Mince, je ne peux pas dire combien j’ai de jeux au juste.
Si on ne compte pas les jeux de rôles et les jeux de figurines, je dois être aux alentours de 70 jeux, sans compter les extensions.
Il y en a beaucoup qui n’ont encore jamais servi (je sais, c’est une honte), d’autres qui sont usés jusqu’à la corde.
Mon nombre de parties par an doit avoisiner les 400, à la grosse louche.
Ma ludothèque idéale: je crois que je pourrais très facilement la limiter à 50 jeux de plateaux. Par contre, je suis un indécrottable collectionneur de jeux de rôles (sans plus jamais y jouer), mais je m’assume.
UNe petite centaine de jeux pour moi, et je dois disputer environ 150 parties par an, à la louche. Ludo idéale: je suis sûr qu’autour de 80 jeux on peut en avoir pour tous les goûts.
Au vue des réponses, même si le nombre de partie varie, le nombre de jeux dans une ludothèque idéale se situe en 50 et 100 jeux. Par contre, il y a beaucoup de gens qui dépasse le nombre de jeux qu’ils ont idéalement.
TS Léodagan dit:Il y a pas mal de jeux qui perdent de leur intérêt quand on en a connu d’autres.
J’aime bien cette réflexion, car des fois en découvrant un jeu, il m’arrive de me dire qu’il est mieux que tel autre car le thème est plus présent, la durée et plus courte ou le mécanisme est pensé c’est ce qui me pousse à me débarrasser de certains de mes jeux.
Lilian dit:Combien de jeux avez vous actuellement ?
Combien de parties faites vous par an ?
Et par curiosité, combien de jeux faudrait-il dans votre ludothèque idéale ? (si vous devez mettre une limite)
- J'en ai : un salon. J'ai pas fait de recensement depuis plusieurs années.
- Aucune idée du nombre de parties que je fais par an. Je ne note rien. La seule réponse qui me vient à l'esprit, c'est : beaucoup.
- Ma ludothèque idéale tient en un salon. Quand on fait un choix pour un jeu on regarde autours de nous pour choisir. Et un jeu que l'on ne voit pas, on ne le choisit pas.
Lilian dit:Et par curiosité, combien de jeux faudrait-il dans votre ludothèque idéale ? (si vous devez mettre une limite)
Je comprends bien la question et j'y ai d'ailleurs répondu, mais je voulais y revenir sur ce qu'elle pourrait impliquer. Car je n'ai pas des jeux pour subvenir à mes besoins ludiques, pas comme on aurait des médicaments pour plus ou moins tous les problèmes de santé que l'on peut avoir.
Quand je joue à un jeu, je m'évade. Les jeux sont comme un monde que j'explore ou dans lequel je me promène. Or, j'apprécie, à des degrés différents, de nombreux types de jeux et parmi ces types de jeux, je peux difficilement me limiter à un seul. Un seul, ou deux ou même trois jeux de majorité, deux trois jeux de placement, deux trois gros jeux de gestion, non, je veux avoir le choix. C'est un peu comme si, sur terre, je ne me donnais que deux ou trois destinations pour passer mes vacances en bord de mer, deux ou trois autres pour la montagne et deux ou trois autres encore pour la campagne. Non, il y a des milliers de destinations possibles et s'il y en a certaines où je suis déjà revenue fidèlement, il y en a d'autres où je ne suis allé qu'une fois, d'autres où je suis allé une fois il y a longtemps mais où je voudrais revenir, etc.
Un jeu = une destination de villégiature ;
jouer = voyager, explorer ;
et ce même si dans une vie humaine on n connaît pas effectivement des centaines de lieux de vacances.