(Faut pas encourager ma logorrhée verbale, sérieux… J’ai déjà du mal à canaliser… ) Sinon ouais, je vais peut-être me laisser tenter. Le prix est plus que raisonnable… Mais bon. Je dois avouer que je m’interroge. J’ai cru comprendre que le principal intérêt de la chose, c’est justement que Johan fait profiter de son expérience et de son rodage méticuleux de la masterisation. L’aspect “clef en mains” et les effets testés, re-testés, détaillés garantis sont assez séduisants, et promettent une expérience efficace, rapide à prendre en main, agréable, tout ça. Alors oui… Mais… Maiiiis. je dois aussi reconnaître que j’ai un peu peur de ressentir une certaine frustration (en tant que meujeu, hein… Pas de souci pour les joueurs.) Je suis certes pas mal rouillé, mais j’ai tout de même un certain passif meujeutage (lointain, certes) en impro et en grande-gueulisation. Quid de mon libre arbitre ? De mon petit plaisir personnel ? De mon droit à l’expérimentation et à l’erreur ?J’ai un peu peur qu’une recette de grand chef ne procure pas le même plaisir que la tambouille un peu bancale, mais faite soi-même. Oui, je sais, je suis chiant. (vous ne me corromprez pas. Ca fait plus de 20 berges que j’ai envie de meujeuter les masque de niark niark oteph, z’allez pas me casser dans mon élan lorsque je touche au but, bande de sadiques ! ) ceci dit, un p’tit sombre pour mettre les joueurs dans le trip, ouais, pourquoi pas) Bon, du coup Johan, tu conseilles quoi pour démarrer ? Sombre 1, ça suffit ? Ou tu fais ton vil VRP, et tu m’ordonnes de commander les 3 direct ?) Et question plsu pratique : tu conseilles combien de joueurs, pour une partie “découverte” ?
C’est lent, c’est mou, c’est long. Mais ça va venir. Je le sais.
Viagra, moi je vois que ça.
La vieillesse est un naufrage… (En même temps, je ne suis pas certain que de retrouver la fouge de nos 17 ans soit une si bonne idée dans le contexte. Le JdR, ça n’a jamais été le top pour lever en soirée… C’est des coups à dormir sur la béquille, ça, encore… )
TLT dit: La vieillesse est un naufrage... (En même temps, je ne suis pas certain que de retrouver la fouge de nos 17 ans soit une si bonne idée dans le contexte. Le JdR, ça n'a jamais été le top pour lever en soirée... C'est des coups à dormir sur la béquille, ça, encore... )
En fait, c'est encore plus simple que ça. Comme tu es MJ et que tu comprends tes joueuses et qu'une complicité se crée d'emblée avec elles tu deviens vite le très bon copain mais sûrement pas le petit ami. Ah 17 ans... GG Marie Joseph !
TLT dit:Quid de mon libre arbitre ? De mon petit plaisir personnel ? De mon droit à l'expérimentation et à l'erreur ?
Le voudrais-je (mais bien sûr, je ne le veux pas) que je ne pourrais pas te les retirer. Ils sont intrinsèques au média jeu de rôle et, côté meneur, constituent (de mon point de vue en tout cas) une bonne partie de son intérêt. Donc t'inquiète, tu garderas ton libre arbitre rôliste, ton droit au n'importe quoi et la grosse foirade. ^^ D'une, il y a toujours assez loin du texte à la table, même quand le texte est archi testé et super carré. De deux, je ne vais pas venir chez toi et menacer de tuer ton chien si tu ne mènes pas mon matos comme je le préconise. C'est d'ailleurs exactement pour cela que je l'écris à la première personne du singulier : je détaille mes routines et fais profiter le lecteur de mon expérience (game design, playtest, maîtrise) puis le laisse se débrouiller avec tout ça. Il est grand, il a un cerveau, à lui d'en prendre et d'en laisser. Que je le veuille ou non, c'est de toute façon ce qu'il va faire. Du coup, no stress. Ce qui n'empêche pas que je recommande de mener mes scénarios by the book, hein. Tout bêtement parce que je les ai testés intensivement et finement équilibrés. Mais : + Ça laisse encore plein de plages de liberté au meneur. Aucun texte de jeu de rôle ne peut tout prévoir du déroulement d'une partie (et même s'il le pouvait, il resterait encore au meneur l'interprétation des PNJ). Y'a qu'à lire sur le forum de Terres Etranges les comptes rendus des gens qui ont mené mes scénars pour constater à quel point, sur la base d'un texte identique, on arrive à des parties super différentes. + Vu ton profil, je suis archi convaincu tu ne tarderas pas à écrire ou improviser tes propres scénars. Et là, ce sera open bar.
Sombre 1, ça suffit ?
Oui, c'est un livre de base complet. Règles intégrales, toutes les aides de jeu, un scénario d'introduction au format long (4 à 6 heures, créa de persos incluse). Tout pour jouer tout de suite (sauf les dés).
Ou tu fais ton vil VRP, et tu m'ordonnes de commander les 3 direct ?
Je conseille les trois bien sûr ! Il y a dans le 2 et le 3 plusieurs articles que je considère essentiels. Les lire avant de mener sa première partie de Sombre me semble vraiment une *très* bonne idée. C'est pas dur, si j'avais eu la place, je les aurais mis dans le premier numéro. Et en plus, y'a dans le 2 et le 3 trois scénarios format flash (15 minutes) et court (1 heure), qui sont bien pratiques pour faire découvrir le jeu. Les flashs surtout. Ils tournent avec une variante simplifiée du système de base et ce sont ceux-là que je mène en démo. Pour tout te dire, la quasi-totalité des gens qui ne me commandent que Sombre 1 parce ce qu'ils ne sont pas trop surs d'accrocher, reviennent quelques semaines plus tard pour me commander le 2 et le 3. Tout ce qu'ils ont gagné dans l'affaire, c'est de payer deux fois les frais de port.
Et question plsu pratique : tu conseilles combien de joueurs, pour une partie "découverte" ?
De 3 à 5, plus rarement 6, l'optimum variant selon les scénarios. C'est tout bien précisé en ouverture de chacun d'entre eux.
La vieillesse est un naufrage...
Clairement. Mais bon, on s'amuse bien sur le Titanic !
Un cri de libération pour fêter la fin de l’écriture de White trash, le scénario de Sombre 4. Parce que oui, j’en ai bien bien chié. La section Feedback en particulier fut un pur casse-tête à rédiger. Ce scénar, assez technique, demande au meneur d’ajuster l’adversité en temps réel. Les variables sont nombreuses et imbriquées, y’en a dans tous les sens. À mener, aucun souci. À expliquer de façon linéaire par contre, c’est à se taper la tête contre des murs en crépi (ça fait plus mal). Un peu comme de dessiner en 2D un truc en 3D sans perte d’information graphique. Pas fastoche. Mais ça y est, c’est fait.
Et du coup, je peux annoncer le sommaire définitif de Sombre 4 : + White trash, un survival forestier pour Sombre classic, inspiré de Deliverance et Massacre à la tronçonneuse. + Casting, un article pour tout savoir sur la création collective des personnages. + Making-of House, un autre article pour apprendre par l’exemple à écrire des scénarios pour Sombre. + 8 pages d’aides de jeu.
Là présentement, Casting est bouclé, le Making-of House est en attente de relecture et je dois refaire deux passages un peu serrés sur Whitre trash. Pas encore le bout du tunnel, mais je commence à entrapercevoir la lumière. Oui parce que comme rien n’est simple, j’avais trois pages de trop ce matin. J’ai taillé dans le gras de Casting et me voici rendu à 73 pages. Encore quelques efforts et je vais réussir à me glisser dans mon 72 fillette. Faut juste que je rentre un peu le ventre et que j’arrête de respirer. Ça va le faire, j’en suis sûr. Par contre, pour fermer le bouton du haut, ça s’annonce bien chaud. L’édito risque d’être rikiki cette fois-ci. Et à part ça, demandez-vous ? Ben, Greg a commencé à bosser sur la couv et ce qu’il m’a envoyé dépote sévère. Pour changer un peu des précédentes c’est – comment dire ? – touffu ! Plus d’infos dans tout bientôt. Stay tuned.
reçu ce matin les 3 numéros. Emballage soigné et résistant , envoie rapide feuilleté rapidement , les règles sont clair et simples scénario bien décrit. bref bien sympa a priori , maintenant plus qu’a trouver du temps et des joueurs motivés
La neuvième édition de Sombre light, le kit de démo gratuit de Sombre est téléchargeable depuis la page officielle.
Il s’agit d’un aggiornamento, une petite mise à jour qui lisse et améliore quelques points de détail. Pas de gros changements, juste du fignolâââge. + Le mot « gore » a disparu du chapeau de la section Combat car il me semblait inapproprié. Dans Sombre, le gore n’est pas une mécanique, juste une inclinaison du meneur, qui en met ou pas (ou peu) dans ses parties. Je ne voulais donc plus que le mot apparaisse dans le chapitre de règles. + Dans cette même section, ajout de « dégainer » dans la liste des exemples d’actions de combat. Je l’utilise très souvent dans mes parties, son absence dans mon texte était un vrai manque. + Réécriture de la section Antagonistes pour nommer formellement les cercles qui se trouvent sur les cartes de PNJ. Sachez donc qu’il s’agit de cercles de Corps. L’objectif de ce petit ajustement est une meilleure convergence sémantique entre Sombre classic et Sombre max, sa seconde variante. Pour les mêmes concepts techniques, les mêmes mots, ou au moins des mots pas trop différents. + Dans la section Santé, la règle de récupération évolue. L’unité de mesure n’est plus le scénario mais la partie. Par ailleurs, Corps et adrénaline peuvent désormais (à la discrétion du meneur) n’être que partiellement récupérés en début de partie suivante. + La partie plutôt que le scénario devient également l’unité de mesure des Traits à usage unique. Plus de souplesse pour le meneur (« partie » est plus vague que « scénario ») et là aussi, souci de convergence avec Sombre max. Cette modification est invisible dans Sombre light, qui ne présente que la liste des Traits, sans leurs descriptions. Elle est cependant déjà effective dans les dernières éditons de Sombre 1 et 3, actuellement disponibles à la vente. + Un mot justement sur la cinquième édition de Sombre 1, qui bénéficie de plusieurs améliorations substantielles de ses aides de jeu. Nouveau design des cartes de PNJ (convergence avec Max toujours) ainsi que des plans, et surtout cinq nouvelles cartes pour gérer plus efficacement la première scène de House of the rising dead (dont un nouveau plan). + Enfin, j’ai amélioré l’ergonomie de la feuille de personnage de Sombre classic en remplaçant certains cercles par, je vous le donne Émile, des carrés. Quatre en tout, deux par jauge, qui correspondent aux deux basculements de phase (1 à 2 et 2 à 3). Il y a donc désormais sur la feuille de perso une indication graphique qui rappelle au joueur quand changer de carte de Personnalité ou quand il vient de débloquer un cercle d’adrénaline. Tellement pratique que je n’arrive pas à comprendre pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt. + La nouvelle feuille de personnage est disponible en version papier dans Sombre 1 et .pdf à la fin de Sombre light. Ce même .pdf est aussi téléchargeable séparément en version éditable sur la page officielle. Champs pour renseigner du texte et cercles/carrés cochables par simple clic, voilà qui est idéal pour imprimer de zolis prétirés. J’en profite pour remercier chaleureusement Julien De Monte de sa précieuse aide technique.
Last but not least, une nouvelle qu’elle me fait bien plaisir : les textes de Sombre 4 sont en dernière phase de relecture et l’illustration de couverture finalisée. Ça arrive, ça arrive, ça arriiiiive ! Hop, teasing :
Promo
Les trois numéros de la revue Sombre sont disponibles. Pour les commander, c’est par ICI.
fifileloup dit:Même pas un ptit scenar pour zombre zéro ?
Malheureusement non. Vu qu'il y en avait déjà un dans le numéro précédent et que je n'avais la place que pour un dans celui-ci, il me semblait préférable d'alterner.
Je sais que tu as un impératif de pages....
72 pour être exact. Mine de rien, il en peut dedans, mais y'a quand même une limite. Pour tout te dire, j'ai dû batailler ferme pour tenir le format cette fois-ci. En première relecture, j'en étais encore à 75 pages. Ce fut chaud patate. ^^
Cela dit, concernant Sombre zéro, il y a dans l'édito de Sombre 4 une annonce qui risque de te faire plaisir. Oui je sais, je tease comme un gros cochon !
Sombre est un jeu de rôle pour se faire peur comme au cinéma. Chaque partie est un film d’horreur dans lequel les joueurs incarnent les victimes. La revue Sombre est entièrement dédiée à Sombre (logique ^^). Chaque numéro se présente sous la forme d’un fascicule de 72 pages au format A5.
SOMMAIRE DÉTAILLÉ DE SOMBRE 4 :
+ Scénario > White trash Un survival forestier pour Sombre classic, inspiré de Deliverance et Massacre à la tronçonneuse. + Article > Casting Tout sur la création collective des personnages. + Article > Making-of House Comment écrire un scénario pour Sombre ? + 8 pages d’aides de jeu
Pour commander par la Poste : toutes les infos qui vont bien sont ICI. Pour acheter en direct : je participe mercredi (4 mars) à la prochaine IRL Opale aux Caves Alliées (un bar près d’Odéon, à Paris) et ce week-end (7 et 8 mars) aux RRX, sur le campus de Polytechnique (Palaiseau). Je serai bien sûr présent sur d’autres conventions en 2015, mon programme est consultable ici.
Ho les gââârs, c’est quoi ce bordel ?!? On avait dit cosplay Pikachu cette année !
Il doit y avoir une malédiction RRX, je ne vois pas d’autre explication. L’année dernière, crevard. Cette année, la même. Explication simple : bouclage de Sombre 4 + animation longue chez Léo + promo du zine + IRL Opale épuisante trois jours avant = grôôôsse fatigue = gros rhume. Imparable. Je sentais la crève qui montait vendredi, ça n’a pas loupé. Mais du coup, j’étais venu équipé. Doliprane, sirop, spray, blindé du slip le Johan. Et ça m’a bien dépanné samedi soir, quand j’avais l’impression que chaque mot m’arrachait la gorge. Le Doliprane, c’est rien que du bonheur en comprimés. Et la conv, me dites-vous ? Et bin très sympa. Les orgas sont vraiment super cool, tout un tas de jeunes gens en sweater rouge, réactifs, efficaces et arrangeants. Spéciale dédicace à Maxence (pour l’orga générale) et Antoine (pour le couchage). Cette année en plus, il a fait moins froid dans le grand hall de l’X. Un peu de soleil était le bienvenu, mais c’est sans doute ce qui a planté la convention : les gens ont profité du beau temps pour sortir. Du coup, désistements en pagaille et pas grand monde dans le hall. Nettement moins que l’année dernière, en tout cas. Malgré la crève, je me démène pour enchaîner les parties. Mais c’est rude, le dimanche surtout. Calme, très calme, très très trèèèès calme. Or moi, je préfère quand c’est un peu moins trop calme. Ce sont les orgas qui me sauvent : comme eux aussi s’emmerdent, ils se pointent à ma table pour se faire étriper. Ça occupe mon après-midi dominicale et c’est très sympa.
En vrac + Comment que je me les suis mangés les escaliers de Lozére ! Et avec mon gros sac de zines encore, bien plus lourd que la dernière fois puisque j’avais un numéro de plus. Mais cette année, j’étais prévenu et j’avais l’œil du tigre. Johan en mode vénère, Antisocial à donf dans les écouteurs. + Bon sang, ça faisait looongtemps que je n’avais pas viré un joueur de ma table ! À la base, l’histoire est plutôt sympa. Samedi tard dans la soirée, débarque un groupe de jeunes gens plus ou moins avinés, le même qui s’était pointé à ma table l’année dernière à la même heure. Doit y’avoir une sorte de contre soirée RRX où que les gens se murgent la gueule et que passé minuit, ils se font grave chier. Je ne vois que ça. Pas rôlistes, ni même gamers pour un sou, mais ils veulent refaire un Sombre, dont ils gardent un bon souvenir. Y’en a même un qui a encore une photo de la partie de l’année dernière sur son portable. Sympa tout plein, je vous dis. Sauf que cette année, ils sont une tétrachiée. Mais ça tombe bien, maintenant j’ai le matos pour gérer : mon scénar Dracula, que je peux mener jusqu’à onze joueurs. En l’occurrence, y’en a dix, dont un fin bourré. Le jeune con dans toute sa splendeur. Sans doute pas méchant à jeun, mais juste insupportable avec trois bières dans le pif. Je vais l’appeler Kevin (pardon aux familles, tout ça). Kevin, je le sens grave pas et le lui dit direct. Mais sa voisine me répond que, pas de problème, ils vont jouer un perso à deux. Mouais. J’attaque mon briefing. Kevin est à l’ouest mais ne se tient pas trop mal, si on considère que poser le front sur la table pendant de le meneur cause, c’est pas trop mal. Mais bon, il ne braille pas trop. Deux ou trois éructations à contretemps, j’ai connu pire. Sauf qu’à un moment, Kevin se penche pour attraper le gobelet de bière de son voisin et en renverse tout plein sur la table. Par miracle, mes aides de jeu, que j’avais déjà distribuées, échappent à l’inondation. Okay c’est bon, j’ai atteint ma limite. J’arrête tout et lui demande de quitter la table sur le champ. Ouais, là maintenant tout de suite, et pronto. Pas content, Kevin. Dans l’état où moi je suis – fatigué, malade, avec déjà huit parties dans les pattes et une dizaine de joueurs à ma table (on ne s’en rend pas bien compte, mais animer pour un cast de cette ampleur, c’est du gros taf, surtout quand ils sont tous en mode festif) –, je crois bien que s’il avait insisté, je lui aurais retourné une mandale. Il était assis juste en face de moi, je n’avais qu’à tendre la main pour le gifler. Je veux dire, à un moment faut arrêter les conneries : y’a des limites à l’irrespect. Un peu fait, je veux encore bien. Tous les quinze jours aux Caves, j’ai l’habitude. Totalement torché, c’est juste pas possible. À travers les brumes de l’alcool, Kevin a dû sentir que j’étais assez remonté. L’instinct de conservation, hein. Il se laisse bon gré mal gré évacuer par sa voisine, qui annonce qu’elle va le coucher, mais se repointe en fait deux minutes plus tard, Kevin dans son sillage. Et Kevin, il braille et il danse (mais assez loin de moi, quand même). On le jette de nouveau, il revient. Puis il re-revient. Et en bouquet final, Kevin il fait des glissades sur le ventre à même le carrelage du hall, genre je surfe sur la boue. Kevin, quel est le mot que tu ne comprends pas dans « Arrête » ? + À part ça, la partie fut plutôt très sympa. J’ai assuré en fait deux gros Dracula dans le week-end, celui-ci à neuf joueurs et un autre à huit le lendemain. Supercool à chaque fois, je commence à prendre le pli. Et je progresse sur l’équilibrage technique, ce qui est bien. C’est assez ardu, justement parce qu’il y a plein de PJ, mais ça avance. D’ailleurs, ces RRX furent assez enrichissantes niveau playtest, sans doute parce que les parties ne se sont pas enchaînées bite à cul. J’avais le temps de les débriefer tranquillement. Du coup, j’ai aussi repéré quelques petits trucs à micro-fignoler sur Camlann et Toy Scary. Toujours bon à prendre, moi je dis.
Mon body count 14 parties, 73 joueurs, 63 morts.
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Promo Les quatre numéros de la revue Sombre sont disponibles. Pour commander, c’est par ICI.