Pour le souffle épique, ça peut aussi venir de l’absence de Murray Gold…
Je conseil d’attendre la sortie de l’épisode 8 de la série The Mandalorian qui cloture la saison 1 avant de prendre l’offre de la semaine gratuite chez Mickey.
De mon côté, je vais pouvoir regarder l’épisode 7 qui sera disponible bientôt, mais je vais passer à côté de l’épisode 8.
(car je ne compte pas m’abonner à cette plateforme qui manque de contenu inédit et/ou récent)
Il y a une raison pour laquelle Disney+ ne fait pas comme tout le monde, c’est-à-dire proposer la série dans son intégralité d’un coup ? D’autant plus qu’elle est disponible aux US depuis 6 mois.
(pour le contenu récent, ils doivent suivre la chronologie des médias made in France, on ne peut pas le leur reprocher)
Ce serait dommage de passer à côté de l’épisode 8.
En plus, il dure 45 minutes.
marvelarry dit :Il y a une raison pour laquelle Disney+ ne fait pas comme tout le monde, c'est-à-dire proposer la série dans son intégralité d'un coup ? D'autant plus qu'elle est disponible aux US depuis 6 mois.
(pour le contenu récent, ils doivent suivre la chronologie des médias made in France, on ne peut pas le leur reprocher)
Netflix aussi fait des séries avec un épisode par semaine. Ça dépend des séries. (Je crois qu'ils font ça avec les séries diffusées à la télé aux US, mais pas sûr).
Netflix le fait effectivement avec des séries dont ils ne sont pas propriétaires (Riverdale par exemple).
Dans le cas de Disney+, comme ils le sont, ça n’a pas beaucoup de sens.
Je viens de découvrir deux (“vieilles”) séries (grâce à la chaine Youtbe “histoire appliquée”) :
Au service de la France : un vision très OSS117 et décalée bureaucratique des services secrets pendant la guerre froide
Turn Washington ’ spies : la guerre d’indépendance américaine et la mise en place de services de renseignement.
Confinement oblige, on se tape tout six feet under, parce qu’il paraissait que c’était bien. Et oui effectivement c’est très bien
Confinement oblige, on se tape tout Dark parce qu’il paraît que c’était bien, et heu… je m’arrête à la fin de la saison 1.
Confinement oblige, on se tape dessus avec ma femme mais c’est pas bien !
bachibouzouk dit :Confinement oblige, on se tape tout Dark parce qu’il paraît que c’était bien, et heu… je m’arrête à la fin de la saison 1.On vient de commencer justement et on a vu les trois premiers. Je trouve ça intriguant et pour l’instant je suis motivé pour voir la suite. Qu’est ce qui te déplaît ?
Trop alambiqué, avec des personnages sur plusieurs périodes, les mêmes, des personnes qui se connaissent sur plusieurs générations et qui n’ont jamais bougé de leur ville.
D’autres détails que je ne peux pas te révéler.
et c’est dommage car effectivement ça partait bien, mais à la fin de la première saison, je me suis dit que j’allai les laisser là avec leur problème qui peuvent se répéter à l’infini.
oh oui c’est vrai que c’est loin d’être toujours très clair. Dans le troisième épisode je ne compte pas le nombre de fois où on s’est demandé «c’est qui déjà celui là ? Et le nom qu’il a dit là, c’est qui ?». Faut dire que ces Allemands, ils se ressemblent tous
Je pensais que ça se s’améliorerait en cours de visionnage, tu me rassures pas là.
J’ai trouvé que la première saison souffre d’une grosse incohérence, du moins quelque chose que je ne comprends pas et personne n’a pu trouver une réponse, mais je ne peux pas en parler sans spoiler.
chrischneider dit :Je viens de découvrir deux ("vieilles") séries (grâce à la chaine Youtbe "histoire appliquée") :
Au service de la France : un vision très OSS117 et décalée bureaucratique des services secrets pendant la guerre froide
Turn Washington ' spies : la guerre d'indépendance américaine et la mise en place de services de renseignement.
Au service de la France est une perle qui a tout pour devenir culte. J’ai pas le temps d’expliquer pourquoi : y’a pot.
J’ai suivi votre recommandation et effectivement Au service de la France, est assez savoureux.
Chers amateurs de The Wire, sachez que la dernière oeuvre de David Simon vient de finir sa diffusion sur HBO.
Il s’agit de The Plot Against America, une mini-série en 6 épisodes adaptée du roman éponyme de Philip Roth.
On suit la vie d’une famille juive de classe moyenne à Newark, New-Jersey, de 1939 à 1942, dans une Amérique alternative où les élections de 1940 n’ont pas été remportées par Roosevelt mais par Charles Lindbergh, qui défend la neutralité des USA dans la WW2, et qui se montre de plus en plus complaisant à l’égard du régime nazi.
Lentement mais inexorablement, les conditions de vie des Juifs américains se dégradent de plus en plus.
C’est vraiment une série extraordinaire. Au début j’ai eu peur que ce soit moins subtil que ce à quoi David Simon nous a habitués : le parallèle avec un certain président US en exercice est quand même très très évident, et les gentils / salauds semblent assez identifiés dès le départ.
Sauf que évidemment, on va bien vite évoluer dans des zones plus grises. Chaque membre de la famille Levin a sa propre manière de réagir aux événements, et ils ont tous un peu raison et un peu tort : il y a ceux qui s’exilent, ceux qui collaborent, ceux qui essaient d’agir de l’intérieur, ceux qui combattent, ceux qui font confiance aux institutions… Et au milieu, le jeune Philip (avatar de Philip Roth) qui pose un regard d’enfant naïf sur tout ça.
C’est super puissant, avec une galerie de personnages inoubliables (et un casting dément : Winona Ryder et John Torturro sont les noms connus, mais ils sont tous au top, y compris les enfants), et un rappel salutaire que la politique, c’est quelque chose qui influe réellement sur la vraie vie des vraies gens, et pas seulement des discussions et des débats abstraits aux repas de famille.
Il y aurait aussi quinze mille chose à dire sur la narration et son art de l’ellipse, sur la réalisation et sa belle reconstitution des années 40, sur ce sentiment d’être une grenouille dans de l’eau qui bout petit à petit…
Par contre, attention, c’est au moins aussi déprimant et plombant que Chernobyl, pour faire référence à une autre série récente dans le même ton.
Enorme baffe.
Chakado dit :Chers amateurs de The Wire, sachez que la dernière oeuvre de David Simon vient de finir sa diffusion sur HBO.
Il s'agit de The Plot Against America, une mini-série en 6 épisodes adaptée du roman éponyme de Philip Roth.
Ah mais YESS !
Vendu.
On sort avec madame de l'immense TREME et sa galerie de persos inoubliable, et impossible de trouver un truc de cette envergure, avec des persos au background épais et travaillé (et pas des héros en carton comme il y en a plein sur la soupe Netflix**).
Bref, on va se regarder ça (dès que je retrouve femme et enfants à la fin du confinement).
**je suis sans pitié avec Netflix, mais j'avoue que j'avale pas mal de séries et que pour se décontracter le cerveau sans trop réfléchir, ça fait bien le taf, et qu'il y a quelques pépites dans le tas. Mais aussi beaucoup de séries "mouais, sympa sans plus". Des OK-séries en fait.
Ah, et j'ai binge-watché les 6 épisodes de Tiger Kings, sur Netflix donc, la série dont tout le monde parle.
Le pitch de départ est simple : "Il y a plus de tigres domestiques aux Etats-Unis que de tigres sauvages en liberté dans le monde entier".
Oui, au début c'est simple. Le réalisateur va suivre un perso haut en couleur qui a justement un zoo de "big cats". Haut en couleur parce qu'il est gay, a une coupe mulet délavée à la javel et une grande gueule impossible.
Et ça part en cacahuète. Grave.
Au premier épisode, on se dit que ouhlala, y'en a des graves quand même. Puis au second, c'est pire. Et au suivant...
Bref, une plongée hallucinante dans le petit monde des zoos privés tenus par de riches américains bien "schlagués du galetas" comme on dit dans le Jura.
Alors attention, il faut savoir où on met les pieds : c'est pas un documentaire creusé et intéressant (alors que c'est peut-être un peu faussement vendu comme tel), on se rapproche quasiment de la TV-réalité par moments. A
On regarde ça avec un petit plaisir coupable en se disant "rhalala, y'a de grands malades quand même..." et en se rassurant comme quoi on est tellement normal (avec nos 430 jeux à l'arrière du salon dont la moitié sous blister.. je rigole..)
Bref, on aura vite fait de zapper la série en se disant que de tels crétins dégénérés, ça ne mérite pas le visionnage. Mais ce serait rater un sacré truc. Par moment, on vire un peu à la "gênance" qu'on pouvait ressentir pour certains protagonistes de la série Strip Tease. Les gens agissent comme des fous mais au fond, ils sont sincères.
Quelque part, en sachant tout ça, c'est assez passionnant à regarder. Par son sujet, qui est déjà incroyable au départ et qui vire vraiment à chaque épisode en sommet du What The Fuck. Mais également par le montage, comment ils arrivent à raconter une histoire à partir du matériel de base et nous tenir en haleine presque façon thriller.
Bref, excellent moment auquel je vous recommande d'y jeter un oeil. Et c'est pas très long, 6 épisodes de 45mn.
edit : j'oubliais. Dans le genre docu tout aussi barré, y'a le très bon Wild Wild Country, à propos du culte d'Osho Rajneesh qui quitte l'Inde avec tous ses adeptes et vient s'établir dans un coin perdu de l'Orégon, au grand dam des autochtones..
Par rapport à Tiger King j'ai un petit faible pour Wild Wild Country, qui montre des côtés un peu plus positifs de l'humain.
Mais les 2 séries sont très fortes dans le genre tout en montagnes russes et révélations maboules.
confinement oblige, on binge watch rien car on arrive pas à se concentrer et qu’on a le temps de rien…
on se fait TANDEM à la TV , car ça se passe dans le sud vers Montpellier, chaque épisode un site, et du coup c’est comme si on y était… et c’est assez fun.
sinon, YEARS AND YEARS, THIS IS US et WHY WOMEN KILL pour ma moitié…
et LES AS DE A JUNGLE pour le mini nous : on parlej amais des séries enfants ici, ben celle là elle est TRES bonne !
Unbelievable: j’aime bien, d’abord seulement 6 épisodes, et ça c’est bien sinon les séries sont trop chronophages et empêchent de regarder des films, de lire…; on a une enquête bien montée même si à la fin j’attendais un <>twist…qui finalement ne viendra pas.
Dérapage (6épisodes) visible directement sur Google, avec oh ah Cantona. Seulement 2 épisodes visionnés sur 6, mais c’est bien, une production française bien filmée, une ambiance sonore bien foutue qui n’a rien à envier aux productions US, un Alex Lutz sinistre comme il faut; j’espère que ça va continuer dans ce sens à partir de plus en plus en couille, ça sent les coups de sang et de boules de Canto bien violents, à suivre.
bachibouzouk dit :Unbelievable: j’aime bien, d’abord seulement 6 épisodes, et ça c’est bien sinon les séries sont trop chronophages et empêchent de regarder des films, de lire..; on a une enquête bien montée même si à la fin j’attendais un <>twist...qui finalement ne viendra pas.J'ai bien aimé aussi mais sans plus, j'ai trouvé ça trop lent/long. Même ressenti que toi sur le final.
Sinon tu es la troisième personne dans mon entourage à me recommander Dérapage. Je vais aller me regarder ça, d'autant que ce n'est disponible que jusqua 14 mai (2020), donc jeudi.