Avez-vous prévu de prendre un stagiaire market pour regarder le développement des jeux moins "core" (Witness, SDHC et Shakespeare par exemple) ? Etant un studio Asmo, ce type de d'initiative devrait être facilité, non ?
Ce n'est pas vraiment prévu, mais nos amis du market de Space Cowboys nous donnent un bon coup de main.
Cela dit tu n'as pas tort, dans le sens où il y a une grande différence avec le passé. Avant un très bon jeu se vendait automatiquement bien. De nos jours, ce sont les jeux bien "marketés" qui font un bon démarrage (sans préjuger de leur qualité). Et encore, nous on ne peut pas trop se plaindre dans la mesure où on a un public fidèle et que cela se vend bien malgré tout.
De toute manière, on ne vise pas forcément les grosses ventes mais plutôt la qualité. Viser le succès, c'est encore la meilleure façon de se perdre et c'est de toute manière très aléatoire dans le core. C'est curieux mais je réfléchis pas mal de temps à cela depuis la mort de David Bowie, qui avait des idées très intéressantes sur le sujet. Enfin, je dérive vers le HS, mais ça m'a affecté...
Je pensais market au sens large, une discussion que nous avions eu sur le forum (je ne sais plus où). Du coup je rebondissais la dessus suite à tes récentes remarques sur le fait que Shakespeare (et sans doute aussi les 2 autres que je citait) aurait pu toucher des populations plus larges. On est au-delà du marketing jeux pour le jeu classique, et un pti jeune avec la tête bien faite pourrait, je pense, vous apporter pas mal en étant dédié à vos sujets. il y a un peu d'investissement de votre part au début, et le long des 4 à 6 mois, mais n'étant pas positionné sur votre "expertise", je pense que c'est très largement jouable, du moins à essayer une première fois.
Je pensais market au sens large, une discussion que nous avions eu sur le forum (je ne sais plus où). Du coup je rebondissais la dessus suite à tes récentes remarques sur le fait que Shakespeare (et sans doute aussi les 2 autres que je citait) aurait pu toucher des populations plus larges. On est au-delà du marketing jeux pour le jeu classique, et un pti jeune avec la tête bien faite pourrait, je pense, vous apporter pas mal en étant dédié à vos sujets. il y a un peu d'investissement de votre part au début, et le long des 4 à 6 mois, mais n'étant pas positionné sur votre "expertise", je pense que c'est très largement jouable, du moins à essayer une première fois.
Je vois l'idée, mais tu sais moi les concepts commerciaux, c'est pas trop mon truc. Les jeunes qui sortent d'école de commerce sont sûrement bourrés d'idées mais bon, je crois qu'il faut admettre que j'aime pas trop le marketing et on va faire avec ça. Je préfère me concentrer sur les jeux...
Je pensais market au sens large, une discussion que nous avions eu sur le forum (je ne sais plus où). Du coup je rebondissais la dessus suite à tes récentes remarques sur le fait que Shakespeare (et sans doute aussi les 2 autres que je citait) aurait pu toucher des populations plus larges. On est au-delà du marketing jeux pour le jeu classique, et un pti jeune avec la tête bien faite pourrait, je pense, vous apporter pas mal en étant dédié à vos sujets. il y a un peu d'investissement de votre part au début, et le long des 4 à 6 mois, mais n'étant pas positionné sur votre "expertise", je pense que c'est très largement jouable, du moins à essayer une première fois.
Je vois l'idée, mais tu sais moi les concepts commerciaux, c'est pas trop mon truc. Les jeunes qui sortent d'école de commerce sont sûrement bourrés d'idées mais bon, je crois qu'il faut admettre que j'aime pas trop le marketing et on va faire avec ça. Je préfère me concentrer sur les jeux...
Je comprends ta position. Je pense néanmoins que tu as une vision un peu biaisée du marketing (comme peuvent l'avoir aussi les gens sur les consultants), je ne suis pas de la partie mais on est loin des marchands tapis fantasmés parfois, l'apport va au-delà de faire des plv ou autres.
Sur un jeu comme Shakespeare, c'est assez flagrant, tu dis souvent (j'ai l'impression) que Shakespeare aurait pu toucher (ou toucher plus) plus de gens, un public moins gamer, un public passionné de l'auteur qui aurait pu passer le cap d'aller vers du jds. Et de ma fenêtre, je ne vois pas ce que concrètement vous avez fait en ce sens (sur votre site, sur les réseaux sociaux, etc.). Et encore une fois, que vous vous concentriez sur les jeux n'est pas antinomique avec le fait de tenter l'expérience stagiaire dédié à un regard un peu différent sur vos jeux.
Je pensais market au sens large, une discussion que nous avions eu sur le forum (je ne sais plus où). Du coup je rebondissais la dessus suite à tes récentes remarques sur le fait que Shakespeare (et sans doute aussi les 2 autres que je citait) aurait pu toucher des populations plus larges. On est au-delà du marketing jeux pour le jeu classique, et un pti jeune avec la tête bien faite pourrait, je pense, vous apporter pas mal en étant dédié à vos sujets. il y a un peu d'investissement de votre part au début, et le long des 4 à 6 mois, mais n'étant pas positionné sur votre "expertise", je pense que c'est très largement jouable, du moins à essayer une première fois.
Je vois l'idée, mais tu sais moi les concepts commerciaux, c'est pas trop mon truc. Les jeunes qui sortent d'école de commerce sont sûrement bourrés d'idées mais bon, je crois qu'il faut admettre que j'aime pas trop le marketing et on va faire avec ça. Je préfère me concentrer sur les jeux...
Je comprends ta position. Je pense néanmoins que tu as une vision un peu biaisée du marketing (comme peuvent l'avoir aussi les gens sur les consultants), je ne suis pas de la partie mais on est loin des marchands tapis fantasmés parfois, l'apport va au-delà de faire des plv ou autres.
Sur un jeu comme Shakespeare, c'est assez flagrant, tu dis souvent (j'ai l'impression) que Shakespeare aurait pu toucher (ou toucher plus) plus de gens, un public moins gamer, un public passionné de l'auteur qui aurait pu passer le cap d'aller vers du jds. Et de ma fenêtre, je ne vois pas ce que concrètement vous avez fait en ce sens (sur votre site, sur les réseaux sociaux, etc.). Et encore une fois, que vous vous concentriez sur les jeux n'est pas antinomique avec le fait de tenter l'expérience stagiaire dédié à un regard un peu différent sur vos jeux.
Cela s'entend naturellement, mais je ne méprise pas du tout les commerciaux. Ceux que je cotoie chez Asmodée sont d'ailleurs charmants.
Pour Shakespeare, on a communiqué (y compris auprès des boutiques). Il y a même eu un article sur 20 minutes où il était recommandé. Et pour Witness par exemple, on avait recruté quelqu'un pour faire des communiqués de presse (avec quelques retours) et de la com. Mais bon, cela n'est pas suffisant. Il y a de plus en plus de sorties, certaines prennent et d'autres moins. C'est ainsi...
Après, ce n'est pas une affaire d'argent. Mon problème est plutôt que le jeu ne sera malheureusement pas autant reconnu qu'il le mérite à mon sens, mais en même temps il est beaucoup noté (et très bien) donc c'est une satisfaction.
Je me permets de participer au débat “marketing sur Shakespeare”.
Je ne sais pas si faire plus de marketing autour de Shakespeare aurait augmenté tant que ça les ventes. Car il y a eu assez de communication/marketing dans la “presse du jds” (TT, Ludovox, blogueurs, Facebook,…) et donc les personnes qui jouaient déjà en ont entendu parler, même ceux qui sont moins gamers. (c’est d’ailleurs mon cas : j’ai découvert Shakespeare grâce à des articles quand j’ai commencé à m’intéresser aux jds et j’ai eu l’occasion de l’essayer lors d’une démo dans un magasin qui venait d’ouvrir dans ma région (et je l’ai acheté, vous l’aurez compris)).
Pour les personnes ne jouant pas aux jds, je ne sais pas si Shakespeare les aurait attiré, certains l’aurait trouvé sûrement trop complexe. Je dis ça car il y a 3 mois, un jds moderne est passé dans une émission belge (On n’est pas des pigeons) et des “journalistes” de l’émission ont voulu le tester. Il s’agit du jeu Taverna (que je trouve du même calibre que Shakespeare). Vu que ce n’était pas des joueurs, qu’ils ne connaissaient que le Monopoly je pense (même si un des 2 testeurs a, soit-disant, l’habitude de jouer à des jds), ils ont abandonné et n’ont pas aimé le jeu car trop compliqué. Vous pouvez trouver la vidéo à cette adresse : http://www.rtbf.be/video/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2051331 à partir de 14 minutes. Voyant cela, je pense que pour un non gamer, il faut que Shakespeare soit présenté et proposé par un ami joueur. Car si une personne qui n’a jamais joué aux jds modernes achète Shakespeare et le teste avec 3 autres amis non gamers, ça ne prendra pas je pense. Ils vont abandonner car ils trouveront que c’est trop compliqué, que c’est frustrant (et c’est le cas, mais c’est ça qui fait une des forces du jeu). Shakespeare n’étant pas un jeu familial, il y a eu suffisamment de marketing/communication autour de lui et ce bien avant sa sortie. Maintenant, ce n’est que mon avis, mais j’avais envie de le donner.
Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n’est pas “grand public”. Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j’ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d’Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme “Porta Nigra” ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu’un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
BSI40 dit :Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n'est pas "grand public". Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j'ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d'Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme "Porta Nigra" ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu'un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
il est clair que le thème et le nom du jeu peut rebuter certains au départ (c'est le sentiment que j'ai eu au depart) mais le but c'est de ne pas rester sur ses 1ère impressions et aller plus loin pour voire si le jeu convient ou non (d'ou les ttv qui sont la pour ca), le thème est l'habillage mais ce qui reste interessant c'est le jeu en lui meme. Il y a un autre débat sur le forum concernant amiytis et certains disent qu'étant donné son coté 'moche' (je cite), le jeu ne donne pas envie et la aussi je répondrai que le but d'un jeu de société n'est pas d'être le plus beau mais d'être le plus interessant a jouer, le plus ludique, et a ce petit jeu amyitis fait des merveilles tellement le game play est interessant encore de nos jours avec toutes les sorties (cela dis je ne le trouve pas moche du tout). Nous sommes dans un univers ludique et seul le coté 'jouable' et 'interessant a jouer' doivent rester les critères les plus fondamentaux et a cela shakespeare est très jouable et rejouable, et reste interessant quelques soit les joueurs et ca c'est fort. Apres en ce qui concerne la difficulté du jeu la aussi il faut relativiser un jeu cela s'apprends, comme le permis de conduire ou les règles d'un sport il faut apprendre pour comprendre et bien jouer. shakespeare est grand public car les regles sont simples et la complexité vient du fait des choix qui sont corneliens mais pas du jeu en lui meme, maintenant si 'grand public' veut dire une demi pages de regles ....
BSI40 dit :Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n'est pas "grand public". Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j'ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d'Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme "Porta Nigra" ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu'un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
je suis pas tout à fait d'accord. je trouve Shakespeare, avec son parti prix graphique "Shakespeare in love", bien plus grand public que bretagne ou myrmes.
Dexter269 dit :Je me permets de participer au débat "marketing sur Shakespeare".
Voyant cela, je pense que pour un non gamer, il faut que Shakespeare soit présenté et proposé par un ami joueur. Car si une personne qui n'a jamais joué aux jds modernes achète Shakespeare et le teste avec 3 autres amis non gamers, ça ne prendra pas je pense. Ils vont abandonner car ils trouveront que c'est trop compliqué, que c'est frustrant (et c'est le cas, mais c'est ça qui fait une des forces du jeu). Shakespeare n'étant pas un jeu familial, il y a eu suffisamment de marketing/communication autour de lui et ce bien avant sa sortie. Maintenant, ce n'est que mon avis, mais j'avais envie de le donner.
BSI40 dit :Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n'est pas "grand public". Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j'ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d'Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme "Porta Nigra" ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu'un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
Oui je comprends ton point de vue et j'ai d'ailleurs une conférence au sujet des thèmes de jeu la semaine prochaine ;)
Mais bon, on ne va pas se contenter d'aller uniquement sur les thèmes "fédérateurs" parce que l'uniformisation des jeux, ce n'est pas réjouissant. L'un des avantages du jeu core c'est qu'on vise un public "éduqué" qui peut éventuellement passer outre un thème qui ne l'emballe pas a priori, ou disons "risqué" (voir l'auberge sanglante).
Honnêtement, un jeu sur le théâtre, cela me branchait. On pouvait en faire quelque chose et donc la proposition de RV est arrivée à point nommé. De plus, je crois fondamentalement que le travail sur le rendu du thème est plutôt bon (pour un euro s'entend) et j'ai donc du mal à imaginer le jeu avec des Orcs ;)
BSI40 dit :Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n'est pas "grand public". Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j'ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d'Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme "Porta Nigra" ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu'un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
il est clair que le thème et le nom du jeu peut rebuter certains au départ (c'est le sentiment que j'ai eu au depart) mais le but c'est de ne pas rester sur ses 1ère impressions et aller plus loin pour voire si le jeu convient ou non (d'ou les ttv qui sont la pour ca), le thème est l'habillage mais ce qui reste interessant c'est le jeu en lui meme. Il y a un autre débat sur le forum concernant amiytis et certains disent qu'étant donné son coté 'moche' (je cite), le jeu ne donne pas envie et la aussi je répondrai que le but d'un jeu de société n'est pas d'être le plus beau mais d'être le plus interessant a jouer, le plus ludique, et a ce petit jeu amyitis fait des merveilles tellement le game play est interessant encore de nos jours avec toutes les sorties (cela dis je ne le trouve pas moche du tout). Nous sommes dans un univers ludique et seul le coté 'jouable' et 'interessant a jouer' doivent rester les critères les plus fondamentaux et a cela shakespeare est très jouable et rejouable, et reste interessant quelques soit les joueurs et ca c'est fort. Apres en ce qui concerne la difficulté du jeu la aussi il faut relativiser un jeu cela s'apprends, comme le permis de conduire ou les règles d'un sport il faut apprendre pour comprendre et bien jouer. shakespeare est grand public car les regles sont simples et la complexité vient du fait des choix qui sont corneliens mais pas du jeu en lui meme, maintenant si 'grand public' veut dire une demi pages de regles ....
Sur Amyitis, je vais le redire ici, il faut voir que c'est un vieux jeu. Aujourd'hui, tout a évolué et on le ferait bien plus beau. Mais à l'époque, ça ne choquait personne. D'ailleurs beaucoup de jeux allemands étaient minimalistes en illustrations (voir les bâtiments de PR) et on jouait sans trop y faire attention. Attention, je ne dis pas que c'était mieux avant. C'est mieux maintenant en fait, mais Amyitis paye en quelque sorte le fait qu'on en parle toujours bien des années après sa sortie. Si cela avait été un gros succès, nous l'aurions ressorti mais il n'a été qu'un succès d'estime (pas si mal déjà)....
BSI40 dit :Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n'est pas "grand public". Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j'ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d'Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme "Porta Nigra" ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu'un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
je suis pas tout à fait d'accord. je trouve Shakespeare, avec son parti prix graphique "Shakespeare in love", bien plus grand public que bretagne ou myrmes.
Disons que, culturellement, Shakespeare est plus anglo-saxon (et d'ailleurs il marche bien aux USA). D'ailleurs "Shakespeare in love" a été oscarisé je crois.
Le Bretagne et les fourmis sont effectivement plus dans notre culture française (le second "à cause" de Bernard Werber).
BSI40 dit :Autant le thème Shakespeare est adapté au jeu autant il n'est pas "grand public". Face à Star Wars et aux trolls et gobelins j'ai du mal à imaginer le plus grand nombre se précipitant sur Shakespeare. Les fourmis de Myrmes ou les moutons d'Agricola sont plus fédérateurs. Des jeux comme "Porta Nigra" ont le même problème : qui est déjà allé à Trèves voir la Porta Nigra ? Je pense qu'un jeu lourd comme Bretagne a bénéficié de son thème pour dépasser un peu la cible des joueurs experts.
je suis pas tout à fait d'accord. je trouve Shakespeare, avec son parti prix graphique "Shakespeare in love", bien plus grand public que bretagne ou myrmes.
Disons que, culturellement, Shakespeare est plus anglo-saxon (et d'ailleurs il marche bien aux USA). D'ailleurs "Shakespeare in love" a été oscarisé je crois.
Le Bretagne et les fourmis sont effectivement plus dans notre culture française (le second "à cause" de Bernard Werber).
pas moi de 7 oscars en 1999, dont oscar du meilleur film.
pas moi de 7 oscars en 1999, dont oscar du meilleur film.
Et c'est un bon film. Quand je me suis regardé un peu de Shakespeare (beaucoup en fait) pour voir dans quel direction artistique on allait aller et que j'ai vu celui là, je me suis dit que c'était juste ça qu'il fallait...
pas moi de 7 oscars en 1999, dont oscar du meilleur film.
Et c'est un bon film. Quand je me suis regardé un peu de Shakespeare (beaucoup en fait) pour voir dans quel direction artistique on allait aller et que j'ai vu celui là, je me suis dit que c'était juste ça qu'il fallait...
N'empêche que votre Falstaff ne dépareille pas plus que ça avec celui (génial) de Wells.
pas moi de 7 oscars en 1999, dont oscar du meilleur film.
Et c'est un bon film. Quand je me suis regardé un peu de Shakespeare (beaucoup en fait) pour voir dans quel direction artistique on allait aller et que j'ai vu celui là, je me suis dit que c'était juste ça qu'il fallait...
N'empêche que votre Falstaff ne dépareille pas plus que ça avec celui (génial) de Wells.
pas moi de 7 oscars en 1999, dont oscar du meilleur film.
Et c'est un bon film. Quand je me suis regardé un peu de Shakespeare (beaucoup en fait) pour voir dans quel direction artistique on allait aller et que j'ai vu celui là, je me suis dit que c'était juste ça qu'il fallait...
pas moi de 7 oscars en 1999, dont oscar du meilleur film.
Et c'est un bon film. Quand je me suis regardé un peu de Shakespeare (beaucoup en fait) pour voir dans quel direction artistique on allait aller et que j'ai vu celui là, je me suis dit que c'était juste ça qu'il fallait...
Et pas l'Othello de Welles ? rhooo
Cela ne veut pas dire que je ne le trouve pas bien. J'adore Wells en plus.
Mais plus sérieusement, il faut donner une direction claire aux artistes si tu veux un jeu cohérent. Et en l'occurrence nous voulions sortir de l'imagerie "classique" de Shakespeare et montrer quelque chose de chatoyant et de coloré. Shakespeare in love en était la parfaite illustration et j'ai donc demandé aux illustrateurs de le regarder avant de commencer le travail. Et sérieusement on a passé beaucoup de temps à définir cette direction, je ne peux pas dire que j'ai été tendre avec les petits gars, mais le travail fini en valait la chandelle ;)
et puis le film de Welles était un peu orthogonal dans sa réalisation (et ses péripéties de prod) par rapport au thème du jeu (beaux décors, beaux costumes.
Une Viola doublée par Prospero, c'est violent par exemple...
T'es sérieux là ?
Si je compte bien : -> +2 thunes si on costume Viola en guenilles -> +4 thunes au jour 4 -> +4 thunes au jour 6 -> -1 pour payer Viola -> -5 pour payer Prospero
--> çà fait un différentiel de +4. Mouais, je sais pas, çà me paraît pas ultime mais c'est toi le boss et si tu le dis c'est que c'est vrai .
Ceci dit, les pouvoirs d'activation ET de costume de Viola permettent de progresser ailleurs que sur l'acte 1. Du coup, çà permet d'aller à la reine pour les objectifs plutôt que pour la thune. C'est çà l'idée ?
Sinon, pour ceux que cela intéresse, le livre "Will le magnifique" sort en poche à la fin du mois. Je crois que je vais me l'offrir : Shakespeare sera le deuxième jeu qui me fera acheter un livre (De Vulgari Eloquentia fut le premier). Voici là couverture :