La principale motivation de ses détracteurs est la jalousie. Ils ne parviennent pas à admettre qu'un homme n'ayant reçu qu'une éducation modeste ait pu devenir un tel génie.» Un autre ressort, moins littéraire, se cache peut-être derrière ce énième rebondissement dans l'affaire Shakespeare: chaque livre publié sur le maître de Stratford est un best-seller en puissance.
Et maintenant, voici quelques informations complémentaires relatives au monopoly qui fête ses 70 ans.
Il souffle ses 70 bougies et pourtant il innove: nouveaux noms de rues, cartes de crédit, versions marseillaise ou lilloise et même intergalactique. Si vous passez par la case Départ, vous recevez 2 millions d'euros…
En France, 1 foyer sur 2 a sa boîte de Monopoly dans une armoire et il continue à s'en écouler 500 000 exemplaires par an. Comment expliquer cette fascinante longévité dans un monde envahi par les PlayStation et les jeux en réseau sur Internet ?
Le Monopoly est un enfant de la crise de 29. Charles Darrow, ingénieur chômeur, en a bricolé le prototype sur une toile de jute, avec des petites maisons découpées dans des planches et des pions improvisés. Il en fabrique six par jour. En 1935, il revend au géant Parker Brothers, qui en écoule 20 000 par semaine dès la première année. Darrow a tiré la carte Chance: il devient millionnaire en dollars. Beau conte de fées capitaliste.
«Cette histoire officielle omet juste un petit détail: le jeu a en réalité été inventé trente ans plus tôt par Elizabeth Magie, une austère quaker de Pennsylvanie qui prétendait dénoncer les méfaits de la spéculation immobilière», sourit Jean-Marie Lhôte, auteur d'une Histoire des jeux de société (Flammarion).
Malgré ces péripéties, le jeu préféré de Maria Callas, de Terry Savalas, alias Kojak, et de Winston Churchill (qui, toujours câlin, vantait ce passe-temps où l' «on peut tabasser son meilleur ami sans faire trop de dégâts») a été vendu à 250 millions d'exemplaires dans 26 langues depuis sa création. Quel est donc son secret?
«Il a un défaut de conception initial qui a fait son succès, croit avoir trouvé Thierry Karpiel, directeur général de Winning Moves France, chargé des déclinaisons régionales du best-seller mondial: les règles sont simples, mais elles sont juste un peu trop compliquées pour que les enfants puissent y jouer seuls. Alors ils enrôlent les parents. Et c'est le souvenir de ces premières parties familiales dans une station de ski ou chez des cousins qui fait le succès du Monopoly depuis soixante-dix ans ans.» En général, on décroche à l'adolescence et puis, devenu parent à son tour, on rachète la fameuse boîte.
Et puis que serait le Monopoly sans ces poignées de billets verts et violets à cinq zéros que l'on brasse avidement? Eh bien, on le saura bientôt: ces jours-ci sort la première version où l'on paiera non plus avec des coupures, mais avec une carte de crédit. Un petit terminal est livré avec la boîte. «On risque peut-être de perdre le plaisir de manipuler les liasses de billets», s'inquiète Jean-Marie Lhôte. «Les enfants vont adorer taper leur code confidentiel comme les grands», répond Yves Cognard, directeur marketing du fabricant Hasbro.
Mais aucun élu français n'a encore osé suivre le très ludique régime de Fidel Castro: Cuba est le dernier pays au monde où le jeu est officiellement interdit. Le peuple uni jamais ne jouera au Monopoly.
Ce n'est donc pas un post du WE.... Dure réalité, les objectifs à atteindre sont difficiles
motivé la girafe!
L'important c'est d'y croire... Puis, quand un soleil se lève sur Rio, un autre se couche sans sombrero.
Go!! Go!! Go!! on y est presque!!
Tiens, ben je vais faire un florilège des posts de colossus pour les suivants...
moi c'est Full Metal Planet qui plante systématiquement...après quelques tours
/* dans une pièce sombre, une silhouette s'agite */
"trois cheveux de Jesuska..."
"une larme d'Ivy..."
"3 pions de Puerto Rico..."
"un reste de Sandwich d'Essen..."
"4 caramels mous..."
Et elle ne fait pas de cauchemars ?
Non mais elle ne mets plus les doigts dans son nez depuis!!!
une nouvelle série sort en octobre: Pirates of the barbary coast.
C'est une stand alone expansion.
De plus quand tu es sur la montagne du destin, les dés de traque ne servent plus à rien car le joueur de l'ombre pioche une tuile à chaque fois que la compagnie se déplace (je dis ceci de mémoire)