pfff c'est fatiguant de lire du rien
grandmaitre dit:pfff c'est fatiguant de lire du rien
grandmaitre se fatigue pour un rien
"You've got to stand for something or you gonna fall for anyting"
Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal tout ça m'est bien égal !
Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé !
Avec mes souvenirs
J'ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n'ai plus besoin d'eux !
Balayées les amours
Et tous leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro
Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien, qu'on m'a fait
Ni le mal, tout ça m'est bien égal !
Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Car ma vie, car mes joies
Aujourd'hui, ça commence avec toi !
Plus rien, plus rien
Que le silence,
Ta main, ma main
Et le silence
Des mots. Pourquoi ?
Quelle importance !
Demain, plus tard,
Les confidences.
Si douce, ta bouche
Et je m'affole.
Je roule, m'enroule
Et tu t'affoles.
La nuit profonde,
La fin du monde,
Une gerbe de feu
Pour se connaitre,
Se reconnaitre,
Pourpre et or et puis bleue,
Plus rien, plus rien
Que le silence,
C'est bien, nos mains
Et ce silence...
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout
Ni ces départs ni ces navires
Ni ces voyages qui nous chavirent
De paysages en paysages
Et de visages en visages
Ni tous ces ports ni tous ces bars
Ni tous ces attrape-cafard
Où l'on attend le matin gris
Au cinéma de son whisky
Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout
Ni ces jamais ni ces toujours
Ni ces je t'aime ni ces amours
Que l'on poursuit à travers cœurs
De gris en gris de pleurs en pleurs
Ni ces bras blancs d'une seule nuit
Collier de femme pour notre ennui
Que l'on dénoue au petit jour
Par des promesses de retour
Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout
Ni même ce temps où j'aurais fait
Mille chansons de mes regrets
Ni même ce temps où mes souvenirs
Prendront mes rides pour un sourire
Ni ce grand lit où mes remords
Ont rendez-vous avec la mort
Ni ce grand lit que je souhaite
A certains jours comme une fête
Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout
Ecoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec
le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.
Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle. C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse,
en ces temps.
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
C'est vraiment con, les amants.
IL n'y a plus rien
Camarade maudit, camarade misère...
Misère, c'était le nom de ma chienne qui n'avait que trois pattes.
L'autre, le destin la lui avait mise de côté pour les olympiades de la bouffe et des culs semestriels qu'elle accrochait
dans les buissons pour y aller de sa progéniture.
Elle est partie, Misère, dans des cahots, quelque part dans la nuit des chiens.
Camarade tranquille, camarade prospère,
Quand tu rentreras chez toi
Pourquoi chez toi ?
Quand tu rentreras dans ta boîte, rue d'Alésia ou du Faubourg
Si tu trouves quelqu'un qui dort dans ton lit,
Si tu y trouves quelqu'un qui dort
Alors va-t-en, dans le matin clairet
Seul
Te marie pas
Si c'est ta femme qui est là, réveille-la de sa mort imagée
Fous-lui une baffe, comme à une qui aurait une syncope ou une crise de nerfs...
Tu pourras lui dire :"T'as pas honte de t'assumer comme ça dans ta liquide sénescence.
Dis, t'as pas honte ? Alors qu'il y a quatre-vingt-dix mille espèces de fleurs ?
Espèce de conne !
Et barre-toi !
Divorce-la
Te marie pas !
Tu peux tout faire :
T'empaqueter dans le désordre, pour l'honneur, pour la conservation du titre...
Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir !
Il n'y a plus rien
Je suis un nègre blanc qui mange du cirage
Parce qu'il se fait chier à être blanc, ce nègre,
Il en a marre qu'on lui dise : " Sale blanc !"
A Marseille, la sardine qui bouche le Port
Etait bourrée d'héroïne
Et les hommes-grenouilles n'en sont pas revenus...
Libérez les sardines
Et y'aura plus de mareyeurs !
Si tu savais ce que je sais
On te montrerait du doigt dans la rue
Alors il vaut mieux que tu ne saches rien
Comme ça, au moins, tu es peinard, anonyme, Citoyen !
Tu as droit, Citoyen, au minimum décent
A la publicité des enzymes et du charme
Au trafic des dollars et aux traficants d'armes
Qui traînent les journaux dans la boue et le sang
Tu as droit à ce bruit de la mer qui descend
Et si tu veux la prendre elle te fera du charme
Avec le vent au cul et des sextants d'alarme
Et la mer reviendra sans toi si tu es méchant
Les mots... toujours les mots, bien sûr !
Citoyens ! Aux armes !
Aux pépées, Citoyens ! A l'Amour, Citoyens !
Nous entrerons dans la carrière quand nous aurons cassé la gueule à nos ainés !
Les préfectures sont des monuments en airain... un coup d'aile d'oiseau ne les entame même pas... C'est vous dire !
Nous ne sommes même plus des juifs allemands
Nous ne sommes plus rien
Il n'y a plus rien
Des futals bien coupés sur lesquels lorgnent les gosses, certes !
Des poitrines occupées
Des ventres vacants
Arrange-toi avec ça !
Le sourire de ceux qui font chauffer leur gamelle sur les plages reconverties et démoustiquées
C'est-à-dire en enfer, là où Dieu met ses lunettes noires pour ne pas risquer d'être reconnu par ses admirateurs
Dieu est une idole, aussi !
Sous les pavés il n'y a plus la plage
Il y a l'enfer et la Sécurité
Notre vraie vie n'est pas ailleurs, elle est ici
Nous sommes au monde, on nous l'a assez dit
N'en déplaise à la littérature
Les mots, nous leur mettons des masques, un bâillon sur la tronche
A l'encyclopédie, les mots !
Et nous partons avec nos cris !
Et voilà !
Il n'y a plus rien... plus, plus rien
Je suis un chien ?
Perhaps !
Je suis un rat
Rien
celle-là, je l'ai soigneusement calligraphiée sur un petit carton que je pose en chevalet devant moi quand je joue à Métropolys.
aussi, je la dédie tout spécialement à bs :
Celui qui, dans la vie, est parti de zéro pour n'arriver à rien, n'a de merci à dire à personne.
Ca a déjà été dit ça
EDIT Ce message s'adressait à Petezah je sais pas pourquoi il a mis si longtemps à être validé...
Eric dit:Ca a déjà été dit ça
oui, mais ça fait rien si je le redis, si ?!
Kouynemum dit:Eric dit:Ca a déjà été dit ça
oui, mais ça fait rien si je le redis, si ?!
Si, ça change du tout au tout puisqu'on n'en a rien à faire...
Eric dit:Ca a déjà été dit ça
EDIT Ce message s'adressait à Petezah je sais pas pourquoi il a mis si longtemps à être validé...
Boarf, je n'en ai rien à faire
Mitsoukos dit::pouicsilence:
alors laisse moi deviner :
ne rien dire... (facile)
ne rien voir (ben, oui, il plisse les yeux, ce pouic, non ?)...
ne rien entendre (normal, avec ce truc informe sur les oreilles)....
j'ai bon ?!
Pas tout à fait...
-Ne rien dire (je respecte la regle...)
-C'est louable (dans certaines situations le silence a du bon...)
-mais ça me gonfle (pipelette que je suis... )
Kouynemum dit:celle-là, je l'ai soigneusement calligraphiée sur un petit carton que je pose en chevalet devant moi quand je joue à Métropolys.
aussi, je la dédie tout spécialement à bs :
Celui qui, dans la vie, est parti de zéro pour n'arriver à rien, n'a de merci à dire à personne.
Merci ma reine - si c'était pour me la dédicacer, ça valait le coup de la répéter -
(le pire c'est que ça me correspond plutôt pas mal en plus)