Tu devrais peut-être moins rôder sur le topic. 
Sinon, c’est vraiment un pouvoir que je n’avais pas soupçonné avant qu’Alain ne m’en parle sur Fessebouc, mais le fait qu’on n’ait d’influence que sur ses propres hommes est vraiment central dans le jeu et c’est bien malin de retourner ses gros dés pour les protéger. 
-- s e b dit:Tu devrais peut-être moins rôder sur le topic.
Sinon, c'est vraiment un pouvoir que je n'avais pas soupçonné avant qu'Alain ne m'en parle sur Fessebouc, mais le fait qu'on n'ait d'influence que sur ses propres hommes est vraiment central dans le jeu et c'est bien malin de retourner ses gros dés pour les protéger.
Pas pensé à ça moi
Cela veut dire que tu payes 4 pour retourner ton 6 et au tour suivant tu repayes 4 pour retrouver ton 6 , cela fait quand même cher en influence mais si ce dé la est primordial pour un futur gros coup pourquoi pas.
(à ne pas faire avec les des blancs qui s'achètent facilement pour les placer à la cathédrales)
Totoche
totoche69 dit:-- s e b dit:Tu devrais peut-être moins rôder sur le topic.
Sinon, c'est vraiment un pouvoir que je n'avais pas soupçonné avant qu'Alain ne m'en parle sur Fessebouc, mais le fait qu'on n'ait d'influence que sur ses propres hommes est vraiment central dans le jeu et c'est bien malin de retourner ses gros dés pour les protéger.
Pas pensé à ça moi
Cela veut dire que tu payes 4 pour retourner ton 6 et au tour suivant tu repayes 4 pour retrouver ton 6 , cela fait quand même cher en influence mais si ce dé la est primordial pour un futur gros coup pourquoi pas.
(à ne pas faire avec les des blancs qui s'achètent facilement pour les plasser à la cathédrales)
Totoche
tant qu'à faire, autant retourner 3 dés, c'est le même prix.
tu peux m^^eme retourner 2 gros dés pour ne pas qu'on te les pique et retourner un petit dé pour l'utiliser immdiatement.
C'est vrai que ça coûte cher en influence mais ça peut parfois être utile (ça ne se fait pas toutes les parties évidemment).
Alain13 dit:totoche69 dit:-- s e b dit:Tu devrais peut-être moins rôder sur le topic.
Sinon, c'est vraiment un pouvoir que je n'avais pas soupçonné avant qu'Alain ne m'en parle sur Fessebouc, mais le fait qu'on n'ait d'influence que sur ses propres hommes est vraiment central dans le jeu et c'est bien malin de retourner ses gros dés pour les protéger.
Pas pensé à ça moi
Cela veut dire que tu payes 4 pour retourner ton 6 et au tour suivant tu repayes 4 pour retrouver ton 6 , cela fait quand même cher en influence mais si ce dé la est primordial pour un futur gros coup pourquoi pas.
(à ne pas faire avec les des blancs qui s'achètent facilement pour les plasser à la cathédrales)
Totoche
tant qu'à faire, autant retourner 3 dés, c'est le même prix.
tu peux m^^eme retourner 2 gros dés pour ne pas qu'on te les pique et retourner un petit dé pour l'utiliser immdiatement.
C'est vrai que ça coûte cher en influence mais ça peut parfois être utile (ça ne se fait pas toutes les parties évidemment).
ce jeu est plein de fourberies
sinon j'ai remarqué que les militaires partaient vites et en premier, ensuite les curées et souvent les civils en dernier !!
Harrycover dit:
ce jeu est plein de fourberies
sinon j'ai remarqué que les militaires partaient vites et en premier, ensuite les curées et souvent les civils en dernier !!
Gnark ! Gnark !
Harrycover dit:
sinon j'ai remarqué que les militaires partaient vites et en premier, ensuite les curées et souvent les civils en dernier !!
moi j'ai plutôt remarqué que c'étaient les gros dés qui partaient en premier, enuite les dés moyens puis les petits dés
Alain13 dit:Harrycover dit:
ce jeu est plein de fourberies
sinon j'ai remarqué que les militaires partaient vites et en premier, ensuite les curées et souvent les civils en dernier !!
Gnark ! Gnark !Harrycover dit:
sinon j'ai remarqué que les militaires partaient vites et en premier, ensuite les curées et souvent les civils en dernier !!
moi j'ai plutôt remarqué que c'étaient les gros dés qui partaient en premier, enuite les dés moyens puis les petits dés
c'est pas faux
Je confirme, ce sont les gros dés (rouges) qui partent en premier, donc ceux d’Harrycover…
Salutations ludiques.
Docky
P.S. Je ne suis pas que fourbe. Comprenne qui pourra ! 
Bonsoir
Encore une partie ce soir pour moi, je l’emporte dans un mouchoir de poche (37, 35, 34, 34).
Meunier/aubergiste/orfèvre, Moine/apprentissage/procession, diplomate/mercenaire/troubadour.
J’ai le florentin, accompagné de Chrétien de Troyes, Hugues de Payns et de Thibault 2.
Je fait 20 PV + 7 PV personnages + 10 PV d’artisans (diplo, merco., troubadour, meunier et aubergiste).
Le sixième tour est difficile car je le joue quasiment sans thune ce qui me prive d’un sixième artisan 
.
Sinon durant la partie, les gens se battant sur l’orfèvre je privilégierais le troubadour délaissé malgré la présence de l’aubergiste .
Encore une partie bien sympa, et finissant sur les rotules je suis tout surpris de l’emporter malgré tout.
A quatre joueurs c’est quand même vraiment chaud.
A+
Première partie hier soir. Après avoir acheté le jeu samedi et lu au moins 5 ou 6 fois les règles depuis, j’ai enfin pu tester la bête . Partie à 4 joueurs, et pour tous c’était la première fois que nous découvrions ce jeu.
Ma conclusion après environ 2h30 de jeu, explication des règles comprise : très enthousiaste, très envie d’en refaire, et en même temps mitigée… Je m’explique.
Les points + : 
- des mécanismes innovants, entre un caylus et un kingsburg, une sorte d’hybride mais qui n’est en rien une simple copie de ses grands frères ! Le mélange des deux m’a paru savamment dosé et fort agréable
- le renouvellement des parties. Alors je sais, ça peut faire sourire de lire ça alors que je n’en ai fait qu’une partie, mais le tirage aléatoire des cartes activités emmène des combos qui changent à chaque partie. Et donc pas de stratégie unique, il faut savoir s’adapter aux activités disponibles. je vois ça un peu comme pour les cartes aménagements mineurs et savoirs faire à Agricola. Selon celles que l’on a en main, la stratégie à avoir peut totalement varier selon les parties. Et ça, je trouve que c’est un gros point fort.
- la multiplicité des actions possibles à son tour : entre se placer sur une activité, pousser un copain sur un bâtiment pour augmenter sa force (i.e. son nombre de dés), construire la cathédrale, combattre ces put… d’évènements qui nous plombent le porte-monnaie, pillent les dés et j’en oublie, se faire du blé à l’agriculture (oui je sais le jeu de mot est naze mais je n’ai pas pu résister), bref le choix d’actions est très vaste. Il est donc facile de faire un mauvais choix, et très difficile de discerner celui qui sera le meilleur. Un bon creuse méninge et pour les amateurs et matrices du genre, dont je suis, c’est un réel plaisir.
- une forte interaction. Je te pique les dés, tu me pousses… etc…
- et enfin les graphismes. On aime (c’est mon cas) ou on n’aime pas, mais ils ont le méritent de coller parfaitement au thème et à l’ambiance médiévale, et je trouve ça chouette !
mais tout de même, comme rien n’est tout rose dans ce bas monde, et bien certains points m’ont moins emballés. Donc :
Les points - : 
- une certaine lourdeur de mécanisme. Je ne doute pas que ce sentiment s’estompera avec les parties, mais il n’empêche que ce n’est pas toujours très très fluide. Ex : à mon tour je pais 12 deniers pour me constituer un lot de 3 dès rouge en en piquant 2 à mes voisins et en en gardant un des miens. Je perds 2 points de prestige pour engager un contremaître. Je paie 6 deniers pour le placer sur la carte activité “machin”. J’utilise un cube d’une activité différée de la carte “truc” qui me permet d’ajouter “+2” à chacun de mes dés. Je fais maintenant la somme totale de ma force que je divise âr X ce qui me permets de faire Y fois l’activité sur laquelle je viens de placer mon contremaître… Ouuuuuuuff… Ben oui, perso je trouve ça un peu lourd et donc pas très fluide, d’où le sentiment que la partie a été un peu poussive parfois. Il ne fait pour moi aucun doute que le jeu gagnera en fluidité à être joué souvent, il n’empêche qu’un sentiment de lourdeur est ressorti de mon point de vue. Et ça, ça emmène au deuxième point :
- une assez difficile prise en main. Je ne conseillerai pas ce jeu à des néophytes, très clairement. Il va falloir un temps pour dompter la bête, et je doute fort que les joueurs occasionnels acceptent de fournir cet effort. Donc un public assez étroit… Ce n’est pas vraiment un point négatif dans le sens où cela semble clairement un parti pris des auteurs (qui vont peut être me contredire d’ailleurs) d’avoir fait un gros jeu de gestion pour gamer, mais j’avoue aimer les jeux aux règles intuitives qui semblent “couler”.
- un thème qui ressort plus ou moins bien. J’admets parfaitement que l’idée par ex de la carte activité templier qui transforme les dés blancs en dés rouges et au final très bien trouvée et s’intègre à merveille dans la thématique, mais de mon points de vue sachant que j’avais déjà un peu de mal à gérer tous les mécanismes sans rien oublier de faire au passage, je suis totalement passée au travers du thème : je ne l’ai pas vu. Peut être que c’est un sentiment qui disparaitra au fur et à mesure que le jeu deviendra fluide, peut être pas, pour l’instant difficile de se prononcer.
Bref, au final :
J’ai passé 2 très bonnes heures de jeu, que je n’ai pas vu passer et ce malgré des tours parfois un peu poussifs. Un réel sentiment que le jeu possède un fort potentiel, et je pense très sincèrement que je n’ai pas encore vu que le 1/4 des stratégies envisageables. Par ex on a tous franchement négligé les évènements, pour se rendre compte au final que ça nous a bien pourri notre porte monnaie et notre force de combat et qu’en plus ça rapporte assez “facilement” des PV. J’ai eu l’impression de me trouver devant un jeu exigent qui demande un apprentissage certain et ne se dévoilera pas à moins d’un certain effort de la part des joueurs. La comparaison avec caylus me semble en ce sens bien méritée, à la différence que caylus réussi pour moi le coup de maître d’avoir des mécanismes fluides et un thème qui ressort, ce que j’ai moins senti ici, mais ce qui ne veut pas dire que ce sentiment ne viendra pas au bout d’un moment. Après tout, lors de ma première partie de caylus, j’avais trouvé ça également lourd et le thème assez plaqué, ce que je ne ressens plus du tout (c’est mon jeu préféré) et comme quoi les avis changent et évoluent.
Bref Troyes est pour moi un jeu qui a un très fort goût de “reviens-y”, et d’ailleurs je n’ai qu’une envie : en refaire une partie. Et ça, quoi qu’on en dise, c’est pour moi le signe d’un bon jeu. 
Mon avis sur le bel avis de ce gros piqueur d’avatar qu’est naoko (le génie des alpages c’était moi !) :
100% sur les mécanismes, je te confirme pour le renouvellement même si je trouve que c’est plus carré, plus pensé qu’Agricola (lui, j’ai fini par le revendre).
Pour la multiplicité des actions : on peut faire de bons choix, mais je pense qu’aucun n’est catastrophique.
Pour l’interaction : tout à fait, à un niveau assez rare pour un jeu de ce type.
Pour les graphismes : 100% d’accord, c’est à la base ce qui m’a fait acheter le jeu…
Pour la lourdeur de mécanisme et la difficulté de la prise en main : j’avais eu cette impression en début de première partie, mais avec la connaissance cela finit par devenir fluide. Encore faut-il avoir le courage d’y revenir ! Je ne pense pas pouvoir y faire rejouer ma pauvre mère, elle qui avait pourtant adoré Caylus et Amyitis. Pas une petite joueuse non plus. Mais alors que mon frère (fan dès la première partie) et moi étions à fond dedans, elle a clairement détesté.
Un thème qui ressort plus ou moins bien : 0% et tu expliques bien pourquoi !
bel avis aussi je trouve !!
un autre point positif : j 'ai l’impression qu’un joueur ne risque pas de se faire larguer au score suite à un mauvais départ.
Il me semble toujours possible de revenir en empêchant les autres de trop scorer. euh suis pas clair là !!! 
ce que je veux dire c’est que tu as souvent le choix entre faire un bon coup qui rapport gros ou faire un coup un peu moins bon mais qui empêchera un adversaire d’en faire un meilleur !!
et çà !! c’est vraiment moche !!!
naoko dit:
Les points - :
- une certaine lourdeur de mécanisme. Je ne doute pas que ce sentiment s'estompera avec les parties, mais il n'empêche que ce n'est pas toujours très très fluide. Ex : à mon tour je pais 12 deniers pour me constituer un lot de 3 dès rouge en en piquant 2 à mes voisins et en en gardant un des miens. Je perds 2 points de prestige pour engager un contremaître. Je paie 6 deniers pour le placer sur la carte activité "machin". J'utilise un cube d'une activité différée de la carte "truc" qui me permet d'ajouter "+2" à chacun de mes dés. Je fais maintenant la somme totale de ma force que je divise âr X ce qui me permets de faire Y fois l'activité sur laquelle je viens de placer mon contremaître... Ouuuuuuuff............ Ben oui, perso je trouve ça un peu lourd et donc pas très fluide, d'où le sentiment que la partie a été un peu poussive parfois. Il ne fait pour moi aucun doute que le jeu gagnera en fluidité à être joué souvent, il n'empêche qu'un sentiment de lourdeur est ressorti de mon point de vue. Et ça, ça emmène au deuxième point :
- une assez difficile prise en main. Je ne conseillerai pas ce jeu à des néophytes, très clairement. Il va falloir un temps pour dompter la bête, et je doute fort que les joueurs occasionnels acceptent de fournir cet effort. Donc un public assez étroit... Ce n'est pas vraiment un point négatif dans le sens où cela semble clairement un parti pris des auteurs (qui vont peut être me contredire d'ailleurs) d'avoir fait un gros jeu de gestion pour gamer, mais j'avoue aimer les jeux aux règles intuitives qui semblent "couler".
Assez d'accord avec ça, prise en main difficile et pas très fluide. Mais c'est aussi clairement pour moi un point positif également, cette sensation d'événements s'imbriquant pour donner un raisonnement à plusieurs paliers est vraiment plaisante. De là nait la sensation de renouvellement et d'approfondissement que peut offrir Troyes, et sa rejouabilité par le fait. A mon tour, je fais une action mais en fait j'en fait plusieurs.
De plus, pour la personne un peu perdue à la première partie, la deuxième gomme déjà ses problèmes là
Pour moi et les joueurs autour de la table lors de ma première partie, Troyes a été l’un des jeux les plus difficiles à prendre en main. Naoko a très bien résumé la chose avec son addition de choses à faire pour un seul coup. Dès lors, on se dit qu’il va falloir plusieurs parties pour dompter la bête.
Et puis non, bizarrement, la deuxième se passe comme sur du beurre à roulettes.
Et ça doit le faire à pas mal de gens.
Comme un ami qu’on n’a pas revu depuis 15 ans et puis au bout de 5 minutes, c’est comme s’il avait toujours été là.
Oui en effet, les actions débouchent sur pas mal de petits calculs et manip. Mais dès la 2eme partie ça va très vite. A condition d’être à l’aise avec les divisions bien entendu.
Ce ne pas un jeu grand public en tout cas, ce que les auteurs n’ont pas cherché à faire de toute manière (enfin j’imagine).
Bonsoir
De mon souvenir de ma première partie, ce n’est pas tant le mode de calcul ou les cubes qui m’avaient posé problème, mais la multiplicité des actions possibles. Entre les 9 artisans, la cathédrale, le repositionnement sur les 3 ordres, les évênement, j’étais un poil débordé par tout ca.
Bref j’ai fini bon dernier de cette première partie mais déjà motivé pour en faire une deuxième.
Sinon il n’y a pas que les 9 artisans présents qui modèles les parties mais aussi les personnages. Deux parties ne tourneront pas pareil selon si Henry 1 est présent ou non (les évènements ne seront sans doute pas traités pareil ).
Sinon sur la demi douzaine de parties déjà joué, le capitaine et le verrier ne sont encore jamais sortis, et j’aimerais bien avoir l’occasion de les découvrir bientôt.
A+
lubjisen dit: Sinon sur la demi douzaine de parties déjà joué, le capitaine et le verrier ne sont encore jamais sortis, et j'aimerais bien avoir l'occasion de les découvrir bientôt.
A+
prépare le jeu avant que les autres arrivent et oh mince, le verrier et le capitaine sont là, quelle chance
mais mais mais ! mais c’est d’la triche ! 
Foussa dit:mais mais mais ! mais c'est d'la triche !
mais non, mais non, c'est de l'orientation positive !!!
beri dit:Et puis non, bizarrement, la deuxième se passe comme sur du beurre à roulettes.
Comme un ami qu'on n'a pas revu depuis 15 ans et puis au bout de 5 minutes, c'est comme s'il avait toujours été là.
joliment dit !!!!
Je fais mardi prochain dans la soirée une démo auprès de joueurs (allemands) puisque Troyes devient disponible sur le marché outre Rhin. Je vais tout faire pour leur donner goût, et envie de s’y atteler. Et vous obtiendrez un petit compte-rendu par la suite.
Pour ma part, je touche le bonheur (ludique) grâce à vous depuis quelques temps déjà. Et je pense même faire un chemin attypique en jetant ultérieurement un coup d’oeil à Carson City. Quelqu’un ayant participé à Troyes ne peut foncièrement pas être inintéressant, son oeuvre encore moins…
Salutations ludiques.
Docky