Ouais braov, et en route pour la 1000ème page !!!
Allez hop!
Ca faisait longtemps que j'avais pas posté ici, moi...
A part ça, je suis content : aujourd'hui, j'ai quadruplé mon nombre d'avis sur TT!
Tiens j'avais oublié ce truc
ok, ok , j'aide....
Et hop un petit coup de pouce
Que deviendra ce topic si jamais il arrive à la 100ème page ???
Faudra penser à offrir un disque-dur plus rgand à Mr. Phal...
A dit:
mais nous auront le dernier mot !
ah, ouais...?!
hin hin hin !
Bon week-end à tous et à lundi !
Bon WE à toi ...
et une ligne de plus
Samedi midi, je suis seul sur la terre, je vais chercher des infos intéressantes sur un sujet intéressant...
Shakespeare : et si le grand Will n'avait été qu'un prête-nom ?
Deux profs britanniques relance une vieille polémique...
To be or not to be Shakespeare? Deux professeurs de l'université d'Aberystwyth (pays de Galles) affirment avoir découvert l'identité du véritable auteur de Hamlet, Macbeth et autres Joyeuses Commères de Windsor. Dans The Truth Will Out («La vérité éclatera»), un livre publié la semaine dernière à Londres, Brenda James, professeur de littérature, et Bill Rubinstein, historien, clament que William Shakespeare, comédien né en 1564 à Stratford-upon-Avon, n'était qu'un prête-nom. Selon leur thèse, très controversée, le père de ce que beaucoup considèrent comme la plus grande œuvre théâtrale de tous les temps serait en fait Henry Neville (1564-1615), un diplomate descendant des Plantagenêts.
Le contenu politique et la localisation géographique des pièces signées Shakespeare correspondent point par point à l'évolution de la carrière d'ambassadeur de Neville, en Autriche, en Italie, en France et au Danemark, affirme Bill Rubinstein.
Cet héritier d'une dynastie royale destituée par la famille régnante des Tudors ne pouvait pas se permettre d'exprimer ses opinions au grand jour.
Soit, mais encore? Mis au courant d'une conspiration contre la reine Elisabeth Ire, le diplomate est emprisonné. C'est à ce moment que la tonalité des pièces de Shakespeare change, passant du registre comique ou historique à la tragédie, ajoutent les auteurs. Ils auraient même retrouvé un document de la main de Neville imitant la signature de William Shakespeare.
Démontrer que le grand Will, dont on perd la trace entre 1585 et 1592, n'a pas écrit les pièces qu'on lui prête est un sport national en Angleterre.
Depuis 1785, la paternité de son œuvre a tour à tour été attribuée au philosophe et politicien Francis Bacon, au poète Christopher Marlowe, à divers dignitaires de la cour d'Angleterre. Voire à la reine elle-même, les pièces servant sa propagande.
Des théories que réfute Jean-Marie Maguin, professeur émérite de littérature anglaise à l'université Montpellier III et coauteur d'une biographie de référence sur le dramaturge: «Shakespeare est bien Shakespeare, il n'y a aucun doute là-dessus.