deepdelver dit:Se demande si, plutôt que de bosser, il ne ferait pas mieux de protéger les 500 cartes de Dominion avec les protège cartes qu'il vient d'acheter.
Je pense qu'il faut savoir donner priorité à ce qui est important dans la vie, le protégeage des cartes de Dominion me semble donc la chose à faire
Je vais attendre d'être dans le métro : en distribuant une carte à chaque voyageur, ça devrait le faire.
Il vient de regarder pour la 1012° fois "L'homme des hautes plaines" de maître Clint Eastwood et...
Bordel de nom de dieu de putain de merde, flute! Qu'est ce que ce film est intelligent, merde!... Car il faut que ce soit dit!
- "What happens next?" - "huh?" - "What happens after we've done it?" ... - "Then you live with it."
- "I'm almost done here... You know I never did know your name." - "Yes you do!... Take care..." - ... "Yes, sir captain"
[warning! spoiler à suivre] Quand, au moment où le tocsin annonçant les grand méchants sonne, le personnage central, après avoir d'abord refusé de protéger la ville, puis accepté contre "tout ce qu'il veut", après s'être fait ré-équiper de pied en cap gratos, après s'être fait héberger et nourrir à l'oeil, après s'être conduit comme un parfait tyran, après avoir chassé tous les résidents de l'hotel pour avoir la paix, puis dynamité ce même hotel, après avoir obligé les bons citoyens à repeindre la ville en rouge.... se casse, laissant les bons citoyens résoudre seuls leur problèmes... ou faire face à leur passé (et à leur culpabilité)...
Bon Dieu! J'en pleure de joie à chaque fois tellement cette scène est purement et simplement brillante!
Est d'humeur déconnante ce soir, surement due aux deux bonnes nouvelles qui viennent du bureau. Un projet qu'il a reussi à terminer contre vents et marees (et plutot force 10 le vent) et dont tout le monde est satisfait et un autre qui va finalement se faire en 2009 pour lequel il s'est battu longtemps et a rencontré de multiples obstacles et dont il a maintenant les neurones qui frémissent rien qu'a l'idée qu' il va y participer activement.
Y a des jours comme ca ou on fait bien de se lever.....
Et puis aussi se barre en vacances vendredi soir.........
Très légèrement pris de boisson, il écoute, béat d'admiration, "L'homme à la tête de chou" de Maître Serge Gainsbourg.
Wâââhhh ! [edit] et aussi...
Dans son regard absent Et son iris absinthe Tandis que Marilou s'amuse à faire des vol Utes de sèches au menthol Entre deux bulles de comic-strip Tout en jouant avec le zip De ses Levi's Je lis le vice Et je pense à Caroll Lewis. Dans son regard absent Et son iris absinthe Tandis que Marilou s'évertue à faire des vol Utes de sèches au menthol Entre deux bulles de comic-strip Tout en jouant avec son zip A entrebailler ses Levi's Dans son regard absent et son iris Absinthe dis-je je lis le vice De baby doll Et je pense à Lewis Caroll. Dans son regard absent Et son iris absinthe Quand crachent les enceintes De la sono lançant Accord de quartes et de quintes Tandis que Marilou s'esquinte La santé s'éreinte A s'envoyer en l'air... Lorsqu'en un songe absurde Marilou se résorbe Que son coma l'absorbe En pratiques obscures Sa pupille est absente Mais son iris absinthe Sous ses gestes se teinte D'extases sous-jacentes A son regard le vice Donne un côté salace Un peu du bleu lavasse De sa paire de Levi's Et tandis qu'elle exhale Un soupir au menthol Ma débile mentale Perdue en son exil Physique et cérébral Joue avec le métal De son zip et l'atoll De corail apparaît Elle s'y coca-colle Un doigt qui en arrêt Au bord de la corolle Est pris près du calice Du vertige d'Alice De Lewis Caroll. Lorsqu'en songes obscurs Marilou se résorbe Que son coma l'absorbe En des rêves absurdes Sa pupille s'absente Et son iris absinthe Subrepticement se teinte De plaisirs en attente Perdue dans son exil Physique et cérébral Un à un elle exhale Des soupirs fébriles Parfumés au menthol Ma débile mentale Fais tinter le métal De son zip et Narcisse Elle pousse le vice Dans la nuit bleue lavasse De sa paire de Levi's Arrivée au pubis De son sexe corail Ecartant la corolle Prise au bord du calice De vertigo Alice S'enfonce jusqu'à l'os Au pays des malices De Lewis Caroll. Pupille absente iris Absinthe baby doll Ecoute ses idoles Jimi Hendrix Elvis Presley T-Rex Alice Cooper Lou Reed les Roll Ing Stones elle en est folle Là-dessus cette Narcisse Se plonge avec délice Dans la nuit bleu pétrole De sa paire de Levi's Elle arrive au pubis Et très cool au menthol Elle se self contrôle Son petit orifice Enfin poussant le vice Jusqu'au bord du calice D'un doigt sex-symbole S'écartant la corolle Sur fond de rock-and-roll S'égare mon Alice Au pays des malices De Lewis Caroll.
contemple béatement toutes ces belles bouteilles acquise ce w/e et imagine tous les instants merveilleux de dégustation qu'il va partager avec ses amis!