Troisième partie de Voidfall, en mode normal.
Défaite nette de plus de 40 points mais défaite instructive.
Ne pas se lancer quand on est un peu fatigué .
Ne pas jouer trop vite ; ce que l’on a réussi la partie précédente ne marchera pas forcément (nouvelles crises, nouvelles technologies, nouveaux programmes…).
Et surtout planifier autant que possible en étudiant les possibilités de marquer de points.
Cela m’a rappelé Terra Mystica qui n’a pourtant que peu de points communs. Dans Terra Mystica il faut commencer par étudier le plateau et bien regarder ce qui rapporte et à quel moment (idéalement on construit des comptoirs quand la construction de comptoirs rapporte, idem pour les villes…).
Dans Voidfall c’est pareil, si l’on récupère un programme qui demande un peu de corruption, il faut un peu de corruption ; s’il faut des technologies on va chercher des technologies. On ne doit pas faire une action parce qu’on peut la faire mais parce qu’elle est rentable. Là j’ai construit des guildes qui m’ont couté de l’entretien et que je n’ai pas utilisées.
De même il ne faut pas absolument tout faire pour éviter une escarmouche, la perte d’un territoire peut largement être compensée par d’autres actions.
Bref il faut réfléchir, j’ai voulu jouer vite, j’ai vu le résultat.
Merci pour tes retours, j’aime aussi beaucoup ce jeu que je n’ai pas eu l’occasion de rejouer depuis un moment, n’hésites pas à nourrir le sujet dédié.
La gestion de l’adversaire virtuel est comment ??
Usine à gaz ou plutôt simple une fois assimilé les termes /icones ??
Un wargame solo ça manque dans ma ludo (j’ai bien le réveil de l’ours mais plutôt envie d’avoir un truc moins long à installer)
Les icônes sont très simples et je trouve les règles de gestion de l’adversaire bien compréhensibles : il y a un ordre d’activation (tel type d’unités en premier), ensuite un ordre en fonction de la situation (proximité des ennemis, etc…) et si aucune situation ne correspond, on jette un dé et on fait agir en fonction du résultat.
Ça pourrait être mis en forme comme un logigramme.
À noter, les réactions de l’IA varient en fonction des batailles mais tout est toujours détaillé sur la page en vis à vis de celle où se trouve le champ de bataille.
Et c’est une bien belle défaite sur The Gilded Realms …
Mode épique avec le clan Gnorvic. Je doit atteindre 43 points et je n’en fait que 28.
La faute a une invasion fulgurante sur l’avant dernier tour qui m’oblige a sacrifier de bonne carte dans ma piste de construction qui aurait pu (Peut-être) changer la donne et me permettre de booster 2 provinces.
Ça ne me choque pas outre-mesure Ça permet à mon goût de représenter le capharnaüm d’un champs de bataille (d’avant les communications radio) : les ordres initiaux mal compris, les mauvaises cartes topographiques de la région, les nuages de fumée des tirs à la poudre noire mélés à la poussière soulevée par les déplacements, etc…
D’autres systèmes de wargame existent où des instructions doivent être données à chaque unité en début de partie et ne peuvent être changées qu’avec l’envoi d’un messager par le QG (s’il ne se fait pas occire entre temps) ou via un test (jet de dé) de commandement
Mais je m’égare. En pénitence je vais aller faire une partie.
Ah et j’utilise une application “dés” sur mon téléphone. Ça vaut ce que ça vaut mais ça réduit les manipulations parfois hasardeuses quand on n’a pas de piste de dés (ou pas assez de dés).
Oui il est super, j’ai déjà gagner Onirim avec toutes les extensions :). J’ai commencé avec l’application puis un jour je me suis dit, bon sang il est bien ce jeu j’aime bien l’ambiance, du coup je l’ai pris.
Maintenant, j’aient tous les jeux de l’Onivers, ils sont clairement dans mon top des jeux solo, je trouve même la série sous-estimée. Je les adore tous SAUF Sylvion (aya alors que c’est le + aimé généralement).
Mon moins aimé c’est Sylvion car je fais la même technique pour gagner, je sais que tous les jeux sont + ou - comme ça mais là particulièrement. Ceci dit je n’ai pas essayé Sylvion avec toutes les extensions je pense que ça peut changer mon appréciation et enlever la “technique ultime”.