Dod dit:Leoni dit:En début d'année, il y a déjà Cannes, donc géographiquement, Toulouse ça le fait moins que Paris. N'aurait-il pas mieux valu redimentionner le salon pour le rendre profitable? Déplacer les dates? Etc.
Bref c'est bien domage.
Je ne pense pas qu'il faille mettre en concurrence le salon de Toulouse et celui de Paris. Par contre il aurai peut-être été judicieux de déplacer le SDJP sur mai ou juin.
Mais une question me tarabusque: comment un salon gratuit peut-il être plus rentable qu'un salon payant? Et s'il y a une bonne raison, pourquoi ne pas l'appliquer au SDJP? Ce qui fonctionne pour le sud doit bien fonctionner pour le nord, non?
Je ne sais pas ce qu'a donné le MDJ cette année, car je ne m'y suis pas rendu. Mais je n'y suis allé l'an dernier et c'était vraiment pas terrible (pour rester poli). A priori les avis sont plutôt positif pour cette cuvée, j'attends donc de voir celle de 2010.
En tout cas je trouve étrange, quand on sais le tarif au m2 du salon de la Porte de Versailles, qu'on ai choisi de garder celui-ci plutôt que l'autre.
[:
+1 : cette histoire a l'air plus compliquée que ça... sans vouloir être vexant pour les toulousains, ca m'étonne que pour le "monde du jeu" (éditeurs, auteurs, jouueurs), ca soit plus rentable/pratique/facile/visible d'organiser une manifestation à Toulouse qu'à Paris.
Rappelons pour l'anecdote que Paris est la plus grande ville au monde pour l'organisation de Salon (ce qui fait au passage de la France la destination N° 1 ou N°2 du tourisme mondial)
Donc, je me répète, cette histoire a l'air plus compliquée que ça...