En jouant avec la possibilité de jouer les actions des bandits pendant la phase combat des hommes de loi (genre, tu supprimes un homme de loi avant le décompte de la phase 4), cela devient extrêmement plus difficile pour le colonel… cela met du piment supplémentaire, car le colonel est obligé d’“assurer” ou de prendre des risques (choix plutôt que calcul), et la frontière mexicaine se vide très vite en conséquence.
1 partie comme ça et les bandits ont gagné sur le dernier lieu de bataille avec la frontière (mort de Manolito), il restait encore plein de bandits…
Mais apparemment ce ne sont pas les bonnes règles.
EDIT: NE PAS OUBLIER DE RAJOUTER LES POINT DES CHAMPS DE BATAILLE (CHIP NOIR), on les avait oublié lors de notre première partie.
Frédérick dit:Je viens d'y rejouer 2 fois. On n'a jamais vu le dernier champ de bataille. Gagner avec le bandit me paraît impossible sauf sortie parfaite, et encore...
Dans nos parties, le fait que le bandit joue premier l'empêche vraiment d'espérer gagner...
Etonnant, j'ai joué 3 fois, perdu 3 fois à la dernière case du train.
Tu as bien commencé chaque champ de bataille sur la bonne case? ( pas sur les 2 premières cases qui sont là pour permettre de reculer?)
Edit: ha oui, les bonus de champ de bataille sont importants en effet.
Voui voui, j’ai fait tout ça bien.
On est bien d’accord que le bandit joue TOUTES les cartes qu’il souhaite jouer, puis le shérif joue ensuite ses cartes ?
Frédérick dit:On est bien d'accord que le bandit joue TOUTES les cartes qu'il souhaite jouer, puis le shérif joue ensuite ses cartes ?
Tout à fait, mais il faut bien penser que certaines cartes ont un coût.
Disons que si le bandit joue des cartes convenables sur les champs de bataille du milieu, les forces de l’ordre arrivent bien souvent sans aucune carte sur le dernier.
Je ne comprends pas comment il est possible de perdre avant d’arriver au train en fait. (enfin si, je comprends, mais ça doit être hyper rare).
Tu peux jouer en dehors de ton tour la carte réflexe éclair.
Attention, ton adversaire a des cartes pour te tuer des bandits, et des cartes pour te défausser des cartes combats que tu as jouées sur la table, ne pas confondre. (tombe/jeton noir)
Entre les cartes te permettant de lui tuer des adjoints, la femme cinglée qui te permet d’en tuer 2, les explosifs… si sur les champs de bataille du milieu tu mets ne serait-ce que deux “2”, ça te fait déjà 6+ au premier tour, donc 7 nécessaire pour ton adversaire, donc des grosses cartes qu’il doit claquer, que tu vas pouvoir lui détruire au second tour, etc, et lui vider sa main.
Je n’ai pas les cartes sur mon bureau, mais il me semble que tu as quasi le même nombre de bandits que de cases à parcourir, ton adversaire a 1 carte ou 2 lui permettant de t’en tuer directement je crois, et tu as 2 cartes te permettant d’en sauver 1. Avec ça, tu dois pouvoir faire survivre Cortez (?) jusqu’au train ( c’est la condition de défaite que tu rencontres je suppose?)
Je vous jure, j’ai bien tout fait ça, mais on n’a jamais vu le train.
Par exemple, hier, j’ai quand même été à la dernière case du champs de bataille avant le train, sachant que je n’ai tiré QUE des bandits force 1 sur tout la partie, sauf un qui était force 3 et qui m’a été dégommé directos. Ben c’est chaud de gagner 
Mais bon, je retenterai.
PS : je suis quasi-sûr de jouer avec les bonnes règles, l’auteur nous regardait jouer à Essen, et j’ai bien tout relu comme il faut.
Je pense qu’une des clés pour les hors la loi, c’est de ne jouer des cartes que si tu penses gagner le combat.
Il m’est arrivé de ne rien jouer pendant tout le champ de bataille de la banque pour économiser une carte 2, ou de ne rien jouer sur un champ de bataille court pour le passer avec 1 mort et une carte réflexe, et envoyer la purée sur le village mexicain.
Maintenant si tu ne tires que des 1 en effet, tu es dans le cas “théoriquement possible” dont je parlais avant.
Attention, pour le bandit qui rajoute une case au village mexicain, il faut qu’il soit mort avant d’arriver dans ce village. S’il se prend des dégâts au début de ce champ de bataille, il n’y a pas de case supplémentaire.
PS: rien à voir mais:
Erreur de règle à ne pas faire ( que j’ai faite): il n’est pas possible pour le hors la loi de passer au champ de bataille suivant avec la carte qui lui permet de gagner du temps.
boudje dit:Il m'est arrivé de ne rien jouer pendant tout le champ de bataille de la banque pour économiser une carte 2, ou de ne rien jouer sur un champ de bataille court pour le passer avec 1 mort et une carte réflexe, et envoyer la purée sur le village mexicain.
Et c'est comme ça qu'on gagne avec les bandits.
Je vois que nous avons la même façon de procéder et que je ne suis pas le seul à mériter le qualificatif de "vicieux" donné par mes adversaires vaincus.
Sauf que je n’ai jamais gagné encore. 
3 fois qu’elle me sort la carte “colonel” à la dernière case du train, et que je n’ai plus de réflexes. 
boudje dit:Sauf que je n'ai jamais gagné encore.
3 fois qu'elle me sort la carte "colonel" à la dernière case du train, et que je n'ai plus de réflexes.
Foutu pour foutu faut la jouer kamikaze et faire dérailler ce fichu train.
Ouaip, mais tu ne peux la faire dérailler que à ton tour aussi je crois. 
boudje dit:Ouaip, mais tu ne peux la faire dérailler que à ton tour aussi je crois. :/
Tout à fait, mais si tu fais ça à l'avant dernier tour et que tu as en main une carte permettant d'avancer d'un tour tu peux imaginer la tête du colonel.
Qu’est ce qu’il se passe ici?
Bon ce coup ci, ça va flinguer sévère…
Attaque de banque à la mitrailleuse avec les lascars qui tirent par derrière un mur de balle…Pas beaucoup de réserve, mais le défenseur de la ville se fait cueillir à froid…
J’arrive à sortir de la ville sans trop de casse (2 morts sur des cartes spéciales…qui au passage ne permettent du coup pas d’enlever des cubes sur la frontière, je viens de découvrir ce point de règle).
Sur ma lancée, je dynamite les éclaireurs qui m’attendaient dans le canyon, et me défend au pistolet…on passe le défilé sans trop de casse, et on épuise le colonel. Une petite cavalcade nocturne pour dégager la frontière, tout se passe bien.
On arrive dans la forêt, je rappelle mes potes qui tirent en rafale pour forcer le camp d’en face à employer les grands moyens. Je l’épuise petit à petit en tirant à tout va sur ses gros bras, mais mes gars commencent à tomber.
On arrive dans le village mexicain, où je rappelle une nouvelle fois mes gars qui tirent une pluie de balle, la nana du village y passe finalement me ralentissant. Une nouvelle cavalcade nocturne me permet de dégager encore plus la frontière…que je passe finalement lors du sacrifice de MANOLITTTTTO!
Partie de dingue, le tirage des cartes renouvelle vraiment les parties. Je ne pensais pas que l’on pouvait gagner en passant la frontière.
Idem, ma seule partie gagnée avec les bandits, c’est grâce à Manolito (le traitre ), mais comme il est mort, il ne peut plus être traitre pour avantager le colonel et du coup il fait perdre deux cubes
Confirmation de ce que me disait Boudge et empassant sur la règle du moment de jouer l’action pour le bandit et par l’auteur lui-même !
cedha2000 wrote:
Lightning reflexes must be played during opponent turn… it is an action card.
Does it means that we can play other action card during opponent play? (like “come on ya-good polecats, I’ll take yer all on!”) making the surprise and removing 1 cube from the mexico frontier?
No. This is the only card that may be played during your opponent’s turn.
Mark Chaplin (Yugblad)
Donc merci les gars, merci Mark Chaplin, va falloir que je progresse avec les bandits !
Tout ce moubourrage 
… y a t’il un éditeur français dans la salle ?
Faut dire que boudge sait raconter une partie 
boudje dit:Je ne pensais pas que l'on pouvait gagner en passant la frontière.
Tu devrais regarder plus de westerns.
Bravo pour le compte-rendu.
Par curiosité combien de survivants avais-tu?
Bah, Manolito m’a donné la victoire, donc il me restait tous les suivants.
boudje dit:Bah, Manolito m'a donné la victoire, donc il me restait tous les suivants.
Ben oui, que je suis bête, c'est le seul avec une valeur de 2.
