Vue Ana ce matin en Imax 3D (25% d’image en +) et elle crève effectivement l’écran :-)
Dommage que son rôle ne soit pas plus développé.
Sinon, c’est sympa de visionner un film avec un minimum de scénario de temps en temps!
Par contre, ceux qui trouvaient WestWorld lent ont bien dus s’embêter!
Et la musique réalisée dans la précipitation est à chier.
Concernant le 3ème épisode de PK Dicks, encore du gentillet à la 4ème dimension. Regardable, mais rien d’inoubliable…
Nous sommes d’accord : je n’ai même pas entendu qu’il y avait de la musique (à part dans le casino bien sûr).
La reprise d’un thème célèbre tout près de la fin (reprise qui m’a semblé totalement gratuite) montre le fossé existant entre la partition enchanteresse de Vangelis et le bruit de fond industriel qui accompagne le film.
J’espérais la reprise du thème mythique pour le générique final. Au lieu de cela, un bruit effroyable qui a vidé la salle en un clin d’œil.
Pour les fans de la musique de 1982, chercher sur le web:
Blade Runner EMS Recombination Definitive 3 Disc Edition 2011 FLAC
Il y a même un disque bonus: The Japanese Tracks
Je viens de terminer la première saison de “Les Sopranos” et je suis désormais lancé (à mon modeste rythme, toutefois). J’apprécie beaucoup ce mix entre les films classiques de mafieux italo-américains et GTA V. La composante psychologique avec la thérapeute apporte tout ce qu’il faut d’intelligence, de fragilité, d’introspection.
À mon goût, ça manque un peu de trame / de rythme. Décidément, cela en devient mon reproche classique à toutes les séries dont on sent parfois qu’elles auraient pu être plus courtes vu ce qui est mis dedans. Mais je comprends bien aussi que c’est le temps qui donne une certaine consistance aux personnages.
Twin Peaks 3.15.
Je ne suis même pas certain d’aller jusqu’au bout…Quelle purge !
Courage. Il parait que les 16 et 17 sont excellents.
De mon côté, la saison 2 de Colony. La saison 1 ne m’avait qu’à demi-convaincu, mais la saison 2 m’a bien emballé.
Et l’épisode 4 de Discovery est plutôt réussi également… si on laisse de côté la « science » (outch) qui est toujours aussi fantaisiste et quelques personnages qui agissent avec l’intelligence qui caractérise d’ordinaire les personnages des séquelles d’alien.
Fini la saison 2 de The Expanse. Alors que j’avais été bien emballé par le début de la saison, je trouve que ça pioche un peu ensuite (le passage à 13 épisodes ?). J’ai du mal à dire si c’était le cas depuis le début ou si ça ne me saute aux yeux que maintenant, mais je trouve les situations moins bien amenées et des scènes qui manquent de crédibilité (au niveau dramatique je veux dire, car c’est de la SF). A suivre en 2018.
J’ai acheté le tome 1 des bouquins en poche, je verrai ce que ça donne.
Disons que dans la saison 2, on sent bien à mi saison la fin du tome 1 et le passage au début du tome 2, ce dernier étant forcément moins zépique!
Pyjam dit :Et l'épisode 4 de Discovery est plutôt réussi également… si on laisse de côté la « science » (outch) qui est toujours aussi fantaisiste et quelques personnages qui agissent avec l'intelligence qui caractérise d'ordinaire les personnages des séquelles d'alien.
Scénario proche du plagiat quand même: une substance organique qui permet à un navigateur particulier de replier l'espace grâce à sa puissance de calcul, comment dire...
Et les séquences Klingons me font totalement décrocher: les prothèses ultra rigides associées au langage atroce à écouter qu'est le Klingon (surtout déclamé phonétiquement) m'ennuient profondément.
Les séquences actions et combats typique "Star Trek" sont aussi bien ridicules: faire croire que dans le futur, toute décision urgente de déplacement / gestion / combat du vaisseau doit d'abord être pensée puis exprimée par le commandant, reçus des opérateurs qui entrent ensuite les infos manuellement. Hum, une IA ne serait pas plus efficace / crédible?
Les comportement humains concernant "l'étude scientifique" étaient également n'importe nawak dans l'épisode.
Bref, hormis les effets spéciaux,on était pas loin du niveau de The Orville...
Je viens de me retaper tous les Cadfael avec Derek Jacoby et le coffret de Sherlock Holmes avec Jeremy Brett (le seul le vrai Holmes)
conclusion : c’était bien avant aussi et merde je suis vieux
7Tigers dit :Disons que dans la saison 2, on sent bien à mi saison la fin du tome 1 et le passage au début du tome 2, ce dernier étant forcément moins zépique!
Ah ok le découpage explique peut-être cela en effet. Mais par contre pourquoi le tome 2 serait forcément moins épique ?
Shoum dit :7Tigers dit :Disons que dans la saison 2, on sent bien à mi saison la fin du tome 1 et le passage au début du tome 2, ce dernier étant forcément moins zépique!Ah ok le découpage explique peut-être cela en effet. Mais par contre pourquoi le tome 2 serait forcément moins épique ?
Je voulais dire "le début du tome 2". En général, un bouquin démarre doucement :-) !
@7Tiger : j’avoue ne pas y avoir pensé, mais maintenant que tu le dis…
J’ai le même problème que toi concernant le commandement d’un vaisseau. Encore plus maintenant que j’ai fini le cycle de la Culture de Banks. C’est tellement évident que c’est le rôle d’une IA de gérer tout cela, et aussi de lancer un essaim de petits vaisseaux de combat pour harceler l’ennemi sous tous les angles comme le font les Cylons.
Mais Star Trek est évidemment bloqué sur ce point par son héritage.
Pyjam dit :Mais Star Trek est évidemment bloqué sur ce point par son héritage.
D'autant plus que la série est une préquelle par rapport à la série initiale!
Sinon, The Gifted E02 est tout à fait regardable, centré sur les parents et mutants adultes (pas sur des ados donc), avec des effets spéciaux qui tiennent la route (comme pour ST:Discovery).
star trek discoverie c est juste une honte…
entre le genie tactique qui prend pas la peine de verifier si un "predateur " est bien endormi avant d ouvrir la cage, un capitiane de vaisseau qui prefere larguer deux bombinettes au hasard ( sans savoir si il va bien toucher les trois pauvres chasseurs klingons) avant de sauter tres loin sans savoir si son plan a reussi, sans se soucier de savoir si il va pas detruire aussi les installations des mineurs.plutot qu 'utiliser des phaseurs a priori effcicaces.
des installations minieres ultra importantes (40% de la prod d 'une matiere premiere essentielles aux deplacements) laissées sans surveillance par starfleet, en effet quatre ou cinqs chasseurs klingons peuvent l’attaquer sans que star fleet puissent l’empecher pendant six heures…
tiens les boucliers du vaisseau tiennent deux coups pednant que ceux des installations subissent six heures de bombardement…
c 'est censé donc donner une lecon inoubliable aux klingons (donc reveler la nouvelle "arme secrete)qui sont euh ben mort du coup je vois pas l’interet.
et chaque episode c est pareil…
Pour une critique plus argumentée de Star Trek Discovery que mon “le scénario est tout pourri”, mais qui arrive au même résultat:
https://anniceris.blogspot.fr/2017/10/tardigrade.html
Après, comparé au prochain film annoncé par Sony sur Les Colons de Catane, c’est peut être un chef d’oeuvre…
Hop, fini Mindhunter (dévorée en 2 soirées), une série passionnante de David Fincher sur l’exploration de la psychologie des grands criminels. Si toi aimer True Detective alors toi (probablement) aimer Mindhunter.
Star Trek: Discovery E05: définitivement trop crétin. Je vais donc m’arrêter là.
J’ai ri pendant l’épisode en repensant à ton commentaire sur l’épisode précédent.
Pyjam dit :Hop, fini Mindhunter (dévorée en 2 soirées), une série passionnante de David Fincher sur l'exploration de la psychologie des grands criminels. Si toi aimer True Detective alors toi (probablement) aimer Mindhunter.
Je confirme, si on fait abstraction du héros sosie d'Emmanuel Macron, Mindhunter c'est de la très très bonne came.
Ça fait longtemps que je n'avais pas binge-watché une série comme ça, alors que pourtant sur le papier elle n'a rien d'extrêmement original. Mais c'est vraiment de la belle ouvrage, captivant de bout en bout et très intelligent.
Le cast est fantastique, avec une grosse mention spéciale au mec qui joue Edmund Kemper, qui non content de ressembler physiquement à l'original (ce qui est déjà pas donné), réussit très bien à être en même temps fascinant, glaçant et charmant.