric system days) with Clinton starting 20-yards ahead of Obama. To mix metaphors – that’s not exactly a level playing field. But like Donna said: those are the “rules.”
Lots of journalists are starting to wonder about superdelegates – to the point where the Democratic National Committee held a teleconference on Friday to answer some of our questions.
The idea of superdelegates was born out of a desire to avoid a “brokered convention” in which no candidate wins the party’s nomination on the first ballot. The last time that happened was the 1952 Democratic Convention when 11 names were nominated in a nail-biter that included Adlai Stevenson, who became the party’s third-ballot nominee.
This year, the winner will need 2,025 delegates – half the total number of delegates who will be seated at the upcoming convention. And though the DNC isn’t keeping an official Clinton-Obama delegate score, they did say there were still 1,435 delegates up for grabs.
Another interesting number was also revealed: Of the 796 super delegate slots, 76 of them have yet to be picked.
No future speculations were entertained during the Friday’s Q & A session, which, of course, will only fuel more speculation, especially during an election season with tremendous popular appeal.
What if Clinton and Obama are neck-and-neck on the delegate count going into the convention and the superdelegates aren’t just a deciding factor but the deciding factor? What if the Clinton super delegate “firewall” trend continues and these super delegates end up crowning Hillary king, even though Obama gets more votes?
True, all the candidates knew the “rules” going in. So, Hillary’s delegate advantage can be considered “fair play.” But if this undemocratic “rule” should happen to beat a more popular Obama, there’s going to be lots of folks, inside and outside the party, rightly crying foul.
Sean Gonsalves is a syndicated columnist and news editor with the Cape Cod Times.
© 2008 Independent Media Institute. All rights reserved.

El comandante dit: garfield

Il n'avait pas fait un bon deck. Sa malheureuse experience aura servi à son arrière ... arrière petit fils.
Leonidas300 dit:moi je vote comme elle

go Obama !
:mrgreen:


Wouaaaaaaah, le sourire d'Obama.

comparaison intéressante au moment où Obama (grace bien sur à la Obama Girl :mrgreen: :pouiclove: ) semble en passe remporter les primaires démocrates

http://www.courrierinternational.com/ar … j_id=82500

ÉTATS-UNIS • Obama ou le syndrome Ségolène
Le sénateur de l’Illinois pourrait faire le même parcours que la candidate française en 2007 : susciter l’enthousiasme lors des primaires, pour finalement perdre le jour de l’élection. L’analyse d’un professeur de sciences politiques.

Une chose est sûre depuis le “super-mardi” de la semaine dernière : Barack Obama est désormais engagé dans une lutte sans merci contre Hillary Clinton, la candidate préférée de l’establishment démocrate. Et chaque nouvelle primaire semble augmenter ses chances de disputer l’élection du mois de novembre.
Pour ceux qui suivent la vie politique française, cette situation a comme un air de déjà-vu*. En 2006, on assistait au triomphe de Ségolène Royal, portée lors des primaires socialistes par les nouveaux adhérents séduits par sa promesse de renouveler la politique française. Et puis on l’a vue perdre en mai 2007 face à Nicolas Sarkozy. Alors, quelles leçons Barack Obama peut-il tirer de la défaite de Ségolène Royal ?
Si le sénateur de l’Illinois remporte l’investiture démocrate, c’est qu’il aura réussi à vaincre Hillary Clinton, puisque John Edwards, dont les discours enflammés ont séduit de nombreux électeurs de la classe ouvrière, s’est déjà retiré de la course. Mais Obama a besoin du soutien de ses deux rivaux pour remporter l’élection du mois de novembre.
Ségolène Royal s’est retrouvée dans la même situation. Pour devenir la candidate socialiste, elle a dû se débarrasser de deux éléphants du parti. Dans le rôle de Hillary Clinton, on trouvait l’actuel président du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, alors favori de l’élite parisienne, tandis que l’ancien Premier ministre Laurent Fabius, avec sa campagne pour une plus grande intervention de l’Etat et contre les marchés internationaux, faisait office de John Edwards à la française, les cheveux en moins. Royal a réussi à battre ces adversaires – tous deux plus expérimentés qu’elle – en incarnant à la fois une réelle chance de victoire et une alternative politique.
Alors, que s’est-il passé ? Le di­vorce entre Ségolène Royal et l’appa­reil du Parti socialiste, qui lui a longtemps servi à incarner le changement, est subitement devenu un obstacle pour la candidate. A l’instar d’Obama, Ségolène Royal avait fait campagne en promettant de former une grande coalition du changement, de rompre avec le passé et d’instaurer une démocratie participative. Mais, après son investiture, toutes ces promesses ont cédé la place à une vieille version du programme du Parti socialiste en vertu duquel la candidate s’engageait simplement à résoudre les problèmes de la France en dépensant plus d’argent. Ségolène Royal n’avait aucune chance de l’emporter avec un tel recyclage d’idées éculées.

Le candidat doit convaincre son propre parti

Le risque, pour Obama, s’il remporte l’investiture du Parti démocrate, est clair. Il doit maintenir la base de son électorat tout en convainquant son parti de s’aligner sur son projet en faveur d’un changement social radical. A l’image de Ségolène Royal, Obama doit relever l’un des grands défis de la politique américaine contemporaine, en réunissant une solide coalition derrière une nouvelle vision pour la gauche. Ce défi est de réhabiliter la notion, fort discréditée, de pouvoir public agissant pour le bien commun. Or c’est précisément parce qu’ils répondent à ce défi que les discours d’Obama sur le renouveau ont une telle force d’attraction.
Les primaires sont en train de se transformer en une course au nombre de délégués, et Obama a toutes les raisons de se concentrer sur cette étape. Mais, pour gagner en novembre prochain et remporter l’investiture du Parti démocrate lors de la convention nationale d’août, Obama ne doit pas seulement convaincre les électeurs mais aussi l’appareil du parti. Les leaders locaux du Parti démocrate joueront un rôle crucial dans une éventuelle victoire d’Obama. Traditionnellement, le problème des démocrates lors d’une élection présidentielle consiste à ne pas mettre la barre trop à gauche pendant les primaires. Mais Obama n’est pas comme les autres. Il a déjà attiré des électeurs du centre, comme Royal. Son principal problème est de convaincre les seconds couteaux du Parti démocrate, dont la plupart ne partagent pas ses opinions sur la nature du changement qu’il défend. S’il ne parvient pas à convaincre ces alliés potentiels dès les primaires, Obama pourrait con­naître le même sort que Ségolène Royal et perdre, au bout du compte, une élection qu’il avait tout pour gagner.

* En français dans le texte.
Pepper D. Culpepper
The Christian Science Monitor

je pense qu’il peut quand même se payer le luxe d’être plus à gauche qu’elle… :mrgreen:



Quand j’ai lu l’article, je me suis dit que le seul défaut de la comparaison, c’est que McCain n’est pas Sarkozy…

En tout cas ilsemble qu’Obama ait une vision plus éclairée du contexte international que Ségolène : se déclarer anti-accords de libre-échange en pleine campagne n’est pas très orthodoxe (la preuve ils qualifient ça immédiatement de “populiste”), même si cela flatte les “cols bleus” qui lui manquaient en soutien.

AlterNet
Obamanomics: Barack Talks Tough on Trade
By John Nichols, The Nation

JANESVILLE, Wisconsin – When I talked with Russ Feingold last week about what the Democratic candidates for president should do to win Tuesday’s Wisconsin primary, he suggested that both Barack Obama and Hillary Clinton should go to the senator’s hometown of Janesville and talk about trade.
Obama got the hint.
On Wednesday, the first full day of a Wisconsin primary campaign that he hopes will solidify his emerging lead over his once “inevitable” rival, the Illinois senator started in Janesville, where he delivered a rebuke to free-trade policies of the Bill Clinton and George Bush eras that sounded a little like a speech Feingold might have delivered.
“We are not standing on the brink of recession due to forces beyond our control. The fallout from the housing crisis that’s cost jobs and wiped out savings was not an inevitable part of the business cycle. It was a failure of leadership and imagination in Washington – the culmination of decades of decisions that were made or put off without regard to the realities of a global economy and the growing inequality it’s produced,” Obama told workers at the General Motors Assembly Plant in the southern Wisconsin city.
“It’s a Washington where decades of trade deals like NAFTA and China have been signed with plenty of protections for corporations and their profits, but none for our environment or our workers who’ve seen factories shut their doors and millions of jobs disappear; workers whose right to organize and unionize has been under assault for the last eight years,” continued the senator, who is suddenly very conscious of the need to appeal to working-class voters in Wisconsin and Ohio who have been battered by trade deals such as the North American Free Trade Agreement and the decision the Clinton administration to extend permanent most-favored-nation training status to China.
In addition to proposing new infrastructure spending designed to “generate nearly 2 million new jobs – many of them in the construction industry that’s been hard hit by this housing crisis,” Obama sought to distinguish himself from Clinton on trade.
“It’s also time to look to the future and figure out how to make trade work for American workers. I won’t stand here and tell you that we can – or should – stop free trade. We can’t stop every job from going overseas. But I also won’t stand here and accept an America where we do nothing to help American workers who have lost jobs and opportunities because of these trade agreements. And that’s a position of mine that doesn’t change based on who I’m talking to or the election I’m running in,” Obama said, taking a swipe at Clinton. “You know, in the years after her husband signed NAFTA, Senator Clinton would go around talking about how great it was and how many benefits it would bring. Now that she’s running for President, she says we need a time-out on trade. No one knows when this time-out will end. Maybe after the election.”
Then Obama declared, “(When) I am president, I will not sign another trade agreement unless it has protections for our environment and protections for American workers. And I’ll pass the Patriot Employer Act that I’ve been fighting for ever since I ran for the Senate – we will end the tax breaks for companies who ship our jobs overseas, and we will give those breaks to companies who create good jobs with decent wages right here in America.”
This speech represents progress for Obama, who has not up to now been a particularly strong advocate for the fair-trade policies favored by labor and environmental groups and senators such as Wisconsin’s Feingold and Ohio’s Sherrod Brown. The cautious contender is still a long way from embracing the full agenda of the steel and auto workers union leaders and industrial-state senators and congressmen he has been talking with at some length in recent days. And there will be appropriate skepticism about whether Obama will continue to err on the populist side after Wisconsin and Ohio have finished voting – and after key players such as Feingold, Brown and former candidate John Edwards have endorsed.
But Obama’s message at the GM plant was a good one – not just for the workers of Janesville and the other factory towns that will be voting in Wisconsin on Tuesday and Ohio two weeks later, but also for Feingold. The Wisconsin senator says he has not made up his mind regarding the Obama-Clinton contest, but he holds open the prospect of a pre-primary nod to one of the contenders.
Obama wants that nod, and the support of Wisconsin workers who have come to see their senator as a champion in the fight for fair trade.
Obama is not where Feingold is on trade and economic issues – the two recently split on the Peru Free Trade Agreement, with Obama favoring it and Feingold opposing. But the presidential candidate is listening to the Wisconsin senator, and responding. Heck, he was even talking Wednesday about how jobs at the GM plant created the prosperity that caused “homes and businesses (to begin) to sprout up along Milwaukee and Main Streets” in Janesville - avenues not far from where Feingold grew up.
And what of Hillary Clinton? She was in McAllen, Texas, Wednesday morning – headed not for Janesville but for San Antonio.
John Nichols is The Nation’s Washington correspondent.


du site du vénérable The Nation : http://www.thenation.com/

Leonidas300 dit:comparaison intéressante au moment où Obama (grace bien sur à la Obama Girl :mrgreen: :pouiclove: ) semble en passe remporter les primaires démocrates
http://www.courrierinternational.com/ar ... j_id=82500
ÉTATS-UNIS • Obama ou le syndrome Ségolène
Pepper D. Culpepper
The Christian Science Monitor


Desole, mais cette comparaison est completement absurde.
Le contexte n'est absolument pas le meme (il n'y a aucun rapport entre l'ere Chirac et l'ere Bush), et d'un point de vue strictement politique, Obama a plus de chance de l'emporter contre McCain que Clinton: une grande partie des votants republicains ne lui reprochent rien, et ne se mobilisera pas pour McCain, l'estimant pas vraiment different de Obama (voir meme moins attrayant), alors que pour Hilary, ca va etre la mobilisation generale pour s'assurer qu'elle ne passe pas.
Si il y a une comparaison a faire, ca serait avec Sarkozy: les deux sont jeunes, les deux ont une vision pour leur pays, et ils sont mieux connectes politiquement que leurs adversaires.
Notez aussi que Obama est a la droite de Sarkozy, alors le comparer avec Royal....
Notez aussi que le parti de Obama est regulierment au pouvoir, alors que celui de Royal n'a plus ete au pouvoir depuis avant la seconde guerre mondiale (a part une fois, mais c'etait plus lie a une personalite qu'au parti lui-meme).

100% d’accord avec Wasabi.

Philippe dit:100% d'accord avec Wasabi.


Rassure moi: Tu n'enseignes pas l'histoire?:mrgreen:

Remember le Gouvernement Jospin? :P
Wasabi dit:
Desole, mais cette comparaison est completement absurde.
Le contexte n'est absolument pas le meme (il n'y a aucun rapport entre l'ere Chirac et l'ere Bush),

si, les 2 sont catastrophiques et provoquent un vif rejet dans l'electorat.
Wasabi dit: et d'un point de vue strictement politique, Obama a plus de chance de l'emporter contre McCain que Clinton: une grande partie des votants republicains ne lui reprochent rien, et ne se mobilisera pas pour McCain, l'estimant pas vraiment different de Obama (voir meme moins attrayant), alors que pour Hilary, ca va etre la mobilisation generale pour s'assurer qu'elle ne passe pas.

c'est précisemment ce qu'on disait à propos de Sarkozy : il va y avoir une forte mobilisation contre lui. On connait le résultat. Et si tu penses que les fondamentalistes américains ne vont pas se mobiliser contre l'élection d'un président noir ...
Wasabi dit:
Si il y a une comparaison a faire, ca serait avec Sarkozy: les deux sont jeunes, les deux ont une vision pour leur pays, et ils sont mieux connectes politiquement que leurs adversaires.
Notez aussi que Obama est a la droite de Sarkozy, alors le comparer avec Royal....

Ce qui est comparé, c'est le fait qu'un candidat bénéficie d'un gros buzz médiatique et populaire, va probablement gagner contre l'appareil du parti pour perdre en finale. Rien à voir avec droite et gauche.
Wasabi dit:Notez aussi que le parti de Obama est regulierment au pouvoir, alors que celui de Royal n'a plus ete au pouvoir depuis avant la seconde guerre mondiale (a part une fois, mais c'etait plus lie a une personalite qu'au parti lui-meme).

Et le gouvernement Jospin ? Sur ces 30 dernières années, ça commence à être significatif tout de même.

Conclusion : cette comparaison est tout sauf absurde ...
Leonidas300 dit:
c'est précisemment ce qu'on disait à propos de Sarkozy : il va y avoir une forte mobilisation contre lui. On connait le résultat.


C'est vrai, mais en même temps, on peut pas dire que Royal ait été brillante...
On peut espérer que Obama ne soit pas totalement nul...

Attention: Je ne dis pas que Royal est nulle en général, mais il me semble indéniable qu'elle n'était pas bien du tout préparée pour les élections.